La Livinière
La Livinière est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
La Livinière | |||||
Vue générale de La Livinière | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Minervois au Caroux | ||||
Maire Mandat |
Pierre-André Pedesseau 2020-2026 |
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Code postal | 34210 | ||||
Code commune | 34141 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Liviniérois | ||||
Population municipale |
521 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 19′ 00″ nord, 2° 38′ 14″ est | ||||
Altitude | 153 m Min. 90 m Max. 598 m |
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Superficie | 31,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Communes limitrophes
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1992 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3,6 | 3,8 | 5,9 | 8,1 | 11,8 | 15,1 | 17,3 | 17,2 | 13,8 | 11,4 | 6,6 | 4,1 | 9,9 |
Température moyenne (°C) | 7,2 | 8,1 | 10,7 | 13 | 17,1 | 20,9 | 23,4 | 23,3 | 19,3 | 15,7 | 10,6 | 7,7 | 14,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,9 | 12,4 | 15,6 | 18 | 22,4 | 26,8 | 29,6 | 29,4 | 24,7 | 20 | 14,5 | 11,3 | 19,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−6,5 30.01.07 |
−8 08.02.12 |
−8 01.03.05 |
−1,3 14.04.1998 |
2 01.05.04 |
7,8 01.06.06 |
9,2 17.07.00 |
9 29.08.1998 |
5 26.09.10 |
−1,4 25.10.03 |
−7,5 22.11.1998 |
−8 12.12.12 |
−8 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,4 31.01.13 |
24 15.02.1998 |
27,6 25.03.12 |
32,6 09.04.11 |
35,5 30.05.01 |
41 21.06.03 |
40,8 18.07.12 |
41,8 13.08.03 |
36 04.09.06 |
31,6 02.10.11 |
25,2 07.11.13 |
20 04.12.06 |
41,8 2003 |
Ensoleillement (h) | 96,6 | 118,6 | 177 | 183,6 | 219,3 | 244,9 | 270,6 | 255,7 | 213,5 | 154,1 | 92,7 | 86,8 | 2 113,2 |
Précipitations (mm) | 62,7 | 48,2 | 30,3 | 65 | 52,3 | 37,5 | 22,3 | 45,8 | 65,1 | 76,7 | 80,4 | 64,3 | 650,6 |
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[7],[8].
Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[9]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[10],[11].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[13] :
- « les causses du Minervois », d'une superficie de 21 805 ha, importants pour la conservation des gîtes et zones de chasse des chauves-souris cavernicoles que sont le Rhinolophe euryale , le Minioptère de Schreibers et le Murin de Capaccini[14]
et un au titre de la directive oiseaux[13] :
- le « Minervois », d'une superficie de 24 820 ha, retenu pour la conservation de rapaces de l'annexe I de la directive oiseaux, en particulier l'Aigle de Bonelli et l'Aigle royal. Mais le Busard cendré, le Circaète Jean-le-Blanc et le Grand-Duc sont également des espèces à enjeu pour ce territoire[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[16] : les « gorges de la Cesse » (977 ha), couvrant 5 communes du département[17] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[16] :
Urbanisme
Typologie
La Livinière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (36,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,6 %), forêts (23,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,6 %), zones urbanisées (1,4 %), prairies (0,9 %)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La première mention remonte à l'an 1069 sous la forme de Lavineira castrum[26], « lieu planté de vignes ».
Histoire
La Livinière de l'occitan vinièra (vigne) s'appelait Livineira en 1069 et prit son nom actuel en 1688[27].
Il y a 2 000 ans, les romains plantèrent les premières vignes dans la future région du Minerve.
Depuis 1999, l'appellation Minervois-la-livinière, produisant des vins rouges de qualité, a été accordée à cinq communes des contreforts de la Montagne Noire[28].
Au Moyen Âge, Bernard-Aton, obtient allégeance de La Livinière, contribuant à augmenter la puissance de la famille des Trencavel, alors parmi les seigneurs méridionaux les plus puissants après le comte de Toulouse[29].
À partir de 1318 La Livinière fait partie du diocèse de Saint-Pons. Elle est alors inféodée à la baronnie de Rieux[30].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2018, la commune comptait 521 habitants[Note 6], en diminution de 5,62 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
L'olivier
Si la culture de la vigne est importante dans l'histoire de La Livinière, la culture de l'olivier, de nos jours, est importante.
Le , l'association « les Amis de l'Olivier de La Livinière »[37] organise un premier bar à huiles. Avec 10 000 oliviers[38] présent sur le territoire communal, les professionnels du secteur partagent leurs savoirs sur la diversité des huiles produites[39].
Lieux et monuments
Au milieu des terres viticoles, existe une carrière, témoin de l'activité passée de La Livinière. D'anciennes meules inachevées, destinées aux moulins de la région, sont encore présentes.
Des dizaines de cabanes en pierre sèche, du nom de « capitelles », encore visibles, ont été édifiées pour servir aux paysans d'abris contre les intempéries dans les parcelles éloignées du village.
La Livinière est aussi connue pour ses fours à chaux, visibles au bord des sentiers.
- Basilique Notre-Dame-du-Spasme, inscrite parmi les monuments historiques en 2006, érigée en basilique mineure depuis le [40] ;
- Église paroissiale Saint-Étienne, inscrite aux monuments historiques en 2006[41].
Personnalités liées à la commune
- Guillaume de La Jugie (1317-1374), cardinal-prêtre au titre de Saint-Clément ;
- Nicolas de La Jugie (v.1315-1376), seigneur de La Livinière, de Ferrals-les-Corbières et de Liviers en Vivarais.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Livinière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101444 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112003 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Livinière », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges de la Cesse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « Haut Minervois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « montagne noire centrale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- Eugène Thomas, Dictionnaire topographique du département de l'Hérault : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXI-278 p., in-4° (notice BnF no FRBNF37326793, présentation en ligne, lire en ligne), p. 96.
- « Liste des villages du Minervois » (version du 30 avril 2011 sur l'Internet Archive), sur minervois-villages.ifrance.com, (consulté le ).
- « Guide des Régions et appellations : AOC Minervois-la-livinière », sur Guide Hachette des Vins, (consulté le ).
- Hélène Débax, La Féodalité languedocienne, XIe – XIIe siècles : Serments, hommages et fiefs dans le Languedoc des Trencavel, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, , 408 p. (ISBN 285816651X et 9782858166510, présentation en ligne, lire en ligne), p. 45
- Vincent Joecker, « La baronnie de Rieux (Rieux-Minervois) », sur Saint-Pons-de-Thomières et le Pays Saint-Ponais, (consulté le ).
« Et quoique led. Nicolas [de La Jugie] eust cette belle terre de Rieux et beaucoup d'autres, il avait en particulière affection La Livinière. Il y séjournait le plus, y ayant un fort et gros chasteau et dedans une belle et riche chapelle … Nostre Nicolas portait ordinairement le titre de seigneur de La Livinière seul … ». - Les maires de La Livinière, publié sur le site francegenweb.org (consulté le ).
- Fiche de la mairie de La Livinière, mise à jour le sur le site mon-maire.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Association de loi 1901 : les Amis de l'Olivier de La Livinière », sur net1901.org, (consulté le ).
- Source : le syndicat UPPO34 (oléiculteurs et professionnels de l'Olive de l'Hérault)
- « La Livinière : une journée pour découvrir l'olive et ses huiles », sur Midi-Libre, (consulté le ).
- « Sanctuaire Notre-Dame du Spasme », notice no PA34000057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Étienne », notice no PA34000056, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Pierre Ferrer, Précis chronologique d'histoire de La Livinière dans l'Hérault : avec des éléments de géographie physique, économique, humaine et touristique, [Azille], J.-P. Ferrer, coll. « Les cahiers de Minerve » (no 17), , 158 p.
- Marie-Laure Varoqueaux-Escoffier, « Un terroir Minervois au bas moyen âge : la Livinière 1378-1461 », Histoire et généalogie en Minervois, no 77, , p. 3-8
- Marie-Laure Varoqueaux-Escoffier, « Un terroir Minervois au bas moyen âge : la Livinière 1378-1461 », Histoire et généalogie en Minervois, no 78, , p. 27-29
- Marie-Laure Varoqueaux-Escoffier, « Un terroir Minervois au bas moyen âge : la Livinière 1378-1461 », Histoire et généalogie en Minervois, no 79, , p. 31-35
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de La Livinière (1461-1950) [7,00 ml]. Cote : 141 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).