Cassagnoles (Hérault)

Cassagnoles (en occitan Cassinhòlas) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Cassagnoles.

Cassagnoles

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes du Minervois au Caroux
Maire
Mandat
Harmonie Gonzalez
2020-2026
Code postal 34210
Code commune 34054
Démographie
Gentilé Cassagnolais
Population
municipale
103 hab. (2018 )
Densité 4,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 11″ nord, 2° 37′ 14″ est
Altitude 430 m
Min. 280 m
Max. 1 005 m
Superficie 24,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Cassagnoles
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Cassagnoles
Géolocalisation sur la carte : France
Cassagnoles
Géolocalisation sur la carte : France
Cassagnoles

    Géographie

    L'église et le cimetière
    Vue générale du village.

    Localisation

    La commune est limitrophe des départements de l'Aude et du Tarn.

    Carte.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La Serre d'Alaric (environ 1 012 m d'altitude), est le sommet de plus de 1 000 mètres le plus méridional du Massif central.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 104 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Livinière », sur la commune de La Livinière, mise en service en 1992[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 650,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 14,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[16]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[17],[18].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : , importants pour la conservation des gîtes et zones de chasse des chauves-souris cavernicoles que sont le Rhinolophe euryale , le Minioptère de Schreibers et le Murin de Capaccini[20], d'une superficie de 21 805 ha, importants pour la conservation des gîtes et zones de chasse des chauves-souris cavernicoles que sont le Rhinolophe euryale , le Minioptère de Schreibers et le Murin de Capaccini[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[22] :

    • la « crête rocheuse de la Bourrasse » (398 ha), couvrant 4 communes dont deux dans l'Aude et deux dans l'Hérault[23] ;
    • les « crêtes de Tarigoule et du Rasès » (692 ha), couvrant 2 communes du département[24] ;
    • la « Gorge du Cros et causse de la Planette » (1 552 ha), couvrant 4 communes dont deux dans l'Aude et deux dans l'Hérault[25] ;
    • les « pelouses sommitales de Roquedaut » (99 ha)[26] ;
    • les « sagnes du ruisseau de Candesoubre » (108 ha), couvrant 3 communes dont deux dans l'Hérault et une dans le Tarn[27] ;

    et quatre ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] :

    • les « crêtes et pièmonts de la montagne Noire » (27 188 ha), couvrant 26 communes dont 24 dans l'Aude et deux dans l'Hérault[28] ;
    • le « Haut Minervois » (21 605 ha), couvrant 26 communes dont cinq dans l'Aude et 21 dans l'Hérault[29] ;
    • la « montagne noire centrale » (34 724 ha), couvrant 27 communes du département[30];
    • la « montagne Noire (versant Nord) » (31 971 ha), couvrant 37 communes dont 14 dans l'Aude, deux dans la Haute-Garonne, trois dans l'Hérault et 18 dans le Tarn[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Cassagnoles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[32],[33],[34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35],[36].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,8 %), prairies (11 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), cultures permanentes (2,9 %)[37].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Cassagnoles est issu du gaulois cassanos, signifiant chêne[38].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 2008 René Azema    
    mars 2008 2014 Michel Ruffel    
    mars 2014 En cours Harmonie Gonzalez SE Retraitée Fonction publique
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Une rue de Cassagnoles.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

    En 2018, la commune comptait 103 habitants[Note 7], en augmentation de 5,1 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    490517594587616637642630609
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    556517504462430445409394376
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    364342332255239231221211184
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1581511279791798592100
    2018 - - - - - - - -
    103--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Monument aux morts érigé en hommage aux défunts soldats de la Première Guerre mondiale.

    Il existe à Cassagnoles un monument aux morts construit en hommage aux soldats morts durant la Première Guerre mondiale.

    Curiosité de Lauriole

    À quelques kilomètres au sud de Cassagnoles à Siran, se trouve une curiosité qui ne cesse d'attirer chaque année les curieux et les sceptiques. Au lieu-dit de Lauriole une route semble monter alors qu'elle descend… ou l'inverse ! Cette « côte qui descend » est signalée par le panneau Curiosité de Lauriole. Une configuration spéciale du terrain environnant donne une mauvaise impression du sens de la pente de la route. Le résultat n'est pas spectaculaire, mais cependant très curieux. On peut faire l'expérience avec une balle, une bouteille ou une voiture au point mort. En fait, tout se joue sur une dénivellation de quelques décimètres. L'effet provient donc d'une erreur visuelle par rapport aux alentours : une illusion d'optique. Le sens constaté de la descente (en laissant descendre un objet cylindrique ou sphérique par exemple) correspond bien au sens déterminé par un relevé de niveaux[43]. Cette curiosité fait l'objet d'un récit humoristique dans un livre intitulé « La Côte qui descend » (Patrice Cartier, Éditions Pimientos), récit repris dans l'anthologie littéraire « Nouvelles du Minervois ». Une émission diffusée sur TF1 a contribué à rendre célèbre cette « côte qui descend ». De nombreuses routes avec cet effet d'optique existent et sont référencées en Italie.

    Héraldique

    Cassagnoles
    Blason
    De gueules au chêne terrassé d'or accompagné en chef de deux abeilles du même et au bélier d'argent passant devant le tronc de l'arbre.
    Détails
    Création Jean-Paul Fernon (d'après un projet de l'Archiviste en chef des Archives Départementales de l'Hérault en 1956). Adopté le 10 décembre 2016.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Livinière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cassagnoles et La Livinière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Livinière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cassagnoles et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    17. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
    18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Cassagnoles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « site Natura 2000 FR9101444 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cassagnoles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF la « crête rocheuse de la Bourrasse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « crêtes de Tarigoule et du Rasès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF la « Gorge du Cros et causse de la Planette » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF les « pelouses sommitales de Roquedaut » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF les « sagnes du ruisseau de Candesoubre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF les « crêtes et pièmonts de la montagne Noire » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « ZNIEFF le « Haut Minervois » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « ZNIEFF la « montagne noire centrale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF la « montagne Noire (versant Nord) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    34. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    35. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    38. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. « La côte de Lauriole » sur le site Psiland

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Pierre Ferrer, Précis chronologique d'histoire de Cassagnoles dans l'Hérault : avec des éléments de géographie physique, économique, humaine et touristique, Minerve, J.-P. Ferrer, coll. « Cahiers de Minerve », , 112 p.
    • Joseph Sahuc, Martyrologe et nécrologe de l'abbaye de Saint-Pons-de-Thomières : Quelques documents inédits sur l'ancien diocèse de Saint-Pons-de-Thomières, Saint-Pons-de-Thomières, M. Francès, , 155 p.
    • Georges Reverdy, « De la Haute Vallée du Thoré à la plaine de l'Aude : notes de géographie humaine », Annales de géographie, t. 26,

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

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