Idéal de beauté féminin

L'idéal de beauté féminin est « la notion socialement construite selon laquelle l'attrait physique est l'un des atouts les plus importants des femmes, et quelque chose que toutes les femmes devraient s'efforcer d'atteindre et de maintenir »[1],[2]. Les idéaux de beauté sont ancrés dans les croyances hétéronormatives et influencent fortement les femmes de toutes les orientations sexuelles. Ces idéaux, qui incluent la forme du corps féminin, varient d'une culture à l'autre[3], d'une époque à une autre, d'un lieu à un autre[4]. Au sein d'une culture, il peut y avoir des idéaux de beauté différents, parfois contradictoires[5]. De nos jours, non seulement, ils sont diffusés et entretenus par les médias, la publicité et la culture populaire mais sont également soumis à la mondialisation.

Hélène de Sparte considérée comme la plus femme mortelle du monde dans la mythologie grecque (Hélène de Troie, tableau d'Evelyn De Morgan, 1898).

Généralement, les conceptions de la beauté féminine semblent provenir de caractéristiques en corrélation avec la fertilité et la santé des femmes[6].

À travers les cultures

Généralités

Vénus de Willendorf, considérée comme la représentation de « l’idéal de beauté féminin paléolithique ».

Au fil du temps et des cultures, de nombreuses idées ont été émises sur ce qu'est le beau féminin pour l'image corporelle d'une femme. La façon dont une femme suit ces idéaux de beauté peut également influencer son statut social au sein de sa culture. La modification physique du corps est depuis longtemps une coutume dans de nombreuses régions du monde.

La statuette "Vénus de Willendorf" datant d'environ 25 000 ans avant J-C fut considérée comme un chef-d'œuvre du Paléolithique. Certains historiens désignent la statuette de 4 pouces comme une représentation de « l' idéal de beauté féminin du Paléolithique » [7].

En Birmanie, les filles Padaung, dès l'âge de cinq ans environ, se font poser des anneaux métalliques autour du cou. Des anneaux supplémentaires sont ajoutés au cou de la fille tous les deux ans. Cette pratique a pour but de donner aux femmes un aspect de girafe. Cette pratique est en train de disparaître, mais ces femmes pouvaient porter jusqu'à 24 anneaux autour du cou. Un cou avec de nombreux anneaux était considéré comme l'image "idéale" de la beauté physique dans cette culture. En Europe, le corset a été utilisé au fil du temps pour créer un petit tour de taille. En Europe, un petit tour de taille était considéré comme l'image "idéale" de la beauté. En Chine, une pratique consiste à attacher les pieds d'une fille à l'âge de six ans pour créer l'image "idéale" des pieds. Les pieds de la jeune fille étaient liés jusqu'à ce qu'ils atteignent un tiers de leur taille d'origine, ce qui handicapait la femme, mais lui conférait également un statut social très élevé et suscitait l'admiration. Après la révolution de 1911, cette pratique des pieds bandés a pris fin. L'idée de ce qui est considéré comme l'idéal de beauté pour les femmes varie selon les différents idéaux et pratiques culturels[8].

Le désir d'éclaircir la peau est une pratique sociale courante chez les femmes d'origine asiatique, sud-est asiatique et africaine. Aujourd'hui, la norme de beauté dominante est profondément ancrée dans l'obtention ou la possession d'une peau plus claire dans ces sociétés. La norme de beauté européenne enracinée a donné naissance à une industrie du blanchiment et de l'éclaircissement de la peau en pleine expansion, notamment au Nigeria, une autre ancienne colonie britannique[9]. Le colorisme au sein de la société est conceptualisé en considérant les individus à la peau claire comme supérieurs en termes de beauté et de responsabilité par rapport à leurs homologues à la peau plus foncée. L'idéal eurocentriste de supériorité de la peau claire, qui avait été imposé par le pouvoir colonial, a donné l'impression de favoriser les personnes à la peau claire, ce qui a donné naissance à un problème social plus vaste : le colorisme.

En France

Selon Wandering Pioneer, les normes de beauté en France semblent concerner le style d'une personne plutôt que la forme de son corps. Cette spécificité irait même plus loin car selon le site nous accorderions «plus de valeur à la personnalité qu’au physique», ce concept étant même qualifié de «jolie laide»[10],[11], une expression désignant une personne considérée comme belle et attirante mais dont la beauté est inhabituelle, originale et/ou en dehors des conventions.

En outre, l'approche française de la beauté consiste à mettre en valeur les caractéristiques naturelles plutôt qu'à obtenir un look spécifique[12].

Les normes de beauté françaises seraient ainsi beaucoup plus abstraites par rapport à de nombreuses autres à travers le monde[11].

Selon certains dermatologues, paraître jeune n'est pas un critère de beauté. Les femmes veulent plutôt avoir l'air tonique et leur peau ferme[13].

Pour autant, dans l'ensemble, il y a en France, une tendance pour une plus grande admiration pour les corps féminins longilignes[14].

Aux États-Unis

Selon Wandering Pioneer, les standards de beauté américains sont «parmi les plus irréalistes et inatteignables au monde». D'après le site, il y a en effet un décalage entre l’idéal de beauté de la femme américaine véhiculé dans les médias, représentée « grande, mince, élancée, à la poitrine généreuse, cheveux flottants et au corps athlétique » et la réalité qui veut que chaque photo soit retouchée[11].

Il est clairement évident que le "corps parfait" présenté par les médias et la publicité est assez inaccessible pour la plupart des gens, après avoir jeté un coup d'œil aux statistiques de la chirurgie plastique aux États-Unis qui montrent 15,1 millions de procédures en 2013. Le nombre de femmes qui passent sous le bistouri pour une augmentation mammaire et des fesses, de nombreuses patientes citant les "selfies" comme raison de la chirurgie plastique, continue d'augmenter alors que la pression culturelle augmente pour avoir un corps galbé mais tonique[15].

Les femmes américaines seraient obsédés par l'objectif d'atteindre à tout prix la perfection physique, elles ne cherchent pas à améliorer leurs caractéristiques physiques mais à les perfectionner[12].

Au Brésil

Selon Wandering Pioneer, au Brésil, pendant longtemps, la femme brésilienne idéale avait les courbes généreuses «semblables aux contours d’une guitare plutôt qu’à ceux d’un sablier». Dans les faits, cela signifie que les gros seins ne préoccupaient guère les Brésiliens, qui mettaient l'accent sur la partie inférieure du corps plutôt que sur la partie supérieure. En revanche, plus les fesses et les hanches étaient «épaisses», plus la brésilienne était considérée comme désirable. Les femmes n'étaient donc certainement pas encouragées à être minces[16],[11].

Cependant, ces dernières années, ces critères se sont toutefois estompés, les standards de beauté nord-américains ont commencé à se répandre au Brésil et à les remplacer progressivement[16],[11]. Selon l'agence de voyages bynativ, «le mythe de la Brésilienne, magnifiquement bronzée à la chevelure sauvage, se prélassant en petite tenue sur les plages de Rio de Janeiro n’est finalement pas si loin de la réalité». Comme au Brésil, on y vit dehors toute l’année, avoir un beau corps est un critère de beauté primordial pour les Brésiliens. bynativ explique qu'il existe une expression toute faite pour qualifier un corps parfait selon les brésiliens : « corpo de violao » (en français : « corps de guitare »)[17].

Malheureusement, cette image du corps idéal et la volonté des femmes brésiliennes de ressembler à tout prix aux filles qu’elles voient dans les médias internationaux poussent de nombreuses brésiliennes à se tourner vers la chirurgie esthétique : les augmentations mammaires et les cas d’anorexie sont en augmentation dans le pays, faisant ainsi du Brésil l’une des « plaques-tnantes » de cette pratique[16],[11],[17].

Selon bynativ, les Brésiliennes prêtent également un soin infini à leurs cheveux qu’elles enduisent d’huile pour qu’ils soient toujours plus longs et plus soyeux mais en revanche, elles s'opposent contre toute autre pilosité. D'après bynativ, le fait d'être en maillot de bain une belle partie de l’année fait qu'il est inconcevable pour elles qu’un moindre poil ne dépasse[17].

Au Japon

L'idéal de beauté féminine est une taille menue et svelte, des traits du visage fins, des petites parties anatomiques du visage hormis les yeux qui sont appréciés grands[18]. Pour coller aux canons du Japon, selon bynativ, il suffit que les Japonaises suivent une règle très simple : paraître les plus enfantines possible[17].

En effet, au Japon, une femme est jugée plus séduisante lorsqu’elle a des grands yeux[18]. Certaines femmes n’hésitent d’ailleurs pas à faire appel à la chirurgie esthétique pour se faire débrider les yeux[17].

Dans la culture japonaise, l’attrait de la femme s’apprécie également sur la base de la couleur de la peau et les jeunes filles à la peau blanche et pâle sont admirées : la blancheur étant une présomption d’innocence[18].

De plus, dans la culture japonaise, les canines de travers appelées Yaeba sont considérées comme donnant un air enfantin. Certains vont trouver cela attachant, d’autres érotique, les Japonais étant plus tolérants avec des fantasmes qui seraient jugés tordus ou malsains en Europe ou dans les Amériques. Les yaebas sont très recherchés par les jeunes japonaises[19].

En Inde

Jeune femme indienne en 2019

Traditionnellement, la femme indienne idéale a une taille étroite, les hanches larges, une poitrine généreuse, de grands yeux, de longs cheveux noirs et un teint moyennement foncé. Cependant, cet idéal évolue sensiblement en Inde vers une norme de beauté plus internationale fortement influencée par les médias occidentaux[20],[11].

Le modèle de beauté qui est considéré comme à suivre en Inde est celui de l’actrice et ancien mannequin Aishwarya Rai qui est considérée aujourd’hui en Inde comme l'une des plus belles femmes du pays. Selon Wandering Pioneer, en dépit d'être un modèle de beauté pour les femmes indiennes, elle est toutefois une exception à la norme en Inde car elle a la peau claire et les yeux verts[20],[11].

Pour lui ressembler, de plus en plus d’Indiennes n’hésitent d’ailleurs pas à utiliser des produits pour blanchir la peau quitte à mettre leur santé en danger. Le phénomène est si grand que les ventes de ces produits dépassent maintenant celles de Coca-cola. Une expression populaire est même née pour désigner la pratique : le « syndrome Blanche-Neige » [11]. Les Indiennes se sont également mis à fréquenter davantage les salles de sport, dans l'espoir d'obtenir un corps plus mince et en forme de sablier, qui tend à devenir la norme de beauté mondialisée[20].

La mentalité orthodoxe prévaut encore dans certaines parties du pays et est soutenue par de vieilles mentalités qui suggèrent encore à leurs enfants de se frotter au curcuma, au Multani mitti et à d'autres trucs faits maison pour éclaircir la peau[21].

Selon Susy Alexandre de Slice, le désir des indiennes de se conformer aux normes de beauté occidentales est un produit de la colonisation[22].

En Mauritanie

Wandering Pioneer explique que la Mauritanie a la particularité d’avoir des normes de beauté uniques au monde. En effet, en Mauritanie, l’obésité est considéré comme un signe de richesse et certaines femmes vont jusqu’à «prendre des médicaments destinés à engraisser les bovins afin d’augmenter leurs chances de mariage»[11],[23]. Cette pratique est appelée leblouh, un gavage des femmes coutumier en Mauritanie.

Les Mauritaniens restent fidèles aux canons de la beauté féminine tels qu’ils étaient proclamés par les poètes préislamiques comme ʿAmr ibn Kult̠hūm dans sa fameuse ode aux femmes bien en chair, aux derrières tellement énormes qu’elles pouvaient à peine se lever ou travailler, si opulentes qu’elles ne passaient pas la porte[24].

Selon Aminetou Mint Moctar, présidente de l'Association des Femmes Chefs de Familles, explique que la pratique du gavage a entraîné des décès et peut causer aux femmes de l'hypertension artérielle, des maladies cardiovasculaires, des malformations osseuses, voire pour certaines de l'hirsutisme au visage[25].

Raison d'être des idéaux de beauté féminins

Au premier abord, il semble que les idéaux de beauté des différentes époques et cultures soient infiniment changeants et surtout soumis à des modes différentes. Par exemple, la masse corporelle considérée comme idéale dans chaque cas varie considérablement en fonction des cercles culturels et des époques. La recherche sur l'attractivité, quant à elle, souligne que malgré toute la variabilité culturelle, les idéaux de beauté respectifs ont également des points communs. D'après leurs conclusions, la beauté humaine repose au moins en partie sur des facteurs définissables qui font l'objet d'un consensus relatif entre les individus et les cultures et qui sont ancrés dans la biologie - comme l'aspect impeccable de la peau. En conséquence, les idéaux de beauté contiennent un "noyau dur" supra-individuel et supra-culturel - ce qui pourrait expliquer le fait que certaines icônes de beauté des siècles et millénaires passés, comme la Vénus de Milo ou la Madone Sixtine de Raphaël, sont également perçues comme belles par les gens d'aujourd'hui. Certains scientifiques considèrent donc que le concept de beauté en tant que construction culturelle est un mythe[26].

L'un des facteurs qui affecteraient l’idée d’un corps parfait serait la faim. Une étude portant sur 61 étudiants universitaires de sexe masculin a révélé que ceux qui avaient faim étaient attirés par des femmes plus lourdes que ceux qui étaient rassasiés. Les hommes affamés accordaient également beaucoup moins d'attention à la forme du corps d'une femme et considéraient les silhouettes moins galbées comme plus attirantes[27].

Dans l’Antiquité, les hanches larges, les ventres proéminents et les fortes poitrines étaient associés à la sensualité et aux femmes fertiles. À cette époque, les gens ne mangeaient pas suffisamment, donc les femmes qui avaient quelques kilos en trop avaient plus de chances de donner naissance à un enfant viable et d’être capables de le nourrir. Ce sont les raisons pour lesquels que les hommes les trouvaient plus attirantes[28].

Remises en cause

Actuellement, les normes de beauté sont de plus en plus remises en question et sont jugées artificielles.

Dans sa série de photos intitulée Impressions, le photographe californien Justin Alexander Bartels a dénoncé la pression des idéaux de beauté féminin sur le corps des femmes, nombreuses sont les femmes qui privilégient des vêtements serrés, inconfortables et inadaptés à leurs corps, ceux qui leur causent des marques sur le corps[29].

Noémie Renard critique les idéaux de beauté féminins, qui contrairement aux idéaux de beauté masculins qui valorisent la force (muscles, grande taille, ...), affaiblissent selon elle la femme. Elle explique que de manière générale, les normes de beauté poussent les femmes à se trouver laides, ce qui réduit considérablement leur confiance en elles et les expose à diverses troubles mentaux : dépression, anxiété ou encore troubles du comportement alimentaire, qui sont tous les trois parfois mortels. Elle conclut sur le fait que ces normes de beauté sont chronophages et énergivores pour les femmes et que les femmes doivent se libérer de cette « dictature »[30].

Les activistes de la “body positivity” et à leur suite de plus en plus de célébrités et d’influenceurs des réseaux sociaux prônent la beauté naturelle des corps[31].

Références

  1. (en) Joan Z Spade et Catherine G Valentine, The kaleidoscope of gender : prisms, patterns, and possibilities, Thousand Oaks : Pine Forge Press, (ISBN 978-1-4129-7906-1, lire en ligne)
  2. (en) « The standard of beauty: A dangerous ideal », sur The Beacon, (consulté le )
  3. (en) Susan Maxine Shaw et Janet Lee, Women's voices, feminist visions : classic and contemporary readings, Boston : McGraw-Hill, (ISBN 978-0-07-282242-7, lire en ligne), p. 189
  4. (en) « Female physical attractiveness in Britain and Malaysia: A cross-cultural study », Body Image, vol. 2, no 2, , p. 115–128 (ISSN 1740-1445, DOI 10.1016/j.bodyim.2005.02.002, lire en ligne, consulté le )
  5. (en) Patricia Leavy et Lisa Hastings, « Body Image and Sexual Identity » [archive du ], sur www.ejhs.org, (consulté le )
  6. (en) Devendra Singh et Dorian Singh, « Shape and Significance of Feminine Beauty: An Evolutionary Perspective », Sex Roles, vol. 64, no 9, , p. 723–731 (ISSN 1573-2762, DOI 10.1007/s11199-011-9938-z, lire en ligne, consulté le )
  7. (en) Jacqueline Howard et Anna Ginsburg, « The ever-changing 'ideal' of female beauty » [archive du ], CNN, (consulté le )
  8. (en) Marianne Thesander, The Feminine Ideal, Reaktion Books, (ISBN 978-1-86189-004-7, lire en ligne), p. 20-25
  9. (en) Ademola Kazeem Fayemi, « Is skin bleaching a moral wrong? An African bioethical perspective », Theoretical Medicine and Bioethics, vol. 41, no 1, , p. 1–22 (ISSN 1573-1200, DOI 10.1007/s11017-020-09520-1, lire en ligne, consulté le )
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  11. « Les standards de beauté féminine de 8 pays décryptés » [archive du ], sur CNEWS, (consulté le )
  12. (en-US) Cheyenne Lentz, « 9 major differences between French and American beauty » [archive du ], sur Insider, (consulté le )
  13. Raphëlle Rérolle, « Les nouveaux codes de la beauté », Le Monde.fr, (lire en ligne[archive du ], consulté le )
  14. « Quels sont les rituels beauté dans le monde ? » [archive du ], sur Ohmymag, (consulté le )
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  21. (en) « Women’s most absurd beauty standards around the world - Times of India » [archive du ], sur The Times of India, (consulté le )
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  23. (en) « Revealing Female Beauty Standards Around the World : Mauritania » [archive du ], sur Wandering Pioneer,
  24. Mohamed Ali Al-Maâli, « MAURITANIE. Souffrir pour être belle et grosse », sur Courrier international, (consulté le )
  25. Martin Mateso, « L'obésité, un critère de beauté : "La pratique du gavage des filles peine à disparaître en Mauritanie" » [archive du ], sur Franceinfo, (consulté le )
  26. (en) Nancy L. Etcoff, Survival of the Prettiest: The Science of Beauty, Doubleday, (ISBN 978-0-385-47854-0, lire en ligne)
  27. (en-GB) Michelle Roberts, « Hunger dictates who men fancy », BBC News, (lire en ligne[archive du ])
  28. « Pourquoi la vision du corps idéal est-elle en constante évolution et à quoi risque-t-elle de ressembler dans le futur », sur Sympa
  29. Mathilde Sallé de Chou, « Cessons de porter des vêtements trop serrés au nom d’un idéal de beauté. Des photos sublimes. » [archive], sur POSITIVR,
  30. Noémie Renard et Clémentine Vagne, « L’impuissance comme idéal de beauté », sur TV5MONDE, (consulté le )
  31. « Idéal de beauté », sur Z O R R O L A, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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