Hattenville

Hattenville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime, en région Normandie.

Hattenville

Mairie-école.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité Caux Seine Agglo
Maire
Mandat
Jean-François Mayer
2020-2026
Code postal 76640
Code commune 76342
Démographie
Gentilé Hattenvillais, Hattenvillaises
Population
municipale
721 hab. (2018 )
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 07″ nord, 0° 32′ 10″ est
Altitude Min. 113 m
Max. 139 m
Superficie 9,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Valery-en-Caux
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Hattenville
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Hattenville
Géolocalisation sur la carte : France
Hattenville
Géolocalisation sur la carte : France
Hattenville
Liens
Site web hattenville.fr

    Géographie

    Hattenville est située dans le pays de Caux.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 979 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 56 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Hattenville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,3 %), prairies (6,8 %), zones urbanisées (4,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Hastingi villa en 1032 et 1035[21].

    Il s'agit d'une formation toponymique en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Hatten- représente l'anthroponyme scandinave Hasteinn[22] (comprendre Hásteinn / Hástæinn), souvent latinisé en Hastingus dans les textes rédigés en latin médiéval, sans doute le même personnage que l'on trouve dans le hameau de Hattentot (Seine-Maritime, Hastentot en 1456), composé avec l'appellatif norrois topt, toft « emplacement, ferme »[22].

    Homonymie avec Hatainville (Manche, Hasteinvilla vers 1175)[22].

    Histoire

    Parmi les seigneurs d'Hattenville, on peut citer Johannes de Hastinvilla en 1170, Odoard de Hattenvilla en 1371, Adrien de Buffe en 1576, François de Venois, son gendre. Les Venois vendirent le demi-fief de haubert à François Boutren, Trésorier de France à Rouen, en 1711. Hattenville faisait partie de l'Exemption de Fécamp et, à ce titre, c'est l'abbé de la Sainte-Trinité qui présentait les curés, nommés par l'archevêque de Rouen. Le pape Clément IV avait confirmé les droits de l'abbaye, à la suite de contestations. Equimbosc (qu'on prononçait Equimbôt) a été rattaché à Hattenville, en 1823 et son église fut démolie, en conservant la cloche. Parmi les derniers seigneurs d'Equimbosc, il y a la famille de Rély et Marie-Catherine de La Chesnaye, « dame d'Equimbosc ». Contrairement à ce qu'écrit l'abbé Cochet, le pittoresque Antoine de Banastre, qui prit part à une controverse au sujet des jésuites, au début du XVIIe siècle, n'était pas curé d'Hattenville, mais d'Harcanville.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 En cours
    (au 10 août 2020)
    Jean-François Mayer DVG Professeur de sport
    Conseiller général de Fauville-en-Caux (1992 → 2015)
    Vice-président du conseil général de la Seine-Maritime (2004 → 2015)
    Vice-président de la CC Cœur de Caux (2008 → 2016)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[23]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

    En 2018, la commune comptait 721 habitants[Note 6], en augmentation de 4,04 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    725736772808965942985897875
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    893932979908902848854783747
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    712707630535562574561480464
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    459409325419468552640652690
    2017 2018 - - - - - - -
    724721-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre : son chœur est Renaissance en pierre blanche de la fin du XVe siècle. Nef du XVIe siècle avec des vestiges du XIe siècle, remaniée au XVIIIe siècle (belle voûte en bois, « en carène », restaurée en 1996 à la suite de la destruction du clocher par la foudre. Seule la sous-faîtière est de la Renaissance). Clocher-porche du XVIe siècle, avec une haute tour carrée dont la flèche culmine à 40 mètres. Deux vitraux du chœur donnés par les Sieurin, vielle famille d'Hattenville qui donna un trésorier à la paroisse en 1650 et un maire à la commune, à la fin de la Révolution. En 1991, la foudre détruit la nef, l'installation électrique et une partie du clocher. La réparation a coûté plus de 5 millions de francs, à la charge de la commune, avec l'aide de l'État, du département, de l'évêché et des habitants. On a découvert, à cette occasion, une poutre sous-faîtière sculptée, datant de la Renaissance, qui a été étudiée par l'architecte des Bâtiments de France.
    • Le château a été construit au XVIIe siècle. Défiguré au XIXe siècle, il a été récemment restauré.
    • La croix de pierre à deux faces, au hameau de La Croix de Pierre, datée du XIVe siècle, a été renversée à la Révolution, cachée chez un fermier et reposée (elle a perdu son fût). Classée à l'inventaire des monuments historiques, elle est sculptée sur les deux faces (voir sa description par l'abbé Cochet et par L. de Glanville).
    • La croix de cimetière à deux faces, datée de 1648.

    Personnalités liées à la commune

    • Victor Chocquet (1821-1895) était un fonctionnaire des douanes, exactement « rédacteur à la direction générale des douanes ». Collectionneur, amoureux de Delacroix (dont nous savons l'attachement pour la région, Valmont).
      Il se passionna pour les œuvres d'art, notamment pour Watteau et pour les grands ébénistes du XVIIIe siècle, alors méprisés par le public. Il acquit des dizaines d'œuvres pour quelques centaines de francs chacune. Il habitait, rue de Rivoli, en face du jardin des Tuileries. Son appartement était devenu un bric-à-brac musée, tant il furetait à sa guise chez les antiquaires et les marchands d'estampes. Il ne se souciait, ni de la mode, ni de la valeur marchande des œuvres, et moins encore des possibles spéculations à tenter sur elles. Pour acheter, il rognait sur sa nourriture, son habillement, ne disposait même pas l'hiver d'un manteau. Il achetait ce qu'il aimait et ce que lui recommandaient les réactions de sa sensibilité.
      En 1874, les impressionnistes firent leur première exposition de groupe. Elle souleva, colère et rires du public. L'année suivante, 73 toiles vendues à Drouot des peintres bafoués, Renoir, Monet, Sisley, Berthe Morisot, furent adjugées à des prix ridiculement bas. Dans la salle, tenant tête à la foule hurlante, Victor Chocquet, homme d'un certain âge, visage maigre et osseux, de grande taille, la barbiche en bataille, prenait le parti des peintres. Renoir l'apprenait dès le lendemain. Une immédiate sympathie naquit entre Renoir et Chocquet.
      1875 : Renoir présente Chocquet à Cézanne, Chocquet achète à Cézanne les Baigneuses.
      1876 : Renoir peint Mme Chocquet + un portrait de V. Chocquet.
      1876 : Cézanne fait son premier portrait de Chocquet (Columbus, Gallery of Arts) exposé en 1877.
      En 1881, Mme Chocquet hérite de sa mère une belle somme. Le couple achète une ferme à Hattenville.
      Les années suivantes, Renoir et Cézanne séjourneront à Hattenville, chez Chocquet.
      Sont répertoriées : 4 toiles peintes par Cézanne en Normandie : Ferme normande, été à Hattenville 1882, Le Verger 1882 ?, Le Clos normand 1886 ?
      Portrait de Chocquet devant sa maison ? Toutes dans des collections privées. (Henrietta Hine-Courtauld Institut of Art, Sommerset House, Strand, Londres)
      Après la mort de Chocquet et celle de sa femme, on dispersera aux enchères leur collection le 1er 3, et à la Galerie Georges Petit, rue de Sèze à Paris. Soit : 32 Cézanne, 11 Monet, 11 Renoir, 5 Manet, nombreux dessins et aquarelles, Delacroix, Corot, Courbet…
    • Paul-Noël Le Compte, curé constitutionnel d'Hattenville, à la Révolution, était très aimé par les habitants qu'il soignait gratuitement (il avait fait des études de médecine). Disposant d'une certaine fortune, il ne demandait rien à la commune pour son logement. Malgré la pétition signée par les habitants et leur maire, il fut remplacé en 1802, lors du Concordat.
    • Augustin - François Buisson (1812-1876), homme politique. Né le à Hattenville (76). Décédé le à Yvetot (76). Fils de Jean, Augustin Buisson, cultivateur cauchois aisé, et de Julienne Pécuchet, Augustin Buisson pu faire des études jusqu’au niveau de la licence, obtenue en 1836, à la faculté de droit de Paris. Installé comme avocat à Yvetot - le tribunal de première instance du lieu en comptait une dizaine - et exerçant en outre, à partir de 1845, les fonctions de juge suppléant, il est élu conseiller municipal et choisi comme maire d’Yvetot. Il entre peu après, en 1852, au conseil général, et y siège jusqu’à son décès. Resté célibataire, ce notable d’arrondissement, dont le revenu est évalué à 15 000 F en 1870, et qui figure comme membre bienfaiteur de la société locale de secours mutuel, montre bientôt des velléités d’opposition. En 1859, lors d’une élection législative partielle dans la cinquième circonscription, il se présente comme « indépendant » pour remplacer M. de Labédoyère, nommé sénateur. Il avait réuni 9 266 voix, tandis que l'élu, M. Reiset, en obtenait 15 344. Il débuta finalement dans la vie parlementaire le , date de son élection comme député au Corps législatif dans la 5e circonscription de la Seine-Inférieure, par 13 935 voix (28 861 votants, 33 517 inscrits), contre 12 839 accordées à M. Henri Barbet, ancien député. Au Palais-Bourbon, il siégea parmi les indépendants du centre et s'associa à tous les votes du « Tiers-parti libéral, » ainsi qu'à l'interpellation des 116. Réélu, le , représentant la Seine Inférieure à l'Assemblée nationale, le troisième sur 16 pour le Département, par 80 468 voix (120 899 votants, 203 718 inscrits). Il prit place au centre gauche, se prononça, quoique timidement, en faveur des institutions républicaines, et s'abstint de voter dans plusieurs scrutins importants : - sur la question des prières publiques (), - sur la circulaire confidentielle de M. Pascal (), - sur l'état de siège (), etc. Il vota pour la paix, pour l'abrogation des lois d'exil, et pour le pouvoir constituant de l'Assemblée ; mais vota, avec la gauche, contre la démission de Thiers au , contre le septennat et contre la loi des maires. Il se prononça pour les amendements Wallon et Pascal Duprat, ainsi que pour l'ensemble de la Constitution de 1875.
    • Léopold et Marie Ermel, reconnus Justes parmi les nations pour avoir caché un jeune Juif à Hattenville pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Héraldique

    Les armes de la commune de Hattenville se blasonnent ainsi :
    de gueules à la truelle d’argent posée en bande, mantelé du même chargé d’une balance de sable, au chef d’azur chargé d’un lion d’or accosté de deux molettes du même.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Photo-Club Rouennais (préf. Gaston Le Breton, ill. N. Oberlender), Normannia. Documents sur la Normandie, J. Lecerf, , 75 p. (OCLC 81680380, notice BnF no FRBNF34102943), « Le calvaire du hameau de la Croix-de-Pierre, à Hattenville (Seine-Inférieure) »
    • J.J. Thiercelin, L'église d'Hattenville et l'ancienne paroisse, notice illustrée consultable à la Bibliothèque Villon à Rouen.
    • Archives départementales de l'Eure, 3 M 176 et 180, élection complémentaire de 1882 et élections législatives de 1889. (A. Buisson) ; 4 M 204 – 208 : archives de la Loge maçonnique de Pacy-sur-Eure. Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Hattenville et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Hattenville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Jean Adigard des Gautries, Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite) [article], page 154.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
    23. « Hattenville. Jean-François Mayer réélu maire de la commune », Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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