Haraucourt (Meurthe-et-Moselle)

Haraucourt est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Haraucourt.

Haraucourt

Mairie

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes de Seille et Grand Couronné
Maire
Mandat
Yannick Fagot-Revurat
2020-2026
Code postal 54110
Code commune 54250
Démographie
Population
municipale
735 hab. (2018 )
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 44″ nord, 6° 21′ 52″ est
Altitude Min. 211 m
Max. 321 m
Superficie 12,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand Couronné
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Haraucourt
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Haraucourt
Géolocalisation sur la carte : France
Haraucourt
Géolocalisation sur la carte : France
Haraucourt

    Géographie

    Communes limitrophes de Haraucourt
    Lenoncourt Buissoncourt Gellenoncourt
    Réméréville
    Varangéville Drouville
    Sommerviller
    Dombasle-sur-Meurthe
    Crévic

    Haraucourt est situé sur le plateau rive droite de la Meurthe, à égale distance de Nancy et de Lunéville. Le territoire communal est limitrophe de 9 communes. Sa surface est de 1248 ha. Le sous-sol, -200 mètres, contient un important gisement de sel gemme qui a été exploitée au XXe siècle par dissolution du minerai (pas de mines). Cette activité du passé a laissé d'importants effondrements aujourd'hui remplis d'eau. Toute la partie Ouest et Sud-Ouest du territoire, soit environ 650 ha, est répertoriée comme zone à risques d'effondrements miniers[1].

    Le territoire culmine à 321 mètres d'altitude, au Sud-Ouest, à la jonction des territoires de Haraucourt, Dombasle-sur-Meurthe et Sommerviller. Le point le plus bas est à 220 mètres d'altitude, sur le bord de la Roanne à l'emplacement de l'ancien moulin de la Borde.

    Le village est au carrefour des routes départementales 80 et 81. Une route communale le relie à la commune voisine de Drouville

    La Borde

    le moulin de la Borde juste avant sa démolition

    Le territoire de Haraucourt comporte une particularité sous la forme d'une enclave d'environ 53 ha totalement disjointe du territoire principal. Il s'agit du lieu-dit « La Borde » situé à l'extrémité Nord-Ouest du village, de part et d'autre de la Roanne. Elle est bordée par les territoires de Lenoncourt, Varangéville et Buissoncourt. Elle était originellement accessible depuis Haraucourt par l'ancien chemin rural dit « chemin de Lenoncourt » qui démarre dans le virage de la RD81, à l'extrémité de l'actuelle rue de la Borde. Ce chemin ayant été effondré par l'exploitation saline, La Borde n'est plus accessible que par la route communale qui relie Buissoncourt à Varangéville.

    Dans une charte de Lorraine de 1444, on voit que La Borde a le statut de «gagnage ». Elle est mentionnée avec l'orthographe suivante : « le waignaige de la bourde»[2]. Le bâtiment principal était un moulin construit sur un canal parallèle à la rive gauche de la Roanne. Après la Révolution, le moulin devint une ferme champêtre et l'écart resta une enclave appartenant à la commune d'Haraucourt. Les bâtiments ont été démolis vers 1984. Le site a pour coordonnées géographiques 48,668 degrés de latitude et 6,331 degrés de longitude.

    Le village le plus proche de ce lieu étant Buissoncourt, plusieurs documents historiques le situent sur cette commune. Il s'agit d'une erreur car le moulin générateur de redevances seigneuriales a toujours dépendu des châtelains de Haraucourt. Buissoncourt a longtemps revendiqué la propriété de cette portion de territoire. Dans sa séance du , le Conseil Général de Meurthe-et-Moselle a voté une délibération tranchant le conflit au profit de Buissoncourt mais cette décision n'a jamais été traduite dans les faits. en 2020, La Borde est toujours sur le territoire de Haraucourt.

    Domêvre

    Tour de Domêvre ; face "intérieure" sur laquelle s'appuyait la nef

    A environ 1 km au Nord-Ouest du Village, au sommet de la colline de Domêvre, trône une tour en pierre. Il s'agit des restes de la première église d'Haraucourt datant du XIIe siècle.

    Une légende prétend qu'il y aurait eu un village à cet endroit. On a récemment mis au jour des vestiges d'une villa gallo-romaine à l'extérieur du cimetière, côté Ouest, mais aucun élément concret ne vient conforter l'existence d'une communauté villageoise au sens où on l'entend habituellement.

    Une autre légende prétend que ce site aurait été choisi afin de partager l'église avec Buissoncourt. C'est également faux puisque Buissoncourt avait une église, probablement plus ancienne que celle de Domêvre, situé sur la route de Lenoncourt, à l'ancien lieu-dit «le vieil moustier ». D'autre part, il a existé un vaste étang de part et d'autre de la Roanne dont la mise en eau semble contemporaine à l 'église de Domêvre. Cet étang empêchait les communications directes entre Buissoncourt et Haraucourt.

    Le cimetière de Haraucourt est resté à Domêvre, autour de l'ancienne église.

    Hydrologie

    Le château-d'eau d'Haraucourt

    Environ 30 ha de l'extrémité Sud du territoire sont dans le bassin versant du Sânon. Il s'agit des anciennes vignes sur le versant de Sommerviller. Le reste est situé dans le bassin versant de la Roanne. Le territoire est en pente douce du Sud vers le Nord. Le relief est très faible.

    La Roanne est une petite rivière qui sépare Haraucourt de ses communes voisines : Buissoncourt, Gellenoncourt et Lenoncourt. Au début des années 2000, elle était encore polluée par les rejets d'effluents des communes riveraines. La Communauté de communes détentrice de la compétence « assainissement des eaux usées » a d'abord construit une station d'épuration intercommunale traitant les eaux de Buissoncourt, Lenoncourt et Haraucourt sur la partie Sud du territoire de Buissoncourt, en direction de Vanrangéville. La collectivité a continué avec la construction de stations d'épuration à Gellenoncourt et à Réméréville. Ces investissements ont très nettement amélioré la qualité de l'eau de la Roanne. Ils devraient être complétés par une renaturation des ruisseaux affluents.

    Malheureusement ces coûteux efforts sont en partie anéantis par des pollutions industrielles à répétition sous forme de fuites de la canalisation de saumure qui suit le lit de la Roanne et de résurgences d'eau salée provoquées par l'industrie. En observant la proche vallée de la Roanne sur les photos aériennes, on voit que la prairie est ponctuée de zones grises ou jaunâtres marquant la pollution à la saumure. La rupture de conduite d' a encore aggravée la situation en détruisant plusieurs kilomètres de ripisylves et en provoquant la mort de la majeure partie des poissons qui avaient recolonisés le cours d'eau.

    Urbanisme

    Typologie

    Haraucourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,6 %), prairies (35,8 %), eaux continentales[Note 3] (7,2 %), zones urbanisées (4,4 %), forêts (4 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Attestations anciennes : Ludovicus de Haracuria en 1107 ; Heiraulcourt en 1323, Haracourt en 1334 ; Domèvre-Haraucourt en 1712 ; Haraucourt-lès-Saint-Nicolas en 1779[10]

    Il existe trois communes française homonymes. Le nom du village tire vraisemblablement son origine du prénom mérovingien Harald(us) ou Harold(us) et de l'appellatif -court (> français moderne cour), issu du gallo-roman *CORTE, du bas latin curtis ou cortēm qui signifie « cour de ferme » → « ferme, domaine rural »[2].

    En lorrain roman, le nom du village se prononce Haroocot[11].

    Histoire

    Le secteur est habité par l'homme depuis très longtemps. Les tumuli composant La nécropole de Crévic attestent de la présence d'une population dense dès l'âge du fer (-3000 ans); et probablement depuis l'âge du bronze (-4000 ans). La période gallo-romaine est également très active. On a recensé 8 sites archéologiques datant de cette époque ainsi qu'une voie pré-romaine orientée d'Est en Ouest passant à Domêvre, devant le cimetière.

    Au Moyen Âge, les seigneurs de Haraucourt ont fortement influencé l’histoire de la région pendant près de cinq siècles. On disait que cette famille était l'un des quatre Grands Chevaux de Lorraine ! La tour romane qui trône au milieu du cimetière est le dernier monument du Moyen Âge. Après la guerre de Trente Ans (1618-1648), le village ne comptait plus que sept feux. La Révolution française a fortement marqué l'histoire du village.

    A la fin du XVIe siècle On lit dans les comptes du domaine d'Einville : « le haut conduit de Drouville s'étend dès le ban de Serres jusques à celui de Varangéville... »[12]. Cette division fiscale incluait forcément Haraucourt. On peut trouver plus d'information à ce sujet sur la page Wikipedia de Drouville.

    centenaire de l'armistice

    La Première Guerre mondiale fut catastrophique pour le village dont la majeure partie fut détruite par les bombardements de . Du au , Haraucourt a payé un lourd tribut lors de la bataille du Léomont et la bataille du Grand-Couronné. Le site « mémoire des hommes »[13] recense 180 fiches de soldats français tués sur le territoire communale lors de ces deux batailles. Sur les 154 enfants du village mobilisés, 45 sont morts au front ou des suites de leur mobilisation. Le , le village n’est plus qu’un champ de ruines. Sur 177 habitations, 66 sont complètement détruites  et 26 fortement endommagées. L’église est éventrée et a perdu sa flèche. Le château féodal est détruit. Le , le monument aux morts est inauguré en présence d’une foule imposante.  La croix de guerre est attribuée à la Commune[14]. La reconstruction se terminera après 1925 mais le village n’est plus tout à fait le même. Les ruines du château féodal sont rasées. Les ruines des maisons jouxtant le mur latéral Est de l’église sont également arasées pour laisser place à l’actuelle esplanade du monument aux morts.

    Politique et administration

    Le conseil municipal est de quinze sièges. La commune fait partie de la communauté de communes Seille et Grand-Couronné, du canton du Grand-Couronné, de la 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle, de la sous-préfecture de Nancy-campagne, du département de Meurthe-et-Moselle et de la région Grand-Est.

    Liste des maires successifs[15]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1950 Paul Beix    
    1950 1953 Lucien Lamoile    
    1953 1956 Paul Beix    
    1956 1965 Gérard Visine    
    1965 fin 1965 Charles Germain    
    1966 1977 Edmond Garnier    
    1977 1989 Edgard Barottin    
    1989 mars 2001 Jean-Marie Ricard DVD  
    mars 2001 mars 2014 Christian Herbé    
    mars 2014 En cours
    (au 28 mai 2020)
    Yannick Fagot-Revurat[17],[18]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
       
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

    En 2018, la commune comptait 735 habitants[Note 4], en augmentation de 4,4 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    654669620692758787829865894
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    856869857875900853873876802
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    818759579611595569568545515
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    490503549636644678703719735
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine bâti

    • Église du XVIe siècle reconstruite après 1918.
    • Monument aux morts.
    • Vestiges de villas gallo-romaines dont une bien visible sur le chemin de Fontaine-Madame ;
    • Base d'une tour du château féodal du XVe siècle détruit en  ;
    • La place de la Liberté est un joyau par sa surface, ses deux rangs de tilleuls et sa position géographique au milieu du village ;
    • Vestiges de voie antique, probablement pré-romaine, dans le sens Est-Ouest (départ de Saint-Nicolas-de-Port) passant devant le cimetière. La monographie de 1888 la mentionne au lieu-dit Le Ménil.
    • Maison de maître bien conservée, vraisemblablement construite au XVIe siècle pour la famille De Ville sur Illon, proche parente des seigneurs de Haraucourt;
    • La maison du sel[23], un centre d'interprétation du patrimoine, à la découverte du sel et de son exploitation, en Lorraine et ailleurs[23].
    • Au cimetière, à environ km du village, tour romane du XIIe siècle, ayant fait partie de la 1re église en pierre, lieu-dit Domêvre. La présence d'un ancien village à cet endroit est une légende sans fondement historique.
    • Fontaines.

    Nature

    • Point de vue sur la vallée de la Roanne ainsi que sur les Vosges septentrionales depuis le sommet Est du territoire ;
    • Sentiers de randonnée ;
    • Flore et faune particulières autour des lacs miniers ;
    • Traces bien visibles d'un ancien étang très vaste, de part et d'autre de la Roanne.

    Personnalités liées à la commune

    • Ludovicus de Haracuria : Henri Lepage relève ce nom comme évêque de Toul en 1107 à la page 88 dans l'histoire de la ville et du diocèse de Toul de Benoit Picart paru en 1707[2]. Cependant, aucun autre document trouvé à ce jour ne mentionne ce prélat.
    • Louis de Haraucourt, élu évêque de Verdun en 1430 ;
    • Guillaume de Haraucourt, élu évêque de Verdun en 1456 (succède à son oncle Louis). Accusé de conspiration au profit de la maison de Bourgogne, Louis XI le fait enfermer pendant douze ans à la Bastille dans une cage de fer[14].
    • Henri François Lambert né à Haraucourt en 1760, mort au combat en 1796, général, héros de la Révolution française[14]. Il a une rue à son nom à Haraucourt ;
    • Jean MICHEL[14],[24] né à Haraucourt en 1769 et mort à Nancy en 1842, prêtre réfractaire et martyr, déporté à Rochefort pendant la Révolution puis supérieur du grand séminaire de Nancy en 1811. Il y a une rue à son nom à Haraucourt ;
    • Henri Varroy, né le à Vittel. Deux fois ministre dans les gouvernements FREYCINET (1879 et 1882), inhumé à Haraucourt dans la concession numéro 12 portant le numéro 42 au plan. Cet emplacement a été réattribué.

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    D'or à la croix de gueules, au franc-quartier d'argent chargé d'un lion de sable, armé, lampassé de gueules et couronné d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    le blason de Haraucourt inséré dans le clocher

    Blasons populaires

    Les habitants de Haraucourt étaient affublés de plusieurs sobriquets : « les trop pressés, les farots ; les messieurs ». Ceux de La Borde étaient surnommés « les gros mingeoux d' ceréhhes » : les gros mangeurs de cerises[25],[11].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Arrêté du préfet de Meurthe-et-Moselle en date du 19 mars 1991 Risques d'affaissements dus à la dissolution du sel
    2. Henri Lepage, « Dictionnaire topographique de la Meurthe », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Martina Pitz, NOUVELLES DONNÉES POUR L'ANTHROPONYMIE DE LA GALLOROMANIA : LES TOPONYMES MÉROVINGIENS DU TYPE AVRICOURT, Sarrebruck, Université de Sarrebruck, , 449 p., p. 439.
    11. Vital Collet, Évangiles des ivrognes article paru dans Le Pays lorrain, Nancy, , 630 p. (lire en ligne), p. 442-443.
    12. Henri Lepage, les communes de la Meurthe, volume 1, Nancy, A. Lepage imprimeur-libraire-éditeur, , 810 p. (lire en ligne), p. 318.
    13. mémoire des hommes
    14. Serge Husson, Daniel Chodek, Maryse Lange, Claudine Maire, Christian Herbé, Haraucourt : l'histoire du village, Bathelémont, Association Jean-Nicolas Stofflet, , 158 p. (ISBN 2-9522637-0-1).
    15. Les maires de Haraucourt depuis la révolution
    16. https://kiosque.limedia.fr/ark:/31124/dmct2gmd6zstwrd0/p2.item.r=dombasle
    17. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    18. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Maison du Sel » (consulté le ).
    24. « Les prêtres déportés », sur www.foi-et-contemplation.net (consulté le ).
    25. Jean Vartier, Sobriquets et quolibets de Lorraine et du Bassigny, Jarville-la-Malgrange, Éditions de l'Est, , 217 p. (ISBN 2-86955-065-0, lire en ligne), p. 16 et 167.
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