Gastins

Gastins (les « s » ne se prononcent pas) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Gastins

Le moulin Choix.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Brie nangissienne
Maire
Mandat
Arnaud Pommier
2020-2026
Code postal 77370
Code commune 77201
Démographie
Gentilé Gastinois
Population
municipale
682 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 37′ 46″ nord, 3° 01′ 18″ est
Altitude Min. 93 m
Max. 139 m
Superficie 14,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nangis
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Gastins
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Gastins
Liens
Site web mairie-gastins.com

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 11 kilomètres à l’est de Mormant et à 8,5 kilomètres au nord de Nangis.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Gastins.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,4 km[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,5 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 744 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -1,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[12], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[13] à 11,6 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Gastins est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 54 lieux-dits administratifs répertoriés[23].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96,4% ), zones urbanisées (3,6 %)[24].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[27]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 301 (dont 90,6 % de maisons et 9,4 % d’appartements).

    Parmi ces logements, 86,9 % étaient des résidences principales, 7,4 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 80,2 %[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Guastins en 1158 [cop. XVIIe siècle][29] ; Gastins en 1164[30] ; Watins[31] et Vadum de Wastins en 1172 [cop. XVIIIe siècle][32] ; De Guastinis en 1185[33] ; Gastina en 1198[34] ; Gastinae en 1201[35] ; Gastuns en 1208[36] ; Gaatims en 1249[37] ; Gatins en 1250[38] ; Gastins en 1261[39] ; Villa de Gastinis[40] et Gastiniae en 1275[41] ; Gaatins au XIIIe siècle[42] ; Wastins en 1377 [Cop. XVIIe siècle][43] ; Gastina en 1390[44] ; Gatins en Brye en 1424[45].

    Politique et administration

    Élections nationales

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1999 mai 2020 Pierre Pichot   Agriculteur
    mai 2020 En cours Arnaud Pommier    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [47],[48].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Gastins gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[49].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[50]. La communauté de communes Brie Nangissienne (CCBN) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à l'entreprise Veolia, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2021[49],[51].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [49],[52].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[54].

    En 2018, la commune comptait 682 habitants[Note 4], en diminution de 3,94 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    364434446401501509512501505
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    513553598610638604600607559
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    551539534513548515498618498
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    370380395373474585631639700
    2017 2018 - - - - - - -
    689682-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee à partir de 2006[56].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 253 et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 959 [28].

    Emploi

    En 2014, le nombre total d’emploi au lieu de travail était de 101.

    Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 81,2 % contre un taux de chômage de 8,2 %[28].

    Entreprises et commerces

    En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 68 dont 10 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 15 dans l'industrie, 14 dans la construction, 31 dans le commerce-transports-services divers et 8 étaient relatifs au secteur administratif.

    Cette même année, 6 entreprises ont été créées, dont 3 par des auto-entrepreneurs[28].

    En 2019, la commune de Gastins compte en particulier une serrurerie-ferronnerie, un garde-meubles, un spécialiste en ventilation, un café, un spécialiste du cartonnage industriel, un arboriculteur, un garage, un électricien, une entreprise de maçonnerie et un docteur en psychologie et psychothérapeute.[réf. souhaitée]

    Agriculture

    Gastins est dans la petite région agricole dénommée la « Brie centrale », une partie de la Brie autour de Mormant[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 5] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[57].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[58]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 12 en 1988 à 8 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 130 ha en 1988 à 124 ha en 2010[57]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Gastins, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Gastins entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[57],[Note 6]
    Nombre d’exploitations (u) 12 11 8
    Travail (UTA) 28 15 13
    Surface agricole utilisée (ha) 1 563 1 187 992
    Cultures[59]
    Terres labourables (ha) 1 550 1 180 987
    Céréales (ha) 1 199 811 s
    dont blé tendre (ha) 751 633 451
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 315 141 171
    Tournesol (ha) 67
    Colza et navette (ha) s 22 s
    Élevage[57]
    Cheptel (UGBTA[Note 7]) 71 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'abbaye de Jouy (située à Chenoise) fait construire en 1228 deux moulins à vent : le premier, appelé Gros Moulin disparaît peu de temps avant la Révolution ; le second est le « moulin Chouaix » ou « moulin Choix », du nom d'un hameau disparu.

    À environ km en direction de Rozay-en-Brie se dresse, sur un plateau surplombant le village, le moulin Choix. Il est à la fois moulin-tour à calotte tournante et moulin-pivot. Sa tour mesure 8 mètres de haut et 6 mètres de diamètre[60].

    De l'extérieur il ressemble à un moulin-tour mais à l'intérieur se trouve une crémaillère actionnant une couronne sur laquelle reposent le toit et les ailes. Il est équipé d'ailes du type Berton, premier modèle à crémaillère (1845). Le bâtiment actuel a sans doute été édifié au milieu du XVIIe siècle et ensuite remanié en 1828. Il a fonctionné jusqu'en 1915. Restauré il a été remis au vent en 1977. Le moulin et son mécanisme sont classés aux monuments historiques le [61].

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste Coluche (-). Grenadier dans l'armée napoléonienne, il participa à de nombreuses campagnes entre 1805 et 1814. Il doit sa célébrité à un épisode survenu après la bataille d'Ebersberg le . Coluche était de garde devant la maison où logeait Napoléon, avec la consigne de ne laisser entrer ou sortir personne qui ne soit pas accompagné d'un officier d'état-major. Voyant venir un homme vêtu d'une redingote, il s'écrie : « On ne passe pas ». L'homme ne reculant pas, Coluche le menaça de sa baïonnette. Cet homme n'était autre que Napoléon lui-même. Loin d'être puni pour avoir ainsi défié l'Empereur, Coluche fut plus tard décoré de la Légion d'honneur. Il retourna ensuite à Gastins où il tint notamment une auberge baptisée « On ne passe pas ». En 1862, il fut reçu au château de Fontainebleau par Napoléon III, qui lui aurait offert un billard (ou de l'or avec lequel il s'est acheté un billard ?) pour son auberge[62],[63].

    Héraldique

    Blason
    Gironné de gueules et d'argent ; au chef d'azur chargé de trois besants d'or[64].
    Détails
    Création de Jean-Claude Molinier adoptée par la municipalité le .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    6. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Gastins - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 29 décembre 2016 ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - L’Yvron (F4730600) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Vallière (F4737000) ».
    4. Carte cadastrale de Gastins
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 9 octobre 2019
    6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    7. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    8. site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Gastins et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    29. Bibl. nat., ms. Latin 5467, p. 12.
    30. Bull. Soc. Provins, VII, mars 1903, p. 176.
    31. Bull. Soc. Provins, VII, mars 1903, p. 35.
    32. Bull. Soc. Provins, VII, mars 1903, p. 186.
    33. Archives nationales, LL 1158, p. 331.
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    35. Longnon I, p. 98.
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