Géronce

Géronce (en béarnais Geronce ou Geroùncẹ, en basque Jeruntze) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géronce

Le village.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Michel Contou-Carrere
2020-2026
Code postal 64400
Code commune 64241
Démographie
Population
municipale
466 hab. (2018 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 14′ 28″ nord, 0° 41′ 22″ ouest
Altitude Min. 167 m
Max. 290 m
Superficie 15,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géronce
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géronce
Géolocalisation sur la carte : France
Géronce
Géolocalisation sur la carte : France
Géronce
Liens
Site web www.geronce.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune de Géronce se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 42 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 9,4 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Saint-Goin (1,2 km), Orin (1,7 km), Geüs-d'Oloron (1,7 km), Aren (2,4 km), Poey-d'Oloron (2,4 km), Préchacq-Josbaig (3,3 km), Saucède (3,3 km), Verdets (4,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Géronce fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

    Communes limitrophes de Géronce[6]
    Saint-Goin Aren Poey-d'Oloron
    Barcus Orin
    Esquiule Moumour
    (par un quadripoint)

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Géronce.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Joos, le Josset, un bras du gave d'Oloron, un bras du Joos, un bras du Ruisseau le Joos, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 30 km de longueur totale[7],[Carte 1].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[8].

    Le Joos, d'une longueur totale de 35,6 km, prend sa source dans la commune de Montory et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Préchacq-Josbaig, après avoir traversé 11 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 237 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 341,2 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 27 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[23], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[24],[Carte 2].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 6] sont recensées sur la commune[25],[Carte 3] :

    • le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » (19 519,13 ha), couvrant 23 communes du département[26] ;
    • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Géronce est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[28],[29],[30].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[31],[32].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38 %), prairies (24 %), zones agricoles hétérogènes (20,7 %), terres arables (14 %), zones urbanisées (3,4 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits et hameaux

    • Dous : ancien village qui possédait une église (Saint-Pierre de Dous) entourée de son cimetière, aujourd'hui disparus. Les seuls vestiges de cette époque sont un tableau en bon état de conservation, mis en évidence dans l'église actuelle et une maison du XVIe siècle transformée en gîte rural. Cette maison fut un temps un presbytère.
    Ce quartier possède un beau pont de pierre qui enjambe le Joos avec, en contrebas aval, un passage à gué utilisé surtout par les engins agricoles volumineux ;
    • le Lacé : nom donné à ce quartier de par sa route étroite et sinueuse. Ce quartier éloigné est habité en majorité par des familles d'origine basque.
    Pour y accéder depuis le village, il faut emprunter le CD 524 via les villages souletains d'Esquiule et de Barcus ;
    • le Prat ('le pré') : il s'agit d'une place bordée par le Joos, laissée en herbe et entourée de chênes séculaires. Pour s'y rendre, il faut traverser le pont situé au pied de l'église ;
    • Urein : ce quartier commença à voir ses premières maisons neuves à la fin des années 1970. Le petit chemin, dit du Campagnot (CD 524), est devenu très vite une véritable rue desservant bon nombre de nouvelles habitations ;
    • le Vialé : il s'agit d'une petite place verdoyante située juste après le pont de pierre ; deux cents mètres après, se trouvent le nouveau cimetière, le local technique et la station d'épuration ;
    • le Castéra : colline surplombant le village et la plaine agricole de Josbaig (altitude : 226 m). Deux lotissements communaux : le Castéra (le plus ancien) et le Bourda y sont implantés. Une extension de cinq nouveaux lots est actuellement achevée sur le lotissement Castéra ;
    • les Barrats ('barrières' ou 'fermetures') : enceintes qui entouraient et défendaient le cœur du village. La rue Saint-Laurent et la rue des Barrats en délimitent toujours leur périmètre. À proximité, une maison forte du XVIe siècle (privée) fut probablement la résidence des seigneurs du lieu. Un important moulin, limitrophe et en partie ruiné, bâti sur une dérivation du Joos, peut occuper l'emplacement du moulin banal.

    Voies de communication et transports

    La route départementale 936 reliant Oloron-Sainte-Marie et Bayonne passe à l'extérieur du village. La route départementale 836 passe au milieu de Géronce et relie la D 936 au niveau des giratoires d'Orin et de Geüs-d'Oloron. Le CD 524, traversant les quartiers d'Urein, de Dous, du Castéra et du Lacé, relie la D 836 à la D 24 via Esquiule et Barcus.

    Toponymie

    Le toponyme Géronce apparaît sous les formes Jeroncen (XIe siècle[34], cartulaire de l'abbaye de Lucq[35]), Gironce (1343[34], hommages de Béarn[36]), Sant Laurens de Geronse (1396[34], notaires de Lucq[37]), Guironce (1402[34], censier de Béarn[38]) et Gironsse (1443[34], notaires d'Oloron[39]).

    Son nom béarnais est Geronce[40] ou Geroùncẹ[41], en basque son nom est Jeruntze.

    Anglade, ancienne ferme et fief vassal de la vicomté de Béarn, et qui dépendait du bailliage d'Oloron, est mentionné en 1385[34] (censier de Béarn[38]).

    Nous pouvons voir l'origine du nom de GERONCE avec le nom d'un martyr du Ier siècle à lectoure (gers) dont les restes ont été rapatriés par charlemagne au moment de la bataille de roncevaux. les Chasses de sept saints dont st géronce sont actuellement exposées à l'église ste eulalie de bordeaux où une chapelle leur est attribuées. Dans cette église on trouve un tableau de charlemagne qui amène ces chasses. st géronce est le saint aussi de l'église de BOURG SUR GIRONDE.(références dans église ste eulalie bordeaux et à bourg sur gironde. ce sont les seuls endroits où est évoqué ce saint.)

    Histoire

    Paul Raymond[34] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
    En 1385, Géronce comptait 42 feux et dépendait du bailliage d'Oloron.

    D'après Francisque Michel, auteur du début du XIXe siècle, Géronce était le lieu de rassemblement des cagots de toute la vallée de Josbaig dans son lieu-dit le Prat.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1794 Jean Andreu    
    1794 1795 Jean- Pierre Supervielle    
    1795 1800 Jean Péloat    
    1800 1816 François Poeynouguez    
    1816 1821 Barthélémy Bellaucq dit Sartoulet    
    1821 1826 François Poeynouguez    
    1826 1827 Blaise Tristan    
    1827 1832 Pierre Baleix    
    1832 1837 Jean Lamazou    
    1837 1840 Pierre Bellaucq    
    1840 1843 Bernard Sajus    
    1843 1865 Pierre Poey-Noguez    
    1865 1869 Pierre Tristan    
    1869 1871 Jacques Peyri-Capéra    
    1871 1879 Pierre Poey-Noguez    
    1879 1881 Bellaucq    
    1881 1888 François Poey-Noguez    
    1888 1898 Jacques Mouliot    
    1898 1904 Bernard Laboudette    
    1912 1919 Sylvain Mouliot    
    1920 1925 Pierre Bellaucq    
    1925 1941 Edmond Chrestia-Blanchine    
    1941 1944 Pierre Lalanne-Carcy    
    1944 1945 Edmond Chrestia-Blanchine    
    1945 1953 Louis Bordes    
    1953 1989 Albert Chrestia-Blanchine    
    1989 2014 Marcel Cousté    
    2014 En cours Michel Contou-Carrère    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de cinq structures intercommunales[42] :

    • la communauté de communes de Josbaig ;
    • le syndicat AEP du pays de Soule ;
    • le syndicat AEP du Vert ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2018, la commune comptait 466 habitants[Note 9], en augmentation de 5,67 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    712654717724790841851848853
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    801802716661715703678637661
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    640601608595583541502403421
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    424367325347369376408427436
    2018 - - - - - - - -
    466--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune fait partie de l'aire urbaine d'Oloron-Sainte-Marie.

    Économie

    L'activité est principalement agricole (élevage, pâturages, polyculture). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Laurent et son reflet dans le Joos.

    Son carnaval annuel, en février, étalé sur deux week-ends, attire une foule importante de milliers de masqués et dans son défilé de chars. Ce défilé traverse toute la vallée de Josbaig (Orin, Géronce, Saint-Goin, Geüs)[47].

    Patrimoine civil

    Le castéra de Géronce : ce site élevé, non loin de l'église, où vient s'adosser le Prat, est resté très longtemps l'endroit de processions religieuses et aurait été à l'origine un camp romain.

    Patrimoine religieux

    L'église possède de superbes retables.

    Équipements

    Le Joos est enjambé par trois ponts principaux : les ponts de Dous, du Prat et du Viallé.

    Enseignement

    La commune dispose de deux salles d'école pour trois classes de CM1 et CM2.

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Lasserre (1811-1884), philanthrope, légua en 1884 des fonds pour la création du bâtiment école-mairie ;
    • Jean Labarthe (1892-1950), philosophe et poète ;
    • Anna Labarthe (1897-1976), poétesse ;
    • Eugène Ruiz, né à Géronce le et décédé le , est un joueur de rugby à XV. Il fut champion de France en 1964 avec l'équipe 1 de la Section paloise où il évoluait au poste de pilier gauche. En 1965, il obtint une sélection en équipe de France B.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Géronce » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Géronce », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Géronce », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Géronce », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Géronce et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Géronce et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Géronce », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. « Fiche communale de Géronce », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le gave d'Oloron ».
    9. Sandre, « le Joos ».
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Géronce et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Oloron-Ste-Mari - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Géronce et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    23. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Géronce », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Liste des ZNIEFF de la commune de Géronce », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « ZNIEFF le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    30. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    32. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    34. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    35. Cartulaire de l'abbaye de Lucq, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    36. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
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    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. Le site du carnaval de Géronce

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