Fayet (Aisne)

Fayet est une commune du département de l'Aisne, dans la banlieue de la ville de Saint-Quentin, en région Hauts-de-France.

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Fayet

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Saint-Quentin
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois
Maire
Mandat
Virginie Ardaens
2020-2026
Code postal 02100
Code commune 02303
Démographie
Gentilé Fayellois(es)
Population
municipale
667 hab. (2018 )
Densité 114 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 52′ 10″ nord, 3° 15′ 08″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 131 m
Superficie 5,86 km2
Unité urbaine Saint-Quentin
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Quentin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Quentin-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Fayet
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Fayet
Géolocalisation sur la carte : France
Fayet
Géolocalisation sur la carte : France
Fayet

    Géographie

    Localisation

    Entrée de Fayet du côté du centre commercial Saint-Quentin - Fayet (à gauche de la D 57).

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 721 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,3 °C pour 1981-2010[10], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Fayet est une commune urbaine[Note 4],[12]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Quentin, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[15] et 63 147 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,1 %), zones urbanisées (10,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le village doit son nom au latin fagetum, fagus qui signifie hêtre[22].
    Le village apparaît pour la première fois en 1145 sous le nom de Faiet, puis Faihel en 1156 dans un cartulaire de l'Abbaye d'Homblières, Fayel, Faiel, Faiellum, Saint-Sulpice de Fayet en 1739 et enfin l'orthographe actuelle, Fayet au milieu de XVIIIe siècle sur la Carte de Cassini[23].

    Histoire

    Carte de Cassini

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).

    La carte de Cassini montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Fayet est une paroisse. À l'ouest, la ferme de Cépy faisait partie de Saint-Quentin.

    Guerre franco-allemande de 1870-71

    De nombreux combats se sont déroulés à Fayet le 18 janvier 1871 avant la défaite de l'armée française[24],[25].

    La commune de Francilly-Selency est créée par détachement en 1883 de celle de Fayet, créée lors de la Révolution française[26].

    La guerre 1914-1918

    Comme d'autres villages de la région, Fayet est sorti meurtri de la Grande Guerre car le village a été entièrement rasé en 1917 par les Allemands.

    Le , soit moins d'un mois après la déclaration de guerre, l'armée française bat en retraite vers l'ouest et les Allemands, après avoir pris Saint-Quentin, arrivent à Fayet[27]. Dès lors commença l'occupation allemande qui dura jusqu'en mars 1917. Le front se situant à une vingtaine de kilomètres à l'ouest vers Péronne, l'activité des occupants consistait principalement à assurer le logement des combattants et l'approvisionnement en nourriture. Des arrêtés de la kommandantur obligeaient, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, sous peine de sanctions, la population à fournir : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien.

    Voici des extraits d'un arrêté de la kommandantur d'Holnon valable pour 25 communes de la région : « Holnon le . Tous les ouvriers et les femmes et les enfants de 15 ans sont obligés de faire travaux des champs tous les jours aussi dimanche de quatre heure du matin jusque huit heure du soir... Après la récolte les fainéants seront emprisonnés 6 mois... Les femmes fainéantes seront exilées à Holnon pour travailler. Après la récolte, les femmes seront emprisonnées 6 mois... Les enfants fainéants seront punis de coups de bâton. De plus le commandant réserve de punir les ouvriers fainéants de 20 coups de bâton tous les jours...Les ouvriers de la commune Vendelles sont punis sévèrement »[28].

    En février 1917, le général Hindenburg décida de la création d'une ligne défense à l'arrière du front, dite ligne Hindenburg ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages seraient détruits pour ne pas servir d'abri aux troupes franco-anglaises. Du 14 au 23 février les habitants furent évacués et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique[29]. En mars 1917, avant du retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, les maisons sont pillées et incendiées, le village est systématiquement détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les maisons sont dynamitées et les arbres sciés à m de hauteur[30].Le village, vidé de ses habitants, reste occupé par les Allemands ; il est repris les 13 et 14 avril 1917 après de durs combats par les troupes britanniques[31]. Les ruines du village seront plusieurs fois reprises par chaque camp et ce n'est qu'en septembre 1918, lors de la bataille de la ligne Hindenburg que Fayet sera définitivement libérée par la 24e division britannique.

    Après l'Armistice de 1918, de nombreux habitants ne revinrent pas s'installer dans la commune et, avec les dommages de guerre, commencèrent une nouvelle vie dans d'autres lieux. Pour ceux qui furent de retour commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De 390 habitants avant la guerre en 1911, Fayet n'en comptait plus que 195 en 1921, soit exactement la moitié.

    Vu les souffrances endurées par la population pendant les quatre années d'occupation et les dégâts aux constructions[32], la commune s'est vu décerner la Croix de guerre 1914-1918 (France) le 17 octobre 1920[33].

    Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des vingt soldats fayellois morts pour la France ainsi que de quatre civils[34].

    Politique et administration

    La communauté d'agglomération du Saint-Quentinois dans le département de l'Aisne.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Vermand[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Saint-Quentin-1.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le 9 février 1960, rassemblant à l'origine onze communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[35].

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du 30 mars 2016[36] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[37].

    Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[38].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1876 après 1877 M. Santin[39]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1959 1976 Julien Dambre    
    1977 mai 2020 Guy Dambre LR Retraité de l'agriculture
    Réélu pour le mandat 2014-2020[40],[41]
    mai 2020[42] En cours
    (au 23 mai 2020)
    Virginie Ardaens    

    Politique environnementale

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

    En 2018, la commune comptait 667 habitants[Note 6], en diminution de 1,91 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    710716777699887896876850832
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    842784743664600606396427489
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    495439390195268252227229271
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    341361542586582580538532671
    2017 2018 - - - - - - -
    654667-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Sulpice de Fayet.
    • Porche de la chapelle Saint-Clément, seul vestige de cette chapelle, détruite pendant la Première Guerre mondiale. Le porche est restauré en 2006.
    • Mémorial 1914-1918 de la ville d'Oxford.

    Personnalités liées à la commune

    L'attaquant camerounais Pius N'Diefi a joué pour le club local[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blason
    (D'azur) au chêne (d'or) accosté de deux fleurs de lys (du même)[47].
    Détails
    Une couleur n'est pas précisée dans le blasonnement ci-dessus.
    Veuillez faire apparaître la couleur inconnue en blanc (table d'attente) et l'argent en gris
    .
    L'Armorial de France propose un champ d'argent, un chêne de sinople et des lys d'azur, mais le blason retrouvé portait des traces de dorure sur l'arbre et les lys. Les couleurs sont donc incertaines.
    La famille de Laillier (ou Lallier) seigneur de Fayet par acquisition au milieu du XVIe siècle, et ce jusque la Révolution, portait « d'azur à un hallier (ou chêne, ou hêtre) d'or, au chef cousu de gueules chargé de trois besants d'or »[48],[49].
    Blason historique retrouvé sur les derniers restes du village antérieurs à la Grande Guerre et adopté par la municipalité.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SE, Cambrai [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station météofrance Saint-Quentin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Fayet et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Quentin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le )
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. « Bulletin de la Société archéologique champenoise » , sur Gallica, (consulté le ).
    23. « Dictionnaire topographique de la France. , Dictionnaire topographique du département de l'Aisne : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. sous les auspices de la Société académique de Laon, par M. Auguste Matton ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques » , sur Gallica, (consulté le ).
    24. « La ligne de la Somme pendant la campagne 1870-1871 : étude / par H. Daussy » , sur Gallica, (consulté le ).
    25. « 1870-1871. Tableau-memento chronologique des événements, avec notices explicatives , par Ch. Romagny,... » , sur Gallica, (consulté le ).
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. http://www.carto1418.fr/19140828.php
    28. « Reproduction de l'affiche d'Holnon », Nouvelles de France et Bulletin des français résidants à l'étranger, , p. 412 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    29. Rapports et procès-verbaux d'enquête de la commission instituée en vue de la commission instituée en vue de constater les actes commis par l'ennemi en violation du droit des gens (décret du 23 septembre 1914)., t. VI à IX, Paris, Imprimerie nationale, , 267 p. (lire en ligne), p. 161, lire en ligne sur Gallica.
    30. http://www.carto1418.fr/target/19170316.html
    31. « Communiqués des 13 et 14 avril 1917 », La Guerre mondiale, no 775, , p. 6199 (lire en ligne, consulté le ).
    32. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    33. http://memorialdormans.free.fr/CommunesCroixDeGuerre14-18.pdf
    34. https://www.geneanet.org/gallery/?act-1918ion=detail&id=127159&individu_filter=DEVAUX&rubrique=monuments
    35. Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur https://dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
    36. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
    37. « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
    38. Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d’agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur http://www.aisne.gouv.fr/, (consulté le ), p. 55-59.
    39. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine édition, Reims, 1877, p214.
    40. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
    41. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
    42. « Virginie Ardaens succède à Guy Dambre à la mairie de Fayet », sur aisnenouvelle.fr, L'Aisne nouvelle, (consulté le ).
    43. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. « 02303 Fayet (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    48. Lallier du Fayet sur Euraldic
    49. Fayet sur genealogie-aisne.com
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