Saint-Juéry (Aveyron)

Saint-Juéry est une commune française, située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Juéry.

Saint-Juéry

Les deux églises Saint-Georges de Saint-Juéry.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons
Maire
Mandat
Thierry Roques
2020-2026
Code postal 12550
Code commune 12233
Démographie
Gentilé Saint-Juéryen(ne)
Population
municipale
289 hab. (2018 )
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 39″ nord, 2° 41′ 47″ est
Altitude Min. 289 m
Max. 637 m
Superficie 29,01 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Juéry
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Saint-Juéry
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Juéry
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Juéry

    Géographie

    Généralités

    Le Gos (du Tarn) au pont de la Bastende.

    Dans la moitié sud du département de l'Aveyron, dans le parc naturel régional des Grands Causses, la commune de Saint-Juéry s'étend sur 29,01 km2. Elle est arrosée par deux cours d'eau portant le même nom, le Gos. À l'est, celui qui est un affluent du Tarn arrose la commune sur six kilomètres et demi dont cinq kilomètres marquent la limite communale, en deux tronçons. L'autre, affluent du Rance et sous-affluent du Tarn, prend sa source sur le territoire communal un kilomètre et demi à l'est-sud-est du bourg de Saint-Juéry.

    L'altitude minimale, 289 mètres, se trouve localisée à l'extrême nord, près du lieu-dit Costerasse, là où le Gos du Tarn quitte la commune et entre sur celle de Saint-Izaire. L'altitude maximale avec 637 mètres est située au nord-ouest, près des lieux-dits le Salvage et le Theil[1].

    Traversé par la route départementale (RD) 90, le bourg de Saint-Juéry est situé, en distances orthodromiques, seize kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Saint-Affrique.

    La commune est également desservie par les RD 150, 501 et 902.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Juéry et des communes avoisinantes.

    Saint-Juéry est limitrophe de huit autres communes, dont Montclar au nord-ouest sur 200 mètres.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Saint-Juéry.

    La commune est drainée par deux cours d'eau homonymes : le Gos (affluent du Tarn) et le Gos (affluent du Rance), ainsi que par la Gravière, le ruisseau de Clavayrolle et par divers autres petits cours d'eau[2].

    Le Gos (affluent du Tarn), d'une longueur totale de 19,2 km, prend sa source dans la commune de Rebourguil et se jette dans le Tarn à Saint-Izaire, après avoir baigné 5 communes[3].

    Le Gos (affluent du Rance), d'une longueur totale de 17 km, prend sa source dans la commune de Saint-Juéry et se jette dans lele Rance à Plaisance, après avoir arrosé 4 communes[4].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 045 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[7]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 37 km à vol d'oiseau de la commune[8], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 10,9 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[13],[14],[15].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Saint-Juéry comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Juéry est une commune rurale[Note 3],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Saint-Juéry.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (70,1 %), forêts (25,8 %), terres arables (4,1 %)[23].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons, dont la commune est membre[24].

    La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[25].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Juéry est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[26],[27].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[28].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[26], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[29]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[30]

    Risques particuliers

    La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[31].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Saint-Juéry est classée à risque moyen à élevé[32]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[33] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].

    Toponymie

    Le nom du lieu est attesté en 1293 sous la forme S. Georgio[35].

    Le nom de la commune viendrait d'une déformation de saint Georges[36].

    Histoire

    Le village d'Ennous, qui est une des trois bourgades de la commune de Saint-Juéry, était un village fortifié. Le seigneur était celui de Brousse, soit la famille d'Arpajon, puis celle de Grandsaigne. Le dernier prieur d'Ennous fut Jean Louis Cœurveillé (1750-1829), poète de langue d'oc.

    Les communes d'Ennous et de Farret fusionnent avec Saint-Juéry en 1833[37].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Saint-Juéry est membre de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[38], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Vabres-l'Abbaye. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[39].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[38]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[38], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[40].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Saint-Juéry, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[41] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[42]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[43] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 79,34 %[44]. Thierry Roques est élu nouveau maire de la commune le [45].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[46]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons[47].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
      1977 Abel Barthélemy    
    1977 1983 Louis Tarrisse   Agriculteur
    1983 2008 Gaston Roques   Agriculteur
    2008 mai 2020 Christian Font DVD Professeur
    mai 2020 En cours Thierry Roques    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].

    En 2018, la commune comptait 289 habitants[Note 4], en augmentation de 6,25 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
    301251868874940853930934782
    1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
    962952956983910900849846853
    1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
    653662578579542469452396356
    1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018 -
    322290257231228224272289-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château de Saint-Juéry du XVIe siècle.
    • Église Saint-Georges de Saint-Juéry.
    • Ancienne église (ou chapelle) Saint-Georges de Saint-Juéry, entourée du cimetière. La nef et le clocher dateraient du XIIe siècle et la toiture du clocher a été refaite après le foudroiement vers 1930 de sa flèche[51].
    • Église Saint-Gilles de Farret.
    • Église Saint-Michel d'Ennous. L'édifice a été bâtie en 1896.
    • Croix de Saint-Marc, monolithe du XVe ou XVIe siècle, à l'entrée sud du cimetière[51]. Elle est sculptée des deux côtés par de nombreux bas-reliefs. À l'avers, le Christ en croix est entouré du lion de saint Marc, du taureau de saint Luc, de l'aigle de saint Jean et de l'ange de saint Matthieu, mais aussi de la Vierge Marie et de saint Jean[52]. Au revers, autour de la Vierge à l'Enfant sont représentés saint Georges terrassant le dragon, la fille du roi qui devait être livrée au dragon, ainsi que trois anges[52].
    • Ennous : ancien bourg fortifié ; le bourg avait alors des portes (des quatre tours, seul restait le clocher). D'anciennes douves appelées « battut » ou « bàtut » sont présentes dans le bourg. L’étymologie du mot, son origine et son histoire laissent place à de nombreuses interrogations.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Sent-Sarnin : Balaguièr, Brasc, Combret, Copiac, La Bastida-Solatges, La Sèrra, La Val-Ròca-Cesièira, Martrinh, Montclar, Montfranc, Plasença, Postòmis, Sant-Jòri / Christian-Pierre Bedel et les habitants del canton de Sent-Sarnin, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 232 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-10-6, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF35529736)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « 637 » sur Géoportail (consulté le 7 septembre 2019)..
    2. « Fiche communale de Saint-Juéry », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    3. Sandre, « le Gos »
    4. Sandre, « le Gos »
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Saint-Juéry et Millau », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    13. « Qu'est-ce qu'un parc naturel régional ? », sur https://www.parc-grands-causses.fr/ (consulté le )
    14. « PNR des Grandes Causses - découverte du patrimoine », sur https://www.parc-grands-causses.fr/ (consulté le )
    15. « PNR des Grandes Causses - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Juéry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF le « Rougier de Camarès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    24. « Le SCOT du PNR des Grands Causses - présentation générale », sur https://www.parc-grands-causses.fr/ (consulté le )
    25. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/ (consulté le )
    26. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    27. « Rapport présentant les risques affectant la commune », sur l'observatoire national des risques naturels, (consulté le )
    28. « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le )
    29. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène », sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    30. « Carte de zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune de Saint-Juéry », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    31. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque minier », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    32. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    33. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    34. « Arrêté du 27 juin 2018 portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    35. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 300.
    36. Jacques Baudoin, Google Books Grand livre des saints : culte et iconographie en Occident.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Juéry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    39. « communauté de communes Saint Affricain, Roquefort, Sept Vallons - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    40. « Découpage électoral de l'Aveyron (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    41. Article L. 252 du Code électoral
    42. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le )
    43. « Candidatures au 1er tour pour Saint-Juéry », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    44. « Résultats du 1er tour pour Saint-Juéry », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le )
    45. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
    46. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur https://www.vie-publique.fr/ (consulté le )
    47. « Les élus de l'intercommunalité », sur http://www.st-aff.fr/ (consulté le )
    48. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    49. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    51. « La litre de l'ancienne église... et la Croix de St-Marc », Panneau du Syndicat d'initiative des 7 Vallons, situé à l'entrée nord du cimetière, côté extérieur, vu le 30 juin 2019.
    52. « La légende de Saint-Juéry », Panneau situé à côté de la croix de Saint-Marc, vu le 30 juin 2019.
    53. L’histoire insolite d’un aventurier missionnaire (archive), sur saintjuery.cmonvillage.net.
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail de l’Aveyron et du Rouergue
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.