Demandolx

Demandolx est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Demandolx

Lac de Castillon (partie sud) vu de la Colle

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département
Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Ludovic Mangiapia
2020-2026
Code postal 04120
Code commune 04069
Démographie
Population
municipale
134 hab. (2018 )
Densité 6,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 15″ nord, 6° 34′ 46″ est
Altitude Min. 788 m
Max. 1 894 m
Superficie 20,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Castellane
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Demandolx
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Demandolx
Géolocalisation sur la carte : France
Demandolx
Géolocalisation sur la carte : France
Demandolx

    Le nom de ses habitants est Demandoixiens[1].

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à 1 100 m d’altitude[2]. Le lac de Chaudanne, créé par une retenue artificielle, occupe une partie du territoire de la commune.

    Demandolx et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Demandolx est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.

    Les communes limitrophes de Demandolx sont Vergons, Soleilhas, Peyroules, La Garde, Castellane et Saint-Julien-du-Verdon.

    Communes voisines

    Relief et géologie

    • Sommet du Teillon (1 893 m),
    • Sommet de Crémon (1 760 m).

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

    • rivière le verdon,
    • ravins du gros vallon, des crotes, de la clue, du paoutas, de saint-barnabé.

    Environnement

    La commune compte 200 ha de bois et forêts, soit à peine 5 % de sa superficie[1].

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient Demandolx est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[4], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5]. La commune de Demandolx est également exposée à trois autres risques naturels[5] :

    • feu de forêt ;
    • inondation ;
    • mouvement de terrain : certains versants sont concernés par un aléa moyen à fort[6].

    La commune de Demandolx est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de rupture de barrage[7]. En cas de rupture du barrage de Castillon, la vallée du Verdon serait menacée (elle est sur les bords du lac de Chaudanne)[8]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7] et le Dicrim n’existe pas non plus[9].

    La commune a été l’objet d’un arrêté de catastrophe naturelle, en 2011, pour des inondations et des coulées de boue[5]. Les tremblements de terre ressentis de la manière la plus sensible dans la commune sont ceux (les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre)[10] :

    • du 23 février 1887, avec une intensité macro-sismique de VII sur l’échelle MSK et Bussana Vecchia pour épicentre[11],
    • du 30 novembre 1951, avec une intensité de IV et demi et Chasteuil pour épicentre[12] ;
    • du 19 juillet 1963, avec une intensité de IV et un épicentre situé en mer Méditerranée[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Demandolx est une commune rurale[Note 1],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,3 %), eaux continentales[Note 2] (3,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    La localité apparaît pour la première fois dans les chartes vers 1200 selon Charles Rostaing et Ernest Nègre (castri de Mandols). Selon Nègre, le nom dérive de l’occitan demandòl, signifiant mendiant, et faisant référence à la pauvreté du terroir[21],[22]. Rostaing considère comme probable que le toponyme soit plus ancien que les Gaulois[23].

    Une autre interprétation est proposée à travers les armes du village et celles de la famille de Demandolx. Elles sont "parlantes", ce qui en héraldique veut dire qu'elles illustrent le nom. "Man-dols" serait alors à comprendre comme une main droite et bienveillante, une main de paix. Cas que l'on retrouve pour la ville de Manosque qui avec Demandolx est la seule à illustrer sur ses armes "sa main"[24].

    Histoire

    Le dolmen de Villevieille atteste de la présence humaine sur le territoire de la commune dès le Néolithique. Deux oppidums ont été occupés à l’époque préhistorique : le plateau de Villevieille et la barre de Conches[25].

    Le château est construit à la fin du XIe siècle[26], et un petit bourg castral[27] se développe sur la crête, sous sa protection. Il y reste au moins jusqu’à la fin du XIIIe siècle, avant de descendre vers le lieu-dit Ville, et d’être suivi par le château et la chapelle castrale qui sont reconstruits un peu plus bas[28]. La communauté relevait de la viguerie de Castellane[29].

    Le deuxième village (actuellement appelé Ville) est progressivement abandonné à partir du XVIIe siècle, les habitants privilégiant les hameaux, et notamment les Coulets (Saint-Michel selon Daniel Thiery[29]) qui est devenu le chef-lieu au milieu du XIXe siècle[25]. Le fief est tenu par les Demandolx depuis le XIIIe siècle jusqu’à la Révolution[30],[25].

    En mai 1564, les catholiques assiègent le château. Le châtelain, qui s’était échappé, est rejoint et massacré avec sa famille. Le château est détruit, mais le parlement d’Aix condamne les meurtriers, et le château est reconstruit en moins de huit ans[31].

    L’alpage de la seigneurie de Vauplane est un sous-fief de Demandolx, tenu par différentes familles de Draguignan, les Foulques, Durand de la Motte, d'Arnoux, Cirlot qui rend hommage pour la dernière fois, puis Berlier, à la suite d'une convention privée passée à la fin de l'Ancien Régime.

    À la création des communes, Vauplane est inclus dans la commune de Soleilhas[32].

    À la Révolution française, la chapelle du cimetière primitif (Notre-Dame de Conches) a été vendue comme bien national[33].

    La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1834 que le cadastre dit napoléonien de Demandolx est achevé[34].

    Comme de nombreuses communes du département, celle de Demandolx se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons[35]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[36], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Demandolx[37], et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles d’Allons sont régulièrement scolarisées.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1945   Martial Pierrisnard[38]    
             
    avant 2005 En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Ludovic Mangiapia[39],[40] DVG Retraité

    Intercommunalité

    Demandolx a fait partie, jusqu'en 2016, de la communauté de communes du Teillon. Depuis le , elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

    Urbanisme

    La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi)[41].

    Finances locales

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[42] :

    • total des produits de fonctionnement : 120 000 , soit 999  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 152 000 , soit 1 264  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 370 000 , soit 3 083  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 429 000 , soit 3 576  par habitant.
    • endettement : 15 000 , soit 128  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 0,99 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 0,96 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 326 [43].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[45].

    En 2018, la commune comptait 134 habitants[Note 3], en augmentation de 11,67 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846
    281450315387303330350354390
    1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
    354353342351317310326312256
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    233210198180102133535117127
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
    140959183729594125115
    2016 2018 - - - - - - -
    135134-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique avant 1765
    1304 1315 1471
    32 feux[48]28 feux[49]16 feux[49]

    L’histoire démographique de Demandolx, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide, et de longue durée. Dès 1911, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[50]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’aux années 1980. Depuis, le mouvement s'est inversé.

    Cultes

    Culte catholique[51]. L'église fut consacrée "église paroissiale" en 1842.

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 57 personnes, dont un chômeur[52]. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (50 sur 56)[53] et travaillent majoritairement hors de la commune (38 actifs sur 56)[53]. L’essentiel des emplois se trouve dans le secteur tertiaire[54].

    L’essentiel des revenus fiscaux de la commune provient de la présence des barrages et des centrales hydro-électriques des barrages de Chaudanne et de Castillon[25].

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait un seul établissement actif au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[54]. Ils étaient sept en 2000[55], 23 en 1988[56]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a baissé, de 530 ha à 416 ha[56]. Les terres agricoles, essentiellement en coteaux, sont aujourd’hui abandonnées, avec les cultures qui y étaient pratiquées : fruits, fourrage, vin. Même l’élevage ovin, en croissance au début du XXe siècle, n’est plus présent que sous la forme de stations des troupeaux de Basse-Provence en cours de transhumance[25].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait six établissements, employant dix salariés[54].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait quatre établissements (avec aucun emploi salarié), auxquels s’ajoutent les deux établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant 16 personnes[54].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est d’une importance moyenne pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[57]. Les rares structures d’hébergement de la commune sont quelques meublés[58] et les résidences secondaires sont rares[59] : au nombre de 36, elles représentent le tiers des logements[60],[61].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • L’église Notre-Dame de Conches ou Couenches est située au-dessus du lac de Castillon.
    Son site offre un superbe panorama[62]. Elle a probablement été construite au XIIIe siècle comme chapelle funéraire[33],[30].
    Elle est ornée de peintures murales, qui ont été restaurées en 2001 avec l’ensemble du bâtiment[63].
    • La chapelle Saint-Fortunat ou Saint-Pierre à Ville date du XIe siècle selon Raymond Collier, seulement du XIVe siècle selon la DRAC.
    Selon l’Atlas historique de la Provence, le chœur est du XIIIe, le reste du bâtiment postérieur. Le bas-côté nord est voûté d’arêtes et probablement construit plus tard. Tout le bâtiment est dépouillé et voûté en berceau. L’église est voûtée entre le XIVe et 1610, puis allongée en 1610. La chapelle sud, qui servait à ensevelir les seigneurs de Demandolx, est reconstruite au milieu du XVIIe siècle. Cette chapelle s’est effondrée. Le clocher-mur est placé au-dessus du portail occidental[26]. Elle est encore accostée de deux chapelles sur le mur Nord. Les arcs en lunule (plus large et épais à la base qu’au sommet) sont un indice de l’influence lombarde, ou de la participation de maçons venus du Nord de l’Italie[64],[65],[30].

    Autres patrimoines

    • Un dolmen se trouve au lieu-dit Villevieille. Un autre mégalithe avec caisse de résonance et offrandes se trouve au Clouet[25].
    • L’ancien pont sur le Verdon, ruiné en 1652 mais reconstruit.
    Il est actuellement sous le lac de Castillon[68], ainsi que le moulin et la bastide dite « château du Verdon »[25].
    • Le pont du Paoutas est un des premiers ponts en béton précontraint courbe.
    Construit en 1972 pour franchir le ravin du Paoutas, il repose sur une seule pile et la route qui l’emprunte dessine une courbe[69].
    • Le chef-lieu a conservé quelques maisons anciennes, des XVIe[70] et XVIIe siècles (dont une maison qui a servi de mairie et d’école[71],[72]).
    • Fontaines-lavoirs[73],[74].
    • Le château fort de l’ancien village (Ville), situé sur une crête à 1 175 m d’altitude[25], est en partie du XIe siècle, et en ruines[75].
    Il a été reconstruit après le siège de 1564, l’incendie du bâtiment et le massacre de la famille[76]. Une tour est transformée en corps de logis et divers aménagements destinés à le rendre plus pratique. Cependant, l’exiguïté du site ne permit pas de rendre suffisamment aisé d’utilisation, et le seigneur emménagea dans une bastide à proximité du Verdon[77]. Cette bastide est appelée le château de Verdon, et agrandi d’écuries et d’une grande terrasse au début du XIXe siècle, avant d’être recouvert par le lac de Castillon[78].

    Héraldique

    Blasonnement :

    De gueules à trois mains dextres appaumées d’argent, posées 2 et 1.

    Chaque main du blason de la commune figure une branche de la famille de Demandolx, dont deux sont éteintes. Le blason des Demandolx est « d'or à trois fasces de sable au chef de gueules chargé d'une main dextre appaumée d'argent »[79],[80],[81],[82].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Livres

    • Raymond Collier, Demandolx : Une commune type de Haute-Provence : retrace la vie de Demandolx et de ses habitants à travers l'histoire.
    • Alain Agnel Giacomoni, Histoire et généalogie de la Maison de Demandolx cet ouvrage publié en mai 2010 retrace la généalogie de cette famille et de ses trois branches toutes issues de la même souche.

    Sources

    Bibliographie

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Castellane », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
    2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    3. L'eau dans la commune
    4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
    5. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 22 novembre 2011, consultée le 18 juillet 2012
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
    7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    8. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 88
    9. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 18 juillet 2011
    10. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Demandolx », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 18 juillet 2012
    11. BRGM, « fiche 1130045 », Sisfrance, consulté le 18 juillet 2012
    12. BRGM, « fiche 40099 », Sisfrance, consulté le 18 juillet 2012
    13. BRGM, « fiche 1130086 », Sisfrance, consulté le 18 juillet 2012
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1re édition 1950), p 212
    22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 24045
    23. Charles Rostaing, « Toponymie d’origine pré-gauloise », carte 11 et commentaire in Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit.
    24. René Borricand, Châteaux, Maisons fortes, Mas, Bastides et Parcs des Alpes de Haute Provence, Éditions Borricand, 2009, p. 110
    25. Elisabeth Sauze, Notice no IA04000222, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
    26. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 57-58
    27. « bourg castral de Demandolx », notice no IA04000223, base Mérimée, ministère français de la Culture
    28. Elisabeth Sauze, Notice no IA04000223, base Mérimée, ministère français de la Culture, 30 octobre 2010, consultée le 27 septembre 2010
    29. Daniel Thiery, « Demandolx », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 21 décembre 2010, consulté le 17 juillet 2012
    30. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 173
    31. Jacques Cru, Histoire des Gorges du Verdon jusqu’à la Révolution, coédition Édisud et Parc naturel régional du Verdon, 2001, (ISBN 2-7449-0139-3), p 196
    32. Elisabeth Sauze, Notice no IA04000184, Base Mérimée, ministère de la Culture, 30 octobre 2007, mise à jour le 22 juillet 2007, consultée le 22 octobre 2013.
    33. Elisabeth Sauze, Notice no IA04000175, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
    34. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
    35. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    36. Labadie, op. cit., p. 16.
    37. Labadie, op. cit., p. 18.
    38. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
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    41. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
    42. Les comptes de la commune
    43. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
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    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècles, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 17
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    58. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    59. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    60. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
    61. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    62. Raymond Collier, op. cit., p 137
    63. Jean-Christophe Labadie, Des Anges, Musée départemental d’art religieux, catalogue de l’exposition à la cathédrale Saint-Jérôme (5 juillet-30 septembre 2013), 2013, (ISBN 978-2-86004014-3), p. 30.
    64. Raymond Collier, op. cit., p 80
    65. Elisabeth Sauze, Marie-Odile Mandon, Notice no IA04000133, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
    66. monument aux morts de la guerre de 1914-1918
    67. Monument aux morts : Synthèse des relevés - Demandolx
    68. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 71
    69. Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 72
    70. Elisabeth Sauze, Laurent Alexeï, Notice no IA04000155, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 27 septembre 2010
    71. Elisabeth Sauze, Laurent Alexeï, Notice no IA04000154, base Mérimée, ministère français de la Culture), consultée le 27 septembre 2010
    72. Elisabeth Sauze, Laurent Alexeï, Notice no IA04000255, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 27 septembre 2010
    73. « Fontaines-lavoirs de Demandolx », notice no IA04001104, base Mérimée, ministère français de la Culture
    74. Lavoir-fontaine
    75. Raymond Collier, op. cit., p 250
    76. Raymond Collier, op. cit., p 251
    77. Elisabeth Sauze, Notice no IA04000176, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
    78. Elisabeth Sauze, Laurent Alexeï, Notice no IA04000270, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008
    79. René Borricand, Nobiliaire de Provence, tome 1, Editions Borricand, 1974-1976, p. 387-388.
    80. Artefeuille " Histoire héroïque et universelle de la noblesse de provence", p 311-315. 1776 2 volumes in-4
    81. d'Hozier, Armorial général de la noblesse de France, Paris Editions du Palais Royal, 1970 (réimpression)
    82. Teillon : Demandolx, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
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