Démographie du Loiret

La démographie du Loiret est caractérisée par une densité moyenne.

Démographie du Loiret
Dynamique (2018)
Population 678 845 hab.
Évolution de la population +0,3 % (2018)[1]
Taux de natalité 12,1 [2]
Taux de mortalité [3]
Flux migratoires (2018)
Solde migratoire 0,1 %

Avec ses 678 845 habitants en 2018, le département français du Loiret se situe en 37e position sur le plan national.

En cinq ans, de 2013 à 2018, sa population s'est accrue de près de 13 300 unités, c'est-à-dire de plus ou moins 2 700 personnes par an. Mais cette variation est différenciée selon les 325 communes que comporte le département.

La densité de population du Loiret, 100,2 habitants par kilomètre carré en 2018, est du même ordre de grandeur que celle de la France entière qui est de 103,7 hab./km2 pour la même année.

Peuplement du territoire du Loiret

Carte des régions naturelles du Loiret.

Neuf régions naturelles différentes

Le territoire du Loiret peut être décomposé en neuf régions naturelles de faible relief. Dans le nord du département, à l'ouest du Loing, la Beauce (Petite Beauce et Grande Beauce) et le Gâtinais beauceron sont formés de sols calcaires et de limons favorables à l'activité agricole. À l'est et au sud-est du Loing, les terrains du Gâtinais et de la Puisaye sont moins fertiles, du fait de la présence de grès et d'argile à silex. L'Orléanais au centre, la Sologne au sud et l'extrémité du Berry au sud-est offrent un territoire pauvre et peu perméable, composés d'argiles et de sable. Entre les deux, la zone alluvionnaire du Val de Loire, aux terres fertiles et irriguées est propice aux cultures spécialisées[A 1].

Dès la Préhistoire et jusqu'à la période contemporaine, cette structuration du territoire va conditionner l'implantation des hommes.

Des hameaux néolithiques

Vers -5000, les populations se sédentarisent et l'habitat permanent se développe. Lorsque les premiers agriculteurs s'installent vers cette époque dans la région, ils n'occupent d'abord que les bords de rivière en terrasses, fertiles et aisés à cultiver. Puis les rebords de plateaux sont à leur tour investis, comme à Échilleuses, à la frontière de la Beauce et du Gâtinais, où six maisons longues d'environ 35 mètres étaient regroupées sur un terrain limoneux favorable aux cultures et à proximité immédiate de sources. Des outils en silex destinés au défrichement et aux travaux agricoles ont été retrouvés aux abords des habitats[A 2].

On peut estimer que la colonisation de l'ensemble de la région est totalement achevée par les populations néolithiques vers -4500. À cette époque, des enceintes palissadées sont édifiées aux bords même des rivières ; leur fonction (protection de jardins, de troupeaux, lieu de marché pour plusieurs villages ?) n'a pas encore été clairement déterminée[A 2].

L'habitat isolé de la période gauloise

Carte de répartition des villae recensées à la période gallo-romaine.

Pour l'âge du bronze, qui s'étend de -2300 à -800 et le premier âge du fer, ou période de Hallstatt, qui court de -800 à -500, les données concernant l'organisation de l'habitat dans le Loiret sont encore très fragmentaires. Le second âge du fer, appelé période de La Tène, de -500 à -125, est en revanche assez bien documenté[A 3].

Du Ve au IIIe siècle av. J.-C., comme dans le reste de la Gaule, l'habitat est avant tout composé de fermes isolées. Le début du IIe siècle av. J.-C. voit se développer des agglomérations non fortifiées, où dominent les activités artisanales. Vers la fin de ce même siècle, les premières villes fortifiées (oppida) apparaissent au nord des Alpes. Le site d'Orléans-Cenabum, habitat ouvert important du peuple gaulois des Carnutes, devient probablement oppidum au Ier siècle av. J.-C., mentionné comme tel par César[A 3].

Pendant toute la période gauloise, le type d'implantation qui prédomine reste l'habitat rural isolé, de qualité et de richesse variables, des simples fermes aux véritables résidences aristocratiques. Les sites de « La Pièce de Chameul » à Chevilly et des « Pierrières » à Batilly-en-Gâtinais, fouillés sur l'autoroute A19, illustrent cette diversité[A 3].

Période romaine

Carte de l'occupation du sol à la période romain.e

À l'époque romaine, des agglomérations secondaires, qui peuvent atteindre 70 hectares, se multiplient et s'intercalent entre les chefs-lieux de cité (Chartres pour les Carnutes, Sens pour les Sénons) et les fermes et villae. Certaines sont d'origine gauloise (Orléans, Pithiviers-le-Vieil ou Chilleurs-aux-Bois). Ce sont d'abord des lieux de commerce. Les plus importantes remplissent également des fonctions culturelles et religieuses et sont dotées d'édifices publics monumentaux, thermes, lieux de spectacle, grands sanctuaires, fréquentés par les habitants de l'agglomération, des campagnes environnantes, ainsi que par les voyageurs et les pèlerins. Les nécropoles s'implantent à la sortie des agglomérations, le long des routes[A 4].

À la fin du IIIe siècle, les structures administratives changent. Le territoire de l'ancienne cité des Carnutes se trouve divisé en deux : Chartres ne garde que le nord, tandis qu'Orléans devient chef-lieu des Aureliani, nouvelle cité correspondant à la partie sud. Parallèlement, aux IIIe et IVe siècles, plusieurs agglomérations du nord du Loiret disparaissent comme Crottes-en-Pithiverais, Sceaux-du-Gâtinais et Beaune-la-Rolande[A 4].

Ruralité au Moyen Âge

Durant les mille ans que dure le Moyen Âge, près de 90 % de la population vit dans les campagnes ; les établissements ruraux offrent une grande variété de tailles et de formes, de la simple bâtisse isolée aux ensembles semi-groupés ou hameaux[A 5].

Au cours de la période mérovingienne s'étalant des VIe au VIIIe siècles, bien des anciens domaines agricoles gallo-romains sont soit exploités dans la continuité de l'occupation précédente, comme à Mareau-aux-Bois, soit réinvestis après une période d'abandon, comme à Saran (près d'Orléans). Les exploitations, qui atteignent fréquemment l'hectare, se composent de nombreuses constructions de petite taille dépassant rarement une dizaine de mètres carrés. Les bâtiments s'installent en général le long ou à proximité des chemins[A 5].

À partir du IXe siècle av. J.-C., la mise en place des paroisses s'accompagne de la constitution de bourgs autour de l'église ou d'une abbaye (Saint-Benoît-sur-Loire ou Micy), d'un prieuré ou d'une résidence seigneuriale (Montargis, Beaugency, Sully-sur-Loire). Des villages-rue se constituent alors le long des axes routiers principaux, comme à Ingré ou Saran, où le découpage en zones d'activités spécialisées s'affirme de plus en plus[A 5].

XVIIe et XVIIIe siècles

Le XVIIe et le début du XVIIIe constituent une période critique pour la France sur le plan démographique. La faim, la peste et la guerre sont des fléaux qui contribuent à ralentir l'évolution démographique. À partir de 1740 va s'ouvrir une période d'essor exceptionnel[4]. Dans le Loiret, les hivers glaciaux se succèdent. Une épidémie de peste fait des ravages dans l'Orléanais, le Giennois et Montargis, en 1626.

Évolution démographique du département du Loiret

Le département du Loiret est créé par décret du . Le premier recensement sera réalisé en 1801 et ce dénombrement, reconduit tous les cinq ans à partir de 1821, permettra de connaître plus précisément l'évolution des territoires.

Avec 305 276 habitants en 1831, le département représente 0,94 % de la population française, qui est alors de 32 569 000 habitants. De 1831 à 1866, il va gagner 51 834 habitants, soit une augmentation de 0,49 % moyen par an, identique au taux d'accroissement national sur cette même période.

L'évolution démographique entre la Guerre franco-prussienne de 1870 et la Première Guerre mondiale est beaucoup plus faible qu'au niveau national. Sur cette période, la population ne s'accroît que de 11 040 habitants, bien qu'elle ait atteint un pic de 377 718 âmes en 1891, soit un accroissement de 3,1 % alors qu'il est de 10 % au niveau national. Il en est de même pour la période de l'entre-deux-guerres courant de 1921 à 1936 où l'accroissement n'est que de 2 % alors qu'il est de 6,9 % pour la France entière.

L'essor démographique du Loiret va en fait intervenir après la Seconde Guerre mondiale.

En 2018, le département comptait 678 845 habitants[Note 1], en augmentation de 1,99 % par rapport à 2013 (France hors Mayotte : +1,78 %).

Évolution de la population  [modifier]
1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
-286 050285 315291 294304 228305 276316 189318 452331 633
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
341 029345 115352 757357 110353 021360 903368 526374 875377 718
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
371 019366 660364 999364 061337 224341 225342 679343 865346 918
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
360 523389 854430 629490 189535 669580 612618 126645 325659 587
2016 2018 - - - - - - -
674 330678 845-------
(Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[5] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[6] puis population municipale à partir de 2006[7].)
Histogramme de l'évolution démographique

Population par divisions administratives

Arrondissements

Le département du Loiret comporte trois arrondissements. La population se concentre principalement sur l'arrondissement d'Orléans, qui recense 66 % de la population totale du département en 2018, avec une densité de 152,5 hab./km2, contre 25 % pour l'arrondissement de Montargis et 9 % pour celui de Pithiviers.

CarteArrondissementPopulation
(2018)
Variation
(2018/2013)
Superficie
(km2)
Densité
(hab./km2)
Orléans446 0382 925,4152,5
Montargis169 5232 657,263,8
Pithiviers63 2841 192,753,1
Source : Insee[8]

Communes de plus de 5 000 habitants

Localisation des 10 communes du Loiret de plus de 10 000 habitants en 2010.

Sur les 325 communes que comprend le département du Loiret, 68 ont en 2018 une population municipale supérieure à 2 000 habitants, 25 communes ont plus de 5 000 habitants, 11 ont plus de 10 000 habitants et une a plus de 50 000 habitants : Orléans.

Les évolutions respectives des communes de plus de 5 000 habitants sont présentées dans le tableau ci-après.

CommunePopulation
(2018)
Variation
(2018/2013)
Superficie
(km2)
Densité
(hab./km2)
Orléans116 23827,484 229,9
Olivet22 16823,39947,8
Fleury-les-Aubrais21 07010,122 082
Saint-Jean-de-Braye21 05413,71 536,8
Saint-Jean-de-la-Ruelle16 4456,12 695,9
Saran16 34419,65831,8
Montargis14 7894,463 315,9
Gien13 73267,86202,4
Amilly13 09940,26325,4
Châlette-sur-Loing12 79013,13974,1
La Chapelle-Saint-Mesmin10 2058,961 139
Ingré9 28420,82445,9
Pithiviers8 9356,941 287,5
Saint-Jean-le-Blanc8 8107,661 150,1
Chécy8 63615,47558,2
Châteauneuf-sur-Loire8 17640,1203,9
Le Malesherbois8 142-8595,8
Saint-Denis-en-Val7 54517,11441
La Ferté-Saint-Aubin7 43786,1286,4
Beaugency7 32216,45445,1
Villemandeur6 76711,46590,5
Meung-sur-Loire6 52720,35320,7
Saint-Pryvé-Saint-Mesmin5 9398,87669,6
Sully-sur-Loire5 28643,6121,2
Briare5 20745,41114,7
Source : Insee[8]

Zones d'emploi

La zone d'emploi illustre un espace géographique à l’intérieur duquel la plupart des actifs résident et travaillent[9]. Il s'agit d'une aire d'étude qui caractérise mieux la répartition des populations que les arrondissements, division administrative qui résulte de l'histoire.

Le département du Loiret comprend quatre zones d'emploi. La zone d'emploi d'Orléans regroupe près de 60 % de la population pour 36 % du territoire, avec une densité de 164 habitants au km². Cet indicateur est à rapprocher à la densité au niveau national qui est de 100,5 en 2007.

CarteZone d'emploiPopulation
2007
Population
1999
variation
2007/1999
Superficie
Densité
hab./km²
Orléans398 591382 281 4,3 %2430164
Montargis122 669114 620 7 %172671
Pithiviers60 23957 102 5,5 %119850
Gien66 22964 083 3,3 %142147
Source : Insee[10]

Structures des variations de population

Soldes naturels et migratoires sur la période 1968-2018

L'augmentation moyenne annuelle s'est relativement tassée depuis les années 1970. De 1,9 % sur la période 1968-1975, elle est passée à 0,4 % sur la période 2013-2018.

Le solde naturel annuel qui est la différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès enregistrés au cours d'une même année, reste relativement stable, puisque la variation annuelle due au solde naturel passe seulement de 0,6 % à 0,3 %. La baisse du taux de natalité, qui passe de 17,1 ‰ à 1,1 ‰, est en fait relativement compensée par la baisse du taux de mortalité, qui parallèlement passe de 10,9 ‰ à 9,0 ‰[11].

C'est essentiellement le flux migratoire qui s'est ralenti, le taux annuel lié passant de 1,3 à 0,1 %, traduisant une baisse importante des implantations nouvelles dans le département, comparativement à l'importante migration vers le département (60 000 habitants de plus entre 1968 et 1975) due à une décentralisation de grands comptes en dehors de la région parisienne[11]

Variation de la population par périodes
1968 à
1975
1975 à
1982
1982 à
1990
1990 à
1999
1999 à
2008
2008 à
2013
2013 à
2018
Variation annuelle moyenne de la population en %1,91,310,70,60,50,4
- due au solde naturel en %0,60,50,50,40,50,50,3
- due au solde apparent des entrées sorties en %1,30,80,50,30,1-0,00,1
Taux de natalité en ‰17,114,614,112,813,113,112,1
Taux de mortalité en ‰10,9109,28,68,58,59,0
Source : Insee[11]

Mouvements naturels sur la période 2014-2019

En 2014, 8 355 naissances ont été dénombrées contre 5 840 décès. Le nombre annuel des naissances a diminué depuis cette date, passant à 7 819 en 2019, indépendamment à une augmentation, mais relativement faible, du nombre de décès, avec 6 229 en 2019. Le solde naturel est ainsi positif et diminue, passant de 2 515 à 1 590[11].

Naissances
Décès

Densité de population

La densité de population est en constante augmentation depuis 1968, en cohérence avec l'augmentation de la population. En 2018, la densité était de 100,2 hab./km2[11].

1968
 
63.6
 
1975
 
72.4
 
1982
 
79.1
 
1990
 
85.7
 
1999
 
91.2
 
2008
 
96.1
 
2013
 
98.2
 
2018
 
100.2
 

Répartition par sexes et tranches d'âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2 %[11], soit au-dessus de la moyenne nationale (35,5 %[12]). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9 % la même année[11], alors qu'il est de 25,9 % au niveau national[12].

En 2018, le département comptait 330 618 hommes pour 348 227 femmes[11], soit un taux de 48,7 % d'hommes, légèrement supérieur au taux national (48,37 %).

Les pyramides des âges du département et de la France s'établissent comme suit.

Pyramide des âges du département du Loiret en 2018 en pourcentage[11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,9 
75-89 ans
9,2 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,8 
45-59 ans
19,3 
18,5 
30-44 ans
18,2 
17,9 
15-29 ans
16,2 
20 
0-14 ans
18,2 
Pyramide des âges de la France entière en 2018 en pourcentage[12]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,8 
75-89 ans
9,3 
16,2 
60-74 ans
17 
20,2 
45-59 ans
19,7 
18,9 
30-44 ans
18,4 
18,3 
15-29 ans
16,8 
19 
0-14 ans
17 

Répartition par catégories socioprofessionnelles

La catégorie socioprofessionnelle des ouvriers est surreprésentée par rapport au niveau national. Avec 14,5 %[11], elle est 2,4 points au-dessus du taux national (12,1 %[12]).

Population de 15 ans ou plus par sexe, âge et catégorie socioprofessionnelle
Catégorie socioprofessionnelle 2013 2018 Détails de l'année 2018
Nb % Nb % Hommes Femmes Part en % de la population âgée de
15 à 24 ans25 à 54 ans55 ans ou +
Ensemble536 847100549 613100264 848284 765100100100
Agriculteurs exploitants3 6240,73 2730,62 66161200,70,6
Artisans, commerçants, chefs d'entreprise16 102317 0333,112 1624 8710,651,8
Cadres et professions intellectuelles supérieures43 7338,144 4738,125 94318 5301,413,64
Professions intermédiaires79 98114,981 49114,838 74142 7508,624,95,4
Employés86 33716,186 77015,820 98165 78914,524,66
Ouvriers81 27815,179 80214,560 23519 56614,922,45,2
Retraités151 07628,1155 07228,270 70384 36900,271
Autres personnes sans activité professionnelle74 71613,981 69914,933 42148 278608,65,9
Source : Insee[11]

Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

Références

  1. Le taux de variation de la population 2018 correspond à la somme du solde naturel 2018 et du solde migratoire 2018 (0,1 personnes) divisée par la population au 1er janvier 2018.
  2. Le taux de natalité est le rapport du nombre de naissances vivantes l'année à la population totale moyenne de l'année.
  3. Le taux de mortalité est le rapport du nombre de décès, au cours d'une année, à la population moyenne de l'année.
  4. Marcel Reinhard, « La population française au XVIIIe siècle », Population, no 13, . Article, pp. 619-630. Consulté le 13 août 2010.
  5. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - fiche historique du département
  6. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  7. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018
  8. « Fichiers par départements des populations légales en 2018 », sur insee.fr, (consulté le )
  9. « Les zones d'emploi », sur Insee (consulté le )
  10. « Résultats du recensement de la population - 2007 - Bases de chiffres clés (évolution et structure de la population) », sur INSEE (consulté le )
  11. « Dossier complet - Département du Loiret (45) », sur insee.fr, (consulté le )
  12. « Dossier complet - France entière », sur insee.fr, (consulté le )
  1. p. 7
  2. p. 11
  3. p. 12
  4. p. 16
  5. p. 18

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Collectif, sous la direction de Jean-Michel Morin et Thibaud Guiot, Aux origines du Loiret – de la Préhistoire à l’A19, Orléans, Coédition Conseil général du Loiret, Etat - Ministère de la Culture, Institut national de recherches archéologiques préventives et ARCOUR, , 59 p. (ISBN 978-2-9503428-4-3)
  • Roger Dion, Le Val De Loire. Etude de géographie régionale, Paris, Laffitte Reprints., , 451 p.

Liens externes

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