Coulounieix-Chamiers
Coulounieix-Chamiers [kulunjɛ ʃamje] est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Coulounieix-Chamiers | |||||
La Maladrerie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
Maire Mandat |
Thierry Cipierre 2020-2026 |
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Code postal | 24660 | ||||
Code commune | 24138 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Colomniérois | ||||
Population municipale |
7 458 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 344 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 11′ 14″ nord, 0° 41′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 222 m |
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Superficie | 21,70 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Périgueux (banlieue) |
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Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Coulounieix-Chamiers (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
Géographie
Généralités
Incluse dans l'unité urbaine de Périgueux, la commune de Coulounieix-Chamiers constitue au sud-ouest de Périgueux, sa banlieue immédiate.
Traversée au nord par la route départementale (RD) 6089 (l'ancienne nationale 89), limitée à l'est par la RD 6021 (l'ancienne nationale 21) et au sud par l'autoroute A89 qui se croisent à l'échangeur de Périgueux-Centre, Coulounieix-Chamiers est l'un des plus importants nœuds routiers de la Dordogne. La commune est implantée sur la rive gauche de l'Isle qui la sépare de Périgueux au nord.
D'une superficie de 2 170 hectares, dont 1 800 d'espaces naturels, la commune culmine à 222 mètres d'altitude, au niveau du château d'eau implanté au sud du bourg de Coulounieix. Son point le plus bas se situe au nord, à 78 mètres d'altitude, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Marsac-sur-l'Isle. Coulounieix-Chamiers dispose de 86 km de voirie et 25 km de sentiers de randonnée.
Communes limitrophes
Coulounieix-Chamiers est limitrophe de cinq autres communes, dont Razac-sur-l'Isle à l'ouest, par un simple quadripoint. Au nord, son territoire est distant de moins de 200 mètres de celui de Chancelade.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à 27 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 41 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Coulounieix-Chamiers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Périgueux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[17] et 65 208 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (31 %), zones urbanisées (23,1 %), terres arables (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), prairies (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour l'Isle — qui délimite la commune au nord — à Coulounieix-Chamiers, impactant ses rives, jusqu'à une largeur pouvant atteindre 300 mètres dans le méandre de Chamiers[23],[24]. Ce PPRI a été révisé et intégré en 2014 dans le territoire à risques importants d'inondation (TRI) de la vallée de l'Isle autour de Périgueux[25],[26].
Un plan de prévention des risques naturels (PPRN) a été approuvé en 2006 pour Coulounieix-Chamiers, dont la totalité du territoire est exposée aux risques d'effondrement ou d'affaissement de terrain et de retrait-gonflement des sols argileux[27],[28].
Logement social
En 2012, la commune dispose de 24,35 % de logements sociaux, taux supérieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine[29].
Histoire
Vers 200 av. J.-C., les Pétrocores « habitaient la région située entre la Dordogne et la Vézère », selon Venceslas Kruta[31]. Ils s'installent pendant cette période sur les hauteurs en rive gauche de l'Isle et créent, sur l'actuel territoire de Coulounieix-Chamiers, un oppidum[32], situé sur le plateau de la Boissière, également connu sous le nom de « camp de César à la Curade »[33]. Cet oppidum, peut-être capitale laténienne des Pétrocores, est abandonné quelques décennies après la Conquête césarienne, et la Vesunna gallo-romaine, capitale de cité romaine et future Périgueux, s'établit sur la rive opposée entre 25 et 16 av. J.-C.[34].
En 1824, les communes de La Cité et Coulounieix fusionnent[35]. En 1958, Coulounieix prend le nom de Coulounieix-Chamiers[36]
Dans les années 1950-1960, l'OTAN installe une base avec 800 soldats au nord de la commune, dans la boucle de l'Isle, à l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine[37].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Coulounieix a été rattachée, dès 1790, au canton de Périgueux qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795. Le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux en 1800.
La commune prend son nom actuel en 1958. Le canton de Périgueux est scindé en trois en 1973 et Coulounieix-Chamiers fait partie du nouveau canton de Périgueux-Ouest[35].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[38]. La commune est alors rattachée au canton de Coulounieix-Chamiers, avec bureau centralisateur fixé à Coulounieix-Chamiers.
Intercommunalité
Le 1er janvier 2000, elle intègre dès sa création la communauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au 1er janvier 2014 par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 5 000 et 9 999 habitants au recensement de 2017, vingt-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[39],[40].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Coulounieix-Chamiers relève[44] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[45].
Jumelages
Population et société
Démographie de La Cité
Jusqu'en 1824, les communes de La Cité et de Coulounieix étaient indépendantes.
Démographie de Coulounieix, puis de Coulounieix-Chamiers
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[49].
En 2018, la commune comptait 7 458 habitants[Note 6], en diminution de 8,02 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Coulounieix-Chamiers ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 3 421 personnes, soit 42,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (583) a fortement augmenté par rapport à 2010 (432) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,0 %.
L'emploi sur la commune
Au , la commune offre 2 541 emplois pour une population de 8 108 habitants[53]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) prédomine avec 39,4 % des emplois mais le secteur tertiaire est également très présent avec 39,2 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | Total | |
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Nombre d'emplois | 30 | 202 | 313 | 996 | 1 001 | 1 051 |
Pourcentage | 1,2 % | 8,0 % | 12,3 % | 39,2 % | 39,4 % | 100 % |
Source des données[53]. |
Établissements
Au , la commune compte 559 établissements[54], dont 374 au niveau des commerces, transports ou services, 76 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 70 dans la construction, 27 dans l'industrie, et douze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[55].
Entreprises
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés implantées à Coulounieix-Chamiers se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :
- dans le commerce, SA Coopérative artisanale (commerce de gros interentreprises de parfumerie et de produits de beauté) se classe 35e avec 18 936 k€[56] ;
- dans l'industrie, Dordogne enrobés (fabrication de produits minéraux non métalliques) se classe 35e avec 7 295 k€[57] ;
- dans le BTP, Avry le Corvaisier (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment) se classe 12e avec 5 950 k€[58] ;
- dans les services, Hoche & associés (activités comptables) se classe 30e avec 3 989 k€[59] ;
- dans l'agroalimentaire, CUMA agro Aquitaine (activités de soutien aux cultures) se classe 43e avec 1 469 k€[60].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Grotte sépulcrale de Campniac, présence des hommes du Néolithique.
- Site de la Curade, cité pétrocore du Ier siècle av. J.-C..
- Château de la Rolphie, XVIe siècle, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1947. Propriété privée[61],[62].
- Château des Izards, parc arboré et château qui sert de centre culturel et aux expositions.
- Castel Fadèze, propriété du XVIIIe siècle des Souc du Plancher de la Garélie, propriétaires du Château de Beauvais à Lussas-et-Nontronneau puis transmis en 1815 à la veuve de Joseph Jean Souc chevalier de la Garélie, Marguerite Nordenskjöld baronne de Palme, qui le lègue en 1838 à l’un des parents Louis Philippe Joseph de Roffignac.
- Château de Plague, maison fortifiée des XVIe et XVIIe siècles[63], tourelles et enceinte au sein d'un parc arboré.
- Repaire de Beaufort, XVIe siècle rénové au XIXe siècle, propriété privée.
- La Maladrerie (ou Maison des Anglais) : malgré son nom synonyme de léproserie, cet ancien hôpital construit aux XIIe et XIVe siècles n'a jamais accueilli de lépreux. Il servit de halte et de refuge aux pèlerins et aux voyageurs[64],[65],[66]. Propriété privée, classée au titre des monuments historiques depuis 1907[67].
La grotte de Campniac. Le château de la Rolphie. Le château des Izards. Les cheminées de la Maladrerie.
Patrimoine religieux
- Église Saint-Michel de Coulounieix, XIVe siècle, très retouchée.
- Église Notre-Dame de l'Immaculée-Conception de Chamiers, XXe siècle, de style moderne.
La nef de l'église Saint-Michel. Détail d'un de ses vitraux.
Personnalités liées à la commune
- José Correa (1950-), peintre et illustrateur.
- Michel Dasseux (1936-2014), homme politique français, fut maire de Coulounieix-Chamiers de 1989 à 2008.
- Jean-Baptiste Auguste Dupont (1798-1850), homme politique, mort en duel à Chamiers[68]
- Noël Palaud (1909-1985), militaire français, résistant, compagnon de la Libération, est né à Coulounieix.
- Albert Pestour, (1886-1965), poète occitan, est mort à Coulounieix-Chamiers[69].
- Louis Philippe Joseph de Roffignac (1773-1846), maire de La Nouvelle-Orléans de 1820 à 1828, est mort à Coulounieix, dans sa demeure de Castel-Fadèze.
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Coulounieix-Chamiers et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Coulounieix-Chamiers et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- [PDF] Vallée de l'Isle- Agglomération de Périgueux - Coulounieix-Chamiers - Plan de prévention du risque inondation, DREAL Aquitaine, consulté le 29 mars 2019.
- Carte de synthèse des aléas - Coulounieix-Chamiers, DREAL Aquitaine, consulté le 31 mars 2019.
- [PDF] Arrêté no 2014337-0002, 3 décembre 2014, DREAL Aquitaine, consulté le 31 mars 2019.
- PPR mouvement de terrain - 24DDT20050010 - Notre-Dame-de-Sanilhac, DREAL Aquitaine, consulté le 31 mars 2019.
- [PDF] Coulounieix-Chamiers - Plan de prévention des risques naturels prévisibles - Mouvements différentiels de terrain liés au phénomène d'effondrement, d'affaissement de terrain et au phénomène de retrait gonflement des sols argileux, DREAL Aquitaine, consulté le 31 mars 2019. Pour bien visualiser la carte, attendre qu'elle se colore intégralement et qu'apparaisse la légende dans un encadré en haut à gauche.
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- Dossier complet - Commune de Coulounieix-Chamiers (24138) - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 4 septembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Coulounieix-Chamiers (24138) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 22 septembre 2018.
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- « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
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- Anatole de Rouméjoux, « La Rolphie, commune de Coulounieix », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1890, tome 17, p. 309-313 (lire en ligne)
- Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 214.
- Panneau d'information du Conseil général de la Dordogne, situé en bordure de l'Isle
- Baron de Castelnau, Visite de la léproserie, dans Congrès archéologique de France. 25e session. Périgueux et Cambrai. 1858, Société française d'archéologie, Paris, 1859, p. 49-52 (lire en ligne)
- François Deshoulières, « L'hôpital Charroux ou la prétendue léproserie de Périgueux », dans Bulletin monumental, 1943, tome 102, no 2, p. 257-261 (lire en ligne)
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- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 341.
- Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, p. 739, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 739.
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