Coulombs (Eure-et-Loir)

Coulombs est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Coulombs.

Coulombs

La mairie de Coulombs.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Jean-Noël Marie
2020-2026
Code postal 28210
Code commune 28113
Démographie
Population
municipale
1 350 hab. (2018 )
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 39′ 13″ nord, 1° 32′ 42″ est
Altitude Min. 91 m
Max. 148 m
Superficie 12,48 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nogent-le-Roi
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Épernon
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Coulombs
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Coulombs
Géolocalisation sur la carte : France
Coulombs
Géolocalisation sur la carte : France
Coulombs

    Géographie

    Situation

    La commune de Coulombs est située sur la rive droite de l'Eure.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et écarts

    • Chandelles

    Réseau routier

    Longueur de la voirie : 26,169 km.

    Desserte ferroviaire

    Les gares SNCF les plus proches sont celles de Maintenon et d'Épernon, situées respectivement à 9 et 12 km.

    Bus

    La commune est desservie par la ligne 8 Dreux - Nogent-le-Roi - Maintenon du Réseau de mobilité interurbaine (Rémi).

    Les arrêts sont : Église - Haut Murger - Chandelles

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 651 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Houx », sur la commune d'Houx, mise en service en 1951[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 604,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 21 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Coulombs est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nogent-le-Roi, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[17] et 9 122 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), forêts (14,1 %), zones urbanisées (10,2 %), prairies (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), eaux continentales[Note 7] (1,8 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Coulomb. n. m. milieu XIIIe siècle. Variante : Coulon. Latin Colombus = pigeon. Columbum aboutit régulièrement en français à coulon = le pigeon. Coulomb en est la forme savante. Coulomb ou Coulon : éleveur de pigeons. Nom de personne dès 1292.

    Colombas, 1028 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Columbensibus, 1184 (Actes de Philippe II Auguste, n° 125) ; Columbae, 1243 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Colons, 1331 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Coulons, 1381 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Coulon, juillet 1398 (Archives nationales-JJ 153, n° 376, fol. 256 v°) ; Coulomb, janvier 1410 (Archives nationales-JJ 164, n° 85, fol. 53 v°) ; Coulons, août 1416 (Archives nationales-JJ 169, n° 344, fol. 231) ; Coulomb, octobre 1489 (Archives nationales-JJ 225, n° 977, fol. 205 v°) ; Coullombs, mars 1501 (Archives nationales-JJ 234, n° 236, fol. 134 v°) ; Coullombz, 1589 (Archives départementales d'Eure-et-Loir-H, Abbaye Notre-Dame de Coulombs) ; Coullombs, 1740 (Bibliothèque municipale d’Orléans, Ms 995, fol. 59) ; Coulombs, XVIIIe s. (Carte de Cassini).

    Le pluriel indiquerait un lieu d’élevage de pigeons.

    Histoire

    Abbaye-Notre-Dame-de-Coulombs

    L'abbaye Notre-Dame de Coulombs, de l'ordre de Saint-Benoît, fut fondée vers le VIIIe siècle le long de l'Eure puis restaurée en 1029 par le premier abbé Béranger. La localité porta successivement les noms de : Colombas (1028), Columbœ (1243), Colons (1331), Coulons (1381), Coulombz (1589), Saint Cheron de Coulombs (1736)[24]. Il ne reste de la puissante abbaye carolingienne que de rares vestiges dans les propriétés privées, comme le portail roman que l'on voit en traversant la ville .

    L'histoire politique de l'abbaye est un long conflit d'autorité avec le roi de France qui régente le château-fort de Nogent-le-Roi à 1 km[25].

    1160 - De retour de croisade Louis VII confirme le droit de haute et basse justice de l'Abbaye.

    1183 - Philippe-Auguste autorise l'abbaye à utiliser le bois des forêts des Yvelines pour faire du bois et perches pour les vignes. (autorisation confirmée par Saint-Louis en 1268)

    1350 - Le roi de France Philippe VI de Valois meurt à l'abbaye de Coulombs le 22 août 1350.

    1422 - Henri V roi d'Angleterre et de France séjourne à l'Abbaye. Henri V envoie la relique du Saint Prépuce à Londres auprès de sa femme, Catherine de Valois (1401-1437), qui accouche de Henri VI. La relique est restituée mais d'autres abbayes tentent de la conserver arguant que l'Abbaye de Coulombs n'est pas assez sûre.

    1433 - Charles VII autorise la navigation de l'Eure pour transporter des tonneaux de vins produits à Chartres, l'abbaye de Coulombs s'y oppose. Les moines cultivent des vignes et font du vin.

    1464 - Louis XI vient visiter l'abbatiale alors qu'il est l'hôte de Pierre de Brézé, seigneur de Nogent-le-Roi.

    1475 - 14 juin Jacques de Brézé, seigneur de Nogent-le-Roi tue sa femme, Charlotte de France, elle est enterrée dans l'église de Coulombs.

    1494 - Jacques de Brézé est inhumé à côté de son épouse.

    1507 - Louis de Brézé, seigneur de Nogent-le-Roi s'oppose à l'abbé Guillaume de Hargeville et conteste la dîme sur les maisons données à l'Abbaye.

    En 1514, l'abbatiale perd ses privilèges sur Nogent-le-Roi.

    1550- Jacques de Havard, seigneur du Thuillay et de Senantes reconnaît que l'église de Faverolles dépend de l'abbaye de Coulombs.

    1562 - Destruction partielle due à la bataille de Dreux.

    1568 - L'armée du prince de Condé pille l'abbaye avant le Siège de Chartres.

    1588 -Pillage de l'abbaye par un chef de bande catholique nommé « Marigny ».

    1589 - Le maréchal de Biron loge ses troupes dans l'abbaye en occupant le siège de Nogent-le-Roi.

    1592 - 6 février - Claude de La Trémoille, second d'Henri IV y installe ses troupes.

    1595 - 14 janvier l'abbaye de Coulombs fait allégeance à Henri IV.

    1607 - Le duc de Sully fait construire un pont pour relier Coulombs à Nogent-le-Roi et ainsi enjamber le marécage qui entoure l'Eure.

    1614 - 18 septembre Louis XIII confirme la vente de l'Abbaye au prince de Condé.

    1615 - 20 juin, Louis XIII confisque les biens du prince de Condé qui s'est opposé à lui.

    1686 - Construction de l'aqueduc de Maintenon, l'abbaye est réquisitionnée pour soigner et loger la troupe qui le construit.

    1711 - Inondation extraordinaire due à de fortes chutes de neige.

    1744- Mai Violent orage de nuit - les récoltes sont perdues et les maisons s'effondrent

    1789 - 13 mars - Les religieux ont autorisation de rentrer dans l'abbaye

    1791 - 27 janvier - Vente de l'abbaye en lots et de ses mobiliers. L'abbatiale est détruite pendant la Révolution.

    1816 - Elle est transformée en carrière. Le cloître de l'abbatiale est démonté et reconstruit à Lèves (Chartres).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1959 Victor Sage    
    1959 1963 Georges Touraille    
    1963 1995 Etienne Petit DVD  
    1995 2008 Michel Lesimple    
    2008 En cours Jean-Noël Marie[26],[27]   Agriculteur sur moyenne exploitation

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2018, la commune comptait 1 350 habitants[Note 8], en diminution de 5,99 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    819847869845855888865858814
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    782745731761717700691665695
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    748749767671657578556556582
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    6096067148681 2441 2651 2861 4331 377
    2018 - - - - - - - -
    1 350--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    • Dont 661 hommes et 604 femmes ;
    • Personnes de moins de 20 ans : 331, de plus de 75 ans : 77.

    Enseignement

    Regroupement pédagogique avec les communes voisines de Lormaye, Senantes, Saint-Lucien.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Portail de l'ancienne abbaye de Coulombs
    • Le musée du Louvre expose, dans l'aile Richelieu, une colonne torse historiée, sculptée dans la pierre, provenant de l'ancienne abbaye
    • Relique et reliquaire du Saint Prépuce, détenus par l'abbaye de Coulombs, puis par l'église paroissiale après la Révolution, puis confiés depuis 1906 au trésor de la cathédrale de Chartres.
    • La modeste église de Saint-Chéron de Coulombs, dédié en 1701, contient du mobilier qui provient de l'ancienne abbatiale, des pierres tombales et des statues du XVIIe siècle : une Nativité en bois de Michel Anguier, dont l'original est au Louvre, offerte par Anne d'Autriche lors de son pèlerinage à l'abbatiale, ainsi que les reliquaires de sainte Helvise et sainte Gemme.
    Le chemin de Croix est de Gabriel Loire et les vitraux sont de Cot Dezande.
    L'église contient les dépouilles de la famille de Brézé : Charlotte de France, Jacques de Brézé, Étienne de Brézé, abbé de Coulombs, ainsi que le cœur de Louis de Brézé.
    • Portail, situé 2 Grande-Rue, construit par Sully pour l'hôtel de la Marine à Nogent-le-Roi en 1610 et transféré à Coulombs. Ce portail est inscrit au titre de monument historique depuis 1972[32].

    Personnalités liées à la commune

    L'abbé Jacques-Joseph Amas (1839).
    • Selon certaines sources, le roi Philippe VI de France meurt à l'abbaye de Coulombs dans la nuit du 22 au 23 août 1350[34]
    • L'abbé Amas, curé de Coulombs, établit les confréries de sainte Gemme[35] et de la bienheureuse Héloïse de Coulombs. Il est l'auteur de :
      • Pratique de dévotion pour les femmes enceintes ou stériles dans le mariage, Dreux, imprimerie de Lemenestrel, 1816
      • La Vie de sainte Gemme, tirée des martyrologes de l'Espagne, du Portugal et de plusieurs auteurs tant anciens que modernes, Dreux, imprimerie de Lemenestrel, 1817
      • Notes historiques sur la vie de la bienheureuse Héloïse, patronne de la confrérie de ce nom, établie dans la paroisse de Coulombs, Dreux, imprimerie de Lemenestrel, 1818[36]
    • Gratien Candace (1873-1953), homme politique, est enterré au cimetière de Coulombs.

    Blasonnement

    Les armoiries de Coulombs se blasonnent ainsi :

    D'azur à l'écusson du même chargé de trois fleurs de lis d'or et accompagné de trois colombes d'argent.

    Armoiries de l'Abbaye de Coulombs

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Houx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Coulombs et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Houx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Coulombs et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Nogent-le-Roi », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, 1861, page 54
    25. Histoire de l'abbaye de ND de Coulombs par Lucien Merlet, 1864
    26. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. « Portail », notice no PA00097085, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Ancienne abbaye Notre-Dame », notice no PA00097084, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. Philippe VI : roi de France, dynastie des Valois
    35. Charles Métais Archives du diocèse de Chartres p.19, volume 15, 1908
    36. P. Chéron, Catalogue général de la librairie française au XIXe siècle, p. 139-140, 1856 ; catalogue de la Bibliothèque nationale de France consulté le 20 décembre 2007
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