Corancy
Corancy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Corancy | |||||
Vue générale du village de Corancy. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Nièvre | ||||
Arrondissement | Château-Chinon (Ville) | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Morvan Sommets et Grands Lacs | ||||
Maire Mandat |
Martine Daoust 2020-2026 |
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Code postal | 58120 | ||||
Code commune | 58082 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Corancycois, Corancycoises | ||||
Population municipale |
293 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 9,7 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 06′ 08″ nord, 3° 56′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 322 m Max. 730 m |
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Superficie | 30,15 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Château-Chinon | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | https://www.corancy.fr | ||||
Ses habitants sont les Corancycois.
Géographie
Situation
Ce village du Morvan, au cœur de la Bourgogne-Franche-Comté, est situé sur le cours de l'Yonne au sud-est du lac de Pannecière[1], à 8 km au nord de Château-Chinon[2] dans la partie Est de la Nièvre. Il fait partie du parc naturel régional du Morvan[1].
Hydrographie
L'Yonne traverse la commune du sud au nord. à son entrée sur la commune elle reçoit le Touron (rive droite), puis divers petits affluents locaux, avant de se déverser dans le lac-réservoir de Pannecière-Chaumard. Plus de 2,58 km du lac se trouvent sur la commune[1].
Au Moulin de Corancy, où conflue en rive droite un petit affluent venant du village de Lorien, se trouve une pisciculture couvrant environ 1,6 ha toutes surfaces en eau comprises[1].
L'Oussière, autre affluent de la Loire en rive droite, forme toute la limite de commune au nord-est avec Planchez et une partie de celle au nord avec Chaumard. Son affluent de rive gauche le ruisseau de Griveau forme la limite de commune à l'est avec Lavault-de-Frétoy[1].
Géologie
Les sommets de Montiaux, Nargeveau et Chêne Fruit sont à l’extrémité Est d'un arc formé de microgranites porphyriques, cintré sur la bordure sud du bassin géologique de Montreuillon et qui se prolonge à l'ouest sur Châtin et plus loin Grandry[3] sur une quinzaine de km[1] (μϒ2-3, en orange sur la carte géologique[4]).
Villages, hameaux, lieux-dits, écarts
Les lieux-dits et écarts sont indiqués en italiques. Les plus gros hameaux sont en caractères gras[1].
- Ardilly
- la Bâtisse
- bois Boulle
- bois de Faubouloin
- bois des Pichards
- le Boissillot
- le Carrouge
- Châgnon
- Champ Long
- Champ Moignon
- les Champs de Grand Pré
- Chapelle de Faubouloin
- Chaumont
- la Chaux
- la Chenée
- Chêne Fruit
- les Chevannes
- les Cloux
- les Commes
- Corcery
- le Courvois
- les Creux
- le Crot au Loup
- les Crouées
- le Défens
- Denault
- l'Écheneau Prés Derrière
- la Fiette
- la Fiolle
- les Forands
- la Forêt Laproye
- les Foux
- Frémont
- le Gazot
- les Girettes
- les Goy
- Graillebois
- les Grands Cheintres
- les Grandes Mouilles
- Grand Sernay
- Grappes
- Grenoise
- les Grises
- l'Huis Grillot
- Griveau
- Gros Mont
- l'Huis l'Abbé
- les Issards
- Lorien
- Maison Comte
- la Manille
- la Métairie
- le Montiaux
- Mont Lorien
- le Moulin de Corancy
- le Moulin de Rhônon
- les Moulins
- Nargeveau
- Neuvelle
- la Pérole
- le Pichou
- Poitevin
- les Porets
- le Pré Jean
- Prenet
- Rhônon
- la Rouère
- le Ruet
- Ruet au Meunier
- Salorges
- les Semaines
- les Soulins
- les Tanières
- les Tourelles
- le Tronçay
- Tureau d'Enfer
- les Veurtots
- les Violettes
- les Vouas
- Vouchot
- Vouchot Dessous
- Vouchot Dessus
Communes limitrophes
Chaumard | Planchez | |||
Châtin | N | Lavault-de-Frétoy | ||
O Corancy E | ||||
S | ||||
Saint-Hilaire-en-Morvan | Château-Chinon | Arleuf |
Urbanisme
Typologie
Corancy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. La commune est en outre hors attraction des villes[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,6 %), prairies (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,3 %), eaux continentales[Note 2] (1,3 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Les formes rencontrées dans les documents historiques sont Corensi en 1193, Corenseio en 1296, Coranceyum au XIVe siècle, Courancy en 1435, Couransy en 1600 et Courrancy en 1671[12],[13].
Albert Dauzat et Charles Rostaing proposent d'interpréter le premier élément Corens- par le nom de personne latin (porté par un indigène) Cosentius (qu'ils reconnaissent par ailleurs dans Corancez, Cosentiacum vers 954, Eure-et-Loir) ou plutôt Corentius, car le passage de [s] à [r] n'est ni attesté, ni obligatoire[14]. Ernest Nègre préfère le nom de personne latin *Corinthius, variante de Corinthus[15].
Le second élément est le suffixe -(i)acum[14],[15], d'origine gauloise, marquant la localisation et la propriété, souvent latinisé en -eyum à partir du XIIe siècle et ayant déjà évolué en [i] dans la langue commune et qui explique la plupart des terminaisons en -y dans la toponymie du Nord de la France.
Histoire
Préhistoire
Plusieurs sites néolithiques se trouvent sur la commune, surtout situés sur les hauteurs de part et d'autre de la vallée de l'Yonne. Certains ne sont connus que par des prospections de surface[16].
- Un nucléus plat à lamelles trouvé à Outron (silex provenant du Coniacien d'Aquitaine) pourrait témoigner d'une occupation chasséenne[17].
- L'Huis l'Abbé (sur la D500, au sud de Corancy) a révélé un ensemble de structures sur une terrasse dominant la vallée de l'Yonne, et présente un ensemble de trous de poteaux de différentes tailles ainsi qu'un soubassement de murs qui décrit un édifice aux contours arrondis avec une cour et un foyer[18]. Cette enceinte serait un enclos pastoral néolithique[19]. A côté se trouvent un complexe d'habitations, avec captage d'eau, accompagné de céramiques de la Tène[20].
- Parmi le mobilier, plusieurs centaines de pièces lithiques[21] sont liées à des tertres, des foyers profonds avec à leur proximité des silex chalcolithiques attribués au Néolithique moyen principalement mais aussi au Néolithique final[19]. On note une hache en silex du Roannais, des silex de Meusnes, une ébauche d’armature à pédoncule de la côte chalonnaise[19] et ce qui serait un briquet en silex provenant des Martins à Mouthiers-sur-Boëme[22] (Charente[23], environ 400 km[22]).
- La Roche du Pas d’Aru a livré une lamelle retouchée en silex provenant vraisemblablement des Limagnes, et un nucléus dont la matière première provient de la Côte chalonnaise[23].
- Les objets en pierre trouvés à Chaumotte sont tirés de quatre matériaux différents : silex de Meusnes, silex de la côte chalonnaise, quelques pièces en silex de Mur-de-Barrez, et un fragment de cristal de fluorite qui a peut-être été ramassé en tant que curiosité. Des gisements de fluorite existent dans le Morvan, notamment au pied du mont Beuvray[23].
- À Grosmont, des « emplacements noirs » contenaient quelques silex, une pointe de flèche néolithique et des tessons de vases grossiers portant des chevrons[23].
- Un sanctuaire des eaux à Faubouloin témoigne de la longévité du culte des eaux dans le Morvan, qui a perduré depuis le Néolithique jusqu'à la fin du XXe siècle[24].
Protohistoire
Comme l'attestent les fouilles archéologiques du lieu-dit l'Huis l'Abbé, cette commune paraît occupée à l'époque gauloise, avant la conquête romaine[18].
Héraldique
Blasonnement :
« De gueules au bâton en barre cousu de sable accompagné, en chef, d'un arbre arraché d'or et, en pointe, d'une hure de sanglier cousue aussi de sable, défendue et allumée d'argent. » |
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].
En 2018, la commune comptait 293 habitants[Note 3], en diminution de 5,18 % par rapport à 2013 (Nièvre : −4,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges en 1999[29] en nombre d'individus :
Économie
Élevage agricole
Essentiellement agricole, le village comporte 10 exploitations d'élevage de la race bovine charolaise.
Tourisme
La commune mise sur le tourisme vert grâce à la présence du lac de Pannecière sur son territoire.
Implication dans le programme Climat Énergie Bourgogne
Dans le cadre du programme Climat Énergie Bourgogne, et en partenariat avec l'ADEME de Bourgogne, le FEDER, le conseil général de la Nièvre, le conseil régional de Bourgogne, le parc naturel régional du Morvan et le Syndicat Intercommunal d'Énergies d'Équipement et d'Environnement de la Nièvre (SIEEEN), la commune s'est dotée fin 2008 d'une chaudière bois automatique utilisant des plaquettes forestières issues du déchiquetage de bois lors de l'entretien des forêts et des voies communales[30],[31].
Mise en fonction le , cette chaudière de 70 kW permet de chauffer la mairie, l'école primaire, sa cantine et un logement communal, soit un volume total de 1 200 m³. À raison d'une consommation de 95 000 kWh/an, l'utilisation de la « solution bois » revient à environ 1 400 € à l'année, soit une économie de plus de 80 % par rapport à une « solution fioul »[30].
Lieux et monuments
- Monuments religieux
- Église Saint-Euphrône des XVe et XVIe siècles, bâti sur l'emplacement d'une précédente église datant du XIIe siècle. Son chœur date du XVe siècle, sa chapelle postérieure gauche, son clocher et son portail antérieur datent du XVe siècle[32]. Peintures murales XVIIe – XVIIIe siècles. Dalles funéraires du XVIIe siècle. Statue en pierre calcaire avec des traces de polychromie art populaire de la fin du XVIe siècle et Inscrit MH (1989)[33]. Ouverte tous les jours[34]
- Chapelle de Faubouloin, du XVIe siècle et ses trois fontaines celtiques christianisées[35]. Ne se visite pas. Pèlerinage le 15 août[34]
- Monuments civils
- Château de Neuvelle, du XVIIe siècle et sa chapelle[36].
- Ruines du château du XIVe siècle au lieu-dit Maison Comte.
- Fouilles archéologiques de la maison de l'Huis l'Abbé
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Corancy, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- « Corancy », sur google.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
- Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), « Château-Chinon », Carte géologique de la France à 1/50000, sur ficheinfoterre.brgm.fr (consulté le ), p. 53.
- « Corancy, carte interactive » sur Géoportail. Couche « Carte géologique » activée.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique du département de la Nièvre : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, vol. 18, Paris, Imprimerie impériale, , 246 p. (lire en ligne), p. 54.
- Anatole de Charmasse, Cartulaire de l'église d'Autun (1296), Première et deuxième parties, Paris / Autun, Auguste Durand / Michel Dejussieu, coll. « Publications de la Société Éduenne », , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 298.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 209b.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 551.
- [Saligny et al. 2011] Laure Saligny, Rémi Martineau, Jimmy Linton, Jehanne Affolter, Sébastien Francisco et Lyse Basset, « Le Néolithique du Morvan : état des connaissances », Revue archéologique de l'Est, (lire en ligne [sur academia.edu], consulté le ), p. 12.
- Saligny et al. 2011, p. 16 ; et p. 17 fig. 16, nos 1-3.
- « Site préhistorique de l'Huis l'Abbé (Corancy-58) », d'après la Société d'histoire Naturelle du Creusot(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur shnc.ifrance.com, (consulté le ).
- Saligny et al. 2011, p. 17.
- Roland Martin, « Bourgogne », Gallia, vol. 26, no 2, , p. 473-513 (lire en ligne [sur persee], consulté le ), p. 490-496.
- Saligny et al. 2011, p. 16.
- « Emplacement des Martins à Mouthiers-sur-Bouëme (Charente) », sur google.fr/maps.
- Saligny et al. 2011, p. 18.
- [Gautherin 2009] Henri Gautherin, « Les eaux vives et dormantes du Morvan », dans Louis Courel (coord. et al., Des paysages à voir et à lire en Bourgogne, Dijon, Educagri éd., , sur books.google.fr (ISBN 978-2-84444-715-9, lire en ligne), p. 67.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Recensement de l'INSEE en 1999 - Population totale par sexe et âge
- [PDF] La chaufferie bois automatique de Corancy sur le site du Parc naturel régional du Morvan
- « Travaux réalisés depuis 2008 », (page en travaux, « prochainement disponible »), site de la commune de Corancy, sur communedecorancy.com (consulté le ).
- « Église paroissiale Saint-Euphrone », notice no IA00002187, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- André Paris, Trésors cachés des églises de la Nièvre, notice n°29, Nevers, La Camosine, , 160 p. (Catalogue d'une exposition présentée par la Camosine de Nevers en 1990, qui avait réuni 135 objets religieux provenant des églises du département : statuaire, peintures, retables, objets et vêtements liturgiques, bannières et tapisserie), p. 45.
- Dépliant touristique du diocèse de Nevers, « Visitez les églises de la Nièvre », Pastorale, Tourisme & Loisirs, 2013.
- « Chapelle (Faubouloin) », notice no IA00002188, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Neuvelle », notice no IA00002191, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
Articles connexes
Lien externe
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