Chanteloup-en-Brie

Chanteloup-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. Elle fait partie de la ville nouvelle Marne-la-Vallée.

Pour les articles homonymes, voir Chanteloup et Brie.

Chanteloup-en-Brie

L'église Saint-Eutrope.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Torcy
Intercommunalité Communauté d'agglomération Marne et Gondoire
Maire
Mandat
Olivier Colaisseau
2020-2026
Code postal 77600
Code commune 77085
Démographie
Gentilé Chanteloupiens
Population
municipale
3 966 hab. (2018 )
Densité 1 267 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 20″ nord, 2° 44′ 24″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 124 m
Superficie 3,13 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Lagny-sur-Marne
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Chanteloup-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Chanteloup-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : France
Chanteloup-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : France
Chanteloup-en-Brie
Liens
Site web Chanteloup-en-Brie

    Géographie

    Localisation

    La commune de Chanteloup-en-Brie est située à 30 km à l'est de Paris[Carte 1]. Elle est proche du parc à thèmes Disneyland Paris (environ 6,9 kilomètres).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Chanteloup-en-Brie
    Lagny-sur-Marne Montévrain
    Conches-sur-Gondoire
    Bussy-Saint-Georges Jossigny

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Hydrographie

    Le système hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : la Gondoire, longue de 12,11 km[2], qui se jette dans un bras de la Marne au niveau de la commune de Torcy.

    Sa longueur linéaire globale sur la commune est de 0,43 km[3].

    Climat

    Chanteloup-en-Brie, comme tout le département, connaît un régime climatique tempéré, de type atlantique.

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[4],[5],[6].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d’autocars[7] :

    • 02 : Lagny-sur-Marne - Gare de Lagny-Thorigny - Serris - Gare de Val d'Europe ;
    • 22 : Serris - Gare de Val d'Europe - Bussy-Saint-Georges - Gare de Bussy-Saint-Georges ;
    • 42 : Lagny-sur-Marne - Gare de Lagny-Thorigny - Serris - Gare de Val d'Europe.

    Urbanisme

    Typologie

    Chanteloup-en-Brie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 12 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés[16] dont Le Bois-de-Chigny et Fontenelle.

    Occupation des sols

    En 2018[17], le territoire de la commune se répartit[Note 4] en 36,2 % de terres arables, 27,2 % de forêts, 23,2 % de zones urbanisées, 11,9 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication et 1,5 % de zones agricoles hétérogènes[Note 5] -[3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 1 345 dont 62,7 % de maisons et 37 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 95 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 4,1 % des logements vacants.

    La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 64,4 % contre 35,1 % de locataires[18], dont 14,7 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et 0,5 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous la forme Cantilupus au XIIe siècle[19] ; Ecclesia de Cantilupe en 1195[20] ; Chantulupa en 1213[21] ; Champdelou en 1250[22] ; Domus fortis de Chantelou en 1250[23] ; Chantelou en 1281[24] ; Chantellou au XVIe siècle[25],[26].

    Toponyme médiéval issu de l'ancien français chante lou « chante loup ». Ce type toponymique, très répandu, désigne des endroits où l'on pouvait entendre le hurlement des loups. Probablement du latin Cantulupo, c'est-à-dire (« endroit où chantent les loups »). Ce toponyme très fréquent aurait plutôt un rapport avec le chant de l’alouette, « Chanteloup » venant de la déformation de Chantaloue.

    Histoire

    Chanteloup n'a aucune histoire connue jusqu'au XIIe siècle, qui vit la fondation de l'église primitive connue dès 1195. La paroisse ne date que du XIIIe siècle[27]. En 1789, le village fait partie de la fondation et de la généralité de Paris ; il est régi par la coutume de Paris. L’église paroissiale, dédiée au saint Sauveur, appartient au diocèse de Paris. En 1820, les productions de son terroir sont en grains, avec un moulin (Bourcier) sur le ruisseau (Gondoire). Le moulin de Chanteloup en bois a été détruit par le feu au XIXe siècle. Il y a, à l’époque, 98 habitants, pratiquement le même nombre qu’en 1726.

    La fête patronale Saint-Eutrope, le 30 avril, a été reportée au premier dimanche de mai. C’est la fête du patron du pays et non de l’église. Les jeunes gens de 16 ans étaient « reçus garçons ». Il y avait une grande messe, pain béni et cortège pour aller l’offrir aux notables. Un biscuit de Savoie, piqué de fleurs naturelles, était réservé au châtelain. Un « bouquet des gars », payé par la munificence du châtelain et des notables en échange du pain béni, se déroulait ensuite. Puis, après, on faisait deux ou trois fois le tour du village avant de se retrouver, le soir, au bal[27].

    Le Château de Fontenelle existait déjà au XIIIe siècle. C’était alors un fief dépendant, comme le village, de l’abbaye de Lagny. En 1500, Nicolas de Neuviel Sentifer est qualifié seigneur de D’heuil et de Fontenelle. Deux siècles avant, ce lieu appartenait à M. de Valence, conseiller au Parlement. En 1785, il passa à François Lory, contrôleur des guerres de la maison du Roy, régiment des Gardes suisses, mort en 1817 à Fontenelle. Les derniers maîtres du château furent les familles de Junquières et celle du célèbre photographe Cartier-Bresson. Le château actuel fut reconstruit au siècle dernier.

    Le recensement de 1709 compte 92 habitants, celui de 1745, 108. Curieusement, il n'en reste que 88 en 1801. En nombre croissant, la population de Chanteloup dépasse aujourd’hui un peu plus de 2 000 habitants. La commune s’est distinguée de l’urbanisation de l’Île-de-France. En préservant son « poumon vert » représenté par les 70 hectares du bois de Chigny, en créant un centre de village autour de l’église, de la mairie, en conservant le plus fidèlement possible le style briard. Elle a su maintenir le caractère rural d’un village bien que faisant partie intégrante du périmètre de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée. En 1930, Chanteloup dénombre 191 habitants. Le village est desservi par le train de Lagny à Mortcerf (marchandises seulement) et par l’autobus qui effectue le même trajet (route de Provins). Un autre train (1872-1954) traverse le village (route de la Ferme-du-Pavillon) pour transporter les betteraves de Chessy à la râperie de la Jonchère. Cette dernière sera désaffectée en 1964.

    L’urbanisation nouvelle s’est faite avec sagesse et raison. La commune a connu une réelle croissance en 1960 avec la construction du lotissement « Mulot » comprenant 70 maisons. Les ZAC du Bois-de-Chigny, du Village, du Moulin-Bourcier, le lotissement de la Gondoire, le Parc d’activités du Gasset, le centre-village avec ses commerces sont des réalisations que beaucoup de communes envient. Elles sont souvent montrées en exemple. Cette urbanisation permet de dénombrer aujourd’hui une soixantaine d’entreprises, artisans et commerces employant plus de 300 salariés. Cette évolution d’activités devra se développer encore dans un très proche avenir par la création d’un parc d’activités de 30 hectares le long de la D 23 1 (route de Provins). La vie associative intense et variée permet aux nouveaux habitants de se rattacher à un village qui devient leur village et de se fondre avec les anciens habitants dans le creuset chanteloupien.

    Politique et administration

    En 2003, la commune a reçu le label « Ville Internet @ »[28].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    octobre 1947 mars 1959 René Poulain    
    mars 1959 1970 Antoinette Chocq    
    1970 1971 Magnien    
    1971 1973 Mme Akiline    
    1973 mars 1977 Mme Fevre    
    mars 1977 novembre 2006 Gérard Willaume PS Retraité, maire honoraire
    Démissionnaire
    novembre 2006 mai 2020 Marcel Oulès SE Retraité de La Poste
    mai 2020 En cours Olivier Colaisseau[29] DVD Chef d'entreprise

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2018, la commune comptait 3 966 habitants[Note 7], en augmentation de 34,17 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7988889398111104144124
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    119147169186201182208203197
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    196180169177191178159226252
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2663844144631 2221 7801 8702 1213 775
    2018 - - - - - - - -
    3 966--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Parc d’activités du Gasset - ZAE du Chêne Saint-Fiacre - Centre commercial du "Clos du Chêne".
    • Commerces de proximité : centre-ville : boulangerie, agence postale communale, tabac

    Revenus de la population et fiscalité

    Le nombre de ménages fiscaux en 2016 était de 1 295 (dont 69 % imposés) représentant 3 883 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 701 [18].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L’église Saint Eutrope conserve une statue en pierre polychrome du XVe siècle récemment restaurée. L’édifice actuel, encore en mauvais état il y a des années, restauré complètement au XVIIIe siècle, a fait l’objet, en 1987, d’un complet ravalement extérieur et de la réfection totale de la couverture ainsi que d’une rénovation intérieure méticuleuse et bénévole[27]. Depuis, Nicole Michigan, artiste peintre de renom, y a réalisé des fresques liturgiques sur le thème central de la « transfiguration ». On y trouve aussi une autre curiosité principale de grande valeur : la cloche du XIIIe siècle, la plus ancienne du département, classée monument historique. Sur celle-ci, on peut lire une inscription en lettres gothiques Ego vocor petrvs miles de chantv lvpi, qui peut se traduire par « Moi, je m’appelle Pierre, chevalier de Chanteloup »[27].
    • Le château de Fontenelle existait déjà au XIIIe siècle. C’était alors un fief dépendant, comme le village, de l’abbaye de Lagny. En 1500, Nicolas de Neuviel Sentifer est qualifié seigneur de D’heuil et de Fontenelle. Deux siècles avant, ce lieu appartenait à M. de Valence, conseiller au Parlement. En 1785, il passa à François Lory, contrôleur des guerres de la maison du Roy, régiment des gardes suisses, mort en 1817 à Fontenelle. Les derniers maîtres du château furent les familles de Junquières et celle du célèbre photographe Cartier-Bresson. Le château actuel fut reconstruit au siècle dernier[27]. Monseigneur Roncalli, le futur pape Jean XXIII, y séjourna alors qu’il était nonce apostolique à Paris. Depuis, maison de retraite, le château de Fontenelle est la propriété de l’œuvre de l’hospitalité familiale[27].
    • Le Louvard : construit à la fin du XVIIIe siècle, cette propriété - remarquable pour sa grille et ses arbres centenaires - a été la propriété du peintre Kees van Dongen au début du XXe siècle.
    • Le château situé au rond-point du bois de Chigny qui fut, en 1900, une maison de santé[27].
    • Le bois de Chigny (dont le nom vient, par altération, de chêne) servit de toile de fond à ces deux derniers édifices et fut victime, durant de nombreuses décennies, de sévères défrichements[27].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Chanteloup-en-Brie se blasonnent ainsi :

    Parti : au 1) de gueules au loup passant d’argent posé en pal, au 2) d’azur semé de fleurs de lys d’or aux deux fasces ondées d’argent brochant sur le tout.

    Armes parlantes.

    La pièce senestre représente le blason de Seine-et-Marne[34].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Une histoire de Chanteloup-en-Brie, par Jean-Pierre Nicol, 2013, 251 pages (ISBN 978-2-7466-6359-6).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    4. Statistiques de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
    5. Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Localisation de Chanteloup-en-Brie, » sur Géoportail (consulté le 5 mai 2020)..

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 4 mai 2020 ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Gondoire (F6630600) » (consulté le ).
    3. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 21 octobre 2018
    4. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chanteloup-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chanteloup-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Liste des espaces protégés sur la commune de Chanteloup-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. Transdev-idf
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    16. Site territoires-fr.fr consulté le 27 octobre 2019 sous le code commune 77085.
    17. Site Corine Land Cover Mises à jour.
    18. Statistiques officielles de l'Insee.
    19. Cartulaire de Lagny, fol. 3.
    20. Cartulaire de Lagny, fol. 51.
    21. Cartulaire de Lagny, fol. 65 v°.
    22. Rôles des fiefs, 189.
    23. Rôles des fiefs, 545.
    24. Cartulaire de Pont-aux-Dames, fol. 39 v°.
    25. Cartulaire de Lagny, fol. 271 v°.
    26. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 99.
    27. « Il était une fois, Chanteloup.... », sur Chanteloup-en-Brie, site officiel (consulté le ).
    28. Palmarès des Villes Internet sur le site de l'association. Consulté le 01/10/2009.
    29. « Annuaire des communes de Seine-et-Marne », sur um77.fr (Union des maires de Seine-et-Marne).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Son blason », sur Chanteloup-en-Brie, site officiel (consulté le ).
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