Chaniers

Chaniers est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Chagnolais et Chagnolaises[1].

Chaniers

Une rue du centre-ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saintes
Maire
Mandat
Éric Pannaud
2020-2026
Code postal 17610
Code commune 17086
Démographie
Gentilé Chagnolais
Population
municipale
3 588 hab. (2018 )
Densité 135 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 43′ 08″ nord, 0° 33′ 21″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 74 m
Superficie 26,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saintes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaniers
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Chaniers
Géolocalisation sur la carte : Charente-Maritime
Chaniers
Géolocalisation sur la carte : France
Chaniers
Géolocalisation sur la carte : France
Chaniers
Liens
Site web www.chaniers.fr

    Si Chaniers est parfois surnommée la commune aux cent villages, elle bénéficie d'un certain nombre d'atouts qui lui permettent d'en faire une commune attractive aux portes de Saintes. Bordée par la Charente, sur sa rive droite, Chaniers est devenue une commune suburbaine particulièrement recherchée, étant de plus située dans la première couronne résidentielle de l'aire urbaine de Saintes.

    Géographie

    Localisation et accès

    La commune de Chaniers se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi atlantique[2], au cœur de l'arc atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français.

    La commune de Chaniers est entièrement située sur la rive droite de la Charente, à environ 6 km à l'est de Saintes et à 20 km à l'ouest de Cognac.

    Cette commune fut longtemps la plus importante du canton de Saintes-Est, canton créé en 1985. Malgré son poids démographique, elle n'avait pas le statut de chef-lieu de canton. En 2015, la création du canton de Chaniers lui permet d'occuper le rôle de bureau centralisateur (c'est-à-dire de chef-lieu).

    La commune est traversée d'ouest en est par la route départementale 24 (avenue des Deux-Charentes, puis avenue Charles-de-Gaulle dans le centre), qui est bordée par la voie ferrée Saintes-Angoulême (et Saintes-Bordeaux), sans arrêt à Chaniers (les trains du TER Nouvelle-Aquitaine de la ligne Saintes-Angoulême desservent la gare de Beillant, à Saint-Sever-de-Saintonge, à quatre kilomètres au sud-est du bourg central de Chaniers). La D24 entre à Saintes par les Arcivaux.

    La route nationale 141 entre Angoulême et Saintes, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, qui rejoint la rocade de Saintes et donne sur l'avenue Jourdan, traverse la commune au nord.

    Chaniers dispose du dernier bac motorisé encore en service sur la Charente, qui permet d'accéder à la commune de Courcoury au sud.

    Le bourg central, situé près du fleuve, s'organise autour de la place Saint-Pierre où se trouve l'église, et autour des rues Aliénor-d'Aquitaine et Saint-Antoine. La mairie, la salle des fêtes et la médiathèque occupent la place Jean-Pourcelet (du nom d'un maire de Chaniers). La place du Communal, sur la rive nord de la Charente, est bordée à l'ouest par une peupleraie, et à l'est par un camping. Au XXe siècle, l'urbanisation a progressé le long de la rue des Sables vers l'ouest, et a surtout progressé au nord de la voie ferrée, où ont été construits de nombreux lotissements, l'école et le bureau de poste.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune comprend également de nombreux hameaux, soit dans la plaine qui borde la Charente, comme Port-Hublé et La Baine, soit dans les collines de la partie nord, à l'instar des villages des Essarts et du Maine-Allain.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Charente à Chaniers.

    La commune est entièrement située sur la rive droite de la Charente juste en amont de Saintes.

    Elle est limitée à l'est par le ruisseau du Coran, qui se jette dans la Charente à Orlac.

    Le Bourru, autre ruisseau, traverse l'est de la commune pour se jeter dans la Charente à Bisseuil.

    Urbanisme

    Typologie

    Chaniers est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saintes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,4 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), cultures permanentes (13,8 %), forêts (12,4 %), prairies (8,9 %), zones urbanisées (6,2 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à la barre cousue de tenné, chargée de quatre tourteaux de sinople, accompagnée, en chef, du clocher du lieu d'argent essoré de sable mouvant de la barre et, en ponte, d'un poisson de gueules versé en barre; au comble de sinople chargé de l'inscription « CHANIERS » en lettres capitales de sable.

    Toponymie

    Chapniers jusqu'en 1715. Le clergé qui tenait l'état civil orthographiait Chapniers. Le p disparaît, le 22 août, dans un acte paroissial rédigé par le père DESCHAMPS qui remplaçait le curé LAVASPERE, malade. Celui-ci décédera début septembre. Depuis aucune modification n'a été faite.

    Certains toponymistes à la suite d’Albert Dauzat font un rapprochement avec le site topographique de la commune où dans la plaine fluviale, bordée par le fleuve, abondent de nombreux roseaux, d'où dériverait le nom de Chaniers, du latin canna signifiant « roseau », de l'occitan canna « roseau », issu du latin, car cette formation toponymique peut être médiévale. Chaniers serait alors une ancienne cannarium, c'est-à-dire une ancienne roselière[9],[10].

    Enfin, des historiens insistent plutôt sur le passé historique de la commune en rapport étroit avec la poterie, car la commune voisine de La Chapelle-des-Pots était un grand centre de production à l'époque médiévale. La terre noire de cette partie de la Saintonge était propice à la fabrication de chanes c'est-à-dire des cruches, plus précisément des cruches à vin. Chaniers serait donc à l'origine un hameau de potiers spécialisés, les chaniers, qui auraient donné leur nom au village actuel où était réalisée leur industrie[10].

    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[12].

    En 2018, la commune comptait 3 588 habitants[Note 3], en augmentation de 1,96 % par rapport à 2013 (Charente-Maritime : +2,13 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3872 1221 9222 5322 7192 7332 5302 5222 611
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5562 5632 5652 3092 2332 1512 2602 1152 029
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0032 0041 9101 8091 7321 6941 7231 9341 955
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    2 0222 2552 7502 9603 0863 2313 2843 4533 567
    2018 - - - - - - - -
    3 588--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (25,2 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (28,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 49 % d'hommes (0 à 14 ans = 16,6 %, 15 à 29 ans = 13,1 %, 30 à 44 ans = 20,3 %, 45 à 59 ans = 25,5 %, plus de 60 ans = 24,6 %) ;
    • 51 % de femmes (0 à 14 ans = 15,4 %, 15 à 29 ans = 13 %, 30 à 44 ans = 20,8 %, 45 à 59 ans = 25,1 %, plus de 60 ans = 25,7 %).
    Pyramide des âges à Chaniers en 2007 en pourcentage[15]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    0,8 
    6,1 
    75 à 89 ans
    7,4 
    18,1 
    60 à 74 ans
    17,5 
    25,5 
    45 à 59 ans
    25,1 
    20,3 
    30 à 44 ans
    20,8 
    13,1 
    15 à 29 ans
    13,0 
    16,6 
    0 à 14 ans
    15,4 
    Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2007 en pourcentage[16]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,5 
    8,6 
    75 à 89 ans
    11,9 
    16,4 
    60 à 74 ans
    17,1 
    21,3 
    45 à 59 ans
    21,1 
    19,1 
    30 à 44 ans
    18,5 
    16,8 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,3 
    0 à 14 ans
    15,1 

    La commune compte 1 459 actifs, dont 4,6 % de chômeurs[17].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires depuis 1945[18]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1951 Jean Louis Rouyer    
    1951 1953 Gaston Quinquenaud    
    1953 1977 Jean Pourcelet    
    1977 1983 Jean Menant    
    1983 2014 Xavier de Roux UDF puis
    UMP puis UDI
    Député (1993-1997 et 2002-2007)
    conseiller général (1985-2008)
    2014 En cours Éric Pannaud DVD Cadre

    Région

    À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

    Canton

    Jusqu'en 1985, Chaniers faisait partie de l'ancien canton de Saintes-Nord créé pendant la réforme de la carte administrative du Consulat en 1801Saintes était alors divisée en deux cantons (Saintes-Nord et Saintes-Sud). Avant la réforme napoléonienne de 1800, les cantons de Saintes ne formaient qu'un seul et même canton depuis la Constituante de 1790.

    Depuis le dernier découpage cantonal du département de la Charente-Maritime[Note 4] qui a eu lieu en 1985, Chaniers fait partie du canton de Saintes-Est dans lequel se trouvent également les communes de La Chapelle-des-Pots, Colombiers, Courcoury, Les Gonds et la Jard ainsi qu'une portion de la ville de Saintes-Est. Malgré l'importance de sa population, Chaniers n'a pas le statut de chef-lieu de canton.

    Conformément à de multiples décisions du Conseil constitutionnel depuis 1985 et notamment sa décision n° 2010-618 DC du 9 décembre 2010. Chaniers devient Chef-lieu de canton en 2014.

    27 communes composent le canton : Aujac, Aumagne, Authon-Ébéon, Bercloux, Brizambourg, Burie, Bussac-sur-Charente, Chaniers, La Chapelle-des-Pots, Chérac, Dompierre-sur-Charente, Le Douhet, Écoyeux, Fontcouverte, La Frédière, Juicq, Migron, Nantillé, Saint-Bris-des-Bois, Saint-Césaire, Saint-Hilaire-de-Villefranche, Saint-Sauvant, Saint-Vaize, Sainte-Même, Le Seure, Vénérand, Villars-les-Bois.

    Intercommunalités

    Chaniers est restée longtemps à l'écart du mouvement de l'intercommunalité initié dans les années 1990 en Charente-Maritime. Avec Ardillières, Ballon et Ciré, elle est restée longtemps une commune indépendante.

    C'est depuis le 28 mars 2011 que Chaniers a intégré officiellement la Communauté de communes Vignobles et Vals boisés du Pays BuriaudBurie détient le siège de l'intercommunalité.

    Jusqu'à la fin de l'année 2012, la commune de Chanies faisait partie de la Communauté de communes Vignobles et Vals boisés du Pays Buriaud qui comprenait dix communes ; cette dernière a fusionné avec la Communauté d'agglomération de Saintes le 1er janvier 2013[19].

    Depuis janvier 2013, Chaniers fait donc partie de la Communauté d'agglomération de Saintes dont le siège administratif est situé à Saintes.

    Par ailleurs, Chaniers fait partie du Pays de Saintonge romane où le siège administratif est situé à Saintes.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Pierre de Chaniers.

    L'église Saint-Pierre, située dans le centre-ville de Chaniers, a été construite sur un ancien site gallo-romain. Des traces de maçonneries datant du XIe siècle y ont été repérées à la base du clocher. Des travaux de fortification ont été réalisés pendant les guerres de Religion et une chapelle latérale a été érigée au XVIe siècle.

    Cette église a été classée Monument historique en 1912.

    Sur la place centrale du bourg de Chaniers se dresse le presbytère construit dans la deuxième moitié du XVIIe siècle ; cet édifice austère et très remanié est composé de deux corps de bâtiment juxtaposés que complète un porche[20].

    Patrimoine civil et naturel

    Le bac motorisé.
    Le moulin de la Baine

    Cet édifice a été construit au XVIIe siècle par ordre de Jean-Baptiste Colbert. Il fut agrandi pendant le XVIIIe siècle devenant alors le plus grand moulin à eau de la région dont l'activité meunière a perduré jusqu'au milieu du XXe siècle[21].

    Le bâti ancien

    Dans le centre-bourg et dans les villages alentour dépendant de la commune se trouvent de belles demeures saintongeaises en pierre de taille datant la plupart du XVIIIe siècle comme le château de la Bucaudière, demeure privée qui ne se visite pas. Cet héritage patrimonial disséminé dans la campagne chagnolaise résulte de l'installation des riches notables de la ville voisine de Saintes qui y avaient fait construire leurs maisons des champs.

    Par ailleurs, une bourgeoisie d'affaires et rurale avait su tirer une certaine prospérité de la vente des eaux de vie de cognac. Les logis charentais et les grandes fermes viticoles de la commune créés entre le XVIIe et XIXe siècles ont conservé d'intéressants portails dont un se trouve dans le centre-bourg, sur la place Saint-Pierre, se remarquant par un grand porche correspondant à une porte charretière surplombé d'un alignement de faux merlons caractéristiques de l'époque classique.

    Les rives de la Charente

    Le bac de Chaniers, au Communal, relie les communes de Courcoury et Chaniers en traversant la Charente.

    Non loin se trouve la plage naturellement aménagée de Chaniers, face au camping.

    Culture

    Chaniers dispose d'une médiathèque, nommée en hommage à Dominique de Roux.

    Personnalités liées à la commune

    L'écrivain Dominique de Roux y est enterré. Son frère, Xavier de Roux, a été maire de Chaniers de 1983 à 2014. Leur mère a résidé au château de la Boucauderie, situé à l'ouest de la commune[22],[23]

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. Sur ce sujet, se reporter à Administration de la Charente-Maritime
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
    3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 172b
    10. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages de la Charente-Maritime, éditions Bordessoules, 2002, p.76
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    15. « Évolution et structure de la population à Chaniers en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    16. « Résultats du recensement de la population de la Charente-Maritime en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    17. Document INSEE
    18. « Liste sur le site municipal »
    19. La carte intercommunale de la Charente-Maritime en 2013
    20. Jean-Luc Flohic, Patrimoine des communes de la Charente-Maritime, éditions Flohic, 2003, tome II, p.981
    21. Jean-Luc Flohic, "Le patrimoine des communes de la Charente-Maritime", éditions Flohic, 2003, tome II, p.981
    22. Jean-Luc Moreau, Dominique de Roux : dossier, L'Âge d'Homme, (ISBN 2-8251-0978-9 et 978-2-8251-0978-6, OCLC 37995846, lire en ligne), page 517
    23. Norimitsu Onishi, « Longtemps contrainte au silence, la victime d’un écrivain pédophile témoigne enfin », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )

    14 Liste des cantons de la Charente-Maritime

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