Chaintreaux

Chaintreaux est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Chaintreaux

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Gâtinais-Val de Loing
Maire
Mandat
Alexis Kerlo
2020-2026
Code postal 77460
Code commune 77071
Démographie
Gentilé Chanterelliens
Population
municipale
887 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 12′ 01″ nord, 2° 49′ 14″ est
Altitude Min. 88 m
Max. 133 m
Superficie 23,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nemours
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Chaintreaux
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Chaintreaux
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Chaintreaux

    Géographie

    Localisation

    Le village est situé à km au nord-ouest d'Égreville et à km à l'est de Souppes-sur-Loing.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune n’est traversée par aucun cours d'eau[1].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 729 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,5 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 46 km à vol d'oiseau[3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[4] à 11,6 °C pour 1991-2020[5].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[6],[7],[8].

    Urbanisme

    Typologie

    Chaintreaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 152 lieux-dits administratifs répertoriés[14] dont :

    • Lepuy, Fraville, la Brosse, Sonville, Lagerville, Chancery, Chamault, Pesiotte, la Malosse, Floé, Hautefeuille, la Rue Chaude, la Grillonnerie et la Grande Borde.
    • Le lieu-dit la Petite Borde a été supprimé lors du remembrement de 2004, il se situait au sud-ouest de la Grande Borde. Il ne subsiste que quelques murs, vestige d'une ancienne ferme.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,9% ), forêts (14,6% ), zones urbanisées (2,2% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[15].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[16],[17],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[18].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[19]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 425 dont 99,3 % de maisons et 0,5 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 80,9 % étaient des résidences principales, 11,5 % des résidences secondaires et 7,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 90,7 % contre 8,1 % de locataires et 1,2 % logés gratuitement[20] -[Note 4].

    Voies de communication

    La commune dispose de 30 kilomètres de voirie communale et est traversée par l’autoroute A6 (aire de repos de Sonville et de Floée) et le départ de l’autoroute A77[21].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars No 10 (Bransles – Saint-Pierre-les-Nemours) du réseau de cars Transdev[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Chanterella en 1189[23] ; Parrochia de Chanterello en 1227[24] ; Chantriaus juxta Ferrerias en 1239[25] ; Cheyntriaus en 1244[26] ; Chintriaus vers 1250[27] ; Cheintriaus en 1253[28] ; Chaintraus en 1265[29] ; E. de Chiemtrellis en 1295[30] ; Chintreaulx en 1491[31] ; Chentaulx en 1522[32] ; Chantereaulx en 1575[33] ; Chinteraulx en 1599[34],[27].

    Chaintreaux pourrait tirer son nom du terme chaintre signifiant « limite », cette commune se trouvant en limite des seigneuries de Dordives, Mez le Maréchal, Loiret, du Boulay, de Néronville et de Villebéon[21].

    Histoire

    La commune regroupe les anciennes paroisses de Chaintreaux et de Lagerville, cette dernière ayant été absorbée en 1842[35].

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 mars 2014 Pierre Boyer   Agriculteur
    mars 2014 En cours Marie-Claude Souque   Professeur

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [36],[37].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Chaintreaux ne dispose pas d'assainissement collectif[38],[39].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[40]. Le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le [38],[41].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [38],[42],[43].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

    En 2018, la commune comptait 887 habitants[Note 5], en diminution de 3,27 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5926245995857187879771 0371 101
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1341 1291 1241 1171 1001 0781 0791 1041 063
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 007973919765774770731685693
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    671576573576674783853902918
    2018 - - - - - - - -
    887--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'école communale.

    La commune dispose d'une école communale (1 classe maternelle et 3 classes primaires)[21].

    Associations

    Association Sportive (tennis de table, gymnastique, atelier musique théâtre), club du troisième âge, association Astronomique, association des Anciens Combattants, société de Chasse[21] Nature et Vie Sud 77.

    Économie

    L’agriculture représente l’activité principale avec une vingtaine d’exploitations de polyculture. Les céréales produites sont le blé, l’orge, le colza et sont collectées par la Coopérative TBG aux silos de Chaintreaux, les betteraves sucrières sont traitées à la sucrerie de Souppes[21].

    Agriculture

    Chaintreaux est dans la petite région agricole dénommée la « Bocage gâtinais », à l'extrême sud du département[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[47].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[48]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 32 en 1988 à 17 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 83 ha en 1988 à 130 ha en 2010[47]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chaintreaux, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Chaintreaux entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[47],[Note 7]
    Nombre d’exploitations (u) 32 25 17
    Travail (UTA) 61 38 23
    Surface agricole utilisée (ha) 2 641 2 946 2 206
    Cultures[49]
    Terres labourables (ha) 2 640 2 945 2 206
    Céréales (ha) 1 838 1 969 1 446
    dont blé tendre (ha) 1160 1334 776
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 142 86 s
    Tournesol (ha) 277 16 25
    Colza et navette (ha) 140 361 516
    Élevage[47]
    Cheptel (UGBTA[Note 8]) 203 427 448

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

    Lieux et monuments

    Héraldique

    Blason
    Parti: au 1er d'argent à la croix ancrée de gueules, au 2e à trois lions léopardés d'argent, couronnés d'or, l'un au-dessus de l'autre; le tout sommé d'un chef d'azur chargé d'un huchet d'or accosté de deux fleurs de lys du même.
    Détails

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Chaintreaux sur le site de la CC Gâtinais-val de Loing

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Chaintreaux - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 29 juin 2018
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    3. « Orthodromie entre Chaintreaux et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    5. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    6. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « Liste des espaces protégés sur la commune de Chaintreaux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. Site territoires-fr.fr consulté le 30 janvier 2020 sous le code commune 77071.
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    16. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    17. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    18. « Le SCOT Nemours Gâtinais - Historique de l'élaboration », sur smep-nemours-gatinais.fr (consulté le ).
    19. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    20. Statistiques officielles de l'Insee.
    21. « Chaintreaux sur le site de la CC Gâtinais-val de Loing » (consulté en ).
    22. Transdev, ligne 10
    23. Annales Gâtinais, XIII, 1895, p. 365.
    24. Richemond, Nemours, I, p. lxx.
    25. Histor. France, XXII, 607.
    26. Bibl. nat., ms. Latin 13892, n° 34.
    27. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 84.
    28. Archives nationales, S 5170.
    29. Archives nationales, S 5169.
    30. de Charmasse, Cart. évêché d'Autun, 1880, p. 340.
    31. Archives nationales, S 5171a.
    32. Archives chât. Paley ; Pap. Catel.
    33. Arr.-ban Nemours.
    34. Archives nationales, P 10, n° 147.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    37. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    38. « Commune de Chaintreaux - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    39. « Fonctionnement des services d'assainissement collectif de Seine-et-Marne - carte arrêtée en février 2020 », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    40. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    41. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    42. « SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    43. « SIVOM du plateau du Sud Bocage (PSB) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Chaintreaux », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    48. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    49. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Chaintreaux », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    50. « L'église Saint-Eutrope de Lagerville », notice no PA00132993, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « L'église St-Pierre-et-St-Paul », notice no PA00086852, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Objets mobiliers classés des églises », base Palissy, ministère français de la Culture.
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