Cesseras
Cesseras (en occitan Sesseraç) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Cesserassois.

Cesseras | |||||
![]() Chapelle Saint-Germain de Cesseras | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Minervois au Caroux | ||||
Maire Mandat |
Magali Guiraud 2020-2026 |
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Code postal | 34210 | ||||
Code commune | 34075 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cesserassois | ||||
Population municipale |
405 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 27 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 19′ 33″ nord, 2° 42′ 57″ est | ||||
Altitude | Min. 54 m Max. 417 m |
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Superficie | 15,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pons-de-Thomières | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Communes limitrophes
Géologie et relief
La commune de Cesseras se caractérise par une géographie variée : elle comprend l'extrémité de la grande plaine du Minervois et sa rencontre avec les coteaux des causses de Minerve et de Siran. Une partie importante des gorges de la Cesse dépend de Cesseras ; on y trouve notamment, à proximité du hameau de Fauzan, la célèbre grotte de l'Aldène (ou de la Coquille).
- Altitude minimale : 54 m ;
- altitude maximale : 417 m[1]
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Livinière », sur la commune de La Livinière, mise en service en 1992[7]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 650,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 14,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[16]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[17],[18].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[20] :
- « les causses du Minervois », d'une superficie de 21 805 ha, importants pour la conservation des gîtes et zones de chasse des chauves-souris cavernicoles que sont le Rhinolophe euryale , le Minioptère de Schreibers et le Murin de Capaccini[21]
et un au titre de la directive oiseaux[20] :
- le « Minervois », d'une superficie de 24 820 ha, retenu pour la conservation de rapaces de l'annexe I de la directive oiseaux, en particulier l'Aigle de Bonelli et l'Aigle royal. Mais le Busard cendré, le Circaète Jean-le-Blanc et le Grand-Duc sont également des espèces à enjeu pour ce territoire[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[23] : les « gorges de la Cesse » (977 ha), couvrant 5 communes du département[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[23] : le « Haut Minervois » (21 605 ha), couvrant 26 communes dont cinq dans l'Aude et 21 dans l'Hérault[25].
Urbanisme
Typologie
Cesseras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[26],[27],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[29],[30].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45,8 %), zones agricoles hétérogènes (27,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,9 %), forêts (1,2 %)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Au cours des siècles, la graphie du toponyme de Cesseras a varié. « Le dictionnaire topographique de l’Hérault » (1865), œuvre d’Eugène Thomas, ancien président de la Société archéologique de Montpellier, les recense[32] :
- Cesaranus seu Bassianum villa, 898 (archives de l'église de Narbonne H. L. H, pr. c. 28).
- Sesseraz, 1095 (2° cart. de la cathédrale de Narbonne ibid. 34o).
- Saisseras, 1100 (Spicil. X, 163).
- Ecel. S. Martialis de Seisseria in territorio Minerbensi, 1102 (archives de l'église de St-Pons; H. L. ibid. 357).
- De Cesseratis, 1135 (2° cart. de la cathédrale de Narbonne ibid. 480).
- Allod. de Cesserad, 1182 (G. christ. VI, inst. c. 88).
- Cesserats, 1222 (hôtel de ville de Narbonne H. L. III, pr.c. 275).
- Cesseratium, 1256 (mes de Colbert, ibid 521).
- Cesseras, seigneurie de la viguerie de Carcassonne, 1529 (dom. de Montp. ibid. V, c. 85); 1625 (pouillé); 1649 (ibid.); 1760 (ibid.).
Dans son étude « Les noms de lieux de l'Hérault » (Centre d'Études Occitanes ; Université Paul-Valéry-1983) Frank R. Hamlin relie l’étymologie de Cesseras à la rivière de la Cesse. Cependant, Paul Fabre, dans son ouvrage « Noms de lieux du Languedoc » (Editions Bonnet on, 1995) note que « les formes anciennes semblent renvoyer (au suffixe) –anum » : la première appellation connue de Cesseras (an 898) le montre : « Cesaranus seu Bassianum » qui évoque un César.
D’après Georges Sénié, il semblerait qu'Eugène Thomas ait confondu « Cesaranus » avec Sérame (hameau situé aujourd’hui à l'extrémité nord de la commune de Lézignan-Corbières) ; « Bassianum » renvoie au domaine de Bassanel, situé non loin de Sérame, sur le territoire communal d’Olonzac). Si l'on accepte cette analyse, la première graphie donnée de Cesseras serait à éliminer. Dès lors, l'hypothèse de Hamlin est plausible : Cesseras aurait un rapport direct avec la rivière Cesse.
Histoire
L'occupation humaine est attestée sur la commune de Cesseras depuis 300 000 ans (fouilles de la grotte de la Coquille).
Le village n'apparaît officiellement dans l'histoire qu'en 844, dans un acte de Charles le Chauve (mention de la villa Censaradus).
Au XIIIe siècle, au moment de la croisade contre les Albigeois, le seigneur accusé d'hérésie est dépossédé de ses biens et emprisonné à Carcassonne. En 1255, Saint Louis donne Cesseras à Raimond II Trencavel, en dédommagement des biens confisquées par la Couronne. C'est d'ailleurs dans le château seigneurial que serait mort cet avant-dernier des Trencavel, vers 1263, après avoir servi le roi de France lors de la septième croisade.
Lors de la guerre de Cent Ans, le village est ravagé par les routiers, qui détruisirent notamment l'église Saint-Geniès.
Le , a lieu la bataille de Cesseras-Azillanet dans l'Hérault, pendant les guerres de religion.
Sous l'Ancien Régime, l'église était sous le vocable de Saint-Geniès et sous l'invocation de Notre-Dame de la Serre. Il existait une paroisse annexe, Saint-Germain-de-Courbissac. Bien que citée en 1790, Saint-Germain n'est pas créée commune.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2018, la commune comptait 405 habitants[Note 7], en augmentation de 10,35 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Les listes nominatives de recensement de population ont été numérisées et sont consultables en ligne sur le site des Archives départementales de l’Hérault[37].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments



La commune est particulièrement riche en monuments historiques :
- Grotte d'Aldène (dite aussi de Fauzan ou de la Coquille). Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [38].
- Dolmen de la Cigalière (métairie de Balzabé). Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [39]..
- Chapelle Saint-Germain-de-la-Serre[40] (à deux kilomètres à l'ouest du village), chef d'œuvre de l'art roman en Minervois, caractérisée par ses bandes lombardes. C'est l'ancienne église paroissiale d'un village aujourd'hui disparu. La première campagne de chantier remonte au XIe siècle ; l'édifice a ensuite été surélevée au XIIe siècle (la différence d'appareil est bien visible). L'intérieur, à vaisseau unique, est voûté en berceau brisé pour la nef et en cul-de-four pour l'abside. L'église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [41]..Tour Saint Salvy
- Église Saint-Geniès, église paroissiale du village caractéristique du gothique méridional : vaste nef unique ouverte sur des chapelles latérales, abside à pans rayonnants. L'édifice a été reconstruite au XVe siècle après les ravages des Routiers. Son portail renaissance, protégé sous un porche à croisée d'ogives, est daté du XVIe siècle. Le clocher, puissante tour crénelée, est le seul vestige de l'édifice roman antérieur. Il faisait partie du système de fortification du village. Il renferme un trésor d'art sacré, dont le fameux bras reliquaire de Saint-Salvy (visite : renseignement à la mairie). L'église fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [42].
- Site de l'ancienne chapelle Saint-Salvy : vestiges d'une chapelle du Haut Moyen Âge, présentant un appareil en opus spicatum caractéristique. L'édifice a été détruite durant les guerres de religion ; son trésor a été transporté à l'église Saint-Geniès. Les ruines sont classées Monument Historique par arrêté du .
- Le vieux village conserve des vestiges de ses remparts (tours et courtines). Il possède aussi quelques vieilles maisons (fenêtres à meneaux) et des éléments de l'ancien château, démantelé à partir de la Révolution : deux tours rondes, dont une couronnée d'une couverture à tuiles vernissées. Le site du village, niché sous les premiers contreforts du Massif Central, est particulièrement séduisant.
Personnalités liées à la commune
Cesseras aurait accueilli, selon la légende, le dernier ressortissant de la lignée des Trencavel, Raymond II, qui serait mort dans le château seigneurial vers 1267.
Le village de Cesseras est le berceau familial de Nancy Fabre, Révérende Mère Mechtilde Fabre (Cesseras 1839/Lima 1919), Supérieure Principale des Sœurs de St Joseph de Cluny qui fonda au Pérou de nombreuses maisons d'éducation et qui reçut en marque de reconnaissance du gouvernement français les palmes d'Officier d'Académie en 1917.
On lui doit la fondation de six maisons d'éducation :
- Deux à Lima dont le grand pensionnat fondé en 1889 qui, vu son importance, devint la Maison Principale du district du Pérou.
- Une maison d'éducation fondée à Ica en 1890.
- Un pensionnat fondé en 1893 au port de Lima (Le Callao).
- Une cinquième maison d'éducation dans la montagne fondée à Barranco en 1904.
- Une dernière maison à Chicuito, au bord de la mer, construit en 1909.
Héraldique
![]() |
Les armes de Cesseras se blasonnent ainsi : de gueules à trois fasces d'or, à une hache d'armes d'argent brochant en pal.[43]. |
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Voir aussi
Bibliographie
- « Le dépôt cultuel de la grotte de la Balme-Rouge à Cesseras (Hérault) », Archéologie en Languedoc, Sète, Fédération archéologique de l'Hérault, no 4, , p. 117-159
- « Cesseras (Hérault) - Église Saint-Germain de la Serre », dans Congrès Archéologique de France, 131e session, Pays de l'Aude. 1973, Paris, Société française d'archéologie, coll. « Congrès archéologique de France » (no 131), , p. 61-69
- « L'œuvre de la charité dans la Communauté de Cesseras (1321-1789) », Revue historique du diocèse de Montpellier, Montpellier, 1909-1910, p. 252-256 et 401-406
- Hélène Barge, « La grotte sépulcrale de Gazel 2 à Cesseras (Hérault) », Bulletin de la Société d'étude des sciences naturelles de Béziers, Béziers, Société d'étude des sciences naturelles de Béziers, t. V, , p. 78-97
- Joseph Barthez, « Archives de la communauté de Cesseras : inventaire de 1634 », Revue historique du diocèse de Montpellier, Montpellier, 1910-1911, p. 467-474
- Joseph Barthez, « Archives de la communauté de Cesseras (suite) : inventaire de 1634 », Revue historique du diocèse de Montpellier, Montpellier, 1910-1911, p. 505-511
- Colette Brussieux, Cesseras : étude de conservation préventive des objets mobiliers, Montpellier, Conseil général de l'Hérault,
- Robert Marty, « Les graffitis de la grotte d'Aldène à Cesseras (34) », Histoire et généalogie en Minervois, no 67, , p. 13-20
- Laurent Maurette, « La Grotte des Poteries, à Fauzan (commune de Cesseras, Hérault) », L'Anthropologie, t. XXVI, nos 2-3,
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Cesseras (1328-1789) [1,20 ml]. Cote : 75 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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- « site Natura 2000 FR9101444 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9112003 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Cesseras », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « gorges de la Cesse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Eugène Thomas, Dictionnaire topographique du département de l'Hérault comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie Impériale, 1865, p. 43.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Listes nominatives de recensement de population consultables en ligne
- Notice no PA00103432, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00103430, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Robert Saint-Jean - Saint-Germain de Cesseras, p.61-69, dans Congrès archéologique de France. 131e session. Pays de l'Aude. 1973, Société française d'archéologie, Paris, 1973
- Notice no PA00103428, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00103431, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 39.
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