Cempuis

Cempuis est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Cempuis

Église Saint-Nicolas et monument aux morts.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de la Picardie Verte
Maire
Mandat
Marc Houbigand
2020-2026
Code postal 60210
Code commune 60136
Démographie
Gentilé Cempuisiens, Cempuisiennes
Population
municipale
499 hab. (2018 )
Densité 53 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 33″ nord, 1° 59′ 15″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 198 m
Superficie 9,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandvilliers
Législatives [2e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Cempuis
Géolocalisation sur la carte : Oise
Cempuis
Géolocalisation sur la carte : France
Cempuis
Géolocalisation sur la carte : France
Cempuis

    Géographie

    Vue aérienne de Cempuis.

    Localisation

    Cempuis est un village rural du Plateau picard, jouxtant de Grandvilliers et situé à 27 km au nord-ouest de Beauvais et à 35 km au sud-ouest d'Amiens.

    Communes limitrophes

    Transports et déplacements

    Cempuis est aisément accessible par le tracé initial de l'ex-RN 1 (actuelle RD 901).

    La gare la plus proche est la gare de Grandvilliers. La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau interurbain Trans'80 Hauts-de-France[1].

    Habitat

    Logements[2]Nombre en 2015 % en 2015nombre en 2010 % en 2010
    Total219100 %192100 %
    Résidences principales19588,9 %16585,9 %
    → Dont HLM10,5 %10,5 %
    Résidences secondaires et
    logements occasionnels
    156,8 %157,7 %
    Logements vacants[Note 1]94,3 %126,4 %
    Dont :
    → maisons21598,2 %18898,1 %
    → appartements20,9 %20,9 %

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 808 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 23 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,6 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Cempuis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,8 %), zones urbanisées (4,4 %), prairies (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,1 %), forêts (0,3 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le village a été dénommé Cempuis-le-Grand, Sempuis, Chempuis , Cenpuis en 1230 , Centpuits, Centpuis, Chempuy-le-grand, Cenpuiz en 1167, Cenpuy, Cenpuis (Centum Putei en 1140)[23].

    La dénomination du village proviendrait des multiples puits d'aération des muches (souterrains refuges) où se cachaient les habitants lors des guerres d'autrefois[24]

    Histoire

    Selon Louis Graves, « Cempuis appartenait dans le douzième siècle à une famille qui portait le nom du pays. La terre était une des pairies de Pecquigny et un démembrement de celle de Sommereux. Elle fut possédée pendant les quinzième et seizième siècles par la famille Dufay, et vint plus tard à la famille Gouffier[23] ».

    Il indiquait « Le patronage de la cure sous le titre de Saint-Nicolas appartenait à l'abbaye de Saint-Lucien, qui fut confirmée dans ce droit et dans la jouissance, des dîmes en 1159, par Thierry, évêque d'Amiens[23] ».

    Au milieu du XIXe siècle, le village comptait quatre moulins à vent et les habitants vivaient de l'agriculture et de la fabrication de bas de laine[23].

    Politique et administration

    La communauté de communes de la Picardie verte dans le département de l'Oise.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Grandvilliers[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui l'intègre toujours, s'est agrandi, passant de 23 à 101 communes.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes de la Picardie verte, créée fin 1996.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[26]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1962   Albert Ladoubart    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Jacques Coët[27]    
    mars 2014[28] juillet 2020 Jean-François Boursier   Fonctionnaire
    juillet 2020[29] En cours
    (au 23 juillet 2020)
    Marc Houbigand    

    Politique de développément durable

    En 2019, le maire et le conseil municipal menacent de démissionner si la création d'un parc éolien de deux éoliennes à Sommereux et deux à Cempuis est autorisé, malgré leur avis défavorable et une forte mobilisation des habitants du village lors de l'enquête publique[30]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

    En 2018, la commune comptait 499 habitants[Note 8], en diminution de 4,04 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    622636714662734668623595567
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    495479454426471402509556589
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    605622582488593594626453547
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    356371363360299383421425499
    2017 2018 - - - - - - -
    501499-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,5 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 52,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 23,3 %, 15 à 29 ans = 15,7 %, 30 à 44 ans = 22,4 %, 45 à 59 ans = 22 %, plus de 60 ans = 16,6 %) ;
    • 47,5 % de femmes (0 à 14 ans = 20,8 %, 15 à 29 ans = 14,4 %, 30 à 44 ans = 23,8 %, 45 à 59 ans = 22,8 %, plus de 60 ans = 18,3 %).
    Pyramide des âges à Cempuis en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    3,6 
    75 à 89 ans
    6,9 
    13,0 
    60 à 74 ans
    11,4 
    22,0 
    45 à 59 ans
    22,8 
    22,4 
    30 à 44 ans
    23,8 
    15,7 
    15 à 29 ans
    14,4 
    23,3 
    0 à 14 ans
    20,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    La mairie-école

    Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique intercommunal rassemblant Cempuis et Sommereux, avec, en 2016, deux classes dans la première et trois dans la seconde, soit 128 élèves inscrits[36]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La mare de Cempuis.
    La rue Principale, au début du XXe siècle.
    Le monument aux morts.
    Elle fut la première école mixte de France, mise en place par Paul Robin, directeur de l'orphelinat de Cempuis de 1880 à 1894.
    Son nom exact était le "collège Marcel-Callo". Il a remplacé l'IDGP (institution départementale Gabriel-Prévost) qui appartenait au département de la Seine, aujourd'hui géré par la Ville de Paris aux termes d'un legs de Gabriel Prévost en vue de la création d'une institution laïque pour l’accueil d’orphelins[37]. Cet établissement fondé par Gabriel Prévost a été le premier établissement mixte de France. À son début, dirigée par Paul Robin, il mettait en œuvre une pédagogie révolutionnaire.
    La mairie de Paris délégua en 1988 (sous la mandature de Jacques Chirac) la gestion aux Orphelins Apprentis d'Auteuil, aujourd'hui Fondation d'Auteuil, qui y géra la maison Jacques-Callo, établissement à caractère social et éducatif accueillant des élèves en souffrance scolaire et/ou sociale dans le cadre des principes de la Fondation d'Auteuil : "Accueillir, Eduquer, Former, Insérer"[réf. nécessaire], et qui a renoncé à cette gestion au [38].
    Depuis sa fermeture, le site de 10 hectares comprenant de nombreux locaux, notamment d'enseignement est inutilisé et nécessiterait de lourds investissements pour l'adapter à de nouveaux usages, tels que, selon le conseiller régional Alexis Mancel, « un lycée d’enseignement général, un campus universitaire[39] ». Une rumeur a circulé en 2015-2016, selon laquelle la Ville de Paris aurait envisagé d'y aménager un centre d'accueil dans le cadre de la crise migratoire en Europe[38],[40],[37]. La commune a souhaité, sans succès, acquérir une partie des bâtiments (locaux techniques et bâtiment moderne abritant des classes situé au carrefour de la rue Gabriel-Prévost et de la voie communale traversant le domaine), afin d'y loger ses ateliers municipaux, le centre de première intervention des pompiers et des classes[36].
    • Église Saint-Nicolas : Chœur du XIVe siècle, chapelle Renaissance à voûtes et pendentifs. Boiseries du XVIIIe siècle. Christ en bois du XVe siècle[24],[41].
    • Chapelle Ecce Homo : Construite en 1728, au centre du village[24].
    • Muches (Souterrains-refuges) très fortifiés mais comblés par les éboulements, dont les "100 puits" d'aération seraient à l'origine du nom du village.
    • Puits de Cempuis : La commune compte encore quatre ou cinq puits[24].

    Personnalités liées à la commune

    • Paul Robin, directeur de l'orphelinat Prévost de 1880 à 1894.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    2. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2015, document mentionné en, liens externes.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    9. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Cempuis et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Cempuis et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Grandvilliers, arrondissement de Beauvais : Extrait de l'Annuaire de 1840, 115 p. (lire en ligne), p. 33-34, lire en ligne sur Gallica.
    24. « Fins de travaux sur la toiture : L'église Saint-Nicolas régulièrement entretenue », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3434, , p. 7.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. « Les maires de Cempuis », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    27. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Réveil du 27 mars 2008
    28. Matthias Schweisguth, « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 9.
    29. « Le nouveau maire est marc Houbigand : Marc Houbigand est le nouveau maire de Cempuis. S’il a déjà été élu premier adjoint, le nouveau maire est au conseil municipal de sa commune depuis 24 ans », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 3668, , p. 17.
    30. « Pétition contre les éoliennes : « Nous ne sommes pas écoutés » : Jean-François Boursier estime que l'Etat ne tient pas compte de l'avis des habitants opposés au projet éolien. Il menace de démissionner de son poste de maire », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3555, , p. 5.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population à Cempuis en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Cempuis ne peut pas acheter pour l’école », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3402, , p. 6.
    37. « Un avenir pour le site : Le domaine Gabriel-Prévost à Cempuis est en quête d’un nouvel avenir. La ville de Paris le vendra si un projet viable est présenté », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3402, , p. 6.
    38. « Cempuis : le village redoute un Sangatte bis », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    39. Matthias Schweisguth, « Cempuis : avenir toujours flou pour Callo : Pour les élus locaux, le conseil régional des Hauts- de- France est l’interlocuteur privilégié pour assurer un avenir à l’ancien orphelinat. Reste à trouver un projet », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3415, , p. 7.
    40. Matthias Schweisguth, « Dix associations pour un centre pour réfugiés », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3398, , p. 6 « Dix associations ont écrit à Anne Hidalgo, maire de Paris, pour l’encourager à accueillir des demandeurs d’asile au domaine Gabriel-Prévost à Cempuis dont la capitale est propriétaire. Envoyée le 31 mars, la lettre n’a pas encore reçu de réponse de la mairie de Paris ».
    41. Dominique Vermand, « Cempuis, église Saint-Nicolas », Diocèse : Amiens, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    • Portail de l’Oise
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.