Castelnau-de-Montmiral

Castelnau-de-Montmiral (en occitan Castèlnòu de Montmiralh) est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Castelnau.

Castelnau-de-Montmiral

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Gaillac Graulhet Agglomération
Maire
Mandat
Paul Salvador
2020-2026
Code postal 81140
Code commune 81064
Démographie
Gentilé Montmiralais
Population
municipale
1 027 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 57′ 59″ nord, 1° 49′ 18″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 485 m
Superficie 88,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gaillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vignobles et Bastides
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Castelnau-de-Montmiral
Géolocalisation sur la carte : Tarn
Castelnau-de-Montmiral
Géolocalisation sur la carte : France
Castelnau-de-Montmiral
Géolocalisation sur la carte : France
Castelnau-de-Montmiral
Liens
Site web site officiel

    Géographie

    Commune située entre Albi et Montauban.

    La commune est traversée d'est en ouest par la Vère. Au nord de cette rivière s'étend la forêt de Grésigne, une des plus vastes forêts de chênes de France et même d'Europe. Le sud de la Vère est en partie occupé par un plateau calcaire (causse). Le village est d'ailleurs construit sur un piton calcaire qui surplombe la vallée de la Vère.

    Communes limitrophes

    Castelnau-de-Montmiral est limitrophe de onze autres communes.

    Carte de la commune de Castelnau-de-Montmiral et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Vère, affluent de l'Aveyron. Sur la commune, la Vère est rejointe par les ruisseaux de Beauzens, Belayrol, de Gandhailhobe, de Rieutort, du Rô Oriental, , de Saint-André....

    Le Tescou, affluent du Tarn, prend sa source sur la commune, à Pailhasse.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune (8 881 hectares) en fait une des plus grandes du département ; son altitude varie de 153 à 486 mètres[2].

    Voies de communication et transports

    Accès avec la route départementale D964 (ex : Route nationale 664)

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 820 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montels », sur la commune de Montels, mise en service en 1996[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 720,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Albi », sur la commune du Sequestre, mise en service en 1976 et à 23 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,4 °C pour 1981-2010[12] à 13,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Castelnau-de-Montmiral est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gaillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,1 %), terres arables (22,8 %), zones agricoles hétérogènes (14 %), prairies (3,4 %), cultures permanentes (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale composée de :

    • castel nau (> nòu) « château neuf » en occitan (cf. Castelnau, Neufchâtel, etc.)
    • Mont miral (Monte miraill 1259), toponyme en Mont- au sens de « colline, élévation de terrain, hauteur », appellatif toponymique issu du bas latin MONTE (du latin classique montem, accusatif de mons). Le second élément -miral représente l'ancien occitan miralh « miroir » → « point de vue, poste d'observation » équivalent de l'ancien français mirail cf. Montmirail[20]. Il s'agit d'un dérivé de mire, suivi du suffixe à valeur superlative -alh cf. Montgradail (Aude, Montegardall 1215).

    Remarque : les formes anciennes du type Mons Mirabilis sont des latinisations fantaisistes de clercs médiévaux. L'adjectif mīrābilis signifie en latin « admirable, merveilleux », d'où « miraculeux (lieu des miracles) » et dont le substantif en latin populaire, *mirabĭlia, (altération du latin classique mīrābĭlia) a donné meravilha en occitan et merveille en français par évolution phonétique régulière et pas autre chose.

    Histoire

    Tout autour de la forêt de Grésigne s'élèvent des dolmens de l'âge de bronze et des oppidums/oppida (places fortes) de l'âge de fer.

    La bastide albigeoise est fondée en 1222 par Raymond VII, comte de Toulouse, qui a donné à la bastide les mêmes franchises qu'à Cordes et Gaillac.

    Le diminutif de Montmiral a été communément utilisé dans les actes officiels, y compris au XIXe siècle dans l'état civil de la commune. Ce diminutif est encore utilisé aujourd'hui par ses habitants.

    La bastide est réunie au domaine royal en 1271. Elle est administrée par un délégué du sénéchal de Toulouse jusqu'en 1322. Philippe V le Long l'a alors donnée à Arnaud de Trians, vicomte de Tallard.

    Pendant la guerre de Cent Ans, les Anglais, conduits par le prince Noir, envahissent l'Albigeois en 1345. Ceux-ci se retireront sans oser attaquer la ville...

    En 1352, les habitants rendent hommage à Louis de Trians. Par un acte de 1365, il confirme les coutumes de la communauté. Il a maintenu ses vassaux dans leurs prérogatives, avec le consentement de sa mère, Constance de Narbonne, en considération des dommages de la guerre et des contributions qu'ils ont payé pour la rançon du roi.

    À la fin du XIVe siècle, la bastide fait partie des domaines de Bernard VII d'Armagnac. Castelnau est alors gardé par des capitaines du parti des Armagnacs qui désolaient les terres autour et dont se plaignent les consuls de Gaillac, de Puycelsy et de Penne. En l'absence du comte d'Armagnac, Bonne de Berry écrit à ses bonnes gens pour bien garder la ville. En 1470, Louis XI met sous séquestre les domaines du comte d'Armagnac. Georges II de La Trémoille, sire de Craon, gouverneur de Tours, conseiller et premier chambellan de Louis XI, obtient du roi la seigneurie de Castelnau-de-Montmiral, Villeneuve et Milhavet. Après 1479, Louis Ier d'Amboise, évêque d'Albi, obtient du roi l'autorisation de faire l'acquisition de la seigneurie. Charles Ier d'Armagnac est rétabli dans ses domaines en 1484. Il s'établit à Castelnau où il meurt en 1497. La seigneurie rentre alors dans le domaine de la Couronne[21].

    Pendant les guerres de religion, Castelnau-de-Montmiral n'adhère jamais au protestantisme et accueille les catholiques de Gaillac, qui ont été chassés de la ville par les protestants majoritaires. En janvier 1587, une attaque du capitaine protestant Bruniquel est repoussée. Selon la légende, une femme revenant de puiser l'eau à la fontaine du Théron aurait donné l'alerte, contraignant les assaillants à une retraite précipitée.

    Louis XIII revenant du siège de Saint-Antonin est passé à Castelnau-de-Montmiral le 24 juin 1622, logé dans la maison de Tonnac.

    C'est également le lieu d'habitation de la célèbre famille Privat[Laquelle ?].[réf. nécessaire]

    Héraldique

    Son blasonnement est : De gueules au château donjonné d'argent, ouvert et maçonné de sable, senestré d'un monde croisé d'or, le tout surmonté d'un miroir du même, ouvert aussi de sable, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[22],[23].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement d'Albi du canton de Castelnau-de-Montmiral jusqu'à sa suppression en 2015, date depuis laquelle elle appartient au canton de Vignobles et Bastides. Enfin, elle est rattachée à la deuxième circonscription du Tarn. La commune faisait partie de la communauté de communes Tarn et Dadou devenue Gaillac Graulhet Agglomération.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 En cours Paul Salvador DVD[24] Conseiller général puis départemental
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].

    En 2018, la commune comptait 1 027 habitants[Note 5], en diminution de 0,19 % par rapport à 2013 (Tarn : +1,75 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 4522 5232 7162 7583 1043 1083 0863 1163 066
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 0193 0212 9012 5692 5072 5322 5592 5632 058
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7711 7771 6821 5221 5081 5021 4191 3151 284
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 2381 2151 037958910895940946952
    2013 2018 - - - - - - -
    1 0291 027-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[29] 1975[29] 1982[29] 1990[29] 1999[29] 2006[30] 2009[31] 2013[32]
    Rang de la commune dans le département 44 52 52 64 68 71 73 69
    Nombre de communes du département 326 324 324 324 324 323 323 323

    Économie

    Viticulture : gaillac (AOC), côtes-du-tarn, gaillac-premières-côtes,

    Lieux et monuments

    Croix reliquaire, début XIVe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    Vie locale

    Culture

    Tous les ans, fin juillet, "les Musicales de Montmiral" proposent un festival de musique pendant trois jours.

    Concerts sur la place des arcades avec buvettes, restaurations et grillades assurées par le Dégourdy's Club de GAILLAC.

    « Sartre préférait les pierres aux arbres ; mes plans tenaient compte de ses goûts. Tantôt marchant, tantôt prenant des cars nous visitâmes des villes et des villages, des abbayes, des châteaux. Un soir, un petit autobus cahotant et bondé nous amena à Castelnau de Montmiral ; il pleuvait ; en descendant sur la place entourée d’arcades, Sartre me dit abruptement qu’il en avait assez d’être fou. »

    Gastronomie

    • Les reponchons (mot occitan qui peut se traduire par tamier ou herbe aux femmes battues en français ; prononcer repountchous) poussent dans les sous-bois et les fossés. On les ramasse en avril. Ils ressemblent à du lierre (fine liane grimpante) ou à des asperges sauvages. Amers, ils se consomment coupés en rondelles et cuits à la poêle seuls ou en préparation.
    • Les radis au foie : cuire des rouelles de radis et des dés de foie de veau à la poêle, puis déglacer au vinaigre.
    • Les oreillettes.
    • La fouace avec laquelle on fête les Rois à l'Épiphanie.
    • La croustade : tourte aux pommes, poires ou pruneaux.
    • La confiture de citre. La citre est une pastèque qui ne se consomme pas crue mais sous forme de confiture ou de fruits confits. La culture de ce fruit était répandue dans le sud de la France mais est devenue rare de nos jours.
    • Le boudin Galabar  (issu de l"occitan goula, « tête ») fait partie des boudins noirs. Il peut être séché pour prolonger sa conservation. Il se mange cru ou cuisiné (frit ou poêlé).
    • Pâté de foie de porc.

    Activités sportives

    Chasse, randonnée pédestre, pétanque, complexe sportif (gymnase),

    Lieu de passage de la 11e étape du Tour de France 2019.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    Notes de type "Carte"

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Montels - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Castelnau-de-Montmiral et Montels », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météofrance Montels - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Castelnau-de-Montmiral et Le Sequestre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Albi - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gaillac », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 467b.
    21. Clément Compayré, Études historiques et documents inédits sur l'Albigeois, le Castrais et l'ancien diocèse de Lavaur, imprimerie de M. Papailhiau, Albi, 1841, p. 412-419 (lire en ligne)
    22. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    23. https://elections.interieur.gouv.fr/municipales-2020/031/031120.html
    24. « Résultats des élections départementales 2015 − Tarn (81) − Canton de Vignobles et Bastides (23) », sur www.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    32. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).

    Liens externes

    • Portail du Tarn
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.