Cappelle-la-Grande

Cappelle-la-Grande (Kapelle en néerlandais) est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Cappelle-la-Grande

La mairie de Cappelle-la-Grande.

Blason

Logo
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté urbaine de Dunkerque
Maire
Mandat
Julien Gokel
2020-2026
Code postal 59180
Code commune 59131
Démographie
Gentilé Cappellois(es)
Population
municipale
7 909 hab. (2018 )
Densité 1 449 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 59′ 57″ nord, 2° 21′ 53″ est
Altitude Min. 1 m
Max. 5 m
Superficie 5,46 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Dunkerque
(banlieue)
Aire d'attraction Dunkerque
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Coudekerque-Branche
Législatives Treizième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Cappelle-la-Grande
Géolocalisation sur la carte : Nord
Cappelle-la-Grande
Géolocalisation sur la carte : France
Cappelle-la-Grande
Géolocalisation sur la carte : France
Cappelle-la-Grande
Liens
Site web http://www.cappellelagrande.fr/

    Géographie

    Cappelle-la-Grande dans son canton et son arrondissement.
    Vue panoramique de Cappelle-la-Grande.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 706 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Dunkerque », sur la commune de Dunkerque, mise en service en 1917[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 697,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et à 61 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Cappelle-la-Grande est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Dunkerque, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[17] et 166 021 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (50,7 %), zones urbanisées (34,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,6 %), prairies (5,2 %), forêts (0,2 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Son nom vient du mot chapelle et désigne donc une chapelle établie en ce lieu.

    C'est en 1921 que cette ancienne dépendance d'Armbouts-Cappel est devenue une commune indépendante.

    L'ajout de l'appellation « La Grande » au toponyme est dans le but de distinguer ce Cappelle des localités homonymes du département[24].

    Histoire

    Des origines à la fin des années 1950

    Jusqu'au IXe siècle de notre ère, le territoire de Cappelle la Grande sort à peine la tête de l'eau. D'ailleurs, la presque totalité de la Flandre Maritime est constituée d'un vaste espace marécageux, très peu peuplé. À partir du Xe siècle débute le vaste mouvement de reconquête de la mer par les hommes et c'est alors que le territoire cappellois émerge véritablement. Pendant tout le Moyen Âge, Cappelle reste un petit hameau villageois agricole qui évolue au gré de l'histoire de la Flandre, puis de celle de la France. La paroisse est un temps détenue par la famille de Visch, dont un membre a fait partie des seigneurs de Capple.

    En 1658 après la bataille des Dunes remportée par Turenne, Dunkerque devient anglaise. La possession anglaise recouvre non seulement la ville de Dunkerque mais aussi des territoires dont certains jusque là relevaient de la châtellenie de Bergues : Mardyck, Grande Synthe, Petite Synthe, une partie d'Armbouts-Cappel, Cappelle-la-Grande, une partie de Coudekerque, Téteghem, Uxem, Ghyvelde, Leffrinckoucke, Zuydcoote. En 1662, Louis XIV rachète ce territoire aux Anglais[25].

    Avec le XXe siècle, sa révolution industrielle et ses nombreuses mutations, la cité entre dans l'ère de la modernité du progrès. De 135 habitants en 1789, Cappelle compte 1 000 administrés un peu plus d'un siècle plus tard en 1908. L'implantation de l'usine de Georges Lesieur en 1910 permet d'augmenter les besoins en main-d'œuvre.

    Pendant la première guerre mondiale, en 1917-1918, Téteghem est le siège d'un commandement d'étapes, c'est-à-dire un élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du commandement, en arrière du front. Cappelle fait partie des communes concernées et a accueilli des troupes[26].

    C'est en 1920 que la commune prend son nom actuel de « Cappelle la Grande ». Au même moment se développe la cité des cheminots, « véritable ville dans la ville » et pépinière du mouvement associatif cappellois naissant.

    Comme toute la région du Nord occupée, la ville souffre des deux guerres mondiales de 1914-1918 et 1939-1945. La période de reconstruction et les « Trente Glorieuses » font passer la commune du statut de village agricole à celui de ville périurbaine.

    Depuis les années 1960, une expansion rapide de la cité

    Profitant du développement de l'industrie dans la région dunkerquoise au début des années 1960, Cappelle la Grande connaît une explosion démographique très rapide. La ville passe de 4 500 habitants en 1960 à presque 8 000 âmes dès 1975. Près de 1 200 logements sont construits en moins de quinze ans. De nouveaux équipements vont être proposés à la population dont un collège en 1968, un jardin public en 1977, une piscine, une MJC... Avec les années 1980, un centre-ville moderne est créé qui permet de relier les différents quartiers de la cité. Le symbole en est le Palais des Arts et des Loisirs inauguré en 1980. Ont suivi un beffroi de style flamand, une poste moderne, un planétarium en 1989 et le Palais de l'Univers en 1997 qui marquent l'ouverture de Cappelle la Grande au tourisme scientifique.

    À l'aube du nouveau siècle, notre ville n’a cessé de se moderniser par les installations sportives avec, en 2002, la construction entre autres, du complexe sportif Roger Gouvart donnant l’opportunité à la population de s'initier à de nouvelles activités sportives, ce qui a impliqué l’agrandissement du Palais des Arts en 2005 afin de pouvoir accueillir dans de meilleures conditions de nombreuses associations comme l’école des Beaux-Arts, la chorale. Dans cette même période, la ville a vu l'apparition de nouveaux logements sociaux du centre-ville, le Hameau des sept planètes, les logements de la cité des Cheminots (rue Vatel) ainsi que le béguinage Marthe Marchyllie aménagé pour les anciens.

    L'implantation de nombreuses sociétés a permis le développement de la zone économique de la Grande Porte. Depuis 1997, l'ampleur du Palais de l’Univers et de son planétarium a donné le jour au P.L.U.S. « Palais de l'Univers et des Sciences » inauguré en octobre 2009. Ce nouvel espace consacré à la culture et aux loisirs scientifiques montre une ville ouverte au monde.

    Aujourd’hui, la ville compte 7 899 habitants. Elle fait partie de la communauté urbaine de Dunkerque (Dunkerque grand littoral).

    Les autres dénominations de Cappelle-la-Grande ont été Arembouts-Capple-Cappelle en 1469, Cappelle en 1814, Arembouts-Cappel-Cappelle en 1819, Cappelle-lez-Dunkerque en 1920 et Cappelle-la-Grande par décret le 19 décembre 1920. (source, livre de l'histoire de Cappelle-la-Grande 1981)

    Héraldique

    Les armes de Cappelle-la-Grande se blasonnent ainsi, telles qu'elles sont décrites dans l'Armoriale des communes du département du Nord de T. Leuridan : « D'argent semé de croisettes recroisetée de sable, à deux bars adossés du même, et en chef un écusson d'or au chevron de sable. », mais les armoiries actuelles sont celles de Martin De Visch et se lisent ainsi : « D'argent à deux poissons pâmés, adossés en pal, de sable, l'écu semé de croisettes recroisetées, au pied fiché de même et en chef un écusson d'or au chevron de sable. »

    Drapeau

    Le drapeau de la ville au sommet du beffroi

    La ville de Cappelle-la-Grande dispose de son propre drapeau qui se décrit comme suit : fascé de huit pièces d'azur et d'or avec en son centre le blason de la ville avec à dextre et à senestre le lion des Flandres[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1789 1801 Marc Fonteyne   Cultivateur
    1801 1803 Jean-Antoine Mallet   Cultivateur
    1803 1817 Louis Mathieu   Cultivateur
    fabricant de sucre
    1817 1827 Benoît-Cornil Morael   Cultivateur
    1827 1831 Jean-Baptiste Mormentyn   Cultivateur
    1831 1854 Louis Mahieu   Cultivateur
    fabricant de sucre[28]
    1855 1878 Henry Mahieu   fabricant de sucre[28]
    1878 1904 Gustave Bertin De Mersseman   Cultivateur
    1904 1908 Auguste Deblock   Cultivateur
    1908 1920 Lucien Hennebert   Cultivateur
    1920 1945 Paul Francke   Cultivateur
    1945 1947 André Tanchon   agent SNCF
    1947 1951 Marceau Crandal SFIO agent SNCF
    1951 13 mars 1983 Marius Rubbens PS agent SNCF
    13 mars 1983 Roger Gouvart PCF Vice-Président de la Communauté Urbaine de Dunkerque, Délégué syndical portuaire, décédé, en cours de mandat le ordre national du mérite en 1985, chevalier des arts et des lettres, officier des palmes académiques
    Anne-Marie Deneckère SE Intérim de Roger Gouvart
    Léon Devloies DVG Professeur de Mathématiques, Président d'honneur du Basket-Club Cappellois, Chevalier des Palmes académiques, Médaille d'or de la FFBB, 7e Vice-Président de la Communauté Urbaine de Dunkerque
    en cours Julien Gokel PS Vice-Président de la Communauté Urbaine de Dunkerque, Vice-Président du SIVU, Conseiller Départemental du Nord - Canton de Coudekerque-Branche
    Les données manquantes sont à compléter.

    Les élections municipales du 15 mars 2020 ont vu la liste "Pour Cappelle et Pour Vous" menée par Julien Gokel l'emporter avec 75,95 % des suffrages devant la liste "Vivons Cappelle Autrement" menée par Stéphane Gouvart avec 24,05 %.


    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2018, la commune comptait 7 909 habitants[Note 7], en diminution de 0,49 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    191304257286279303297311291
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    310344497461537641627687658
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    6887861 1151 4942 1422 3172 5592 1573 156
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    4 7815 7237 9629 1868 9088 6138 3298 1417 874
    2018 - - - - - - - -
    7 909--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Cappelle-la-Grande en 2007 en pourcentage[33].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,1 
    4,1 
    75 à 89 ans
    5,9 
    12,2 
    60 à 74 ans
    14,3 
    19,3 
    45 à 59 ans
    20,1 
    21,3 
    30 à 44 ans
    19,3 
    21,5 
    15 à 29 ans
    20,6 
    21,6 
    0 à 14 ans
    19,8 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[34].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,7 
    4,6 
    75 à 89 ans
    8,2 
    10,4 
    60 à 74 ans
    11,9 
    19,8 
    45 à 59 ans
    19,5 
    21,0 
    30 à 44 ans
    19,9 
    22,5 
    15 à 29 ans
    20,9 
    21,5 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Energie

    La commune a été choisie pour accueillir le démonstrateur du projet de Power-to-gas dénommé GRHYD mis en place dans la communauté urbaine de Dunkerque, inauguré en juin 2018 après 6 ans d'études et de préparation[35]. Il vise à tester la « transformation » en hydrogène d’électricité non consommée au moment de sa production, avec injection de cet hydrogène dans le réseau de gaz naturel. Un nouveau quartier et le réseau de bus vont ainsi pouvoir bénéficier de la production d'hythane® (mélange d’hydrogène et de gaz naturel) et le système facilitera l'intégration des énergies renouvelables intermittentes dans le mix énergétique. Le potentiel du Power-to-Gas est estimé par l'Ademe à 30 TWh par an, pour la France métropolitaine à horizon 2035[36]. Les partenaires français de ce projet coordonnés par Engie (ex-GDF Suez), dont le CEA, le Centre technique des industries aérauliques et thermiques (CETIAT), l’Ineris, Areva H2Gen (qui produit les électrolyseurs), McPhy (spécialiste des équipements utilisant l'hydrogène), Engie Inéo (pour la connectivité), GNVert (filiale d'Engie commercialisant du gaz naturel véhicule), GRDF, la communauté urbaine de Dunkerque et la STDE (Société des transports de Dunkerque et extensions)[36].
    Trois containers sont respectivement dédiés à l’étape d’électrolyse, au stockage et à l'injection dans le réseau. Ici l'hydrogène alimentera la chaufferie d’un centre de soins durant deux ans ainsi qu'environ 200 logements si tout se passe bien [36].

    Divers

    Forte de la richesse de ses associations, la ville s'est construite et développée autour du Palais des arts et des Loisirs un centre-ville de style flamand pour dynamiser la commune au début des années 1980 ainsi que par la construction d'un beffroi. La ville se caractérise dans le tourisme scientifique avec le planétarium, le seul au nord de Paris et la construction du Palais de l'univers et des sciences (PLUS) ouvert depuis 2009, qui est devenu un équipement touristique et scientifique majeur appartenant à la Communauté Urbaine de Dunkerque.

    Un marché hebdomadaire a lieu dans la commune le samedi matin.

    Lieux et monuments

    Palais de l'Univers et des Sciences.

    Personnalités liées à la commune

    Clubs sportifs nationaux et évènements sportifs internationaux

    Le ministère des sports a décompté 29 équipements sportifs sur le territoire de la commune en 2013[37].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Dunkerque - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cappelle-la-Grande et Dunkerque », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Dunkerque - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cappelle-la-Grande et Boulogne-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Boulogne-sur-Mer - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Dunkerque », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak -Origine des noms de villes et villages du Nord - Page 67 - (ISBN 2916344454).
    25. Louis de Baecker, Recherches historiques sur la ville de Bergues (lire en ligne), p. 83 et 87.
    26. « Journaux des marches et opérations des corps de troupe - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
    27. le blog photos de papydo
    28. Les 17 maires de Rosendaël ; Du 24 mars 1860 Scission avec Téteghem et Coudekerque-BrancheDécret du 24 mars 1860 Au 31 décembre 1971 ; Fusion avec Dunkerque le 1er janvier 1972 ; Arrêté préfectoral du 29 décembre 1971
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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