Candillargues

Candillargues est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.

Candillargues

L'église de Candillargues.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Communauté d'agglomération du pays de l'Or
Maire
Mandat
Anthony Melin
2020-2026
Code postal 34130
Code commune 34050
Démographie
Gentilé Candillarguois
Population
municipale
1 797 hab. (2018 )
Densité 218 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 15″ nord, 4° 04′ 08″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 7 m
Superficie 8,23 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mauguio
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Candillargues
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Candillargues
Géolocalisation sur la carte : France
Candillargues
Géolocalisation sur la carte : France
Candillargues
Liens
Site web candillargues.fr

    Ses habitants sont les Candillarguois.

    Géographie

    Carte

    Le village de Candillargues se situe à environ 15 kilomètres à l'est du centre de Montpellier et environ 4 kilomètres de Mauguio, chef-lieu du canton.

    Le territoire communal est situé sur la rive nord de l'étang de l'Or et est encadré par la Cadoule à l'ouest et le Bérange à l'est.

    Candillargues dans le canton de Mauguio.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Candillargues
    (Distances : à vol d'oiseau / par la route)[1]
    Mudaison
    (3.92 / 4,61 km)
    Lansargues
    (3.42 / 4,26 km)
    Saint-Just
    (5.47 / 8,50 km)
    Mauguio
    (4.76 / 5,40 km)
    Saint-Laurent-d'Aigouze
    (10.36 / 19,83 km)
    Carnon
    (10.91 / 20,96 km)
    La Grande-Motte
    (6.82 / 25,02 km)
    Aigues-Mortes
    (11.49 / 27,50 km)

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 674 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,2 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 15,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[11].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

    Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux[18],[19], mais aussi de la directive habitats, l'« étang de Mauguio » ou « étang de l'Or ». D'une superficie de 7 020 ha, cette lagune communique avec la mer par un grau qui relie le Sud-Ouest de l'étang au port de Carnon. L'étang est entouré par une gamme variée d'habitats naturels : un système dunaire, des milieux saumâtres à hyper salés sur les rives sud et est et des milieux saumâtres à doux influencés par l'eau douce sur les rives nord. Ce site présente une diversité des milieux et des conditions d'hygrométrie et de salinité, lui conférant un intérêt ornithologique remarquable[20].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[21] : le « marais de Cros Martin et de Fanguière » (205 ha), couvrant 2 communes du département[22] et le « marais de Tartuguière et du Grès » (662 ha), couvrant 5 communes du département[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21] : le « complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains » (14 344 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Gard et 13 dans l'Hérault[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Candillargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[26],[27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[28],[29].

    La commune, bordée par la mer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[30]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[31],[32].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones humides côtières (27,7 %), terres arables (26 %), cultures permanentes (20,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), zones urbanisées (6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), eaux maritimes (0,9 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Côme-de-la-Palus[34].

    Héraldique

    Blason
    D'or au clocher de l'église du lieu au trait de sable accompagné en chef à dextre d'une pomme de gueules tigée et feuillée d'une pièce de sinople, à senestre d'un canard volant contourné au naturel et en pointe d'un taureau de sable, la tête contournée en défense accornée au naturel.
    Détails

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 juin 1995 Jean Melin    
    juin 1995 mars 2001 Huguette Defontenay    
    mars 2001 mars 2014 Daniel Édo DVD  
    mars 2014 juillet 2020 Alain Monestier SE Cadre supérieur
    juillet 2020 En cours Anthony Melin[35] SE  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2018, la commune comptait 1 797 habitants[Note 8], en augmentation de 15,27 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    114143132120160191198171190
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    179134176181163150187201266
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    284267303301293304304321302
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2863112924766871 1431 2411 2551 269
    2013 2018 - - - - - - -
    1 5591 797-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Activités

    Les vignes développées au XIXe siècle ont laissé place à l'arboriculture dans la seconde moitié du XXe siècle avec l'implantation du canal d'irrigation du Bas-Rhône-Languedoc qui passe deux kilomètres plus au nord à Mudaison[39].

    En bord d'étang, l'aérodrome comprend une piste de 900 mètres[39] et sert aux vols d'ULM.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église de Candillargues a été fondée au XIIe siècle. La cloche date de 1648. L'année 1978 est marquée par la découverte de vieilles fresques. L'église ainsi que la rue portent le nom du saint patron du village : Blaise. Chaque année, les Candillarguois célèbrent la fête de la Saint-Blaise le premier week-end du mois de février. Au sommet des festivités règne le taureau à la corde. Les habitants des villages et villes qui perpétuent cette coutume sont à l'heure actuelle dans une grande bataille contre le préfet afin de pouvoir conserver ces festivités camarguaises qui sont leur histoire[réf. nécessaire].
    • Le Château de Candillargues - Privé - Immeuble en copropriété.

    Personnalités liées à la commune

    • Kurt Brenner, directeur de la Maison de Heidelberg et président de la Fédération des maisons franco-allemandes en France.
    • Georges Mateu, ébéniste, frère du peintre Ernest Mateu[réf. nécessaire].

    Galerie

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[17].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Distances vers : Lansargues, Saint-Just, Saint-Laurent-d'Aigouze, Aigues-Mortes, La Grande-Motte, Carnon, Mauguio et Mudaison, publié sur les sites fr.distance.to et l-itineraire.com (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Montpellier-Aéroport - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Candillargues et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    13. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    14. « l'« étang de l'Or » », sur le site du conservatoire du littoral (consulté le )
    15. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Candillargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « site Natura 2000 FR9101408 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    20. « site Natura 2000 FR9112017 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « Liste des ZNIEFF de la commune de Candillargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « ZNIEFF le « marais de Cros Martin et de Fanguière » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « marais de Tartuguière et du Grès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « complexe paludo-laguno-dunaire des étangs montpelliérains » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    28. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    31. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    33. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Résultats des élections municipales et communautaires dans l'Hérault, publié le sur le site du Conseil départemental de l'Hérault (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Aigues-Mortes, carte topographique de l'IGN TOP25 n°2843 OT (1/25 000e), 2e édition, 2000.

    Voir aussi

    Fonds d'archives

    Article connexe

    Lien externe

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