Bruley

Bruley est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Bruley (homonymie).

Bruley

Mairie et monument aux morts

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Elisabeth Poirson
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54102
Démographie
Gentilé Brulois [1]
Population
municipale
610 hab. (2018 )
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 29″ nord, 5° 51′ 03″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 386 m
Superficie 6,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Bruley
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Bruley
Géolocalisation sur la carte : France
Bruley
Géolocalisation sur la carte : France
Bruley

    Géographie

    Les premières maisons du village se sont développées autour de l’église bâtie vers 1175 sur les hauteur. Progressivement, les habitations sont descendues en s'organisant essentiellement le long d'un axe principal, conférant aujourd'hui à Bruley l'aspect bien connu d'un "village rue" lorrain.

    Le ban communal, d’une superficie de 634 hectares, comporte en 2011, d'après les données Corine land Cover, 30 % de forêts, 45 % de prairies et terres arables, 15 % de vignes et 5,6 % de zones urbanisées (ou divers)[2].

    Le relief se compose d'une grande partie de plaine, à l'est du Village (altitude moyenne 230 m) et d'un relief boisé (alt. 350 m) à l'ouest dont le contrefort est occupé par les vignes.

    Le territoire est arrosé par le ruisseau dit "du Bois de Saint Gengoult[3] (bois Pichard, Cne de Bouvron) qui se jette à la Moselle via le longeau, toutefois d'autres cours d'eau intermittents le parcourent, il existe un point d'eau à l'ouest de l'Église.

    Par ailleurs, le ruisseau du Val-des-nonnes[4] (Pantaux ?) bien que formellement sur le territoire de la commune d'Écrouves, prend sa source dans le bois de Pagney, à l' extrême ouest de la commune de Bruley.

    Le ban communal est aujourd’hui traversé par la route départementale 904 (ex Route nationale 404) à l'est du village, mais les chroniques archéologiques[5] signalent un diverticule d'un ancien chemin traversant la commune d'est en ouest pour relier Toul à Pannes vers Bavay (parfois nommé Chemin Brabant car ce dernier a fait partie de la Lotharingie)

    Comme d'autres communes dans la région touloise, Bruley a été le lieu de productions manufacturées à base d'argile étant donné la disponibilité de l'eau (nombreux ruisseaux) et surtout de matière première : l'argile de la Woëvre. Une tuilerie a fonctionné sur ce territoire[6], elle se trouvait à l'emplacement de l'actuelle ferme de "la tuilerie".

    Bruley fait partie du vignoble des côtes-de-toul.

    Bruley ( Ban communal )

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Bruley est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,3 %), prairies (23,7 %), terres arables (22 %), cultures permanentes (15,3 %), zones urbanisées (4,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,2 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Le toponyme est formé de l'anthroponyme gallo-romain Bruvarius/Bruvirius et du suffixe gallo-romain -acum, formation typique de l'Antiquité tardive et de l'époque mérovingienne. Il apparaît sous la forme Bruviaco (Briviariacum ) en 836[14].

    Briviariacum (836) ; Bureriacum (870) ; Briviriacum (885) ; Bruvriacum (936) ; Brueriacum (936) ; Bruviriacum (965) ; Bruriacum (1033) ; Bannum de Brurei (1150) ; Brureium (1180) et Bruererum (1188), sont les différentes graphies rencontrées[15].

    Histoire

    L'Histoire de la commune avant le VIIe siècle est peu connue, les répertoires archéologiques citent la découverte de vestiges d'habitations anciennes au lieu-dit Chengré, sans autre précision[16].

    Le site de la mairie[17] indique toutefois :

    «Bien que l’on n’ait pas trouvé sur le territoire de la commune de restes d’une culture celtique antérieur, il est certain qu’il a existé au moins une villa gallo-romaine sur le territoire mais elle n’a pas été fouillée.»

    Sous l'épiscopat d'Eudolius de Toul, une riche, noble et pieuse dame nommée Praetoria donna en 604 à l'Église de Toul les dîmes de Saint Maximin, les villages entiers de Villey-Saint-Etienne, de Villey-le-sec, de Bicqueley, d'Andilly, de Lucey et de Bruley[18].

    Ensuite sous celui de Pierre de Brixey, évêque de Toul, pour la fondation de la collégiale de Liverdun, en 1188, cet évêque donna au chapitre de cette ville une pièce de vigne sur le ban de Bruley (vineam apud Bruererum).

    Cette terre fut vendue à la maison de Joinville, et passa ensuite dans celle d'Haraucourt. En 1202, la cure de Bruley fut donnée au chapitre de Toul par Pierre, sire de Bourlémont[19].

    H Lepage indique[20]:

    «On voyait encore, au commencement du XVIIe siècle, dans les environs de Bruley, les ruines d'une ancienne abbaye de religieuses de l'ordre des Prémontrés, à la place de laquelle on a bâti un ermitage qu'on appelle le Val-des-Nonnes[21] Cette abbaye avait été fondée vers le milieu du XIIe siècle par les seigneurs du lieu, qui étaient de l'ancienne maison de Joinville.»

    Cet établissement était rattaché à l'abbaye de Rangeval .

    Il est également rapporté dans les chroniques historiques que le territoire (la chapelle) de Pagney derrière Barine était annexe à cette commune durant l'ancien régime.

    Le territoire communal porte un ouvrage du système défensif dit "Séré de Rivière" : le Fort de Bruley

    Vers 1850-1851, 12 jeunes habitants[22]quittent le village et le pays pour la Californie ; c’est l’époque de la ruée vers l’or[23].

    En 1906, sous la conduite d'un chef de chantier, des ouvriers français décident de barrer la route aux Italiens venus travailler sur les chantiers du fort d'Écrouves et de Bruley, ils les menacent et les frappent, armés de pelles et de pioches. Les Italiens représentent alors une concurrence. L'affrontement prend fin avec l'intervention de la troupe. De nouveau, en juillet 1914, des dizaines d'ouvriers français se rassemblent pour chasser les Italiens des chantiers du fort en rédigeant un article dans un journal local en signant : "un groupe d'ouvriers français remplacés par les Italiens"[24].

    Traditions et événements

    Tradition ancestrale, aux origines perdues dans les limbes du passé, la soirée des Mai se déroule la veille du 1er mai, et consiste en une soirée initiatique pour les jeunes hommes du village, la tradition voulant qu'après les festivités, au plus fort de la nuit, les prétendants aillent déposer une branche de charme dans la gouttière des filles à marier.

    La tradition s'accompagne d'un chambardement du village, les participants souvent éméchés déplaçant des objets d'une maison à l'autre pour semer la confusion.

    En 2007, le petit village a accueilli la première édition de la fête de l'Excellence rassemblant les talents régionaux en termes de métiers d'art et de gastronomie. 15 000 personnes ont fait le déplacement pour voir les 60 artisans sélectionnés[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 juillet 2020 Claude Manet[26]   Retraité des artisans, commerçants et chefs d'entreprise
    juillet 2020 En cours Elisabeth Poirson[26],[27] LR Personne sans activité professionnelle de 60 ans et plus (non retraitée), conseillère régionale

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2018, la commune comptait 610 habitants[Note 3], en augmentation de 0,33 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    499448477531587650630608604
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    544544522531523520505506439
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    568620481412391383391453422
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    350341382539586583600618610
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    E. Grosse[32] indique dans son ouvrage, vers 1836 :

    « Les produits de Bruley, Foug, Mont-le-Vignoble, Toul, etc., sont particulièrement recherchés... Surface territ. 645 hect. cadastrés, dont 207 en terres labour., 163 en forêts, 55 en prés et 122 en vignes qui produisent un des meilleurs vins du pays. Le blanc conserve une rare limpidité, et possède un fumet très-suave ; le rouge est plus dur, mais il est généreux.. »

    indiquant ainsi la tradition viticole du village. (cf. carte historique du vignoble lorrain)

    Vignoble de Bruley, vue des vignes vers Écrouves.

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

    D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[33]), la commune de Bruley était majoritairement orientée[Note 4] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 5] d'environ 350 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en baisse significative depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 389 à 192 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 13 ( 31 auparavant) exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 13 unité(s) de travail[Note 6]. (30 auparavant)

    Culture locale et patrimoine

    Édifices religieux

    Église Saint-Martin.
    • Réplique de la grotte de Lourdes surnommée « le petit Lourdes lorrain »
    • Église Saint-Martin XIXe siècle de style néogothique.
    • Chapelle du Rosaire au milieu des vignes. La chapelle en totalité, la grotte Notre-Dame de Lourdes, les escaliers, les rampes et les murs de soutènement des terrasses ainsi que le sol sur lequel ils sont situés sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du 19 juillet 2005[34]. Au second plan on aperçoit la chapelle Saint-Martin.
    • Chapelle Saint-Martin XIIe siècle : tour romane partie subsistante de l'ancienne église, actuellement chapelle du cimetière, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 27 juin 1984[35].

    Édifices civils

    • Monument aux morts.
    • Le fort, vieux fort du système Séré de Rivières qui fait partie du système défensif de Toul. Le site étant dangereux, il est réglementé par l'armée et son accès a été fermé par un mur de terre de plusieurs mètres de hauteur.
    • Le noyer, vieil arbre plusieurs fois centenaire.
    • Les quatre chemins, croisée des chemins de vignes venant des villages voisins, ainsi que ceux venant du village et menant au plateau surplombant la commune.

    Gastronomie

    Gris de Toul de Bruley.
    • Vins des côtes de Toul.
    • Spécialité culinaire : crème aux mirabelles.

    Héraldique

    Blason
    D'argent à la vigne de sinople fruitée de pourpre au chef d'azur chargé d'un tau d'argent accompagné de deux fleurs de lys d'or.
    Détails
    La vigne indique que Bruley est un lieu de production de vin gris de Toul. Cette appellation est rappelée par le tau blanc sur fond bleu qui sont les couleurs de la Champagne, province dont dépendait Bruley. Les fleurs de lys d'or évoquent que la commune était une enclave française en Lorraine[36].
    Le blason est adopté en 1982.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    4. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
    5. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    6. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
    3. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Ruisseau du Bois de St Gengoult (A5830340) ».
    4. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    5. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 35.
    6. « Tuileries et tuiliers d'autrefois (partie 2) », sur https://www.etudes-touloises.fr, Etudes touloises (consulté le ).
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
    15. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
    16. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte, « Revue historique de la Lorraine / publiée tous les deux mois par la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ) : « P 114 Au lieudit Chengré, restes de constructions cimentées (B. R., p. 35). ».
    17. « Histoire - Patrimoine - Vie locale - Mairie de Bruley », sur www.bruley.mairie54.fr (consulté le ).
    18. Calmet, Augustin, 1672-1757., [Histoire ecclésiastique et civile de Lorraine ... jusqu'à la mort de Charles V. duc de Lorraine, arrivée en 1690. Avec les pièces justificatives ... Le tout enrichi de cartes géographiques, de plans de villes, etc.]., 1745-57 (OCLC 558042093, lire en ligne), p. 170 des preuves de l'Histoire
      « Sanctus Euculanus , decimus tertius hujus sedis episcopus,vir magnificus, cujus diebus locum quem tenebat, terrarum possessionibus coepit magnificare Dominus, inter quas Luciacus ibi est acquisitus quo in episcopali cathedra residente, quædam Dei fámula , atque in augmentandis ecclesiis Dei Genitricis semperque Virginis , & S. protomartyris Stephani devota, nomine Praetoria, ecclesiam sancti Maximini , villamque Videliacum , & aliam villam eodcm nomine nuncupatam , Buchuliacum quoque, nec non & abbatiam sancti Piencii, & alium locum, qui dicitur Arduno, sive Ticiliacum, & Brueriacum, sicut in ejus cartha continetur , acquisivit. »
      .
    19. Lepage, Henri., Pouillé du Diocèse de Toul, rédigé en 1402, publié pour la première fois, etc., (OCLC 561948503, lire en ligne).
    20. Le Page, Henri, 1814-1887., Le département de La Meurthe, statistique, historique et administrative., Peiffer, (OCLC 23401704, lire en ligne), p. 94.
    21. « Liste des ermitages dans le doyenné de Toul », sur https://www.etudes-touloises.fr, Etudes touloises (consulté le ) : « Conclusion de l'article ».
    22. Il s’agit de Jean Migot, 28 ans, Joseph Bouvée, N. Verlet, Nicolas Goujot, Joseph Raison, Justin Demange, Nicolas Trottot puis, quelques mois plus tard, de Firmin Gillet, Louis Bouvée (frère de Joseph) et Clément et, enfin, de Grégoire et Stéphane Demange.
    23. Malcom J. Rorhbough, Rush to Gold, The French and the California Gold Rush, 1848-1954, Yale University Press, 2013.
    24. Pierre-Louis Buzzi, « Formes, usages et accueils de la main d’œuvre étrangère en France des années 1880 aux années 1930 », Le travail en Europe occidentale 1830-1930, .
    25. La Fête de l'Excellence à Bruley en 2007
    26. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique..., Nabu Press, (réimpr. 2012) (1re éd. 1836), 972 p. (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 111.
    33. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
    34. « Chapelle du Rosaire », notice no PA54000068, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Chapelle Saint-Martin », notice no PA00106005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Blason Bruley », sur genealogie-lorraine.fr (consulté le ).
    37. « Auteur (s) Guy Demange », sur catalogue.bnf.fr (consulté le 2 avril 2017).
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