Brionne

Brionne est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Bryone.

Brionne

Les ruines du donjon carré du XIe siècle,
 Inscrit MH (1925).

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Valéry Beuriot
2020-2026
Code postal 27800
Code commune 27116
Démographie
Gentilé Brionnais
Population
municipale
4 238 hab. (2018 )
Densité 253 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 11′ 44″ nord, 0° 43′ 16″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 145 m
Superficie 16,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Brionne
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Brionne
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Brionne
Géolocalisation sur la carte : Eure
Brionne
Géolocalisation sur la carte : France
Brionne
Géolocalisation sur la carte : France
Brionne
Liens
Site web Site officiel

    Ses habitants portent le nom de Brionnais.

    Géographie

    Localisation

    Brionne est une commune de l'Ouest du département de l'Eure en Normandie. Elle se situe dans la vallée de La Risle, entre Beaumont-le-Roger et Pont-Audemer, précisément à l'intervalle entre le plateau bocager du Lieuvin à l'ouest et la vaste plaine de la campagne du Neubourg à l'est. Son paysage est caractérisé par des coteaux raides et boisés et par un fond de vallée occupé par des prairies bocagères. Les cultures labourées y sont rares[1]. À vol d'oiseau, le bourg est à 14,4 km au nord-est de Bernay[2], à 37,2 km au nord-ouest d'Évreux[3], à 35,9 km à l'est de Lisieux[4] et à 38,2 km au sud-ouest de Rouen[5].

    Hydrographie

    La ville de Brionne est traversée selon un axe nord-sud par la Risle, une rivière qui prend sa source dans l'Orne et qui se jette dans la Seine, au niveau de son estuaire[8]. Sur le territoire de la commune, la Risle se divise en plusieurs bras élargissant son lit majeur à plus de 400 mètres. Elle y reçoit les eaux de la source des Fontaines et du ruisseau des Fontaines.

    Voies de communication et transports

    Vue du viaduc du radier d'Aclou - La Risle à Brionne depuis les bois de Beauficel (Harcourt).

    Voies de communication

    La commune de Brionne est traversée par :

    Urbanisme

    Typologie

    Brionne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Brionne, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 4 947 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brionne, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (42 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (43,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), prairies (31,5 %), zones urbanisées (16 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), terres arables (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,6 %), eaux continentales[Note 3] (1,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    La ville existait déjà à l'époque gallo-romaine, son nom est attesté sous la forme Breviodurum (Table de Peutinger, Itinéraire d'Antonin), aux IIIe et IVe siècles donc. Cependant, les latinisations médiévales ne confirment pas cette mention. En effet, on trouve : Brionnam 1035 - 1040, Briotna 1051 - 1054, (ecclesiae) Briothnienses XIe siècle[19].

    Les formes médiévales postulent un *Brivoduna[20] > Brioduna > Briothna > Brionne. Brivo a le sens de « pont » en gaulois. La lénition gauloise de Brivo- en Brio- est attestée dans une inscription et dans le glossaire d'Endlicher, où brio glose le latin ponte[21], puis les [t] / [d] (ou [ð]) intervocaliques s'amuïssent régulièrement en français Briot(h)na > Brionne (cf. latin catena > français chaine). Le second élément aurait été initialement duna, variante de dunum, attesté dans Therdonne (Oise)[20].

    Bien que Breviodurum corresponde topographiquement au site de Brionne, la filiation phonétique de l'un à l'autre n'existe que pour le premier élément du nom[20]. En effet, Breviodurum composé des éléments gaulois Briva, pont (sur la Risle) et durum, forteresse, ville, n'a pu aboutir à Brionne, mais aurait dû donner *Briore, comme Briare (Loiret, Brivodurum IVe siècle, Table de Peutinger). Il est possible que la finale -URU ait fait place à une finale *-UNA ou *-ANA au Moyen Âge selon la suggestion d'Albert Dauzat et Charles Rostaing[22].

    On pourrait également prendre en compte une possible erreur d'écriture ou de transcription sur la Table de Peutinger, comme c'est souvent le cas (ex: Culabone pour Cularo -GRENOBLE) et y lire "breviodunum", correspondant mieux à la graphie médiévale puis actuelle.

    Histoire

    Ville gauloise située à la limite des territoires des Lexoviens, des Eburovices et des Véliocasses, Brionne est à un carrefour de quatre voies romaines, dont deux de première importance, elle est citée dans la table de Peutinger et en 337 dans l'itinéraire d'Antonin[23].

    Dans les années 850, le chef viking Rollon lors des expéditions normandes, pilla Brionne. La ville devient normande à la suite d'un accord conclu avec Charles le Simple. Vers 980, Richard 1er de Normandie, duc de Normandie donna en dot à Godefroy de Brionne. Il devient ainsi comte de Brionne jusqu'à son décès vers 1020 pour être remplacé par son fils Gilbert de Brionne. La tutelle administrative fut confiée à Guillaume le comte d'Exmes, son tuteur.

    En 1033, Gilbert de Brionne partit en bataille avec le chevalier Herluin. A deux doigts de perdre la vie, Herluin fit le vœu de revêtir l'habit de moine et de consacrer sa vie à Dieu s'il parvenait à s'échapper vivant. Il créa ainsi en 1034 l'abbaye de Notre-Dame du Bec au Bec-Hellouin.

    Au XVè siècle, la châtellenie de Brionne passe par mariage à la Maison de Lorraine qui transmet le comté à la Maison de Guise, branche cadette établie en France qui sera l'ancêtre de la Maison royale d'Italie et de la Maison princière de Monaco. Dernier des comtes de Brionne, Charles-Eugène de Lorraine, prince de Lambesc, s'éteindra zen Autriche en 1825. Avec lui s'éteint la branche française de la Maison de Lorraine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    1850 1850 Jean-François Desbuards   historien de sa ville natale
             
    1919 1925 M. Bosguérard    
             
    1964 1982 Georges Beuvain SFIO puis Radical
    puis MRG
    conseiller général (1964-1982)
    juin 1982 juin 1995 François Loncle MRG puis PS  
    juin 1995 30 avril 2015[24] Gérard Grimault PCF conseiller général (2001-2015)
    11 mai 2015 en cours Valéry Beuriot[25] PCF Professeur de lettres
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Au 8 octobre 2014, Brionne est jumelée avec[26] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

    En 2018, la commune comptait 4 238 habitants[Note 4], en diminution de 1,3 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5531 6822 1181 6202 6452 8913 0983 1593 302
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 6013 9404 0373 5503 7633 6583 7463 5773 520
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5213 3513 2723 0143 0872 9302 9933 1963 570
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    4 1874 3484 8084 9514 4084 4494 3064 3264 312
    2018 - - - - - - - -
    4 238--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement et médiathèque

    Clubs sportifs

    • Brionne Chris'Fitness
    • Brionne Association Rugby
    • Brionne Handball
    • Brionne Matin Football
    • Brionne Moto Verte
    • Canoé Kayak Club Brionne
    • Chris Fitness
    • Cyclo Club Brionne
    • Football Club Brionne
    • Gymnastique Acrobatique
    • Gymnastique Volontaire Brionne
    • Judo Club Brionnais
    • Karaté-Do Brionne
    • Kung Fu Brionnais
    • La Pétanque Brionnaise
    • Starter Club 27 Boxe Thaï
    • Tennis Club Brionne
    • Tennis de Table de Brionne
    • A.S du collège Pierre-Brossolette
    • A.S du lycée Augustin-Boismard
    • Association Brionnaise de Badminton

    Équipements sportifs

    • [32]Gymnase Georges-Beuvain ;
    • Salle de sport J.L.-Leroy-et R.-Desnos ;
    • Stade Jacky-Devillers ;
    • Église Saint-Denis ;
    • Tennis couvert.

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    L'association dénommée les Amis des monuments et sites de l'Eure a son siège à Brionne.

    Château et manoir

    • Le domaine de Lorraine (XVIIIe siècle). Ce domaine se compose d’un manoir en brique et pierre et de dépendances, dont notamment un ancien pressoir qui abrite l'office du tourisme.

    Patrimoine religieux

    • L'église Saint-Martin, dont les origines remontent à 1030. L'église actuelle, bénie en 1458, a subi plusieurs changements à travers les siècles, mais contient quelques éléments datant de la fin du XIIIe siècle ;
    • L'église Saint-Denis et la place du même nom ; désaffectée, cette église sert de salle de sports ;
    • La chapelle Notre-Dame. Propriété privée depuis des décennies, l'édifice a été racheté par la ville de Brionne le [34],[35].

    Patrimoine industriel

    • Moulin à huile (XIXe)[36]
    • Moulin à foulon, puis filature de coton la Grande Fabrique (XIXe et XXe)[37]
    • Moulin à blé, puis filature de coton Martin, puis Lemoine (XIXe)[38]
    • Moulin à blé du Centre, puis filature de coton (XVIIIe)[39]
    • Moulin à huile, puis moulin à huile et filature de laine, puis filature de coton Dupont et Quenin, puis Fleury, puis Bonnet (XIXe)[40]
    • Moulin à blé (1859)[41]
    • Filature de coton Neuville, puis fabrique de matelas André Cardine (1859)[42]

    Patrimoine civil

    • La Justice de paix, comprenant une salle d'audiences, un bureau de greffier et une vieille prison, a fonctionné de 1798 à 1961.
    • La mairie.
    • La gare de Brionne (1865).
    • Le viaduc du radier d'Aclou - La Risle (autoroute A28).

    Mémorial

    • Le monument aux morts dû à Louis-Aimé Lejeune
    • Un mémorial près de l'église Saint-Denis commémore le passage des Canadiens lors de la libération de la ville en 1944.

    Jardin

    • Jardin de Shaftesbury : petit jardin situé le long de la Risle portant le nom de la ville anglaise jumelée avec Brionne.

    Autres lieux

    • La champignonnière : il s'agit d'une ancienne marnière construite vers 1730 reconvertie en champignonnière. Elle a servi de refuge pour la population durant les bombardements de la Seconde Guerre mondiale, notamment ceux des 13 et 17 août 1944 qui furent particulièrement meurtriers. Jusqu’à 3 000 personnes séjournèrent dans ce lieu où avaient été installées l’électricité, une cuisine, une infirmerie mais aussi la poste, la perception et la gendarmerie[43].
    • Lac de Brionne (base de loisirs).

    Natura 2000

    • Risle, Guiel, Charentonne[44].

    ZNIEFF de type 1

    • Les prairies de Launay-sous-Brionne[45] et les prairies de Valleville[46] : ensemble de prairies hygrophiles. Certaines espèces remarquables vivent dans ces milieux telles l’Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), le Criquet ensanglanté (Stethophyma grossum), la Valériane dioïque (Valeriana dioica) ou l’Euphorbe raide (Euphorbia stricta) ;
    • Les prairies du Moulin d'Aclou[47] (peupleraie, mare et mégaphorbiaies eutrophes).
    • La cavité de la Vallée aux Bœufs[48] : espace d'hibernation pour plusieurs espèces de chiroptères ;
    • Les bois de la Tour[49] : composé principalement de hêtraie et de chênaie, il abrite la bruyère cendrée.

    ZNIEFF de type 2

    • La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort[50] ;
    • La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne[51].
    Le sentier du vieux château et le château de Brionne à droite.

    Sites classés

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune de Brionne se blasonnent ainsi :
    de gueules à la tour d'argent mouvant d'une rivière du même, chargée de la lettre B capitale d'azur, accostée de deux navettes d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys aussi d'or[55].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-François Desbuards (préf. Michel-Georges Micberth), Brionne à vol d’oiseau, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », (1re éd. 1887), 218 p., 14 x 20 (ISBN 978-2-87760-050-7, ISSN 0993-7129)
    • Marcel Roncerel (préf. Michel-Georges Micberth), Glanes historiques sur Brionne, Paris, Le Livre d’histoire-Lorisse, Paris, coll. « Monographies des villes et villages de France », (1re éd. 1951), 227 p., 14 x 20 (ISBN 2-84373-310-3, ISSN 0993-7129)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Le Lieuvin », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Bernay », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    3. « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Évreux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    4. « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Lisieux », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    5. « Distance à vol d'oiseau entre Brionne et Rouen », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    6. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    7. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Risle (H6--0200) ».
    9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Unité urbaine 2020 de Brionne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 78.
    20. François de Beaurepaire, op. cit.
    21. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions Errance, 1994, p. 203.
    22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 118a.
    23. Pierre Wech, « Brionne, collège Pierre Brossolette. Un quartier artisanal des Ier et IIe siècles en périphérie de l’agglomération antique », dans [collectif], Journées archéologiques de Haute-Normandie. Alizay, 20-22 juin 2014, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, (DOI 10.4000/books.purh.4257).
    24. « lecourrierdeleure.fr/2015/04/2… »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
    25. « Valéry Beuriot comme prévu », sur Paris-Normandie (consulté le ).
    26. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. « La médiathèque Louise Michel », sur Mairie de Brionne (consulté le ).
    32. « Les équipements sportifs », sur Mairie de Brionne (consulté le ).
    33. « Ruines du château », notice no PA00099362, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Brionne - La ville achète une chapelle miraculeuse », sur Le Courrier de l'Eure (consulté le ).
    35. « Chapelle Notre-Dame : Elle vient d'être rachetée par la municipalité ! », sur L'éveil Normand (consulté le ).
    36. « Moulin à huile », notice no IA27000598.
    37. « Moulin à foulon, puis filature de coton la Grande Fabrique », notice no IA27000597.
    38. « Moulin à blé, puis filature de coton Martin, puis Lemoine », notice no IA27000596.
    39. « Moulin à blé du Centre, puis filature de coton », notice no IA27000594.
    40. « Moulin à huile, puis moulin à huile et filature de laine, puis filature de coton Dupont et Quenin, puis Fleury, puis Bonnet », notice no IA27000593.
    41. « Moulin à blé », notice no IA27000592.
    42. « Filature de coton Neuville, puis fabrique de matelas André Cardine », notice no IA27000542.
    43. « Libération de Brionne : beaucoup d’ingéniosité pour franchir la Risle », sur L'Eveil normand (consulté le ).
    44. « Risle, Guiel, Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    45. « Les prairies de Launay-sous-Brionne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    46. « Les prairies de Valleville », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    47. « Les prairies du Moulin d'Aclou », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    48. « La cavité de la Vallée aux Bœufs », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    49. « Les bois de la Tour », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    50. « La vallée de la Risle de Brionne à Pont-Audemer, la forêt de Montfort », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    51. « La vallée de la Risle de la Ferrière-sur-Risle à Brionne, la forêt de Beaumont, la basse vallée de la Charentonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    52. « Le donjon de Brionne », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    53. « L'église Saint-Denis à Brionne », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    54. « Les marronniers de la propriété des Fontaines à Brionne », sur Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement Normandie (consulté le ).
    55. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f27116
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