Brigueuil

Brigueuil est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Brigueuil

L'église Saint-Martial.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Robert Rougier
2020-2026
Code postal 16420
Code commune 16064
Démographie
Gentilé Brigueillois ou Brigueuillauds
Population
municipale
1 103 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 57′ 13″ nord, 0° 51′ 40″ est
Altitude Min. 190 m
Max. 347 m
Superficie 47,07 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Vienne
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Brigueuil
Géolocalisation sur la carte : Charente
Brigueuil
Géolocalisation sur la carte : France
Brigueuil
Géolocalisation sur la carte : France
Brigueuil

    Ses habitants sont appelés les Brigueuillois et les Brigueuilloises[1], ou les Brigueuillauds et les Brigueuillaudes[2].

    Géographie

    Localisation et accès

    Brigueuil est une commune de la Charente limousine limitrophe de la Haute-Vienne et la plus orientale du département de la Charente.

    Elle est située à 16 km à l'est de Confolens et km au nord de Saint-Junien. Elle est aussi à km de Lesterps et d'Étagnac, 14 km de Chabanais, 34 km de Limoges et 64 km d'Angoulême[3].

    La route principale desservant la commune est la D 30, route de Confolens à Saint-Junien, qui passe au bourg. D'autres routes départementales de moindre importance desservent aussi le bourg et irriguent la commune ; la D 165, la D 350, la D 351.

    La D 675 entre Saint-Junien et Bellac borde la commune à l'est. La N 141 entre Angoulême et Limoges, maillon de la route Centre-Europe Atlantique, passe à km au sud de la commune en Haute-Vienne, et on y accède par Étagnac ou à l'est de Saint-Junien[4].

    La gare la plus proche est celle de Saint-Junien, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.

    L'aéroport de Limoges-Bellegarde est à 26 km.

    Hameaux et lieux-dits

    La commune compte de nombreuses fermes et quelques hameaux, comme Villars et Bussiéreix au sud, Marcillac et Villeneuve à l'est de l'autre côté de la forêt de Brigueuil, le Puy à l'ouest, etc.[4].

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Comme toute cette partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune de Brigueuil se trouve sur le plateau du Limousin, partie occidentale du Massif central, composé de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.

    Le sous-sol d'une grande moitié orientale de la commune se compose essentiellement de granit. On trouve de la diorite dans un grand quart sud-ouest, et du gneiss à l'extrémité nord-est du territoire[5],[6],[7].

    La commune de Brigueuil occupe un vaste plateau ondulé incliné vers l'ouest, dont l'altitude moyenne dépasse 250 m. Les altitudes s'étagent entre 190 m, dans la vallée du Goire en limite sud-ouest, et 347 m, près de Puyfragnoux au sud-est du bourg. Celui-ci est à environ 290 m d'altitude[4].

    Hydrographie

    Le Goire, affluent de la Vienne à Confolens, prend sa source près de Villars et traverse la commune en direction de l'ouest. De nombreux petits affluents le rejoignent, dont le ruisseau de l'Étang de Brigueuil au nord du bourg, le ruisseau du Petit Boyat à l'ouest du bourg, et le ruisseau de l'Étang de Villars au sud de la commune.

    Ces ruisseaux desservent de nombreux étangs, parfois disposés en chapelets. Les étangs de Brigueuil, de Pierre Brigueuil, de Roudareix, et l'Étang Neuf sont les plus notables[4].

    Climat

    Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département.

    Végétation

    La forêt de Brigueuil occupe un tiers du territoire communal[4].

    Urbanisme

    Typologie

    Brigueuil est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,1 %), forêts (29 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), terres arables (3,3 %), zones urbanisées (1,3 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Des formes anciennes sont Brigolio (non datée)[14], Brigolius en 1094[15], Brigolium, Brigolhes en 1282-1382[16], Brigoil en 1210[17], Brigolium au Moyen Âge[15].

    D'après A. Dauzat, l'origine du nom de Brigueuil remonterait à un nom de personne gaulois, *Bricus, suivi du mot-suffixe gaulois -ialo, "champ, clairière", ce qui correspondrait à « clairière de Bricus »[18]. Cependant, J. Talbert voit dans la première partie le gaulois briga qui désigne un "bourg fortifié sur une hauteur", soit *Brigo-ialos : la « clairière de la forteresse »[19].

    La commune de Brigueuil s'est aussi orthographiée Brigueil en 1801, peu après sa création[20].

    Brigueuil est située dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et se nomme Briguelh en dialecte limousin[21].

    Histoire

    La porte orientale du vieux bourg.

    Site défensif naturel et à la limite des provinces des Lémovices et des Pictaves, Brigueuil a été habité depuis la plus haute antiquité[22].

    Près d'Anglars, au lieu-dit Camp de César, un retranchement rectangulaire de 150 m x 95 m avec un talus de 7 m de haut était appelé Camp d'Anglard. À 500 m de là, au Roudareix, se trouve aussi le Camp de Roudareix[23].

    La vicomté de Brigueuil appartenait à la baronnie de Rochechouart depuis le XIe siècle. Le premier vicomte de Rochechouart connu fut Aymerie Ier, surnommé Ostafranc (parfois orthographié Ostofranc).

    Le territoire de Brigueuil a appartenu à l'ancienne province d'Aquitaine, puis quelque temps au Limousin, et enfin au Poitou. Religieusement il dépendait du diocèse de Limoges.

    Le château s'élevait au sud des fortifications, et se prolongeait vers l'est. Les murailles faisaient deux mètres d'épaisseur, et on rentrait dans la ville par deux portes, l'une à l'est et l'autre à l'ouest, qui existent encore. Le château primitif a fait place à un château plus moderne au XVe siècle, qui a subsisté jusque vers 1825. Une haute tour carrée demeure, qui a longtemps servi d'hôtel de ville[22].

    Après qu'en 1365, de retour d'avoir rendu hommage au roi d'Angleterre Édouard III, Louis Ostafranc se soit écrié « Mort aux Anglais ! » la ville fut en récompense exemptée de taille et d'impôts royaux et Louis eut le poste de gouverneur du Limousin.

    En 1398, la vicomté passa par alliance aux mains de la famille de Reilhac, qui possédait de nombreux fiefs en Limousin et Périgord. La châtellenie de Reilhac était mouvante de la baronnie de Nontron.

    Au XVe siècle, Pierre de Reilhac fut nommé grand échanson par le roi Louis XI et fut un des plus grands seigneurs de l'époque. Il avait épousé Marguerite de Chabot, fille du seigneur de Jarnac, qui lui laissa quatre enfants.

    Brigueuil fut tenue par les protestants de 1567 à 1574.

    Au XVIIe siècle, la terre de Brigueuil passa par mariage aux mains du duc d'Humières[22].

    Lors de la Terreur, Brigueuil était à la famille Monstiers, très aimée de la population, qui ne fut pas inquiétée[24].

    Politique et administration

    La mairie et la poste.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 1995 Roland Denis SE Pharmacien
    1995 2001 Gilbert Thomas SE Retraité
    2001 2008 Roland Denis SE Pharmacien
    2008 2014 Jacques Tondusson SE Retraité employé de préfecture
    2014 En cours Robert Rougier[25]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2018, la commune comptait 1 103 habitants[Note 2], en augmentation de 4,55 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    2 0642 1462 1522 2082 2002 0712 0502 0641 986
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 8891 8921 8501 8771 9931 9901 9421 8661 855
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 9021 8811 6881 5411 3911 3231 2101 2141 164
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    1 1089789579951 0071 0301 0531 0861 103
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Brigueuil en 2007 en pourcentage[29].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    3,1 
    9,8 
    75 à 89 ans
    12,7 
    14,3 
    60 à 74 ans
    14,3 
    25,8 
    45 à 59 ans
    20,1 
    19,1 
    30 à 44 ans
    19,9 
    14,5 
    15 à 29 ans
    13,1 
    16,0 
    0 à 14 ans
    16,8 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[30].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Économie

    Une minoterie, construite en 1905 a arrêté son activité en 1936, puis a été modernisée en 1949 et s'est définitivement arrêtée en 1975[31].

    La minoterie du Moulin Haut date de la fin du XIXe siècle et a été transformée en atelier de séchage pour les peaux de moutons et le cuir des mégisseries de Saint-Junien[32].

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    Brigueuil possède une école primaire comprenant six classes. Le secteur du collège est Saint-Junien (Louise-Michel) et du lycée Confolens (Émile-Roux)[33],[34].

    La Rosière

    Une tradition de la fin du XIXe siècle veut qu'une jeune fille soit désignée Rosière. La jeune Rosière est vêtue d'une robe blanche et se présente aux attractions festives du week-end : visite du village fortifié, fête foraine, bal, compétitions sportives...

    À l'origine, la Rosière devait être née dans la commune, un Rosier était également élu (celui-ci devait être un agriculteur né dans la commune). Au fil des années, s'adaptant aux nouveaux modes de vie, une jeune fille vivant depuis au moins huit ans dans la commune peut être élue Rosière par le Conseil municipal. Les Rosiers ont fini par disparaître. Le week-end de Pâques reste l'évènement principal de la commune, accueillant de nombreux visiteurs et les médias locaux.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Martial était donnée au Xe ou XIe siècle par Arvenus, trésorier de la basilique Saint-Martin de Tours à l'abbaye Saint-Martial de Limoges. L'église actuelle a été construite à la fin du XIIe siècle, et elle était en forme de croix latine. Elle a été remaniée au XVe siècle par le remplacement de son chœur et de son transept, et l'ajout des bas-côtés avec ses chapelles[35]. Elle a été inscrite monument historique en 1925[36].

    Elle contient le gisant et enfeu de Marguerite de Chabot, épouse du vicomte de Brigueuil, Pierre de Reilhac, décédée en 1503, ainsi qu'une dalle funéraire datant de 1682. Ces objets sont classés monument historique au titre objet depuis respectivement 1911 et 1938[37].

    La lanterne des morts.

    La lanterne des morts du XIIe siècle située dans le cimetière est inscrite monument historique depuis 1932[38] en même temps qu'un mausolée lui aussi du XIIe siècle situé dans une grange du hameau de la Boulonnie, à l'est du bourg. Ce mausolée, de plan hexagonal et haut de trois mètres, rappelant celui construit dans l'église monolithe d'Aubeterre, était dédié à saint Georges et il était celui d'un ancien ermite, peut-être nommé Georges[35],[39].

    Patrimoine civil

    Du donjon carré du XIe siècle qui comportait sept étages pour une hauteur de 41 mètres il ne reste qu'un étage après un effondrement partiel au XVIIIe siècle et une démolition en 1825.

    Du château reste le portail Renaissance sculpté de feuilles d'acanthe et orné de fleurs et d'oiseaux[24].

    On peut aussi trouver un menhir et deux tumuli au sud-ouest de la commune, près de la Vallade, sur le versant nord de la vallée du Goire[4].

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : aux 1er et 4e d'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules, au 2e et 3e de gueules à l'aigle d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. « Les Brigueuillauds ont la main verte », Charente libre, (lire en ligne, consulté le )
    3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    4. Carte IGN sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. Carte du BRGM sous Géoportail
    7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Oradour-sur-Glane », sur Infoterre, (consulté le )
    8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 6
    15. Actes et documents en latin
    16. La chronique de Maleu, Abbé Étienne Maleu, XIVe siècle
    17. Charte, dom Fonteneau
    18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 116.
    19. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
    22. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 96-99
    23. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 125-126
    24. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 84
    25. http://confolentais.blogs.charentelibre.fr/archive/2014/04/03/brigueuil-robert-rougier-nouveau-maire-182490.html
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. « Evolution et structure de la population à Brigueuil en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. « Minoterie du Moulin Bas », notice no IA00066149, base Mérimée, ministère français de la Culture
    32. « Minoterie du Moulin Haut », notice no IA00066148, base Mérimée, ministère français de la Culture
    33. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
    34. Académie de Poitiers, « Collèges et lycées de secteur en Charente », (consulté le )
    35. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 88-89
    36. « Église St-Martial », notice no PA00104260, base Mérimée, ministère français de la Culture
    37. « Brigueuil », base Palissy, ministère français de la Culture
    38. « Lanterne des morts », notice no PA00104261, base Mérimée, ministère français de la Culture
    39. « Mausolée », notice no PA00104262, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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