Bras (Var)

Bras est une commune française située en Pays de la Provence verte dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Bras.

Bras

Vue générale de Bras.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Provence Verte
Maire
Mandat
Franck Pero
2020-2026
Code postal 83149
Code commune 83021
Démographie
Gentilé Brassois
Population
municipale
2 663 hab. (2018 )
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 23″ nord, 5° 57′ 16″ est
Altitude Min. 233 m
Max. 580 m
Superficie 34,93 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bras
(ville isolée)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Bras
Géolocalisation sur la carte : Var
Bras
Géolocalisation sur la carte : France
Bras
Géolocalisation sur la carte : France
Bras
Liens
Site web mairie-bras.fr

    Géographie

    Localisation

    Commune située à 10 km de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[1] et 14 de Brignoles.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le relief vallonné de la commune est traversé par plusieurs vallées de cours d'eau. Le point culminant de Bras se situe à l'est du village : la barre du Défens culmine à 544 m.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    La commune est arrosée par[2] :

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[8].

    Sismicité

    Il existe trois zones de sismicités dans le Var :

    • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
    • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
    • Zone Ib : Risque faible. Ce risque le plus élevé du département (qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale), concerne 21 communes du nord du département.

    Voies routières

    • D28 par Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Le Val.
    • D34 vers Brue-Auriac et vers Tourves,

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Réseau de transport en commun de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur Zou ![9].

    Toponymie

    Aurait vraisemblablement pour origine le nom celte de “brac” qui signifie “Trou d’eau”[10]. Bras en provençal.

    Histoire

    Moyen Âge

    C’est sur la colline Saint-Pierre que Bras se développe au XIe siècle. Un castrum, habitat fortifié, enserre le château, l’église et les habitations. Au XIIIe siècle, les Templiers[11] s’installent à proximité du village dans des bâtiments dont le centre est constitué par la chapelle Notre-Dame-de-Bethléem. Ils vont alors participer à la croissance du bourg. Cette commanderie était en fait une exploitation agricole qui assurait le ravitaillement des établissements templiers d’Orient via le port de Marseille.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Les Templiers s'installèrent à Bras au XIIe siècle grâce à une donation de Foulques de Bras, frère de l'ordre et commandeur de Richerenches de 1175 à 1179[12].

    La chapelle Notre-Dame-de-Bethléem (chapelle romane de L'Hospital de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem) est le seul vestige de l’ancienne commanderie[13],[14] de Bras[15].

    Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple, la commanderie est devenue hospitalière.

    Époque moderne

    Suite aux pillages et à la peste entre le XIVe et le XVe siècle, le site de Saint-Pierre est abandonné au profit d’un nouveau village en contrebas de la colline. S’ensuit une période de prospérité durant laquelle la population croît rapidement pour atteindre 1 520 habitants au XIXe siècle.

    Aujourd’hui, le village compte près de 2 900 habitants.

    Généralités historiques

    Traces d'occupation préhistorique (silex taillés).

    Ce fut une base d'opération, en , lors de la bataille de Pourrières.

    Une enceinte protohistorique a été dégagée au sud du « Signal » ; on a trouvé un lieu de culte à l'extrémité de ce même massif (poteries, monnaies) ; sarcophage ; fragment de cippe.

    Cité en 1015 Brachium ou Castrum de Braz Vel Bracio[16].

    En 1241, Raimond Bérenger fit don du fief de Bras à l'évêque de Riez. Plus tard, il devint une seigneurie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem lors de le dévolution des biens de l'ordre du Temple.

    Une légende assure que des villageois mécréants furent punis par le ciel et disparurent dans les eaux d'un lac creusé soudainement et qui sont les Gours Bénits actuels.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1983 mars 1989 François Boschero[17] PS  
    mars 1989 juin 1995 Jean-Louis Kieffer   Ingénieur opticien
    juin 1995 mars 2008 Jean-Louis Giusti DVD  
    mars 2008 mars 2014 Angélique Fromion SE  
    mars 2014 En cours
    (au 18 mai 2020)
    Franck Péro SE Employé d'un grand groupe autoroutier
    12e vice-président de la CA de la Provence Verte (2018 → 2020)
    9e vice-président de la CA de la Provence Verte (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026

    Intercommunalité

    Bras est l'une des communes de la Communauté d'agglomération de la Provence Verte, issue de la fusion des trois communautés de communes Comté de Provence, Sainte-Baume Mont-Aurélien et du Val d'Issole.

    Urbanisme

    Typologie

    Bras est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bras, une unité urbaine monocommunale[21] de 2 698 habitants en 2017, constituant une ville isolée[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris[24]),[25].

    Le plan d'occupation des sols (POS) qui était entré en application le 25 septembre 1997[26] a été remplacé par un plan local d'urbanisme[27] modifié en 2016.

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), cultures permanentes (22,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (2 %), terres arables (0,1 %), zones humides intérieures (0,1 %[28]).

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui[29]).

    Budget et fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Bras en 2009[30]
    TaxePart communalePart intercommunalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)13,50 %0,17 %6,15 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)17,50 %0,24 %7,43 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)66,16 %1,05 %23,44 %8,85 %
    Taxe professionnelle (TP)21,65 %*0,00 %8,55 %3,84 %

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), cultures permanentes (22,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), zones urbanisées (2 %), terres arables (0,1 %), zones humides intérieures (0,1 %[28]).

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui[29]).

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[31] :

    • total des produits de fonctionnement : 2 103 000 , soit 758  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 766 000 , soit 643  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 1 591 000 , soit 573  par habitant.
    • total des emplois d’investissement : 1 692 000 , soit 602  par habitant.
    • endettement : 677 000 , soit 244  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 13,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,50 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 66,16 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 410 [32].

    Jumelages

    La commune de Bras n'a pas d'accord de jumelage.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 2 663 habitants[Note 3], en augmentation de 3,74 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1901 3351 2801 4891 4771 5371 5201 5031 453
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4131 5031 5331 4641 4451 2431 1441 0151 020
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 005967806760774754760707710
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    7046016386771 0561 2981 7842 4242 591
    2018 - - - - - - - -
    2 663--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    • Coopérative vinicole La Laborieuse, actuellement Cellier des Templiers[37].
    • Coopérative vinicole Les Travailleurs[38].
    • Production agricole, centre équestre[39].
    • Élevages de moutons.
    • Production de spiruline en brindille.
    • Production de safran[40].

    Tourisme

    Commerces et artisanat

    • Artisanat d’art.
    • Commerces et services de proximité[43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • L'église Notre-Dame-des-Agrenas[44].
    • Chapelles :
      • Chapelle Notre-Dame-de-Bethléem.
      • Chapelle Saint-Étienne[45].
      • Chapelle Notre-Dame-d'Espérance[46].
      • Chapelle Saint-Achillée (déformation de Saint Eucher[47]).
    • Chapelle Saint-Pierre[48].
    • Oratoires.
    • Monuments commémoratifs[49].

    Autres lieux

    • Bourg castral[50].
    • Pigeonnier.

    Patrimoine environnemental

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armoiries de se blasonnent ainsi[52] :

    Fascé d'or et de sable de six pièces

    Équipements et services

    Transports urbains

    La commune est desservie par une ligne de bus régulière : La Verdière - Varages - Barjols - Saint-Maximin-la-Sainte-Baume[53]. Les élèves ont trois lignes de bus vers les collèges et lycées de Brignoles, Barjols et Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[54] :

    • Les jeunes élèves de Bras se rendent aux écoles maternelle et primaire de la Braque[55].
    • Le collège et le lycée les plus proches se situent à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

    Sports

    Des associations locales proposent tout un éventail d'activités sportives[56].

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[57],[58] :

    • Un médecin généraliste est installée sur la commune.
    • Une pharmacie est installée au centre d'activités La Brasque, route de Brignoles.
    • Hôpitaux à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume, Brignoles

    Vie locale

    Cultes

    Festivités

    BD en fête, chaque année, pendant le dernier week-end de septembre se tient un festival de la bande dessinée[60].

    Politique

    Bras fait partie de la huitième circonscription électorale du Var.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Distances et itinéraires
    2. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
    3. Ruisseau du Débat
    4. Ruisseau de Cologne
    5. Ruisseau de Bernarde
    6. Fiche du Cauron sur le site du SANDRE
    7. Rivière Le Cauron
    8. Table climatique
    9. Réseau régional de transports en commun
    10. Bras, sur www.mhvprovence.com/
    11. La chapelle de Bras
    12. Commanderie des Templiers (ancienne), dite aussi chapelle des Templiers ou chapelle Notre-Dame de Bethléem sur le site Patrimages Drac Paca
    13. « Chapelle des Templiers », notice no PA00081550, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    14. Chapelle des Templiers à Bras, sur monumentum.fr/
    15. Chapelle de Provence, de Serge Panarotto, page 119
    16. Historique de Bras
    17. Notice BOSCHERO François par Jacques Girault, version mise en ligne le 13 septembre 2020, dernière modification le 13 septembre 202
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Bras », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. POS de Bras
    27. Plan local d'urbanismes
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    30. « Impôts locaux à Bras », taxes.com.
    31. Les comptes de la commune
    32. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « coopérative vinicole La Laborieuse, actuellement Cellier des Templiers », notice no IA83001310, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
    38. « coopérative vinicole Les Travailleurs », notice no IA83001309, base Mérimée, ministère français de la Culture enquête thématique régionale (coopératives agricoles de Provence-Alpes-Côte d'Azur)
    39. Agriculture, viticulture & élevages
    40. Agro-alimentaire
    41. Gîtes ruraux
    42. Via Aurelia Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle. De Menton (Alpes-Maritimes) à Arles (Bouches-du-Rhône)
    43. Commerces et services de proximité
    44. L'église Notre-Dame-des-Agrenas
    45. Chapelle Saint-Étienne
    46. Chapelle Notre-Dame-d'Espérance
    47. Bras, sur provence7.com/
    48. Le patrimoine religieux de Bras, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
    49. Monument aux morts près de la Mairie, Monument aux morts du cimetière, Plaque de rue
    50. Bourg castral
    51. Les manuscrits arabes et persans du cardinal Mazarin conservés à la Bibliothèque nationale de France, par Julie Garel-Grislin, p. 38
    52. Sainte-Baume - Mont Aurélien : Bras, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    53. Lignes de bus à Bras
    54. Établissements d'enseignements
    55. école à Bras
    56. Activités sportives
    57. Professionnels et établissements de santé
    58. Personnels de santé
    59. Paroisse Notre Dame de l'Assomption
    60. Agenda des manifestations
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