Brains

Brains [bʁɛ̃] est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Pour la brasserie galloise, voir SA Brain & Company.

Brains

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Brains

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Laure Beslier
2020-2026
Code postal 44830
Code commune 44024
Démographie
Gentilé Brennois
Brainnois
Population
municipale
2 836 hab. (2018 )
Densité 185 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 10′ 12″ nord, 1° 43′ 14″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 34 m
Superficie 15,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rezé-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Brains
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Brains
Géolocalisation sur la carte : France
Brains
Géolocalisation sur la carte : France
Brains
Liens
Site web mairie-brains.fr

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.

    Ses habitants s'appellent les Brennois et les Brennoises, ou les Brainnois et les Brainnoises.

    Brains comptait 2 691 habitants au recensement de 2014.

    Jules Verne fit de nombreux séjours à Brains, chez son oncle à La Guerche, et chez des amis au Plessis[1].

    Géographie

    Situation

    Brains est situé entre la Loire et le lac de Grand-Lieu, à 18 km au sud-ouest de Nantes et km au nord-ouest de Bouaye. Les communes limitrophes sont Le Pellerin, Cheix-en-Retz, Port-Saint-Père, Saint-Léger-les-Vignes, Bouaye, Bouguenais, La Montagne et Saint-Jean-de-Boiseau.

    La commune est bordée dans sa partie sud ouest par l'Acheneau.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Situation de la commune de Brains dans le département de la Loire-Atlantique

    Transports

    Brains est desservie par la ligne 98 du réseau TAN[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 800 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Brains est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,9 %), prairies (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (27,6 %), zones urbanisées (4,6 %), cultures permanentes (2,1 %), forêts (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes de Brenno en 1179, Bren au XIIe siècle, Brent en 1287[21].

    Il est traduit Brenn en breton, sans que cette dénomination ait une valeur historique[21].

    Brains possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Brâin et Brein selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce [brœ̃ː] ou [brɛ̃ː][22].

    Histoire

    La plus grande partie du territoire communal, couvert par une vaste forêt, appartient, sous l'Ancien Régime, aux ducs de Bretagne [référence nécessaire]. Des démembrements successifs donneront naissance à des seigneuries plus ou moins puissantes : Jasson, Le Plessis, Le Pesle, Lorière, La Sauvagerie, La Pilaudière et la Guerche. La seigneurie du Pesle, la plus importante, était à l'origine une juveignerie de Briord. Devenue aujourd'hui une demeure privée, elle domine l'Acheneau à la Cour du Pesle.

    Le château du Plessis fut la propriété de Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière, lieutenant de Charette pendant les guerres de Vendée 1793-1796.

    Le château de la Guerche dépendait du Pesle jusqu'au XVIe siècle. Jules Verne y était accueilli par son oncle Prudent Allotte de la Fuÿe, propriétaire de 1828 à 1837, pendant les vacances d'été. Il s'y exerçait à des vers impromptus.

    L'église fut construite vers 1875 sur l'emplacement de l'ancienne qui datait de 1676. Le clocher, haut de 50 mètres, date de 1901.

    Le presbytère vendu comme bien national sous la Révolution abrite aujourd'hui « l'espace des Clos Mâts », lieu culturel avec la bibliothèque et la Musique.

    À la fin du XIXe siècle, on dénombrait six moulins à vent. Seuls subsistent les moulins des Charbonnières, du Breuil, de la Fouelle et de la Roche du Gré.

    Le cadastre napoléonien révèle un territoire rural ponctué de villages encore parfaitement lisibles aujourd'hui.

    Le Port Hamoneau, témoin du rôle économique de l'Acheneau jusqu'en 1914 pour l'acheminement du vin et du sable rouge vers Nantes, accueille aujourd'hui les promeneurs et les pêcheurs venus goûter le calme et la quiétude des marais environnants, à l'ombre des peupliers[23].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790   Charles Charpentier    
    1792   Mathurin Garnier    
    1796   Honoré Séguineau   agent municipal (municipalité de canton)
    1797   Mathurin Debec   agent municipal (municipalité de canton)
    1798   Pierre Prin   agent municipal (municipalité de canton)
    1798 1800 Charles Forget   agent municipal (municipalité de canton)
    1800   Julien Prin   maire provisoire
    1800 1803 Jean Trouillard    
    1803 1828 Pierre-Suzanne Lucas de La Championnière    
    1828 1837 Prudent Allotte de la Fuÿe    
    1837 1848 Alexandre Porteau    
    1848 1849 Félix Lafont    
    1849 1851 Julien Rialland    
    1851 1863 Félix Lafont    
    1863 1870 François Delétang    
    1870 1892 Jean Bertreux    
    1892 1899 Pierre Prin    
    1899 1902 Julien Prin    
    1902 1904 Jean Hervé    
    1904 1925 Jean Berthomé    
    1925 1929 Julien Hérêt    
    1929 1947 François Bouquet    
    1947 1968 Yves Boquien   doyen de la faculté de médecine
    1968 mars 1977 François Charpentier    
    mars 1977 mars 1983 Joseph Albert    
    mars 1983 mars 2014 Jean-Pierre Legendre    
    mars 2014 En cours Laure Beslier DVG chargée bancaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Brains fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[24]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 98 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 2 % dans des zones « très peu denses »[25].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 2 836 habitants[Note 6], en augmentation de 7,42 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0966499098931 0191 0281 0601 1161 124
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0841 1701 1501 1241 1791 1381 1771 1591 165
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1501 2191 1461 1031 1111 0471 0351 0411 078
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    9991 0211 1741 5781 8892 1722 4792 5232 587
    2017 2018 - - - - - - -
    2 8402 836-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,2 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[30],[31],[32]. Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est égale à la population féminine[30],[31],[32].

    Pyramide des âges à Brains en 2013 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,2 
    3,3 
    75 à 89 ans
    4,8 
    11,6 
    60 à 74 ans
    12,3 
    24,1 
    45 à 59 ans
    23,0 
    21,2 
    30 à 44 ans
    22,5 
    16,3 
    15 à 29 ans
    13,9 
    23,5 
    0 à 14 ans
    23,3 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Patrimoine et culture

    Lieux et monuments

    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption fut construite en 1875 afin de remplacer un ancien sanctuaire fondé en 1676 grâce aux dons d'une châtelaine, Madame du Plessis des Presles. Seul le clocher, haut de 50 mètres, ne fut rajouté que quelques décennies plus tard en 1901, faute d'argent[33].

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'or à l'aigle essorante de sable, la tête senestrée, soutenue d'une divise ondée d'azur en pointe.
    Commentaires : Le sceau communal en usage depuis 1863 (second Empire) ne fut pas restitué à l'État et servit pour officialiser de faux documents durant l'Occupation, imprimés par la Résistance pour imiter des documents allemands. C'est pour cela que l'aigle doit être dessiné tel quel. La divise ondée évoque la rivière l'Acheneau. Les couleurs or et sable évoquent aussi le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Brains au pays de Retz. Blason conçu par l'héraldiste Michel Pressensé (délibération municipale du ), enregistré le .

    Personnalités liées à la commune

    • Jules Verne passa des vacances à « La Guerche », la propriété de son oncle Prudent Allotte de la Fuÿe. Ce dernier, un ancien armateur célibataire ayant fait le tour du monde, était revenu s'installer au pays natal en 1827/1828. Il fut élu maire de Brains de 1828 à 1837. Le jeune garçon aime à faire d'interminables parties de jeu de l'oie avec le vieux bourlingueur[34].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Voir Cécile Compère, Les vacances, in Revue Jules Verne 4, p. 35-36.
    2. Carte interactive du réseau TAN
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Nantes-Bouguenais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Brains et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    22. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
    23. Source Y. Lostanlen.
    24. « Commune de Brains (44024) », Insee (consulté le ).
    25. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Brains - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    31. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee.
    32. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee.
    33. « Le site des clochers de la France :: Brains (44830) », sur lafrancedesclochers.clicforum.com (consulté le ).
    34. Cécile Compère, « Les vacances », dans Revue Jules Verne, 4 (1997), p. 35.
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