Bréville (Charente)

Bréville est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Pour les articles homonymes, voir Bréville.

Bréville

Place centrale de Bréville.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Mehdi Kalai
2020-2026
Code postal 16370
Code commune 16060
Démographie
Gentilé Brévillois
Population
municipale
462 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 47′ 50″ nord, 0° 15′ 39″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 32 m
Superficie 15,39 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cognac-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bréville
Géolocalisation sur la carte : Charente
Bréville
Géolocalisation sur la carte : France
Bréville
Géolocalisation sur la carte : France
Bréville
Liens
Site web www.breville.org

    Petite commune rurale et viticole, située au nord de Cognac dont elle retire un avantage par sa proximité géographique, Bréville se transforme progressivement en une commune résidentielle recherchée.

    Ses habitants sont appelés les Brévillois et les Brévilloises[1].

    Géographie

    Localisation et accès

    Bréville est une commune rurale située à l'ouest de la Charente dans le canton de Cognac-Nord, limitrophe de la Charente-Maritime.

    Cette petite commune rurale est située à 13 kilomètres au nord de Cognac et se transforme de plus en plus en commune résidentielle, appartenant d'ailleurs à l'aire urbaine de Cognac.

    Elle est aussi à 36 km d'Angoulême, 16 km de Rouillac, 15 km de Jarnac, km de Matha[2].

    À l'écart des grandes voies de circulation, la D 48 la relie à Cognac, la D 22 va au sud-est vers Jarnac par Sainte-Sévère. La D 188 traverse le sud-ouest de la commune. De nombreuses routes communales sillonnent la commune et relient les hameaux[3].

    La gare la plus proche est celle de Cognac, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Saintes et Royan.

    Hameaux et lieux-dits

    Héritant d'une économie agricole anciennement ancrée où la viticulture y occupe une place de choix, la commune possède les caractéristiques d'un habitat particulièrement dispersé typique des Charentes et du Sud-Ouest.

    Ainsi, outre le chef-lieu de commune de Bréville, les hameaux de la Voûte, la Cabane, la Forêt, la Coudre sont parmi les plus importants de ce finage communal dont la superficie de 1 539 hectares en fait une commune assez étendue en Charente.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Comme toute cette partie de la rive droite de la Charente dans laquelle se situe le territoire de Bréville, la commune a des assises géologiques relevant du Tithonien, anciennement nommé étage Portlandien, et présente des affleurements de marnes et d'argiles. La commune est entièrement située dans la vaste plaine du Pays bas, ancienne zone lagunaire du Purbeckien (fin du Jurassique, mordant sur le Crétacé inférieur, étage Berriasien), riche en gypse. Des alluvions datant du Quaternaire occupent une petite zone centrale de la commune, au sud et à l'ouest du bourg[4],[5],[6].

    Le point culminant de la commune est à une altitude de 32 m, situé au nord-est près de la Pierrière. Le point le plus bas est à 16 m, situé sur la Soloire en limite sud. Le bourg est à 23 m d'altitude[3].

    Hydrographie

    La Soloire au bourg.

    La commune est traversée par la Soloire (appelée Sonnoire en Charente-Maritime), qui est un affluent de rive droite de la Charente, faisant partie du bassin versant du fleuve Charente et parcourant la vaste dépression du Pays bas comme l'Antenne.

    Au bourg la Soloire reçoit le Ru venant de Brie-sous-Matha et la Rouzille venant de Thors. La Soloire est à sec en été au sud du bourg sur la commune. D'autres ruisseaux intermittents traversent la commune, comme le ruisseau du Capitaine à l'ouest, et le Beau Palet, affluents de la Soloire, et le Veyron en limite nord-ouest, affluent de l'Antenne[3].

    Climat

    Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

    Toponymie

    Les formes anciennes sont Berovilla en 1220, Brevilla (non daté)[7].

    Selon les toponymistes, il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville, au sens ancien de « domaine rural » en bas latin, dont le premier élément Bré- représente un nom de personne selon le cas général.

    Albert Dauzat, qui ne connaît pas de forme ancienne, propose le nom de personne germanique Bladher[8], incompatible avec la forme Berovilla de 1220. D'après cette même forme, le premier élément Bré- résulte de l'évolution phonétique de Bero-. Bero est un nom de personne germanique fréquemment attesté, hypocoristique des noms commençant par Bern-[Note 1] et que l'on retrouve dans certains Berville, d'où le sens global de « domaine de Bero »[9],[8].

    Les noms en -ville sont fréquents en Charente entre Barbezieux et Rouillac, ils seraient liés à des implantations franques après le VIe siècle en Aquitaine, comme au sud-est de Toulouse[10].

    Histoire

    Après la chute de l'Empire romain et lors des grandes invasions, il ne reste pas de traces archéologiques ou écrites connues de Bréville et, ce, jusqu'à la construction de l'église au milieu du Moyen Âge, vers le XIIe siècle.

    Bréville était le siège d'une vicairie relevant de l'abbaye, puis du diocèse de Maillezais.

    L'église devient cure du diocèse de La Rochelle en 1648 comme le prieuré Saint-Benoît de Bréville dont elle était la chapelle[réf. nécessaire].

    Les registres de l'état civil remontent à 1635[11].

    Administration

    La mairie de Bréville.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2010 Jean-Loup Mercier PS Viticulteur
    2010 2014 Jean-Marie Rousteau - Viticulteur
    2014 En cours Mehdi Kalai[12]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Lors de l'élection présidentielle de 2007, au second tour, il y a eu 327 votants pour 387 inscrits (84,50 %), qui ont donné 145 voix à Nicolas Sarkozy et 168 voix à Ségolène Royal et lors de l'élection législative de 2007, au second tour, il y a eu 243 votants (62,79 %) qui ont donné 128 voix à Marie-Line Reynaud la candidate socialiste qui a été élue et 109 voix à Jérôme Mouhot le maire de Cognac et candidat UMP[13].

    Intercommunalité

    Bréville fait partie de la communauté d'agglomération du Grand Cognac depuis sa création.

    Fiscalité

    La fiscalité est d'un taux de 16,70 % sur le bâti, 49,90 % sur le non bâti, et 7,65 % pour la taxe d'habitation (chiffres 2007).

    La communauté de communes de Cognac prélève 12,14 % de taxe professionnelle.

    Urbanisme

    Typologie

    Bréville est une commune rurale[Note 2],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Les 216 logements de la commune sont tous des logements individuels dont 192 sont des résidences principales, 13 des résidences secondaires et 11 sont vacants d'après le recensement de 1999. Les résidences principales ont été construites pour 1/3 avant 1949, 1/3 entre 1949 et 1975 et pour 1/3 depuis 1975.

    L'assainissement se fait par un procédé écologique de passage sur roseaux.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (37 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), terres arables (23 %), forêts (7,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

    En 2018, la commune comptait 462 habitants[Note 4], en diminution de 10,47 % par rapport à 2013 (Charente : −0,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    526616624741760791775824769
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    766811776742698701710713687
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    633552477518507470473490469
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    491434495495512506505516466
    2018 - - - - - - - -
    462--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Pyramide des âges à Bréville en 2007 en pourcentage[24].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    2,0 
    6,3 
    75 à 89 ans
    10,4 
    12,5 
    60 à 74 ans
    10,4 
    25,8 
    45 à 59 ans
    28,1 
    21,5 
    30 à 44 ans
    20,9 
    15,6 
    15 à 29 ans
    11,6 
    18,0 
    0 à 14 ans
    16,5 
    Pyramide des âges du département de la Charente en 2007 en pourcentage[25].
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90  ans ou +
    1,6 
    8,2 
    75 à 89 ans
    11,8 
    15,2 
    60 à 74 ans
    15,8 
    22,3 
    45 à 59 ans
    21,5 
    20,0 
    30 à 44 ans
    19,2 
    16,7 
    15 à 29 ans
    14,7 
    17,1 
    0 à 14 ans
    15,4 

    Remarques

    De 1851 à 1921 Bréville a perdu 30 % de sa population, surtout par exode rural. Actuellement elle réussit par ses initiatives volontaristes à stabiliser et même augmenter légèrement sa population.

    La commune comprend 220 actifs avec un taux de chômage de 10 %.

    Les 198 actifs ayant un emploi sont 118 hommes et 80 femmes dont 138 sont salariés et 60 non salariés.

    Économie

    Agriculture

    Bréville est principalement agricole et viticole, avec 378 ha de vignes situées dans la région du vignoble d'appellation d'origine contrôlée cognac. La commune est classée dans les Fins Bois[26].

    Un pôle bio s'est développé avec un producteur de miel et un GAEC qui produit sur 50 ha de terres des céréales et des légumes secs (lentilles, pois cassés, pois chiches), et sur 15 ha de vignes jus de raisin, vin de pays, pineau et cognac.

    Commerces

    Les commerces sont représentés par un bar-restaurant.

    Tourisme

    La commune comporte deux gîtes ruraux.

    Artisanat

    Passion du Bois 2007.

    Bréville développe depuis 2001 un pôle d'activité autour des métiers d'art du bois : économie, animation, tourisme et éducation. De nombreuses actions sont mises en place : création d'ateliers, installation de professionnels métiers d'art, projets pédagogiques dans les écoles, expositions… Ce pôle bois a été créé avec le soutien de la communauté de communes de Cognac, du département de la Charente, de la région Poitou-Charentes et de la SEMA.

    Quatre ateliers se sont installés, la menuiserie-ébénisterie de la Soloire, l'ébénisterie d’art "Le Bois en Vôlute", l'atelier de création de jouets en bois "Le Bois Enjoué", "Poupe" un atelier de tournage d’art et un atelier de marqueterie d’art. La commune souhaite à terme accueillir une dizaine d'artistes et d'artisans d'art du travail du bois.

    Toute l'année, on peut admirer les sculptures qui habillent le bourg et venir à la rencontre des artisans dans leurs ateliers.

    Les temps forts des métiers d'art du bois sont une résidence d'artistes tous les deux ans[pas clair] et le festival « Art et Passion du Bois » qui se tient à Bréville tous les deux ans à la fin du mois d'août. Au programme, toute la semaine un métier est mis à l'honneur par le biais d'une exposition, de conférences, de démonstrations et de stages d'initiation. Le dernier week-end, les rues du bourg sont investies par un concours européen de tournage d'art en public, une expo-vente des métiers d'art du bois et des animations pour petits et grands. Le festival a accueilli 10 000 visiteurs en 2003 et 15 000 en 2004.

    Équipements, services et vie locale

    Enseignement

    L'école.

    L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Bréville et Sainte-Sévère. Sainte-Sévère accueille l'école maternelle et Bréville l'école élémentaire[27].

    Services publics

    Bréville a conservé une agence postale.

    Tous les autres services publics sont à Cognac.

    Santé

    Les équipements sont sur les communes proches et l'hôpital à Cognac.

    Vie culturelle, associative et sportive

    • Art et Bois à Bréville qui organise le festival annuel
    • Comité des fêtes
    • Société de chasse
    • L'Étoile sportive
    • Association des parents d'élèves

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    L'église paroissiale Saint-Benoît est toujours au centre du cimetière qui doit dater du XIIe siècle. Datant des XIIe et XIIIe siècles, elle était à l'origine un prieuré-cure dont le prieuré dépendait de l'abbaye bénédictine de Maillezais. Les piles d'entrée du chœur de l'église sont du XIIe siècle, le portail et la voute du chœur du XVe siècle. Elle est de plan en croix latine, à un vaisseau et la nef a été restaurée et revoûtée en 1881. Elle possède un escalier en vis sans jour[28].

    Patrimoine civil et culturel

    Lavoir.

    Il n'existe plus que des vestiges du moulin sur la Soloire qui figure sur la carte de Cassini. Le lavoir de la Coudre est du XIXe siècle, comme la plupart des fermes, bâtiments et porches charentais. Deux fermes à la Voûte sont du XVIIIe siècle[29].

    Les sculptures monumentales décorent le village qui présente une exposition permanente d'œuvres d'art en bois et les ateliers d'art, jeux et jouets, ébénisterie d'art, tournage, marqueterie peuvent être visités. Trois sculpteurs du village québécois Saint-Jean-Port-Joli, Maurice Harvey, Denys Heppel et Clermont Gagnon, ont créé l'horloge sculptée qui est sur la place du bourg[30]. Un jumelage entre Bréville et Saint-Jean-Port-Joli est envisagé[31].

    Patrimoine environnemental

    • L'étang de la Coulée, étang de pêche privé.
    • Sentier de randonnée local.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Voir Bernard, etc.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
    2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
    3. Carte IGN sous Géoportail
    4. Carte du BRGM sous Géoportail
    5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
    6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Matha », sur Infoterre, (consulté le )
    7. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 430
    8. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 115.
    9. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
    10. Michel Rouche, L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes (418-781), t. 2, Jean Touzot, , 776 p. (présentation en ligne), p. 135-136, fig.18
    11. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 95
    12. « Calme mais pas morte », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    13. site du ministère de l'intérieur
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. « Evolution et structure de la population à Bréville en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    25. « Résultats du recensement de la population de la Charente en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    26. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
    27. Site de l'inspection d'académie de la Charente
    28. Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 86
    29. « Bréville », base Mérimée, ministère français de la Culture
    30. Présentation des sculptures de plein air dans le site officiel de Bréville
    31. Demain.fr : commune de Bréville

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

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