Bouchoir

Bouchoir est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Bouchoir

La mairie-école
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC Terre de Picardie
Maire
Mandat
Magali Crappier
2020-2026
Code postal 80910
Code commune 80116
Démographie
Population
municipale
280 hab. (2018 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 57″ nord, 2° 40′ 28″ est
Altitude Min. 96 m
Max. 106 m
Superficie 5,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Roye
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bouchoir
Géolocalisation sur la carte : Somme
Bouchoir
Géolocalisation sur la carte : France
Bouchoir
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Bouchoir
Liens
Site web http://mairie.bouchoir.pagesperso-orange.fr

    Géographie

    Localisation

    Bouchoir est une commune située sur le plateau du Santerre, à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Roye et à 40 km au sud-est d'Amiens.

    Le village occupe une position de carrefour à l'intersection des axes Amiens - Roye et Albert - Montdidier.

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est exclusivement composé de couches argileuses du limon des plateaux. Le sous-sol quant à lui est formé de craie blanche pour la partie supérieure et de craie marneuse pour la partie inférieure[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le relief de la commune est presque totalement plat et culmine à une centaine de mètres d'altitude. Le paysage est celui du plateau du Santerre au sol plat et découvert[1].

    Hydrographie

    Il n'y a sur le territoire de la commune ni cours d'eau, ni source. La nappe phréatique était située en 1899 à une vingtaine de mètres au-dessous du niveau du sol[1].

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique[1].

    Géographie humaine

    Située en bordure de la route Amiens - Roye (ex-route nationale 334, devenue RD 934), la commune a un habitat groupé. Il n'y a dans la commune ni hameau, ni ferme isolée.

    Communes limitrophes

    Transports en commun

    La localité est desservie par les lignes d'autocars du réseau Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés (ligne no 40, Roye - Hangest-en-Santerre - Amiens ; ligne no 45, Moreuil - Montdidier)[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Bouchoir est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roye, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93 %), zones urbanisées (7 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    On rencontre plusieurs formes pour désigner Bouchoir dans les textes anciens : Bucheria, Buchuherre (1215), Bouchouerre, Buchuerre, Bouchuere, Bouchoire, Bouchoir (1567).

    Bouchoir signifierait « lieu planté de buis »[1].

    Histoire

    Antiquité

    L'archéologie aérienne a révélé la présence de vestiges de villas gallo-romaines sur le territoire de la commune[10].

    Moyen Âge

    En 1121, Adèle de Vermandois fit donation de sa terre de Bouchoir à l'abbaye Saint-Corneille de Compiègne[1].

    Jusqu'au milieu du XIIe siècle, Bouchoir était rattachée à la paroisse d'Erches [1].

    La seigneurie de Bouchoir passa à la famille de Beaufort, dépendante de celle de Mailly puis au marquisat de Nesle[1].

    En 1431, Jean Poton de Xaintrailles, ancien compagnon de Jeanne d'Arc y aurait battu les Bourguignons qui ravageaient la région. Dans le village, la rue du Marteloir[Note 3] rappellerait cet événement[1].

    Époque moderne

    Aux XVIe et XVIIe siècles, des invasions espagnoles touchèrent la localité[1].

    Époque contemporaine

    • L'existence d'une école est attestée à Bouchoir en 1794[1].
    • À la fin de l'épopée napoléonienne, le maire et quelques habitants voulurent résister en 1814 aux Cosaques et en arrêtèrent quelques-uns. L'un d'eux mourut. Le 25 mars 1814, un détachement russe incendia le village et flagella publiquement certains habitants[1].
    • À la fin de la guerre franco-allemande de 1870, le village fut occupé par l'armée prussienne[1].

    Première Guerre mondiale

    L'église de Bouchoir fin 1915 (Cl. Berne-Bellecour).

    Durant la Première Guerre mondiale (1914-1918), le village, situé dans la zone des combats[11],[12],[13],[14],[15],[16], fut presque totalement détruit[17],[18],[19]. Il a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [20].

    Entre-deux-guerres

    Le village de Bouchoir fut reconstruit durant l'entre-deux-guerres, les architectes Emmanuel Gonse et Charles Duval restaurèrent l'église et dirigèrent la reconstruction de la mairie et de l'école communale.

    Seconde Guerre mondiale

    La commune de Bouchoir, pendant la Seconde Guerre mondiale, fut marquée par la personnalité de son curé, l'abbé Emile Lavallard qui entra dans la Résistance en 1942. Agent de liaison entre les groupes résistants de Roye, Guerbigny et Rosières-en-Santerre sous le pseudonyme de « Milou », il fut un résistant actif au sein du mouvement Francs-tireurs et partisans et devint l'un des responsables du mouvement de Résistance, Front national, du département de la Somme. À l'été 1943, il dit la messe dans le cimetière militaire britannique de Bouchoir. Il eut à son actif, le sauvetage d'aviateurs anglo-américains dont l'appareil avait été abattu. Il réceptionnait également des parachutages d'armes sur le plateau du Quesnoy, comme celui fait en plein jour fin 1943. Le , il fut arrêté à Amiens. Emprisonné à la citadelle d'Amiens, interné au camp de Royallieu à Compiègne, il fut déporté à Neuengamme puis à Sachsenhausen et enfin à Falkensee.

    Politique et administration

    Rattachement administratifs et électoraux

    La commune se trouvait de 1793 à 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , la commune en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[21]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Rosières-en-Santerre[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Moreuil.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes du Santerre créée le .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département[23].

    Le projet préfectoral prévoit la « fusion des communautés de communes de Haute Picardie et du Santerre », le nouvel ensemble de 17 954 habitants regroupant 46 communes[24],[25],[26]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[27], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion le [28].

    Cette procédure aboutit à la création au de la communauté de communes Terre de Picardie, dont la commune est désormais membre[29].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30],[31]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    janvier 1793   Pierre Aimé André Quillet    
    1824 1830 Pierre Chrysostome Quillet    
    Les données manquantes sont à compléter.
      novembre 1906 Jules Bernard    
    novembre 1906 juillet 1939 Cleophas Turcq    
    juillet 1939 mars 1959 Joseph Bedier   Agriculteur
    mars 1959 mars 1977 Edgar Barbier   Agriculteur
    mars 1977 juin 1995 André Bedier   Agriculteur
    juin 1995 avril 2014 Jean-Pierre Pitavy   Garagiste
    avril 2014[32] En cours
    (au 10 juillet 2020)
    Magali Crappier   Agricultrice
    Vice-présidente de la CC Terre de Picardie (2017 → )
    Réélue pour le mandat 2020-2026[33]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2018, la commune comptait 280 habitants[Note 4], en diminution de 9,97 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    697591739697732746708712690
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    648664669615659643627569540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    507481485252290310320302300
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    293295195201222226263269274
    2013 2018 - - - - - - -
    311280-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Les communes de Bouchoir, Le Quesnel, Warvillers, Beaufort et Folies se sont organisées en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) pour la gestion de l'enseignement primaire local[37].

    Économie

    Les activités économiques sont liées presque exclusivement à l'agriculture[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts.
    • Église Saint-Pierre des XVIe et XVIIIe siècles, détruite pendant la Première Guerre mondiale[38],[39], restaurée et reconstruite en partie en 1925. Elle abrite une statue de la Vierge du XVIIe siècle.
    • Chapelle Notre-Dame-de-Grâce, élevée en 1867 par Virginie Toullet-Tronquet à la mémoire de ses parents protégés par la Vierge en 1814. Très dégradée, cette chapelle communale fait l'objet de chantiers de restauration depuis 2010 grâce à l'action de l'association les amis du patrimoine de Bouchoir[40],[41].
    • Calvaire de la fin du XIXe siècle, typique de la région, en fer forgé[42].
    • Monument aux morts offert par le Comité américain, érigé en 1926[43].
    • Monument aux morts communal : groupe sculpté en marbre de Carrare, commandé au sculpteur Lefranc de Montdidier qui devait compléter le monument offert par le Comité américain mais qui a été placé près de l'église en 1926. La sculpture représente une femme - allégorie de la Patrie, de la République ou de la Victoire - soutenant le soldat mourant[44].
    • Cimetière militaire britannique, New british cemetery.

    Personnalités liées à la commune

    • Abbé Emile Lavallard, (1907-1945), curé de Bouchoir de 1938 à 1944. Mobilisé en 1939, il devint caporal-infirmier pendant la Drôle de guerre, et la bataille de France. Retourné dans sa paroisse, il entra en résistance au sein du mouvement Francs-tireurs et partisans et devint un des responsables du Front national (mouvement de résistance) du département de la Somme. Il recueillit des aviateurs anglo-américains dont l'appareil avait été abattu. Il réceptionna des parachutages d'armes comme celui fait en plein jour fin 1943. Le 24 avril 1944, il est arrêté à Amiens avec Aimé Merchez et Jean-Marc Laurent. Interné au camp de Royallieu à Compiègne, il est déporté à Neuengamme puis à Sachsenhausen et enfin à Falkensee. Du 5 novembre 1944 au 18 février 1945, il y célébra clandestinement la messe. Atteint d'un phlegmon et d'une phlébite, il fut évacué au camp de Mauthausen où il décèda le 13 avril 1945] quelques jours avant la libération du camp[46].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Abbé Paul Decagny, Histoire de l'arrondissement de Péronne et de plusieurs localités circonvoisines, 1865 - réédition partielle sous le titre : Chaulnes et ses environs, Paris, Le Livre d'histoire Rassorts Lorisse, 2006 (ISBN 978-2-877-60916-6).

    Liens internes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Le toponyme Marteloir signifie : lieu d'un grand massacre.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Notice géographique et historique sur la commune de Bouchoir, rédigée par Monsieur Hautbout, instituteur en 1899, Archives départementales de la Somme
    2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Roye », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Will, Ernest, « Les villas gallo-romaines de la Somme : aperçu préliminaire », Revue du Nord, Persée - Portail des revues scientifiques en SHS, vol. 47, no 187, , p. 541–576 (DOI 10.3406/rnord.1965.2544, lire en ligne , consulté le ).
    11. Berne-Bellecour, Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. Position d'une batterie de 75 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, fin 1918 (consulté le ).
    12. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. Cimetière du 250e Régiment d'infanterie », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    13. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. Distribution de la soupe à la cuisine roulante », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    14. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir (près). Batterie de mortiers anglais de 203 : un mortier servi par des artilleurs français », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    15. « Bouchoir (près). Batterie de mortiers anglais de 203 : poste téléphonique près des pièces », Fonds des Albums Valois, .
    16. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir (près). Batterie de mortiers anglais de 203 : pose de fusées sur les obus », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    17. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. La grande rue », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    18. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. Un carrefour », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    19. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. L'entrée du village sur la route de Roye », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    20. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17720.
    21. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur http://www.prefectures-regions.gouv.fr/hauts-de-france/, (consulté le ).
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Vincent Fouquet, « Vers un mariage de la communauté de communes de Haute-Picardie avec celle de Rosières ? : Le conseil communautaire, qui s’est déroulé jeudi soir à Soyécourt, a été l’occasion d’annoncer la volonté de l’intercommunalité de fusionner avec celle de Rosières-en-Santerre », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    24. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    25. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard, (lire en ligne).
    26. « Un mariage entre Chaulnes et Rosières-en-Santerre est prévu pour 2017 : L’annonce a été faite jeudi 1er octobre à Rosières-en-Santerre : les communautés de communes de Haute Picardie (CCHP) et du Santerre (CCS) souhaitent fusionner. Voici leurs arguments », Le Courrier picard, édition du Santerre, (lire en ligne).
    27. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région, (lire en ligne).
    28. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes de haute Picardie avec la communauté de communes du Santerre », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031, , p. 78-79 (lire en ligne [PDF]).
    29. « CC Terre de Picardie (N° SIREN : 200070928) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, (consulté le ).
    30. « Les maires de Bouchoir », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    31. « Les maires successifs », sur http://mairie.bouchoir.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
    32. « Bouchoir : Magali Crappier devient maire : C’est une femme, Magali Crappier, qui a été élue édile de Bouchoir. Jean-Pierre Pitavy, maire sortant, n’avait pourtant pas dit son dernier mot », Le Courrier picard, (www.courrier-picard.fr/region/bouchoir-magali-crappier-devient-maire-ia184b0n345482, consulté le ) « Alors que la liste majoritaire était, durant la campagne, menée par Pierre Graux, c’est finalement Magali Crappier qui se présente pour le siège de maire. « Comme elle a été élue au premier tour (avec 82 voix, ndlr), nous avons changé de stratégie et fait bloque derrière elle », confie Pierre Graux. Magali Crappier devient ainsi maire avec sept voix contre quatre pour Jean-Pierre Pitavy ».
    33. « Bouchoir 80910 », Résultats aux municipales 2020, sur https://www.lemonde.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. Gaël Rivallain, Anne Kanaan, « Une ultime classe sauvée : L'académie est revenue mardi sur la suppression à Bouchoir, de nouveaux postes sont prévus à Abbeville. », Courrier picard, , p. 11.
    38. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. L'église : façade principale », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    39. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. L'église ; le chœur », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    40. « Des petites actions pour une grande restauration, celle de la chapelle de Bouchoir : Les Amis du patrimoine, qui vont fêter leurs 10 ans d’existence, multiplient les animations pour collecter des fonds destinés à la remise en état de la chapelle », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    41. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 249 (ASIN B000WR15W8).
    42. Section photographique de l'armée, « Photo : Bouchoir. La route de Roye et le calvaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    43. « Monument aux morts de la guerre de 1914-1918 », notice no IA80000050, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « groupe sculpté : la patrie soutenant un poilu touché », notice no IM80000018, base Palissy, ministère français de la Culture.
    45. « Mairie-école à Bouchoir », La Construction moderne, no 2, 1932-1933, p. 114-117.
    46. Amicale d'Orenienburg-Sachsenhausen, Sachso, Paris, Librairie Plon et Les Editions de Minuit collection Terres humaines, 1982 (ISBN 2-259- 00 894-1) pp. 390-392
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