Biviers
Biviers est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont les Biviérois.
Biviers | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Grenoble | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Le Grésivaudan | ||||
Maire Mandat |
Thierry Ferotin 2020-2026 |
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Code postal | 38330 | ||||
Code commune | 38045 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bivierois | ||||
Population municipale |
2 359 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 382 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 14′ 25″ nord, 5° 48′ 14″ est | ||||
Altitude | 400 m Min. 311 m Max. 1 388 m |
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Superficie | 6,17 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Grenoble (banlieue) |
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Aire d'attraction | Grenoble (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Meylan | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Biviers est une commune située dans la vallée du Grésivaudan, à environ une dizaine de kilomètres de Grenoble. Elle compte 2 504 habitants[1].
De nombreux points de la commune liés à la topographie permettent d'avoir un diaporama. En effet, il est ainsi possible, par temps dégagé, d'apercevoir le Mont-Blanc, distant à vol d'oiseau de 140 km, et le mont Aiguille. Le site offre également une vue de toute la chaîne de Belledonne et de la Chartreuse, avec en ligne de mire, la Dent de Crolles, la Croix de Chamrousse, la Croix de Belledonne… ainsi que sur le Trièves et les contreforts du Vercors, au-dessus de Grenoble et le Moucherotte.
Depuis les points de Saint-Hugues de Biviers, de l'église et du prieuré et de toute la partie amont de cette ligne, Biviers offre une vue de l'ensemble du bassin grenoblois.
Sise au pied du massif de Chartreuse, le long du mont du Saint-Eynard, dont le relief et la falaise s'offrent sur toute sa longueur, cette configuration offre à Biviers et à ses communes voisines un micro-climat nommé usuellement de « petit Nice »[2]. En effet, la commune de Biviers bénéficie d'un paysage et d'un relief, d'une flore et d'une faune particuliers, complétés par la grande amplitude d'altitude entre son point bas (317 m) et son point haut (1 100 m). Ce micro-climat s'étend de Corenc à Saint-Nazaire-les-Eymes et est géologiquement connu. Il s'explique par l'orientation de la falaise du Saint-Eynard. La végétation locale accueille certaines espèces de pins, ainsi que l'amélanchier, pour ses qualités contre les éboulis de pierres, deux espèces végétales que l'on retrouve près de la côte d'Azur et en Provence.
Biviers, par son exposition géographique et son micro-climat, le tout renforcé en partie par sa topographie, eu une forte activité viticole[3], jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945). Mais face à la concurrence et aux qualités de vignobles tels les vins de Chignin (Savoie) et malgré les qualités d'expositions géographique et climatique, complété par l'attribution de subventions pour défricher et réduire les productions viticoles, l'espace viticole de Biviers céda de 1945 à 1970, peu à peu. C'est ainsi que les premiers lotissements furent construits à Biviers, les grandes familles propriétaires du foncier ayant meilleur parti à vendre le foncier[4]. Cette tendance est amplifiée par les besoins de logements et les retombées économiques du développement du bassin grenoblois entre 1955 et 1980. Les Jeux olympiques de 1968 ont permis de financer de nombreuses infrastructures routières, telles que l'autoroute Lyon-Grenoble, la voie express Grenoble - Le Touvet qui, en 1975, se transformera en autoroute Grenoble Chambéry.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Biviers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[8] et 450 501 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,6 %), zones urbanisées (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,4 %)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Histoire
La seigneurie de Biviers appartint à Abel Servien. En 1655, il la vendit à la famille de Reynold, famille de Gardes suisses[15].
Biviers est une commune qui date de la fin du XVIIIe siècle. Il y avait beaucoup de fermes de viticulteurs, paysans et agriculteurs.
La mairie
En 1792, le conseil municipal décide de vendre la mairie, trop délabrée, pour racheter l’ancien presbytère. Le curé et un valet de la mairie habiteront dans la maison, composée au rez-de-chaussée d’une écurie, d'une cuisine, d'une salle et de quatre celliers et, à l’étage, de deux chambres et deux cabinets. Au nord, il y a un emplacement au-dessus de la cave, où l’on construira une salle pour le conseil municipal. La commune étant pauvre, ce n'est qu'en 1818 qu’une armoire fermant à clé sera achetée, pour conserver les documents officiels.
Il faudra attendre 1841 pour qu’une grande bâtisse soit achetée pour transférer la maison communale. Sise chemin de Moydieu, elle est massive, banale. Elle a été agrandie, intégrant la maison du vigneron traditionnelle. En 1634, elle apparait sur le parcellaire comme propriété de la famille de Moydieu, dont les membres sont conseillers du Parlement de Grenoble. Maison des champs, elle fournissait à cette famille fruits et légumes, vins et rentes. Au début du XVIIe siècle, elle a été transformée ; on retrouve une entrée sur la façade ouest, qui accède à l’étage par un escalier droit de 120 cm de large. Les marches sont des blocs de calcaire reposant sur les murs d’échiffre, une accolade plate apparait sous plâtre et peinture au-dessus de la porte de l’étage et un plafond à la française dans une pièce signent l’époque.
En 1977, la mairie est transférée chemin de l’Église, après avoir acquis l'ancienne villa de la famille Michal-Sisteron[16].
Les maires de Biviers depuis la fin du XVIIIe siècle
Époque | Dates élection
Nominations |
! . Nom des maires . | Nbre de mandats | Mode d'élection | ............... |
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XVIIIe siècle | 1790 | Jacques Perrard | 1 | Agent municipal [maire]
Élu par les électeurs dits « actifs » |
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].
En 2018, la commune comptait 2 359 habitants[Note 3], en augmentation de 1,46 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. Comme Montbonnot-Saint-Martin, Biviers est divisée pour la continuation de la scolarité. Il y a deux parties séparées par le torrent de l'Aiguille :
- les élèves résidant rive droite vont au collège du Grésivaudan à Saint-Ismier ;
- les élèves résidant rive gauche vont au collège Lionel-Terray à Meylan.
Cultes
La communauté catholique et l'église de la commune (propriété communale) sont rattachées à la paroisse Saint Martin du Manival, elle même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[21].
Économie
La commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[22].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Franquières (1er quart du XVIIe siècle (1601-1610) ; aujourd'hui internat)
- Le parc et les décors intérieurs et extérieurs du château font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 27 octobre 1948[23]. Le parc du XVIIIe siècle est aussi répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel[24]. Le château et son parc fut vendu par la famille Forest durant les années 1950, à l’œuvre des villages d'enfant. Aujourd'hui, le château de Franquières est un institut thérapeutique éducatif et pédagogique (ITEP)[25] qui accueille des enfants en difficulté, essentiellement par leur décalage avec les enfants du même âge. L'OVE leur apporte une structure d'accueil personnalisée et encadrée.
- Château Servien, dit Serviantin, du XIIIe et XVe siècles[26]
- Le château fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques par arrêté du 4 novembre 1960[27]. Seules les façades et les toitures sont inscrites.
- Château de Montbives ou Montbivol
- Cette ancienne maison forte du XIIIe siècle[26] fut dans un premier temps une salle de garde, en liaison avec la tour d'Arces de Saint-Ismier, afin de contrôler et surveiller les voies d'accès en provenance de la Chartreuse, par le pas de la Branche et le col de la Faita. Ce poste de garde était sous la gestion de la famille d'Arces qui, avec le château de Méribel à Montbonnot, contrôlait militairement le secteur.
- À la Renaissance, la famille d'Arces ne suivra pas l'évolution économique en se diversifiant vers des activités de négoces ou de commerce, comme cela fut pour de nombreuses familles d'armes à cette époque.
- Au lieu-dit Châtelard, des vestiges d'une tour carrée, précédée probablement par une fortification en bois disparue selon Eric Tasset[26].
- manoir de Crêt Chatel, du XVIe siècle (tour disparue)[26]
- plusieurs maisons anciennes sont situées dans la commune : le Bontoux (début du XVIIe siècle), le Belvédère (sous le nom de Perretière il appartint aux chartreux au XVIIe siècle), la maison Chabert (XVIe et XVIIe siècles), la maison Saint-Pierre, la Galisserie, la maison Chaix, l' ancienne mairie (jadis maison Javelle) et la mairie actuelle'[26]
- au Mas de l'église (ou de la côte) se trouve un ancien manoir, jadis appelé Prieuré de l'Abyme[26]
- Château de Plate Rousset, du début du XVIIIe siècle[26]
Patrimoine religieux
- Église romane[réf. nécessaire]
- église des années 1500[26]
- Centre Saint-Hugues : situé au pied de la falaise du Saint-Eynard, c'est un lieu d'accueil, de personnes individuelles ou de groupes, dédié au repos, au développement personnel ou encore à la spiritualité. Le lieu se compose de 3 bâtiments (le plus vieux date de 1860), un jardin cultivé, un arboretum et un parc de prairies et de forêts. Le site est ouvert au promeneur.
- L'église.
- Château de Franquières.
- Château de Montbives.
- Château de Serviantin.
Patrimoine naturel
La commune fait partie du parc naturel régional de Chartreuse.
Depuis le 11 janvier 2005[28], la commune de Biviers est incluse pour partie dans le site classé du Massif du Saint-Eynard, du nom du massif qui surplombe la commune. À ce titre, les demandes d'autorisation d'urbanisme et d'occupation du sol concernant ce secteur intégré au site classé sont soumises à avis conforme de la DREAL Auvergne Rhône-Alpes.
Le plan local d'urbanisme (PLU) en vigueur, adopté par le Conseil municipal le 21 mars 2017, identifie plusieurs zones naturelles sur la commune ainsi que des corridors écologiques le long des torrents de la commune, faisant l'objet d'une protection spécifique. La commune dispose également de nombreux Espaces Boisés Classés (EBC) et d'Espaces Végétaux Paysagers (EVP) identifiés dans son document d'urbanisme.
La commune de Biviers, de par sa proximité avec le massif du Saint-Eynard et les torrents qui la traversent, est soumise à de nombreux risques naturels identifiés au sein d'un Plan d'Exposition aux Risques (PER) valant Plan de Prévention des Risques Naturels (PPRN) ainsi qu'au sein d'une carte des aléas, intégrés au PLU et donc opposables aux tiers dans leurs démarches, notamment ce qui concerne les demandes d'autorisation d'urbanisme.
Personnalités liées à la commune
- Abel Servien, né à Biviers, ministre de Louis XIV et négociateur du traité de Westphalie (1644-1648)[29]
- François de Reynold (1642-1722), Lieutenant général, membre du Conseil de la Guerre, Colonel général des Suisses et des Grisons, dont la famille possédait la seigneurie de Biviers, achetée à Abel Servien[15].
- Dominique Dubarle (né en 1907 à Biviers), religieux et philosophe. Il collabora avec Leprince-Ringuet à résoudre des problèmes de physique nucléaire, il a écrit Humanisme scientifique et raison chrétienne (1964), La Civilisation et l’Atome (1964), Approche d’une théologie de la science (1967).
- Claude Berri, producteur-réalisateur de cinéma français. De confession juive, il a été caché à Biviers durant la Seconde Guerre mondiale. Le film Le Vieil Homme et l'Enfant, tourné en 1966 en partie sur Biviers et à Saint-Vincent-de-Mercuze (Isère), retrace les années de Claude Berri dans la Guerre 1939-1945, lors de son séjour à Biviers.
- Serge Kampf, né le [30] à Grenoble et mort le [31], était un homme d'affaires français d'origine suisse[32], fondateur de Sogeti et ensuite acquéreur de la SSII française Capgemini. Le stade de rugby de Biviers porte son nom depuis le .
Biviers au cinéma
Une scène du film La mariée était en noir a été tournée à Biviers endroit que François Truffaut appréciait, notamment la maison filmée lors de l'enfance du personnage principal.
Héraldique, logotype et devise
Blason | Inconnu. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Chiffres clés pour l'ensemble des communes de moins de 10 000 habitants enquêtées en 2004, en 2005 ou en 2006, INSEE (consulté le 13 décembre 2007).
- Les différents professeurs de l'institut de géologie et géographie de Grenoble dont l'un de ces anciens président est un Bivierois, expliquent aisément ce phénomène par le relief de la Falaise du St-Eynard et son exposition au soleil, créant ainsi une réverbération et une restitution énergétique.
- Mémoire d'étude de Denis C., historien conseil et spécialiste de l'aménagement du territoire et des risques naturels
- Entretien avec l'ancien président de la Société des sulfates de Biviers de en 1950 lui-même agriculteur et qui sera par la suite maire de Biviers durant plusieurs mandats. Les sulfates sont utilisés pour traiter les vignes.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Grenoble », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Yves du Parc-Locmaria, « En cherchant un bâton de maréchal », Annales fribourgeoises, , p. 114-128, 137-168 (lire en ligne)
- Journées du patrimoine 2013 - extrait des animations faites par la commune
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Site du diocèse de Grenoble, page sur la paroisse Saint Martin du Manival, consulté le 6 mai 2020.
- Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
- « Château de Franquières (intérieur et extérieur) », notice no PA00117124, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Liste des lieux et monuments de la commune de Biviers à l'inventaire général du patrimoine culturel », base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Œuvre Village d'enfants - Biviers ».
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 170-176.
- « Château de Biviers », notice no PA00117123, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, « Massif du Saint-Eynard », sur www.auvergne-rhone-alpes.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
- Livret rédigé par Augustin Jacquemont, lors des journées du patrimoine du 16 et 17 septembre 2000, complété par une bibliographie de Madame Hélène Duccini
- Source: Convocation de l'assemblée générale de Capgemini du 26 avril 2007.
- « Disparition : Serge Kampf est décédé », sur Midi-Olympique (consulté le ).
- , sur fsa.ulaval.ca.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel de la Mairie de Biviers
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