Auffargis
Auffargis ([ofaʁʒis] ) est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.
Auffargis | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | CA Rambouillet Territoires | ||||
Maire Mandat |
Daniel Bonte 2020-2026 |
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Code postal | 78610 | ||||
Code commune | 78030 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Fargussiens | ||||
Population municipale |
1 973 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 115 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 42′ 03″ nord, 1° 53′ 17″ est | ||||
Altitude | Min. 120 m Max. 177 m |
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Superficie | 17,14 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Rambouillet | ||||
Législatives | 10e circonscription des Yvelines | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-auffargis.com/ | ||||
Géographie
Description
La commune d'Auffargis se trouve dans le centre sud des Yvelines, en bordure nord-est de la forêt de Rambouillet, à onze kilomètres de Rambouillet et à 27 kilomètres au sud-ouest de Versailles. Elle fait partie du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse.
La desserte de la commune est assurée principalement par la route départementale no 24, orientée est-ouest, qui emprunte la vallée des Vaux de Cernay et traverse le village, le reliant à Cernay-la Ville vers l'est et à la RD 910 vers l'ouest. Cette dernière, qui est un tronçon déclassé de la RN 10, longe la limite ouest de la commune et donne accès à la RN 10 à proximité.
La route départementale no 61, sensiblement parallèle à la RD 24, traverse le sud de la commune et dessert le hameau de Saint-Benoît.
La station ferroviaire la plus proche est la gare du Perray, située à trois kilomètres environ à l'ouest du village et desservie par des trains de la ligne N du Transilien (branche Paris - Rambouillet).
La commune est desservie par les lignes 39.003, 39.203, 39.303 et 39.36 de la société de transport SAVAC, par les lignes 08, Express 12 et 39 de l'établissement Transdev de Rambouillet et par la ligne 36.15 de la société de transport Cars Perrier.
Un sentier de grande randonnée, le GR 1 (tour de l'Île-de-France) traverse la commune en suivant le cours du ru des Vaux-de-Cernay. La commune dispose aussi de chemins de randonnée dédiés à l’équitation.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Les Essarts-le-Roi au nord et nord-est, Senlisse à l'est sur environ 300 m, Cernay-la-Ville au sud-est, La Celle-les-Bordes au sud-sud-est, Vieille-Église-en-Yvelines au sud-ouest et Le Perray-en-Yvelines au sud-ouest.
Hydrographie
L'hydrographie est marquée par le ru des Vaux-de-Cernay. Ce ruisseau, qui s'écoule d'ouest en est sur une dizaine de kilomètres, reçoit les émissaires des étangs de Hollande et de l'étang du Perray, puis se jette dans l'Yvette à Dampierre-en-Yvelines.
Le plateau dans le sud de la commune est parcouru par des « rigoles » creusées au XVIIe siècle qui assurent le drainage des terres agricoles et participaient autrefois à l'alimentation en eau du parc de Versailles.
Urbanisme
Typologie
Auffargis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[4],[5].
Occupation des sols
En 1999, le territoire communal est essentiellement rural, à 91 %[6].
L'espace rural comprend environ 60 % de bois, quelques étangs, et pour le reste est consacré à l'agriculture et à l'élevage.
L'espace construit occupe 5 % du territoire. L'habitat, composé exclusivement d'habitations individuelles, se répartit entre le village situé dans le nord-ouest de la commune, qui s'est relativement accru par la création de plusieurs lotissements autour du noyau ancien, quelques maisons dispersées à la limite ouest près du Perray-en-Yvelines, et le hameau de Saint-Benoît, situé dans le sud-est de la commune, à environ quatre kilomètres du centre du village. Plusieurs fermes sont dispersées surtout dans la partie sud de la commune.
Les zones d'activités occupent alors 7 % du territoire, soit dix hectares, sous forme de parcelles dispersées.
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 7,0 % | 122 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 27,3 % | 474 |
Vergers et petits fruits | 1,0 % | 18 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 5,5 % | 96 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 5,0 % | 86 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 1,4 % | 24 |
Forêts de feuillus | 49,2 % | 852 |
Forêts de conifères | 3,6 % | 62 |
Source : Corine Land Cover[7] |
Lieux-dits et hameaux
La commune comprend deux hameaux : Villequoy et Saint-Benoît.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes in Ulfrasiagas en 768[8], Offergiz au XIIIe siècle[9], Offergis en 1124[8], Oferges en 1197[10], Ulfarciagae en 1268[9], Aufergiae en 1268[11], Aufargis[9], Le Fargis[9], Auffergis en 1382[9] et enfin Auffargis en 1793[12].
Albert Dauzat et Charles Rostaing qui ne rapportent que la forme ancienne Aufergiae de 1268, ont vu dans ce toponyme le nom d'homme germanique Audfrid, suivi du suffixe -iacum de propriété[13]. Ernest Nègre qui cite la forme guère plus ancienne Offerges de 1197 leur emboite le pas avec un nom de personne germanique peu différent Auffredus, qu'il latinise en -us, non sans y mettre quelque réserve. Il reprend l'idée du suffixe -iacum, mais pour expliquer la terminaison anormale -is, alors qu'on attendrait -y, il propose une attraction des autres noms de lieux terminés par -is[14].
Or, si les formes les plus anciennes s'avèrent correctes, elles s'opposent à cette interprétation. En effet il s'agit plutôt du nom d'homme germanique Ulfrid (autrement Ulfredus), suivi du suffixe -iacas, féminin pluriel du suffixe -iacum et employé postérieurement à celui-ci. Il est généralement combiné à un nom de personne germanique, ce qui se vérifie ici. Le suffixe iacas a généralement abouti à la terminaison -ies (particulièrement répandue dans le nord et la Belgique)[15], mais parfois aussi à -is comme dans Hennezis (Eure, *Hanniciacas[15] à comparer avec Ulferciacae / Olferciagas) ou -ez (Eure, Dardees 1203[15] à comparer avec Oferges 1197).
Les lieux-dits : Roche Chauffée et Trou d'Enfer viennent étayer l'existence du travail du fer[16]. La présence de ferriers, de charbonnières à proximité des habitats et des taillis est couramment observé et témoigne d’une métallurgie artisanale[17].
Histoire
Notons qu'a été découverte à Auffargis une nécropole présumée franque[réf. nécessaire].
Dépendance de l'abbaye des Vaux-de-Cernay au XIe siècle, le territoire d'Auffargis devient seigneurie des Angennes au XVIe siècle[réf. nécessaire].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[18], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au .
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Rambouillet[12]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 18 à 36 communes.
Intercommunalité
La commune était membre jusqu'au de la communauté de communes des Étangs.
À cette date, elle intègre la communauté de communes Plaines et Forêts d'Yveline, qui se transforme en communauté d'agglomération sous le nom de Rambouillet Territoires Communauté d’Agglomération. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes Contrée d'Ablis-Porte des Yvelines et la communauté de communes des Étangs, formant le la communauté d'agglomération Rambouillet Territoires.
Liste des maires
Population et société
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[24].
En 2018, la commune comptait 1 973 habitants[Note 3], en augmentation de 0,36 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges en 2007
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois supérieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,1 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 50,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 22,6 %, 15 à 29 ans = 15,1 %, 30 à 44 ans = 18,1 %, 45 à 59 ans = 25,5 %, plus de 60 ans = 18,7 %) ;
- 49,9 % de femmes (0 à 14 ans = 19,7 %, 15 à 29 ans = 14 %, 30 à 44 ans = 20,3 %, 45 à 59 ans = 24,4 %, plus de 60 ans = 21,5 %).
Enseignement
Auffargis comprend une école maternelle et une école primaire[Quand ?].
Sports
Depuis 2003, Auffargis est le point de départ et d'arrivée d'une course d'endurance, le trail de la Vallée de Chevreuse, particulièrement réputée pour son profil en « dents de scie », alternant de fortes côtes et des descentes abruptes avec très peu de plat. L'édition 2006 proposait deux itinéraires de 16 et 53 km[réf. nécessaire].
Manifestations culturelles et festivités
La fête du village a lieu chaque année fin juin. C'est l'occasion de tirer un feu d'artifice[réf. nécessaire].
Au printemps a lieu chaque année une foire aux plantes, la « Fête des Plantes ». Prenant de l'ampleur, la manifestation, qui avait initialement lieu au foyer rural du village, a déménagé depuis 2000 dans une des fermes du hameau de Saint-Benoît[réf. nécessaire].
Économie
À Auffargis, l'agriculture compte (lors du recensement agricole de l'an 2000) neuf exploitations agricoles (contre 14 en 1988) qui occupent 27 actifs (équivalent temps plein). Les surfaces agricoles couvrent 369 hectares, dont 210 de terres labourables et 156 de prairie (surfaces toujours en herbe)[28].
La commune compte un établissement (centre écotoxicologique) de l'Office français de la biodiversité, implanté au hameau de Saint-Benoît[29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Dans le centre du village, quelques maisons datent d'avant la Révolution française.
- L'église Saint-André, démolie après la Révolution, a été reconstruite vers 1850.
- Château du XIXe siècle : corps de logis flanqué de tours rondes coiffées en cône.
- Partie des bâtiments de l'ancienne abbaye des Vaux-de-Cernay.
- Lavoir de la Fontaine du Roi.
- Fontaine du XVIIIe siècle en pierre meulière.
- Maison du XVIIe siècle avec cave voûtée.
- Croix de Saint-Benoît en chêne, érigée sur un socle gallo-romain, au hameau de Saint-Benoît.
- La Sablière a fait l'objet de tournages de scènes du film de La Guerre des boutons (film, 1962)[30].
Personnalités liées à la commune
- François Roberday (1624-1680). Né à Paris, vit à Auffargis (au Val-Guérin) à partir de 1672 et y meurt d'une épidémie de 'peste'. Fils de François Roberday, orfèvre du roi. Est lui-même orfèvre du roi (Louis XIV), valet de chambre de la reine (Anne d'Autriche puis Marie-Thérèse d'Autriche). Organiste et compositeur : il est l'auteur d'un livre de Fugues et Caprices pour l'orgue ou les violes.
- François Szisz (1873-1944), pilote automobile français d'origine hongroise, mort à Auffargis.
- Robert Benoist (1895-1944), né dans le hameau de Saint-Benoît, pilote automobile et héros de la Seconde Guerre mondiale, mort en déportation à Buchenwald.
- Jean Rochefort (1930-2017), acteur français, propriétaire du Haras de Villequoy[31].
- Christine Boutin (1944), femme politique, ancienne ministre, ancienne maire d'Auffargis et députée des Yvelines 10e circonscription, conseillère générale puis départementale de Rambouillet.
Voir aussi
Bibliographie
- Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328).
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Auffargis sur le site du Parc naturel régional de la haute vallée de Chevreuse
- « Dossier complet : Commune d'Auffargis (78030) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Auffargis », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Auffargis » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Mode d'occupation des sols en 1999, Iaurif
- « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
- Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
- Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, Dictionnaire des anciens noms des communes du département de Seine-et-Oise, 1874
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 36a.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- Ernest Nègre, op. cit.
- François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 978-2-7084-0067-2, OCLC 9675154), p. 25.
- Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 238.
- Jean-Luc Témoin, Aperçu historique de la forêt de Rambouillet, Office national des forêts, , p. 2.
- Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
- « La liste des Maires d’Auffargis », Histoire d’Auffargis, sur http://www.mairie-auffargis.com (consulté le ).
- Philippe Cohen, « Marc Robert s’installe à la présidence de l’Agglo : Marc Robert, maire de Rambouillet, succède à Jean-Frédéric Poisson, à la présidence de Rambouillet Territoires, forte de 36 communes. Il a été élu jeudi soir », 78 actu, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Proces-verbal de l’installation du conseil municipal de l’élection du maire et des adjoints : Séance du conseil municipal du samedi 29 Mars 2014 » [PDF], Conseils municipaux, sur http://www.mairie-auffargis.com (consulté le ).
- « Élection du Maire et des Adjoints d’Auffargis le 23 mai 2020 » [PDF], Actualités, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Auffargis en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Recensement agricole 2000 - Auffargis, Agreste
- Unité de suivi sanitaire de la faune, ONCFS
- un film dans quatre lieux de tournage »
- Laurent Mansart, « Auffargis fait ses adieux à Jean Rochefort, « un homme charmant et simple » : Depuis plus de vingt ans, l’acteur vivait dans cette petite commune, élevant des chevaux dans son Haras de Villequoy », Le Parisien, édition des Yvelines, (lire en ligne, consulté le ).
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