Artignosc-sur-Verdon

Artignosc-sur-Verdon est une commune française du département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Artignosc-sur-Verdon

Le village côté sud.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité communauté de communes Lacs et Gorges du Verdon
Maire
Mandat
Serge Constans
2020-2026
Code postal 83630
Code commune 83005
Démographie
Gentilé Artignoscais
Population
municipale
301 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 42′ 14″ nord, 6° 05′ 28″ est
Altitude Min. 401 m
Max. 600 m
Superficie 18,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Flayosc
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Artignosc-sur-Verdon
Géolocalisation sur la carte : Var
Artignosc-sur-Verdon
Géolocalisation sur la carte : France
Artignosc-sur-Verdon
Géolocalisation sur la carte : France
Artignosc-sur-Verdon
Liens
Site web artignosc-sur-verdon.fr

    Géographie

    Localisation

    Commune située à km de Baudinard-sur-Verdon et km de Régusse[1].

    La commune est bâtie à 515 mètres d’altitude, avec des maisons groupées au pied du château, dans d'étroites ruelles[2].

    Relief et géologie

    Étagée sur une éminence, elle s'inscrit dans un paysage vallonné, à proximité des gorges du Verdon et du lac de Sainte-Croix. La superficie de la commune est de 1 853 hectares.

    Artignosc se trouve sur un plateau jurassique calcaire entaillé par de petits vallons qui descendent vers le Verdon au nord. Dans le quartier de Fontayne, un calcaire gris foncé, dur et caverneux renferme de nombreux mollusques fossiles[3],[4].

    Hydrographie et eaux souterraines

    Les cours d'eau sur la commune ou à son aval[5] :

    Le projet de Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (S.A.E.G.E.) du bassin versant du Verdon[7] a été validé par la Commission Locale de l'Eau, le 13 septembre 2012.

    L'hydrographie de la commune s'inscrit dans l'hydrographie d'ensemble du vaste bassin supérieur du Verdon[8], ce qui explique les mesures prises globalement pour la préservation des ressources en eau et du milieu naturel aquatique[9].

    Un chemin de l'eau à vocation touristique a été créé sur la commune[10].

    Protection de l'environnement

    La commune dispose d'une station d'épuration de 1 000 Équivalent Habitants[11].

    Climat

    Climat classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[12].

    Voies routières

    Commune desservie par les routes départementales D 71 et D 471.

    Transports en commun

    • Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    Outre les transports scolaires les communes sont desservies par plusieurs lignes de transport en commun.

    En effet les collectivités territoriales ont mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![13].

    Les lignes interurbaines :

    Communes limitrophes

    Toponymie

    Le nom d'Artignosc est composé du gentilice d'origine gauloise Artinius et du suffixe de tradition ligure -oscu[14]. Selon d'autres sources, Artinius est le nom d'un ancien soldat romain qui a établi une ferme sur ces terres[15].

    L'appellation castrum de Artignosco apparaît en 1232 dans la liste des localités du diocèse de Riez, puis on retrouve le castrum de Artijosco rattaché à l'évêché de Fréjus en 1246[14].

    Le nom de la commune devient Artignosc-sur-Verdon en 1937[16]. Ses habitants sont appelés les Artignoscais.

    Artignosc-sur-Verdon s'écrit Artignosc-sus-Verdoun en provençal de norme mistralienne et Artinhòsc de Verdon en provençal classique[réf. nécessaire].

    Histoire

    Les vestiges d'un oppidum protohistorique ont été retrouvés à proximité du premier bourg castral d'Artignosc[17]. Ce bourg castral a laissé des traces visibles sur le site de Saint-Estève[14].

    Le village d'Artignosc-sur-Verdon résulterait de l'implantation au XIIIe siècle d'un établissement des templiers qui dépendait de la commanderie du Temple de Saint-Maurice à Régusse[18].

    En 1036[19], la famille de Pontevès fait don du prieuré de Sainte-Marie-Madeleine à l'abbaye de Saint-Victor de Marseille[20]. En 1113, l'abbaye marseillaise cède ce prieuré au monastère de Lérins[21]. En 1304, l'évêque de Riez revendique et obtient la possession de l'église Sainte-Marie-Madeleine[22],[23].

    En 1385, la reine Jeanne, comtesse de Provence, confie la juridiction de ce fief à Foulques de Pontevès. La peste et les guerres de succession qu'ont entraînées la mort de cette dernière dévastent entièrement le premier bourg castral. Abandonné au début du XIVe siècle, un nouveau village est construit à l'emplacement actuel à la fin du XVe siècle ; il est repeuplé par des familles génoises et espagnoles[24]. En 1632, Jean Antoine de Thoron, conseiller au parlement de Provence[25],[26] issu d'une famille originaire de Digne, achète les terres et devient le premier seigneur du nom[27]. À sa mort, il se fait inhumer dans l'église paroissiale, sous l'autel Saint-Clair.

    À la suite du coup d’État du 2 décembre 1851, Artignosc fait partie des communes insurgées[28],[29],[30] et une cinquantaine d’hommes arrivent à Aups le 8 décembre 1851. Vingt-et-un républicains artignoscais sont poursuivis[31]. Ils sont indemnisés par la République en 1882[32],[33].

    Durant la Seconde Guerre mondiale, neuf Artignoscais composent le Comité local de libération qui s’occupe des tâches de résistance et prépare la libération[34]. Le pont Saint-Laurent sur le Verdon est saboté par les FTP le 20 juillet 1944, avant d'être bombardé par l'aviation alliée en août 1944[35].

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La ferme fortifiée du domaine de Fontayne avec ses deux pigeonniers-tours, a jadis appartenu aux Templiers. Lors de la dévolution des biens de l'ordre du Temple elle passe aus Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[36].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    2001 2020 Jean-Marie Garron DVG Retraité agricole
    2020 En cours Serge Constans sans étiquette  

    Comptes de la commune

    Évolution des finances de Ampus (en k€)[37], [38].
    Postes 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
    Produits de fonctionnement 600  575  636  607  651  565  611  569  627  548  564 
    Charges de fonctionnement 425  370  437  420  566  396  490  520  515  540  568 
    Ressources d’investissement 853  665  273  205  591  274  112  192  247  359  19 
    Emplois d’investissement 554  408  465  481  501  1 167  446  112  246  235  186 
    Dette 7  5  11  14  15  14  14  14  16  213  194 
    Source : Ministère de l’Économie et des Finances[39].

    Budget et fiscalité 2019

    En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[40] :

    • total des produits de fonctionnement : 564 000 , soit 1 684  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 568 000 , soit 1 697  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 19 000 , soit 57  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 186 000 , soit 556  par habitant ;
    • endettement : 194 000 , soit 579  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • Taux d’imposition Taxe d’habitation : 15,13 %
    • Taxe foncière sur propriétés bâties : 5,10 %
    • Taxe foncière sur les propriétés non bâties : 88,87 %
    • Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 %
    • Cotisation foncière des entreprises : 0,00 %
    • Montant total des dettes dues par la commune : 194 000 € pour 335 habitants, soit 579,00 € par habitant.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : Médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 520 [41].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

    En 2018, la commune comptait 301 habitants[Note 1], en diminution de 5,64 % par rapport à 2013 (Var : +3,8 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    453400443453457453423445429
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    415390372388370333338314291
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    270240208202207205190182161
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    160173181187201221237293328
    2018 - - - - - - - -
    301--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[46] :

    • Écoles maternelle et primaire[47],
    • Collège de secteur : Henry-Nans à Aups
    • Lycées de Lorgues et Draguignan.

    Santé

    • Personnels de santé scolaire[48],
    • Professionnels et établissements de santé[49] :
      • Médecins à Régusse, Riez, Aups[50],
      • Pharmacies à Aups, Régusse, Riez,
      • Infirmiers à Saint-Laurent-du-Verdon, Monmayan, Riez,
    • La communauté de communes dispose désormais, à Aups, d'une Maison de santé pluriprofessionnelle (Médecine générale, Médecine spécialisée, Paramédical, Soins infirmiers), et intégrant également un lieu ressource "Social et solidaire"[51] intégrant un lieu ressource "Social et solidaire".
    • L'hôpital le plus proche est le Centre hospitalier de la Dracénie et se trouve à Draguignan, à 47 km[52],[53]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[54] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • Artignosc-sur-Verdon, qui tire ses ressources de l’agriculture, de l’élevage et du tourisme, fait partie du territoire Haut-Var Verdon.
    • La coopérative vinicole Le Verdon[56].

    Tourisme

    • Plusieurs structures d’hébergement existent sur la commune :
      • un hôtel,
      • l’auberge,
      • deux campings situés aux portes du village[57] et le restaurant au Camping municipal de l’Eouvière Verte au dessus du lac.
      • des gîtes ruraux et des chambres d’hôtes.
    • Le sentier de grande randonnée 99 (GR 99), allant de Quinson à Baudinard-sur-Verdon, passe par le village d'Artignosc.
    • La base nautique du plan d'eau d'Artignosc[58] sert de point d’embarquement pour explorer les basses gorges du Verdon entre les barrages de Sainte-Croix et de Quinson-Montmeyan : la location de kayaks, canoës ou bateaux à moteur électrique y est devenue une activité importante.
    • Un centre équestre est installé sur la commune.

    Commerces

    • Épicerie le Relais du Lac[59].
    • Une petite maison d'édition est installée à Artignosc : les éditions Parole[60].

    Intercommunalité

    La communauté de communes Lacs et Gorges du haut-Verdon (CCLGV) constituée initialement de onze communes (Aiguines ; Artignosc-sur-Verdon ; Aups ; Baudinard-sur-Verdon ; Bauduen ; Moissac-Bellevue ; Les Salles-sur-Verdon ; Régusse ; Tourtour ; Vérignon ; Villecroze) comprend désormais seize communes après intégration de cinq communes supplémentaires au  : Trigance, Le Bourguet, Brenon, Châteauvieux et La Martre[61],[62].

    La communauté de communes « Lacs et Gorges du haut-Verdon (LGV) » constituée initialement de 11 communes (Aiguines ; Artignosc-sur-Verdon ; Aups ; Baudinard-sur-Verdon ; Bauduen ; Moissac-Bellevue ; Les Salles-sur-Verdon ; Régusse ; Tourtour ; Vérignon ; Villecroze) comprend désormais 16 communes [63] après intégration de 5 communes supplémentaires au  : Trigance, Le Bourguet, Brenon, Châteauvieux et La Martre[64],[65].

    Son président en exercice est Rolland Balbis (maire de Villecroze)[66]. Ont été élus vice-présidents[67] :

    • Mme Raymonde Carletti (maire de La Martre) 1er vice président : Administration Générale et Finances ;
    • M. Antoine Faure (maire d'Aups) 2e vice président : Aménagement du Territoire (SCOT) et transition ;
    • M. Charles-Antoine Mordelet 3e vice président (maire d'Aiguines) : Tourisme et Itinérance ;
    • M. Fabien Brieugne 4e vice président (maire de Tourtour) : Agriculture, Fibre et numérique, Développement éco ;
    • M. Pierre Constant 5e vice président (commune de Villecroze)[68] ;
    • M. Serge Constans 6e vice président (commune d'Artignosc-sur-Verdon)[69].

    La Communauté de communes Lacs et Gorges du Verdon compte désormais 34 représentants + 12 suppléants pour 16 communes membres.

    Urbanisme

    Typologie

    Artignosc-sur-Verdon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[70],[71],[72]. La commune est en outre hors attraction des villes[73],[74].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme[75].

    Schéma de cohérence territoriale (SCoT)

    À la suite de l'officialisation du périmètre du SCoT par le préfet du Var[79], la première phase sera d’établir un diagnostic territorial[80],[81].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (70,7 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), terres arables (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), cultures permanentes (1,1 %), eaux continentales[Note 3] (0,4 %)[82].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[83].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château : Le château est aujourd'hui partagé entre plusieurs propriétaires, la commune en ayant conservé la partie centrale, avec les locaux de la mairie[84] et des logements sociaux.
    • L'église paroissiale Saint-Pierre[85] : L'église paroissiale Saint-Pierre (anciennement église Sainte-Marie-Madeleine) est une église romane du XIe siècle qui a été agrandie au fil des siècles ; elle présente des voûtes en plein-cintre et un clocher carré qui abrite une cloche classée objet monument historique[86]. La pratique ancestrale du jeu de paume sur le fronton de cette église, la Festa della pauma[87], demeure une particularité de la commune.
    • La fontaine : Sur la place du village se trouve la fontaine ronde à bulbe, datée du XVIIIe siècle ; bien que dotée d’un bassin octogonal, cette fontaine appartient au type des fontaines à plan carré. Ornée à l'origine d’une pigne (pomme de pin), elle fut modifiée en 1889 afin d’y installer une Marianne en bronze au sommet de la colonne[88].
    • Le lavoir couvert : Après la fontaine, l’eau passe dans le lavoir par un siphon. Le lavoir est couvert en 1844 ; c’est un lavoir haut et on y lave en position debout.
    • Le bassin et le moulin : Au bout de la rue du Pesquier se trouve un grand bassin où est stockée l’eau qui est sortie de la fontaine, puis est passée par le lavoir. Jadis cette eau servait à entraîner les meules des moulins et irriguer les jardins.
    • L'ancien four à pain : Situé derrière le château, l'ancien fournil donne lieu chaque année à une fête du pain.
    • Les chapelles : La commune possède quatre chapelles qui ont été restaurées : Saint-Christophe, Sainte-Euphémie, Sainte-Trinité et Notre-Dame-La-Brune.
    • Séquence de jeu de paume à Artignosc-sur-Verdon.
      La ferme fortifiée de Fontayne : La ferme fortifiée[89], avec ses deux pigeonniers-tours.
    • Abri sous roche du Promontoire[90].

    Pratiques sportives

    La pratique du jeu de paume dans sa variante locale est encore très répandue à Artignosc. La paume artignoscaise est même inscrite à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France[91].

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Antoine de Thoron (1600-1638), seigneur d'Artignosc, conseiller au parlement de Provence en 1623, premier seigneur du nom en 1632.

    Héraldique

    La commune d’Artignosc-sur-Verdon porte[92] :

    d'azur à la fontaine d'argent accostée en chef de deux besants d’or.

    La fontaine rappelle les belles eaux que l’on trouve dans cette commune, et les besans, la famille de Thoron, qui possédait cette terre et qui porte des besans dans son blason[93].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.

    Références

    1. Itinéraires
    2. Yves Constans et Paul Sialelli, Artignosc, Mairie d'Artignosc, 1994.
    3. Mémoires de la Société géologique de France, Volumes 103 à 104, Centre national de la recherche scientifique, 1965.
    4. C. Gouvernet, G. Guieu et C. Rousset, Provence, Éditions Masson, 1971.
    5. L'eau dans la commune
    6. Rivière Le Verdon
    7. Le S.E.G.E. du bassin versant du Verdon
    8. L'hydrographie du bassin supérieur du Verdon, par Raoul Blanchard, Recueil des travaux de l'institut de géographie alpine Année 1915 Volume 3 Numéro 1 p. 57-67.
    9. Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux "SAGE" du bassin versant du Verdon
    10. Chemin de l'eau à vocation touristique
    11. Description de la station
    12. Diagramme climatique
    13. Réseau régional de transports en commun
    14. Élisabeth Sauze, Inventaire général du patrimoine culturel d'Artignosc, Direction régionale de la culture et du patrimoine Provence-Alpes-Côte d’Azur, Marseille, 2002.
    15. Paul-Louis Rousset, Les Alpes et leurs noms de lieux, Éditions P. Rousset, 1988.
    16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Artignosc-sur-Verdon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    17. Notice no IA83001242, base Mérimée, ministère français de la Culture bourg castral d'Artignosc
    18. Bernard Falque de Bezaure, Sur les traces des Templiers du Var, des Alpes-Maritimes, Domaine de l’Olympe, Les Milles (13290), Provençalement Vôtre, , 183 p. (ISBN 978-2-914438-05-6, lire en ligne)
      Artignosc : p. 19
      .
    19. Canton d’Aups : Aups, Bauduen, Aiguines, Les salles-sur-Verdon, Baudinard-sur-Verdon, Vérignon, Régusse, Sillans-la-Cascade, Artignosc-sur-Verdon, Moissac-Bellevue, Vexillologie Provençale.
    20. Antoine de Ruffi, Histoire de la ville de Marseille, Éditions Henri Martel, 1696.
    21. J.J.M. Féraud, Souvenirs religieux des églises de la Haute Provence, Éditions Vial, 1879.
    22. Honoré Fisquet, La France pontificale, histoire des archevêques et évêques, Éditions Étienne Repos, 1864.
    23. Victor Saxer, Le culte de Marie Madeleine en occident, Société des Fouilles Archéologiques et des Monuments Historiques, 1959.
    24. Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, École pratique des Hautes-Études, 1961.
    25. Prosper Cabasse, Essais historiques sur le Parlement de Provence, Éditions Pihan Delaforest, 1826.
    26. Henri Gourdon de Genouillac et le marquis de Piolenc, Nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône, Éditions E. Dentu, 1863.
    27. Guillaume de Bellabre, Histoire et généalogie de la famille de Thoron, 2011, sur le site Les Fradins de Bellabre.
    28. Maurice Agulhon, La République au village : les populations du Var de la Révolution à la Deuxième République, Éditions Plon, 1970.
    29. Frédéric Négrel, Décembre 1851 à Artignosc, Verdon no 1, 1999.
    30. Édouard Gibelin, Aups à travers les âges, l'école buissonnière, réimpression de l'édition de 1885, Éditions Lacour, 2000.
    31. Jean-Claude Farcy et Rosine Fry, Poursuivis à la suite du coup d’Etat de décembre 1851, Centre Georges Chevrier, Université de Bourgogne/CNRS), 2013.
    32. Noël Blache, Histoire de l’insurrection du Var en décembre 1851, Éditions Le Chevalier, Paris, 1869.
    33. Yannick Rossignol, Les insurgés Varois de 1851 à travers leur indemnisation, Éditions Serre, 2004.
    34. Angelin German, Les chemins de la mémoire : 65 ans au service social de la Résistance, Éditions Bonnaud, 2007.
    35. Jean-Marie Guillon, Les années de guerre dans le pays du Verdon varois, Verdon no 6, 2001.
    36. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    37. Les Comptes des Communes, Analyse des équilibres financiers fondamentaux Les comptes des communes, Chiffres Clés - Fonctionnement - Investissement - Fiscalité - Autofinancement – Endettement : La Commune de Artignosc-sur-Verdon]
    38. Artignosc-sur-Verdon /ville-83005 Artignosc-sur-Verdon: la dette en 2018
    39. Les comptes individuels des communes et des groupements à fiscalité propre (années 2000 à 2019)
    40. Les comptes de la commune
    41. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    46. Établissements d'enseignements
    47. École élémentaire
    48. Personnels de santé scolaire
    49. Professionnels et établissements de santé
    50. Professionnels de santé
    51. Maison de Santé Pluriprofessionnelle à Aups
    52. Centre hospitalier de la Dracénie
    53. Professionnels et établissements de santé
    54. « Département de l’Information Médicale », sur ch-dracenie.fr (consulté le ).
    55. paroisse Saint-Pierre d'Artignosc-sur-Verdon
    56. Notice no IA83001299, base Mérimée, ministère français de la Culture coopérative vinicole Le Verdon
    57. Campings
    58. La base nautique
    59. Épicerie le Relais du Lac
    60. Les éditions Parole
    61. Décision du Préfet du Var après avis de la Commission Départementale de Coopération Intercommunale entérinant la dissolution de la Communauté de communes Artuby Verdon qui regroupe neuf communes. Les quatre autres communes de cette communauté de communes intégrant la Dracénie Provence Verdon agglomération. Sources : « Vivre le territoire au jour le jour », in Les Échos du Verdon, journal intercommunal no 2, octobre 2016-avril 2017
    62. Statuts de la communauté de communes LGV : version modifiée par délibération communautaire no 51-09-2016 en date du 21 septembre 2016 - Département du Var [PDF].
    63. Gorges du Verdon et Lac de Sainte Croix fr
    64. Décision du Préfet du Var après avis de la Commission Départementale de Coopération Intercommunale entérinant la dissolution de la Communauté de communes Artuby Verdon qui regroupe 9 communes. Les 4 autres communes de cette communauté de communes intégrant la Dracénie Provence Verdon agglomération. Sources : Les Échos du Verdon, journal intercommunal octobre 2016 - avril 2017 no 2, Vivre le territoire au jour le jour
    65. Statuts de la communauté de communes LGV : version modifiée par délibération communautaire n°51-09-2016 en date du 21 septembre 2016
    66. Site officiel de la Communauté de Communes Lacs et Gorges du Verdon
    67. Élus communautaires
    68. Conseil communautaire du 03-11-2020
    69. Var-Matin samedi 06 mars 2021, p.11
    70. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    71. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    72. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    73. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    74. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    75. Plan local d'urbanisme
    76. Schéma de cohérence territoriale, État d’avancement dans le département du Var
    77. SCOT Verdon Var Ouest
    78. Aménagement de l'espace, la CC LGV lance son SCoT !
    79. Arrêté du relatif au périmètre du schéma de cohérence territoriale (SCOT) Lacs et Gorges du Verdon
    80. Préparer collectivement l'avenir du territoire
    81. Scot : préparer l'avenir du territoire : Le schéma de cohérence territoriale des Lacs et Gorges du Verdon
    82. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    83. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    84. Gorges du Verdon et Lac de sainte Croix : Artignosc-sur-Verdon. L'ancien château des Thoron (XIVe et XIIe siècles).
    85. Patrimoine rural d'Artignosc-sur-Verdon : L’église Saint Pierre
    86. Notice no PM83000019, base Palissy, ministère français de la Culture Cloche de l’église Saint-Pierre-Sainte-Magdeleine
    87. Jeannine Neri et Francis Mora, Un cantoun en Provence, Haut-Var, Éditions Spot, 1994.
    88. La Fontaine de la place
    89. Vue de la ferme fortifiée de Fontayne sur le site de Google Maps.
    90. Fichier des cavités du Var : Abri Sous Roche du Promontoire
    91. La paume artignoscaise "Paume" ou "Pàuma" (pour respecter la distinction linguistique occitane), ou encore sous le nom de "pelote provençale" dans le pays de Grasse
    92. Canton d'Aups : Artignosc-sur-Verdon, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
    93. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Éditions Bachelin-Deflorenne, Paris, 1866, [lire en ligne].
    • Portail des communes de France
    • Portail du Var
    • Portail de l'ordre du Temple
    • Portail de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.