Armentières-en-Brie

Armentières-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Armentières (homonymie).

Armentières-en-Brie

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de l'Ourcq
Maire
Mandat
Vincent Carré
2020-2026
Code postal 77440
Code commune 77008
Démographie
Gentilé Armentiérois
Population
municipale
1 234 hab. (2018 )
Densité 170 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 43″ nord, 3° 01′ 18″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 113 m
Superficie 7,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Armentières-en-Brie
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Armentières-en-Brie
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Armentières-en-Brie
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Armentières-en-Brie
Liens
Site web armentieres-en-brie.fr

    Géographie

    Localisation

    Le village est située à 12 km à l'est de Meaux[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier d'Armentières-en-Brie.

    Située dans une boucle de la Marne, le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    • la Marne, longue de 514,25 km[1], principal affluent de la Seine, en rive gauche avec la commune voisine d'Isles-les-Meldeuses.
      • le Brasset, 1,56 km[2], qui conflue avec la Marne ;
      • le cours d'eau 01 du Bois Verdelot, 1,70 km[3], affluent de la Marne ;
    • le fossé 01 de la Motte l'Abbesse, 2,20 km[4].

    Le ru de Chivres (ou ru de Rutel)[Note 1], long de 8,90 km[5], affluent de la Marne.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,45 km[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,4 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 722 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,9 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,5 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 48 km à vol d'oiseau[8], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[9], à 11,6 °C pour 1991-2020[10].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Oiseaux »[12] :

    • les « Boucles de la Marne », d'une superficie de 2 641 ha, un lieu refuge pour une population d’Œdicnèmes criards d’importance régionale qui subsiste malgré la détérioration des milieux[13],[14].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal d'Armentières-en-Brie comprend trois ZNIEFF de type 1[Note 3],[15] :

    • les « Bois Basuel » (134,52 ha), couvrant 2 communes du département[16] ;
    • la « Carrière d'Isles-les-Meldeuses et Armentières » (477,52 ha), couvrant 3 communes du département[17] ;
    • la « Pelouse sur la partie est à Armantières-en-Brie » (56,69 ha)[18] ;

    et un ZNIEFF de type 2[Note 4],[15], la « Forêt domaniale de Montceaux » (1 304,43 ha), couvrant 5 communes du département[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Armentières-en-Brie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[23],[24].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 67 voies[Note 7] dont 47 lieux-dits administratifs répertoriés[25].

    Les plus importants sont : Le Vieux Chemin, le Vignois.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,4% ), terres arables (37,9% ), eaux continentales[Note 8] (11,1% ), zones urbanisées (6,1% ), mines, décharges et chantiers (1,4 %)[26].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[27],[28],[29]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne Ourcq, approuvé le et porté par le syndicat Mixte Marne-Ourcq regroupant 41 communes du Pays de l'Ourcq et du Pays Fertois[30].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[31]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 407 dont 81,8 % de maisons et 18 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 90 % étaient des résidences principales, 2,9 % des résidences secondaires et 7,1 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 74,4 % contre 24,7 % de locataires et 0,9 % logés gratuitement[32] -[Note 9].

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par une gare (Isles - Armentières - Congis) de la ligne Paris - La Ferté-Milon () à 2,5 km.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Armentaria en 1107, Hermenteria en 1135[33].

    Ce toponyme, à l'unanimité des toponymistes, dérive du latin Armentum désignant un troupeau de gros bétail (sans doute des bovins), « lieux où on élève du gros bétail »[34]. Voir la toponymie de la ville d'Armentières (Nord).

    C'est par un décret du 27 avril 1937 qu'Armentière est devenu Armentières-en-Brie pour le différencier des autres Armentières du pays.

    Histoire

    Le village est mentionné dès le XIIe siècle.

    La paroisse fut réunie à celle d'Isles-lès-Meldeuses en 1790 pour constituer qu'une seule commune. Elle en sera détachée en 1906.

    La commune est renommée Armentières-en-Brie en 1937 (anciennement Armentières).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Jean Terrazoni    
    2001 2014 Claudine Courtial    
    mars 2014 En cours Denis Walle[35] DVD Cadre retraité des Industries et Arts Graphiques

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [36],[37].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Armentières-en-Brie est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [38],[39],[40].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[41]. La communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est réalisée en régie[38],[42],[43].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable de la commune est assurée par la communauté de communes du Pays de l'Ourcq (CCPO) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le [38],[44].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en Zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur CCPO[45].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].

    En 2018, la commune comptait 1 234 habitants[Note 10], en diminution de 7,7 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    454533536560584528568688636
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    549591501487510476497501465
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    484213170151159194154155120
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2363007968271 1571 2561 3081 3831 301
    2018 - - - - - - - -
    1 234--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population est très jeune, puisqu'Armentières-en-Brie se place en première position des villes de plus de 1 000 habitants les plus jeunes de France[50], avec 44,8 % de la population de moins de 20 ans.

    Manifestations culturelles et festivités

    L'Armentièroise et l'Armentièroise By Night: Trails se déroulant respectivement en mai et décembre de chaque année.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 355, représentant 1173 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 270 euros[51].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 47, occupant 428 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 55,5 % contre un taux de chômage de 12,2 %. Les 32,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 16,1 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 5,3 % de retraités ou préretraités et 10,9 % pour les autres inactifs[52].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 27 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 6 dans la construction, 8 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans les activités financières et d'assurance, 7 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[53].

    En 2019, 11 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

    Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[54].

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Germain.

    Lieux et monuments

    • l'église romane placée sous le vocable de Saint-Germain, XIIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • Augustin Dupré (1748-1833), graveur en monnaies et médailles français ;
    • Louis-Joseph Bahin (en) (1813-1857), peintre portraitiste : né le 6 février 1813 à Armentières-en-Brie (au hameau des Isles, devenu Isles-les-Meldeuses). Il a fait souche aux États-Unis, d'abord à la Nouvelle-Orléans, puis il s'installe à Natchez dans le Mississippi. Ses toiles sont exposées dans des musées des États-Unis. Il mourra le 22 juin 1857 à Natchez ;
    • Eugène Leliepvre (1908-2013), peintre, dessinateur et illustrateur français[55] est inhumé au cimetière d'Armentières-en-Brie ;
    • Éric Leblacher, coureur cycliste professionnel ;
    • Gershon Liebman, rabbin qui a créé un quartier juif excentré de la ville.

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    De gueules à une montagne d'or mouvant d'une rivière d'azur, surmontée d'une vache d'argent colletée, clarinée et onglée d'or[56].
    Ornements extérieurs
    Timbré d'une couronne murale d'or et soutenu à dextre d'une branche de chêne et à senestre d'une gerbe de blé aussi d'or, liées de gueules en sautoir en pointe.
    Détails
    Conçu par Jean-Claude Molinier en 1998.
    Figure sur le site internet de la commune[57].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Le point de confluence donné par Sandre est contestable, celui-ci étant au milieu de la Marne, limite administrative entre Armentieres-en-Brie et Jaignes. Le point terrestre où le ru de Chivres rejoint la Marne est sur la commune de Jaignes
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. 2 annulations en 1999 et 2001.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Localisation de Armentières-en-Brie » sur Géoportail (consulté le 22 mars 2020)..
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marne (F---0100) ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Brasset (F6266501) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 du Bois Verdelot (F6266000) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Motte l'Abbesse (F6402000) ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Chivres (F6268000) ».
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 12 octobre 2019
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    8. « Orthodromie entre Armentières-en-Brie et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    14. « site Natura 2000 FR1112003 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Armentières-en-Brie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    17. « ZNIEFF la « Carrière d'Isles-les-Meldeuses et Armentières » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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