Argilliers

Argilliers [aʁʒilje] est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Argilliers

Église et chapelle du domaine de Castille.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes du Pont du Gard
Maire
Mandat
Laurent Boucarut
2020-2026
Code postal 30210
Code commune 30013
Démographie
Population
municipale
469 hab. (2018 )
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 50″ nord, 4° 29′ 45″ est
Altitude Min. 37 m
Max. 200 m
Superficie 6,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Uzès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Redessan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Argilliers
Géolocalisation sur la carte : Gard
Argilliers
Géolocalisation sur la carte : France
Argilliers
Géolocalisation sur la carte : France
Argilliers

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 762 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Meynes », sur la commune de Meynes, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 19 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Argilliers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,1 %), forêts (14,4 %), terres arables (8,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (6,5 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de Argileriis 1314[19].

    Le toponyme signifie « terrain argileux », « lieu où abonde l'argile »[19].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Edmond Cathebras DVG  
    mars 2001 2014 Daniel Roux DVG  
    mars 2014 En cours Laurent Boucarut ECO Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2018, la commune comptait 469 habitants[Note 5], en augmentation de 5,39 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    121117122138122113123120103
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    12012110494115121122128110
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    98118868010093806162
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    69747696120193267354467
    2018 - - - - - - - -
    469--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Domaine de Castille - Église et chapelle

    Lieux et monuments

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Argilliers.
    • Chapelle Saint-Louis-Roi-de-France d'Argilliers.
    • Pont de Bornègre, partie de l'Aqueduc de Nîmes ;
    • Le Château de Castille et son parc[24],[25] : la seigneurie d'Argilliers est devenue la baronnie de Castille en 1748. En 1773, la baronnie est héritée par Gabriel-Joseph de Froment d'Argilliers (1747-1826). Le baron de Castille fait remanier le vieux château du XVIIe siècle vers 1785. Le baron est arrêté en 1794. Le château est pillé. On sait par une lettre du baron à la comtesse d'Albany qu'il est en train de construire des espèces de temples monoptères en 1804.
      Le vieux château est un bâtiment rectangulaire cantonné de tours rondes. Le baron ajouta des colonnes. Le château est précédé de colonnades dont le baron a probablement voulu qu'elles rappellent la place Saint-Pierre du Bernin. Il ajouta des fabriques. Les travaux ont duré jusqu'en 1815. Le baron est mort en 1826. Depuis, une partie des fabriques a disparu.
      Après la mort du baron, l'indifférence va entraîner la ruine du jardin et de ses fabriques.
      Le château est acheté en 1924 par Paul Grousset à M. Seguin, héritier des barons de Castille. Le château et la colonnade sont inscrits à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1927. Le propriétaire s'inquiète du coût des travaux d'entretien. En 1929, on informe le ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts qu'une partie des fabriques a été vendue à un Américain en 1929. Paul Grousset écrit à l'État qu'il souhaite vendre par partie des éléments de son château et que si l'État ne lui achète pas, il continuera à vendre les fabriques avant leur ruine totale. Des estimations des coûts des travaux de restauration sont faites en 1930 et 1934. Le château est racheté en 1950 par Douglas Cooper (en) pour y mettre sa collection d'art moderne. Il y a invité Pablo Picasso qui y fait des dessins gravés à la meule dans une galerie. La collection disparaît en 1977.
      Plusieurs campagnes de restauration ont été entreprises à partir de 1962. La façade, la toiture, les communs, la « salle à manger à l'antique » et la colonnade sont classés Monuments historiques le 4 novembre 1983. Le château est remis en vente depuis.

    Personnalités liées à la commune

    Gabriel Joseph de Froment Fromentès

    Gabriel Joseph de Froment, baron de Castille (1747 - 1826) and his wife Princess Hermine Aline Dorothée de Rohan (1785 - 1843) with their family.
    L'ancien hôtel du baron de Castille à Uzès.

    Gabriel Joseph de Froment Fromentès[26],[27] est baron de Castille, baron de Ranymenc (Uzès 3 février 1747 - Uzès 19 mars 1826). Il descend d'une famille marchande et bourgeoise d'Uzès, anoblie par l'achat de l'office de trésorier de France à La Rochelle. Il est page de la Grande Écurie du roi en 1762, officier au régiment des Gardes-Françaises en 1766. Il hérite en 1773 de la baronnie de Castille qui a été constituée par lettres-patentes d'avril 1748 par réunion des terres de Castille et d'Argilliers. Il ne s'y installe que dix ans plus tard.

    Il est nommé lieutenant du roi en Languedoc pour le Bas-Virarais par lettres-patentes du 9 août 1785 et prête serment dans les mains du roi le 4 septembre 1785. Lieutenant-colonel, il est licencié du régiment des Gardes-Françaises quand celui-ci est dissout, le 31 août 1789.

    Entre 1777 et 1783, il va parcourir l'Europe. On connaît par ses écrits son voyage en Italie entre juin 1778 et février 1779 pendant lequel il visite Rome, Pompéi et Herculanum. Il rencontre à Florence la comtesse d'Albany en 1778 et la retrouve à Paris en 1787. Grâce aux recommandations de Madame du Deffand, il rencontre Horace Walpole, amateur de jardin, pendant son voyage en Angleterre en 1777. Il visite la Hollande et Spa en 1779. Il est en Suisse en 1781 et 1782. Il fait un second voyage en Angleterre en 1783. Il a aussi effectué des voyages en France, et en particulier dans le Languedoc.

    Le baron appartient à la franc-maçonnerie, et en particulier à la loge des Neuf Sœurs, en 1783. Cette loge avait reçu Voltaire peu avant sa mort et Benjamin Franklin[28]. Pierre Chevalier notait dans son Histoire de la Franc-maçonnerie française que pour être membre il fallait ...un talent quelconque, soit en fait d'art, soit en fait de science et avoir déjà donné une preuve publique et suffisante de ce talent[29]. Il faisait aussi partie de sociétés de pensée comme la Musée en 1782-1783 et l' Harmonie de France à partir de 1786. Pendant son voyage en Italie, il a été reçu à l'Académie des Arcades.

    De 1792 à 1793, il réside à Lyon. En 1793, son château de Castille est pillé et la bibliothèque incendiée. Il est arrêté à Uzès en 1794 et emprisonné. Il sort de prison après le 9 thermidor, il est alors ruiné. Après sa libération, il va passer son temps à refaire sa fortune et à restaurer son château.

    Il va commencer le chantier de son domaine par entourer de colonnes le château et les communs avant 1804. De son voyage en Italie lui est venu son goût pour les colonnes comme il l'écrit dans sa lettre du 15 mai 1804 à Louise de Stolberg-Gedern, comtesse d'Albany : « J'ai pris un tel goût pour les colonnes en Italie que je viens de créer dans mes jardins, dans ma cour, quatre espèces de temples monoptères ».

    Le baron construit autour du château, dans un parc à l'anglaise, des fabriques comme il l'explique dans une lettre à la comtesse d'Albany : « Je réalise chez moi ce que j'ai vu et qui m'a plus ailleurs ; chaque point de vue me présente une fabrique, un kiosque, un ermitage ou le bassin d'eau entouré de colonnes, un puits en forme de temple. »[30]. Cinq allées partent de l'arrière du château. Une allée mène au belvédère, une autre à un temple circulaire dédié à la première femme du baron. On trouvait d'autres fabriques avec des colonnes : les Colonnes de la l'olivier de la Paix de 1806 pour célébrer la paix de Presbourg, un kiosque circulaire avec des colonnes surmonté d'une construction rappelant la tour Fenestrelle d'Uzès, le cénotaphe construit à la mémoire de son fils aîné tué à la bataille d'Essling fait de trois colonnes surmontées d'un entablement circulaire avec un globe, un croissant et une croix. La colonne à la gloire de Napoléon édifiée en 1806 est renversée en 1814. Un arc triomphal complété d'une pyramide de base rectangulaire est appelé « Arc de la Restauration » après 1814. Le baron fait réaliser des gravures représentant le château et le parc en 1812, 1820 et vers 1823. La construction s'achève avec la réalisation de la pyramide-cénotaphe à la mémoire de la comtesse d'Albany, en 1824.

    Il a été marié en 1782 avec Épiphanie, fille du comte du Long du Longuo d'une famille de Sienne, décédée en 1794, puis le 8 novembre 1809 avec la princesse Herminie Aline Dorothée de Rohan-Rochefort (Paris 1785 - Paris 27 mai 1843), fille du prince Charles Louis Gaspard de Rohan-Rochefort (1765-1843) et de la princesse Marie Louise de Rohan-Guéménée (1765-1839).

    Sur l'acte de naissance de sa fille Blanche, à Uzès, en 1813, on trouve les indications suivantes : baron de Castille, baron de l'Empire avec majorat de l'Ordre impérial de la Réunion, maire d'Argillers, lieutenant de louveterie du Gard, ancien lieutenant-colonel d'infanterie, ancien chevalier de Saint-Louis.

    Par un acte du tribunal d'Uzès du 19 août 1819, il a été autorisé à ajouter à son nom de Froment celui de Fromentès.

    Il a acheté en 1804 le palais épiscopal d'Uzès, puis il a construit en 1818 l'hôtel du baron de Castille sur la place de l'Évêché où il a donné libre cours à sa passion pour les colonnes « non canoniques ». On peut remarquer sur la façade le chiffre « C.R » pour Castille et Rohan.

    Héraldique

    Blason
    D'azur au pal losangé d'argent et de sable[31].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Librairie Hachette et société d'études et de publications économiques, Merveilles des châteaux de Provence, Paris, Collection Réalités Hachette, , 324 p.
      Préface du Duc de Castries vice-président de l'Association des Vieilles maisons françaises : Languedoc méditerranéen : Castille, Cantique des colonnes..., pages 240 à 245

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Meynes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Argilliers et Meynes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Meynes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Argilliers et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1282 - (ISBN 2600001336).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. Monique Mosser, Dominique Massounie, Castille, entre anticomanie et pittoresque, p. 135-143, dans Congrès archéologique de France. 157e session. Monuments du Gard. 1999, Société Française d'Archéologie, Paris, 2000
    25. Notice no PA00102961, base Mérimée, ministère français de la Culture : Domaine de Castille
    26. « Google Livres : Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 16, p. 215, Paris, 1819 », sur books.google.fr (consulté le ).
    27. « Google Livres : Nicolas Viton de Saint-Allais, Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Volume 8, p. 446, Paris, 1816 », sur books.google.fr (consulté le ).
    28. « Google Livres : Sous la direction de Louis-Théodore Juge, Archives générales des sociétés secrètes, non politiques, Volume 1, p. 382, Le Globe, Paris, 1839 », sur books.google.fr (consulté le ).
    29. Pierre Chevalier, Histoire de la Franc-maçonnerie française, tome 1, La Maçonnerie : École et Églalité 1725-1799, Fayard, Paris, 1974, p. 270
    30. [G. Charvet, Une correspondance inédite de la comtesse d'Albany, 1804-1824, Nîmes, 1878
    31. Le blason de la commune sur « Gaso », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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