Alixan

Alixan est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Alixan

L'église Saint-Didier.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Jean-Claude Duclaux
2020-2026
Code postal 26300
Code commune 26004
Démographie
Gentilé Alixanais
Population
municipale
2 503 hab. (2018 )
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 33″ nord, 5° 01′ 42″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 224 m
Superficie 28,28 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-de-Péage
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Alixan
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Alixan
Géolocalisation sur la carte : France
Alixan
Géolocalisation sur la carte : France
Alixan

    Ses habitants sont appelés les Alixannais et les Alixannaises.

    Géographie

    La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
    L'intersection du 45e parallèle nord et du 5e méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project)[réf. nécessaire].

    Localisation

    Alixan se trouve à 114 km de Lyon et à 80 km de Grenoble.

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par le périphérique valentinois (RN 532) et par la route départementale 538 (axe de Romans-sur-Isère à Crest).

    La gare de Valence TGV est située sur le territoire communal d'Alixan.

    La commune d'Alixan est desservie par le réseau de bus Citéa.

    Urbanisme

    Typologie

    Alixan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,8 %), cultures permanentes (15,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %), zones urbanisées (2,4 %), mines, décharges et chantiers (1,3 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Morphologie urbaine

    Alixan est un exemple de village circulaire dans la Drôme. Le village s'enroule en trois anneaux autour d'un piton central en molasse.

    Toponymie

    Attestations

    Le nom d'Alixan n'apparaît qu'au Xe siècle[8].

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[9] :

    • 915 : villa de Alexiano (cartulaire de Romans, 96) (étudié par Ernest Nègre[10]).
    • 1157 : castrum Alexiani (Gall. Christ., XVI, 104).
    • 1163 : Aleissais (cartulaire de Léoncel, 11).
    • 1192 : Aleissa (cartulaire de Léoncel, 47).
    • 1194 : Alaisan (cartulaire de Léoncel, 54).
    • 1194 : Alexanum (cartulaire de Léoncel, 65).
    • 1223 : castrum de Alisio (cartulaire de Léoncel, 91).
    • XIIIe siècle : Alixsan (J. Ollivier, Essais sur Valence, 324).
    • 1344 : castrum Aleysano (Cart. Cleyriaci [cartulaire de Clérieux], 54).
    • 1442 : Alexia (choix de documents, 273).
    • 1540 : Alexianum (du Rivail, De Allobrog., 77).
    • 1549 : cura Aleyziani (rôle de décimes).
    • 1549 : Alissan ( rôle de tailles).
    • 1580 : Leyssans (Mémoires d'E. Piémond, 131).
    • 1754 : Alleissan (archives de la Drôme, E 4576).
    • 1891 : Alixan, commune du canton de Bourg-de-Péage.

    Étymologie

    Ce toponyme dériverait du nom latin Alexianus[10] (du grec alexein (« dominer ») et du suffixe de lieu -acum. Il signifierait la « terre d'Alexius », Alexius étant probablement le premier propriétaire d'une villa gallo-romaine à l'origine du village.

    Histoire

    Antiquité : les Gallo-romains

    Présence romaine : découvertes du XIXe siècle (monnaies, tuiles). À la suite de la guerre des Gaules, la fondation de la colonie de Valence entraîne la distribution de terres aux anciens légionnaires dans la plaine de Valence[réf. nécessaire].

    Du Moyen-Âge à la Révolution

    La seigneurie
    • 1067 : Alixan fait partie des possessions des évêques de Valence. A l'époque, ces évêques sont vassaux du Saint-Empire romain germanique[réf. nécessaire].
    • La terre était du patrimoine de l'église épiscopale de Valence dont les droits furent confirmés en 1107 par l'empereur Frédéric Ier.
    Elle fut, dans un partage des biens de cette église, attribuée aux évêques qui la gardèrent jusqu'à la Révolution[9].
    Histoire détaillée

    Du milieu du XIIIe siècle au milieu du XIVe siècle : Alixan est la victime des guerres entre les comtes de Valentinois et les évêques de Valence qui durent presque un siècle. En 1357. Le village est détruit par un incendie provoqué par les troupes comtales[réf. nécessaire].

    Possession des comtes de Valentinois[8][réf. à confirmer].

    1349 : Le Dauphiné est rattaché au Royaume de France.

    En 1448 et 1450, le château d'Alixan reçoit la visite du futur Louis XI de France, alors Dauphin de Viennois (voir Dauphiné)[réf. nécessaire].

    À la fin du XVe siècle, Alixan, comme d'autres communes de la région, accueille des réfugiés de l'Église évangélique vaudoise, courant religieux issu du catholicisme, mais précurseur de la Réforme protestante[réf. nécessaire].

    Au XVIe siècle, le village subit les guerres de Religion. Il est pris et repris alternativement par les catholiques et les huguenots à plusieurs reprises. Il y eut de nombreux dégâts (remparts, église, château, prieuré de Coussaud)[réf. nécessaire].

    Les registres paroissiaux d'Alixan les plus anciens datent de 1553. Ils sont accessibles sur le site web des archives départementales de la Drôme. L'acte le plus ancien concerne la naissance d'Antoine Gonin, fils de Jean, né le .

    XVIIe et XVIIIe siècles : la commune subit des épidémies et des catastrophes naturelles qui détruisent les récoltes. Des loups dévorent des enfants en 1717[réf. nécessaire].

    Sous l'Ancien Régime, la communauté gérait ses affaires de manière autonome, tous les habitants ayant part à l'assemblée du village, mais elle était assez peu fréquentée[11].

    1789 (démographie) : 386 familles[9].

    Avant 1790, Alixan était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église était dédié à saint Didier et dont les dîmes appartenaient au prieur de Coussaud[9].

    Coussaud

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :

    • 1165 : Cozau (cartulaire de Léoncel, 12).
    • 1192 : parrochia de Cossau, parrochia de Cozau, prior de Couzaut et Cousau (cartulaire de Léoncel, 47).
    • 1195 : Coszau (cartulaire de Léoncel, 57).
    • 1207 : prior de Coczau (cartulaire de Léoncel).
    • 1240 : claustrum de Cossaut (cartulaire de Romans, 370).
    • 1264 : Corzau (cartulaire de Léoncel, 217).
    • 1275 : prioratus Sancti Martini de Cossaud (cartulaire de Léoncel, 237).
    • XIVe siècle : prioratus de Cossaudo (pouillé de Valence).
    • XVe siècle : prioratus Alessiani sive de Cossauda (pouillé de Valence).
    • 1891 : Coussaud, chapelle et quartier de la commune d'Alixan.

    Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Augustin (dépendant du prieuré de Saint-Félix de Valence puis de l'abbaye de Saint-Ruf) dont le titulaire était décimateur dans la paroisse d'Alixan.

    De la Révolution à aujourd'hui

    Lors de la Révolution française, les évêques de Valence perdent leurs droits sur Alixan. Les terres détenues par des institutions religieuses, comme l'abbaye de Léoncel ou le prieuré de Coussaud, sont vendues comme biens nationaux et acquises par des familles d'Alixan[réf. nécessaire].

    En 1790, la commune d'Alixan est compris dans le canton de Montélier. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Bourg-de-Péage[9].

    Au XIXe siècle, Alixan reste une commune agricole. Elle perd une partie de son territoire en 1850 lors de la création de la commune de Saint-Marcel-lès-Valence[réf. nécessaire].

    Au début du XXe siècle, les habitants d'Alixan subissent les méfaits des bandits surnommés « les chauffeurs de la Drôme », notamment à la ferme des Blancs, où deux personnes de la famille Dorier sont assassinées en 1908[réf. nécessaire].

    À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le village est placé sous haute surveillance par les forces d'occupation à cause de la proximité du Vercors. Il subit quelques dégâts à la suite des brefs combats qui ont lieu lors de la remontée de la vallée du Rhône par les armées alliées[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Mairie d'Alixan.

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1830  ?    
    1830 1848 Joseph-François Payan-Dumoulin    
    1848 1852  ?    
    1852 1860 Jean Antoine Alexis Trouiller    
    1860 1870 Ennemond Drevet    
    1870 1871 Pierre Rozeron    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874 Pierre Rozeron   maire sortant
    1874 1876 Jean Antoine Alexis Trouiller    
    1876
    (élect. partielle ?)
    1876 Pierre Rozeron    
    1876
    (élect. partielle ?)
    1878 Hyppolite Gilibert    
    1878 1884 Pierre Rozeron    
    1884 1886 Pierre Rozeron   maire sortant
    1886
    (élect. partielle ?)
    1888 Jacques Gilibert    
    1888 1892 Jacques Gilibert   maire sortant
    1892 1896 Jacques Gilibert   maire sortant
    1896 1900 Jacques Gilibert   maire sortant
    1900 1904 Jacques Gilibert   maire sortant
    1904 1904 Lucien Junillon    
    1904
    (élect. partielle ?)
    1908 Homère Barbier    
    1908 1911 Homère Barbier   maire sortant
    1911
    (élect. partielle ?)
    1912 Jean Merle    
    1912 1919 Paul Faibie    
    1919 1925 Homère Barbier    
    1925 1929 Homère Barbier   maire sortant
    1929 1935 Homère Barbier   maire sortant
    1935 1942 Homère Barbier   maire sortant
    1942
    (élect. partielle ?)
    1945 Henry Lacour    
    1945 1947 Georges Barbier    
    1947 1953 Georges Barbier   maire sortant
    1953 1959 Georges Barbier   maire sortant
    1959 1965 Georges Barbier   maire sortant
    1965 1971 Emile Descombes    
    1971 1977 Emile Descombes   maire sortant
    1977 1983 Marc Lafont    
    1983 1989 Albert Merle    
    1989 1995 Albert Merle   maire sortant
    1995 1997 Albert Merle   maire sortant
    1997
    (élect. partielle ?)
    2001 Yves Dufaud SE  
    2001 2008 Yves Dufaud   maire sortant
    2008 2014 Josette Lefort DVG  
    2014 2020 Aurélie Bichon Larroque SE  
    2020 En cours
    (au 11 février 2021)
    Jean-Claude Duclaux[13][source insuffisante] SE-DVD  

    Rattachements administratifs et électoraux

    Alixan est le siège de la communauté d'agglomération Valence Romans Agglo.

    Politique environnementale

    • Amélioration de la gestion des déchets ainsi qu'une meilleure intégration dans le paysage des containers de tri sélectifs.
    • Mise en place d’une démarche de gestion des espaces verts moins gourmands en eau et qui a pour but d’aboutir à la suppression des produits phytosanitaires à horizon 2016.
    • Utilisation d’éco-matériaux pour la rénovation de l'école élémentaire.

    Population et société

    Démographie

    En 2018 , la commune d'Alixan comptait 2503 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Alixan). Les autres chiffres sont des estimations.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 8081 9521 9212 1952 4292 4342 4892 5511 951
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0561 9881 9521 8551 7511 6191 6611 5911 540
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4801 4731 4901 2231 2081 1731 1821 0951 208
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1421 1491 0991 3351 7032 0802 2172 4552 497
    2018 - - - - - - - -
    2 503--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[15].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales (coopérative agricole), fruits (coopérative de fruits et légumes), ovins[8].

    Commerce et industrie

    Une partie du parc technologique et scientifique Rovaltain est située sur le nord-ouest de la commune. Elle est dénommée quartier de la Gare.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Xe siècle : château (actuelle mairie). Il ne reste qu'une tour et des souterrains (pour extraire la pierre de molasse qui a servi à construire les maisons du village)[réf. nécessaire].
    • XIIe siècle : église Saint-Didier de style roman, ancienne chapelle du château[réf. nécessaire].
    • Église gothique (MH) : appareil de galets, escalier monumental[8].
    • XVIe siècle : château de Feraillon[réf. nécessaire].
    • XVIe siècle : ferme fortifiée de Beaulieu[8].
    • Époque moderne : château de Vaugelas[réf. nécessaire].
    • XIXe siècle : Clos Saint-Georges[8].

    Patrimoine culturel

    • artisanat d'art : poterie[8].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Alixan possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Bibliographie

    • 1854 : Abbé Vincent, Notice historique sur Alixan, Valence, .
    • 1891 : J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, 1891, page 5.
    • 1990 : Jean-Noël Couriol, Alixan histoire et tourisme, Les Amis du Vieil Alixan, .
    • 2004 : Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, , 192 p..
    • 2007 : Une histoire d'Alixan en mots et en images, Le Passé Licorne, .

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Alixan.
    9. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 5 (Alixan).
    10. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, page 640, (ISBN 2600028838).
    11. Roger Pierre, « Libertés et contraintes des communautés villageoises dans les pays de la Drôme à la veille de la Révolution », Études drômoises, no 64, , p. 21.
    12. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 116 (Coussaud).
    13. http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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