Wisembach

Wisembach est une commune française de Lorraine, située dans le département des Vosges, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Wisembach (homonymie).

Wisembach

Le centre : la mairie et l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges
Maire
Mandat
Rachel Voinson
2020-2026
Code postal 88520
Code commune 88526
Démographie
Gentilé Carfeuillats, Wisabés
Population
municipale
414 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 29″ nord, 7° 06′ 25″ est
Altitude 500 m
Min. 420 m
Max. 982 m
Superficie 11,3 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Dié-des-Vosges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Dié-des-Vosges-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Wisembach
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Wisembach
Géolocalisation sur la carte : France
Wisembach
Géolocalisation sur la carte : France
Wisembach
Liens
Site web wisembach.fr

    Ses habitants sont appelés les Carfeuillats. Cette appellation patoisante est aujourd'hui inusitée.

    Géographie

    Wisembach est située au pied du col de Sainte-Marie (772 mètres d'altitude) qui s'ouvre sur l'Alsace, à 14 kilomètres de Saint-Dié sur la route départementale 459 reliant Sélestat à Nancy. Le village est acculé dans une gorge, entourée de hauteurs excepté à l'ouest où elle s'ouvre sur la vallée de la Fave et la vallée de la Meurthe menant vers Saint-Dié.

    La commune occupe la haute-vallée d'un sous-affluent de la Fave nommé le Blanc Ru. Quelques personnes érudites, au XIXe siècle, ont proposé une étymologie germanique séduisante, avec une simple traduction française du nom germanique du village, basée sur la dénomination de la petite rivière. Des observateurs attentifs depuis les hauteurs surplombant la vallée de la Fave remarquent que la partie sommitale de la montagne, autrefois chaume pastorale, en amont du territoire communal paraît blanche. Les autres montagnes qui environnent le col de Sainte-Marie sur la chaîne des Vosges ont des reflets bleutés, parfois plus ou moins verdâtres ou gris, mais non point blancs. Il semble que la haute-vallée, la montagne ou la chaume, probablement contiguë à l'ancienne vaste chaume de Lusse, aient été qualifiées autrefois de « blanche ».

    Autrefois des liens importants existaient avec les habitants avec Sainte-Marie-aux-Mines qui a gardé depuis le XVIe siècle une petite minorité germanique et protestante issue de descendants de mineurs du comte de Ribeaupierre.

    Il semble que le village médiéval soit attaché au vieux chemin menant à Sainte-Marie. Son ancienneté est prouvée en partie puisque cette voie menait à une maladrerie, plus tard léproserie, dédiée à Marie-Madeleine, origine lointaine de la petite ville de Sainte-Marie-aux-Mines. En conséquence, le ruisseau qui descend du col ne pouvait être qualifié qu'avec l'adjectif blanc.

    C'est une des 188 communes[1] du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    Hameaux

    • Le Repas, très proche de Gemaingoutte dont il est séparé par la rivière ;
    • Diarupt;
    • Trou-des-Chevaux.

    Écarts et lieux-dits

    • Aubrigoutte
    • La Basse du Coucou
    • La Chavée
    • Le Chener
    • La Cude
    • La Gravelle
    • Grospeaux
    • Les Yraux
    • Le Mont
    • Si-la-Côte

    Fermes

    Une enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges) a été réalisée par le service régional de l'inventaire[2] :

    • La Belle Vue ;
    • Varépré.

    Urbanisme

    Typologie

    Wisembach est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (80,3 %), prairies (17,7 %), zones urbanisées (1,9 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes [Ulricus de] Wesembeg en 1180 (arch. des Vosges, G 566), Wisembach en 1250 (Rappoltst. Urk., I, 85), Wizembeiche en 1290 (Rappoltst. Urk., I, 138), Wyzemberche en 1290 (arch. de la Meuse, B 256, fol. 4), Wissembeche en 1295 (Bibl. nat., ms. fr. 11823, fol. 73), Wizemberche au XIIIe siècle (arch. de la Meuse, B 256, fol. 8), Wisaimbach en 1301 (arch. de la Meuse, B 256, fol. 64 v°), Albus Rivus en 1313 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 700, n° 10), Wyzembeche en 1340 (arch. des Vosges, G 261), [Arluyn de] Wycember en 1360 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 18), Wyzembach en 1361 (arch. des Vosges, G 404), [Ecclesiam de] Vyzembacho en 1362 (arch. des Vosges, G 808), Wiscemberch en 1364 (Bibl. nat., ms. nouv. acq. lat. 2548, n° 96), Wysembech en 1381 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 30), Wyzanbach en 1394 (Bibl. nat., ms. nouv. acq. lat. 2548, n° 125), Wyzemberch au XIVe siècle (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 322), Wysembach, Wysbaiche, Wyzembaiche au XIVe siècle (Bibl. nat., ms. nouv. acq. lat. 1546, p. 62, 101 et 222), Wysambach en 1402 (pouillés Trèves, p. 319), Wyssembech en 1435 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 40), Wyssemberch en 1468 (arch. des Vosges, G 406), Wysembach en 1480 (arch. des Vosges, G 475)[10].

    Étymologie

    Le nom sous sa forme actuelle est déjà attesté en 1250 et repose peut-être sur les éléments vieux haut allemand (h)wīʐ « blanc » (alsacien wiss, allemand weiß, même sens) et bah « ruisseau » (alsacien Bàch, allemand Bach, idem), c'est en tout cas cette signification que possède la traduction latine Albus Rivus de 1313. Albert Dauzat qui ne cite que Wesembeg en 1180, préfère pour expliquer le premier élément, le germanique wisa « prairie » (allemand Wiese « prairie ») et pour le second, le germanique bach « ruisseau »[11], d'ailleurs la forme allemande moderne Wiesenbach va dans ce sens. Par « germanique », on ne sait guère ce qu'il entend : soit il s'agit du germanique commun auquel cas, l'astérisque est nécessaire (termes non attestés) et les mots donnés par lui ne conviennent pas, mais plus précisément le germanique commun *wisō et *bakiz, soit d'une langue germanique indéterminée. Si l'on émet l'hypothèse que le toponyme s'est formé entre le VIIIe siècle et le XIe siècle, la langue germanique est du vieux haut allemand, ancêtre de l'alémanique alsacien et les formes sont wisa et bach.
    Une interrogation subsiste cependant à propos du second élément -bach (et ses variantes), car il est cité alternativement avec un autre élément : -berch et ce, jusqu'au XVe siècle. Il y avait sans doute deux noms de lieux contigus bien distincts, basés sur deux appellatifs différents, comme c'est souvent le cas en toponymie. -berch représente vraisemblablement le vieux haut allemand berg « mont » (alsacien barg « mont »).
    D'après Nicolas François Gravier[12], le village de Wisembach doit son nom à une colonie allemande qui, arrivée dans le val de Galilée par les gorges de Sainte Marie-aux-Mines, se fixa dans ce lieu[Quand ?]. Près de Wisembach, il existe une montagne connue anciennement sous le nom de Woed, qui a été francisé par le mot Varde[réf. nécessaire]. C'est sous ce nom que les anciens titres désignent le territoire de Wisembach et ses dépendances. Le démembrement de 1594 désigne la commune ainsi: la terre de Wurde de Wuisembach, et plus bas : Wuisembach où sont les fonderies pour les mines de la croix.
    La forme patoise est Vouzèbè qui semble une adaptation romane du nom germanique altéré.

    La Varde-de-Wisembach

    La Varde-de-Wisembach est attestée sous les formes [Une certenne terre… on val Sainct Diey, c'on dit] la Warde de Wisembech en 1381 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 30), [La terre de] la Warde de Wissembach en 1473 (arch. de Meurthe-et-Moselle, B 902, n° 44), [La terre de] la Warde de Wysembach en 1480 (arch. des Vosges, G 475), [La terre et seigneurie de] la Warde en 1512 (arch. des Vosges, G 475, n° 60). Warde (> Varde) est la forme commune dans les dialectes d'oïl septentrionaux pour Garde (cf. la Warde à Courtémont ; Lawarde-Mauger, Somme ; Vardes, Seine-Maritime, etc.). Garde avait le sens de tour de garde et par extension de forteresse[13].
    Il s'agissait d'une seigneurie qui comprenait, avec Wisembach, le Repas, Layegoutte, Bonipaire, Combrimont et Verpellière (Alix, nos 275-280). Le souvenir de cette seigneurie paraît être rappelé par le nom du bois de La Garde, communes de Combrimont et de Lesseux[14].

    Histoire

    Wisembach est mentionnée dès la fondation du monastère de Jointures à Saint-Dié. Ce monastère ne pouvant accueillir tous les disciples, saint Déodat (ou Dieudonné) fit bâtir une chapelle à Wisembach qu'il dédia à saint Barthélémy.

    Le , le duc Ferry III de Lorraine engagea à Anselme, sire de Ribeaupierre, la garde de Wisembach, son ban et en justice, et son droit de péage de beffroi pour 560 francs que le duc lui devait. Il est dit dans ces lettres, que les hommes de la garde de Wisembach devaient le cri en armes depuis les montagnes d'Alsace jusqu'à Beauregard, château au-dessus de Raon-l'Étape. Il existe encore des engagements de la terre de varde de Wisembach, l'un de 1381, l'autre de 1473.

    Wisembach était le chef-lieu d'un doyenné du district de Saint-Dié, comprenant les villages de Wisembach, Layegoutte, Repas, Bonipaire, une partie de Combrimont et Verpeillière, où les sujets étaient de mortemain, de sorte que lorsqu'un d'eux venait à décéder sans enfants, ses meubles revenaient au domaine, même lorsqu'il y avait des enfants pauvres qui fussent mariés, même si l'un d'eux ne l'était pas. Les habitants de la varde de Wisembach devaient annuellement au domaine une taille de 54 francs. Chaque nouvel habitant payait, pour droit d'entrée et de bourgeoisie, la somme de dix francs. Mais si ces nouveaux venus épousaient des filles du lieu, ils ne payaient que moitié du droit de bourgeoisie. Tous ceux qui vendaient du vin payaient 10 francs par an.

    La mairie, place François-Vaxelaire.

    Sur le point culminant de la montagne qui sépare les Vosges de l'Alsace, le duc Thiébaut avait fait construire, vers la fin du XIIIe siècle, un château fort auquel il avait donné le nom de Châtel-sur-Faîte[15], et qui était destiné à contenir les invasions et à protéger le péage. Ce château a été entièrement détruit mais on ignore à quelle époque. Les derniers débris du château ont été récupérés après la Révolution par un habitant de Wisembach pour la construction de sa maison.

    À un kilomètre de Wisembach, sur le chemin qui conduit au Repas, il existait autrefois un village appelé Norbépaire. L'époque de sa destruction n'est pas connue ; on prétend seulement qu'il fut, il y a longtemps, ruiné par un incendie. On a trouvé sur son emplacement un âtre de cheminée.

    La construction de la tour de l'église de Wisembach remonte au XIIe siècle. La nef et le chœur ont été rebâtis en 1782, la nef par les habitants de la paroisse et le chœur par le chapitre de Saint-Dié, qui était chargé de l'entretien de cette partie de l'église à raison des dîmes qu'il percevait à Wisembach. La tradition fait remonter la construction de l'église au temps de Charlemagne, vers l'an 800. L'ancienne tour existe toujours, mais la nef et le chœur ont été reconstruits en 1779.

    La mairie et les écoles ont été construites en 1848. En 1814, le village fut rançonné par les armées de passage. Lors de la guerre de 1870, les combats furent limités, les Prussiens n'ayant pas emprunté le col de Sainte-Marie.

    La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1914-1918[16].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[17]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1885 1901 Victor Gaire    
    1901 1904 Auguste Sibille    
    1904 1919 Jean-Baptiste Demange    
    1919 1925 Auguste Sibille    
    1925 1929 Joseph Tenette    
    1929 1937 Jules Noël    
    1937 1945 Charles Vincent    
    1945 1951 Paul Bertrand   Professeur, ancien conseiller général
    1951 1952 Jacques Ducreux Radical-socialiste administrateur de société
    1952 1953 Émile Delacôte    
    1953 1956 Aimé Perrin    
    1956 1971 René Gérardin    
    1971 1971 Maurice Châtelain    
    1971 mars 1983 André Baradel    
    mars 1983 juin 1995 Fernand Gérard (1931-2012)   Retraité de l'armée de l'air
    mars 1995 janvier 2010 Jacques Armand   Démissionnaire en cours de mandat
    mars 2010 avril 2012 Cyril Stieffatre   Démissionnaire pour raisons professionnelles
    avril 2012 En cours
    (au 18 février 2015)
    Pascal Schnelzauer    

    Budget et fiscalité 2014

    En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[18] :

    • total des produits de fonctionnement : 319 000 , soit 751  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 276 000 , soit 650  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 116 000 , soit 273  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 72 000 , soit 169  par habitant.
    • endettement : 99 000 , soit 233  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 21,55 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,55 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 26,97 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 20,05 %.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2018, la commune comptait 414 habitants[Note 3], en augmentation de 1,97 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    8117688739921 1371 2511 3051 2861 089
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 1391 1461 2161 0911 011963953841808
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    784385564546502524504428381
    1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 -
    363356370428412407406414-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Barthélemy.

    Lieux et monuments

    • Tour de l'enceinte du village, datant du XVe siècle.
    • Église Saint-Barthélemy, érigée en 1782, et son orgue[23], réalisé en 1930 par Edmond Alexandre Roethinger[24],[25].
    • Calvaires, fontaines, frontons de porte.
    • Monument aux morts[26].
    • Anciennes fonderies.
    • Depuis le site du château de Châtel-sur-Faîte, point de vue admirable sur la plaine d'Alsace et les crêtes des Ballons des Vosges.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Coupé au 1er d'azur à deux monts de sinople entre lesquels coule une rivière d'argent, chargé d'un cerf d'argent au dextre et d'un sapin de même au sénestre. Au second parti au 1) d'azur à la croix de Lorraine d'or et au 2) aussi d'or à la bande de gueule chargée de 3 alérions d'argent.
    Commentaires : blason adopté lors de la réunion du conseil municipal du 4 novembre 2008 et validé lors de la délibération du 2 décembre de la même année. On y voit la ligne bleue des Vosges, le col, le Blanc Ru et la forêt giboyeuse. Les armes en pointe sont de l'arrondissement de Saint-Dié et de la Lorraine.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    2. Inventaire de l'architecture rurale
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. « Dictionnaire du département : Vosges » in Dictionnaire topographique de la France : comprenant Les noms de lieux anciens et modernes (lire en ligne)
    11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 734b.
    12. Receveur des domaines et de l'enregistrement à Saint-Dié au début du XIXe siècle, auteur d'une Histoire de la ville épiscopale et de l'arrondissement de Saint-Dié
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit., p. 310b.
    14. « Dictionnaire du département : Vosges » in Dictionnaire topographique de la France comprenant LES NOMS DE LIEUX ANCIENS ET MODERNES, p. 437 (lire en ligne)
    15. Le Château de Faîte ou du Haut
    16. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
    17. Site municipal
    18. Les comptes de la commune de Neufchâteau « Copie archivée » (version du 23 mars 2015 sur l'Internet Archive).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. L'intervention de la Fondation du patrimoine pour la restauration de l'orgue
    24. (fr) Site sur les orgues de la région : Page sur l'orgue de Wisembach
    25. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 638 à 640
      Présentation des orgues de l’église Saint-Barthélémy de Wisembach
      .
    26. Monument aux morts de Wisembach
    27. Biographie de François Vaxelaire, Dictionnaire des vosgiens célèbres, sur ecrivosges.com, consulté le 21 juin 2016
    28. Alphonse Sipp de Wisembach, village frontière, sur europeana1914-1918.eu, consulté le 21 juin 2016
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