Vitry-en-Artois

Vitry-en-Artois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Vitry.

Vitry-en-Artois

L'hôtel de ville.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes Osartis Marquion
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Georget
2020-2026
Code postal 62490
Code commune 62865
Démographie
Gentilé Vitryens
Population
municipale
4 676 hab. (2018 )
Densité 249 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 35″ nord, 2° 59′ 02″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 72 m
Superficie 18,78 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brebières
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Vitry-en-Artois
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Vitry-en-Artois
Géolocalisation sur la carte : France
Vitry-en-Artois
Géolocalisation sur la carte : France
Vitry-en-Artois
Liens
Site web vitryenartois.fr

    Géographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Vitry-en-Artois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[4] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,9 %), zones urbanisées (11,8 %), prairies (7,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), forêts (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Les recherches archéologiques[réf. nécessaire] indiquent que la ville existait bien longtemps avant l'époque de Jésus-Christ.

    Des fouilles ont attesté de la présence de vestiges de constructions rurales du Moyen Âge et de l'époque paienne[11].

    Plusieurs rois (Clodion le Chevelu, Clotaire Ier, Sigebert Ier, Chilpéric) auraient vécu à Vitry-en-Artois[12], Sigebert I y étant assassiné sur ordre de Frédégonde reine de Neustrie, y compris un roi d'Espagne, lors de l'occupation espagnole[C'est-à-dire ?][réf. nécessaire].

    De nombreuses familles de Vitry-en-Artois seraient arrivées à cette époque. Lors de l'attaque de Cambrai sur Vitry-en-Artois pour chasser les Espagnols[Quand ?] guerre de Vitry »), les habitants se seraient cachés dans les souterrains qui allaient du château à l'église et à diverses maisons. Actuellement, de nombreuses maisons ont encore accès au souterrain par leur cave bien que la plupart en ait muré l'accès.

    Le la gare de Vitry-en-Artois est mise en service par la compagnie des chemins de fer du Nord, lorsqu'elle ouvre la section d'Arras à la frontière de sa ligne de Paris à Lille et à la frontière belge[13],[14].

    Le , un décret modifie le nom de la commune de Vitry (Pas-de-Calais) qui devient Vitry-en-Artois[15].

    Première Guerre mondiale

    Lors de la Première Guerre mondiale, le village est bombardé dès le mois d'. Le , il est presque totalement détruit, seules cinq maisons étant « encore debout »[16].

    La gare est reconstruite dans les années 1920 sur un modèle employé pour de nombreuses gares des alentours après la Première Guerre mondiale[17].

    Seconde Guerre mondiale

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'aérodrome de Vitry en Artois a été le premier aérodrome réoccupé par un groupe français des FAFL en provenance d'Angleterre le . Ce jour est toujours commémoré tous les ans et une stèle à l'entrée de l'aérodrome rappelle l'événement.

    Politique et administration

    Vitry-en-Artois dans son canton et dans l'arrondissement d'Arras.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1900 1901 Cyrille Vaillant    
    1901 1908 Auguste Masclef    
    1908 1913 Gustave Baudumont    
    1914 1919 Théophile Defossez    
    1919 1921 Jules Grebert    
    1921 1935 Arthur Detrez    
    1935 1944 Pierre Riquoir    
    1944 1945 Georges Detrez   délégué maire par le CNR
    1945 1947 Louis Stienne PCF  
    1947 1969 Pierre Riquoir    
    1969 1981 Louis Stienne PCF Conseiller général (1967 → 1979)
    1981 mars 1983 Marie-Claude Riquoir PS  
    mars 1983 mars 1989 Martial Stienne PCF Conseiller général (1979 → 2015)
    mars 1989 juin 1995 Marie-Claude Riquoir PS  
    juin 1995 En cours
    (au 16 août 2016)
    Pierre Georget PRG Président de la CC Osartis Marquion (2014 → )
    Ancien conseiller Régional
    Réélu pour le mandat 2020-2026[18],[19]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

    En 2018, la commune comptait 4 676 habitants[Note 3], en augmentation de 1,21 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7261 7201 8682 0662 3102 2662 3082 3772 437
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 4742 5022 7072 6082 6502 8372 8652 9102 910
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 9492 9372 9522 0472 6022 6612 7642 8533 234
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 3893 5934 7484 7384 7324 6064 3854 4794 636
    2018 - - - - - - - -
    4 676--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune était relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,9 %) était en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune était supérieure à la population masculine. Le taux (52,1 %) était du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était, en 2007, la suivante :

    • 47,9 % d'hommes (0 à 14 ans = 19,4 %, 15 à 29 ans = 18,3 %, 30 à 44 ans = 20,3 %, 45 à 59 ans = 21,2 %, plus de 60 ans = 20,8 %) ;
    • 52,1 % de femmes (0 à 14 ans = 16,8 %, 15 à 29 ans = 18,1 %, 30 à 44 ans = 18,2 %, 45 à 59 ans = 22 %, plus de 60 ans = 24,9 %).
    Pyramide des âges à Vitry-en-Artois en 2007 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,7 
    75 à 89 ans
    8,8 
    14,8 
    60 à 74 ans
    14,8 
    21,2 
    45 à 59 ans
    22,0 
    20,3 
    30 à 44 ans
    18,2 
    18,3 
    15 à 29 ans
    18,1 
    19,4 
    0 à 14 ans
    16,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Manifestations culturelles et festivités

    • La braderie de la Pomme d'amour, qui a lieu à l'Ascension et est animée par la confrérie de la Pomme d'amour, créée en 2004 afin de promouvoir cette sucette anisée, friandise locale créée et produite par la confiserie Jeanne-d'Arc de Vitry, magasin créé en 1888 par Henri Douvrain[26].
    • Marché de Noël, avec une douzaine de chalets et la présence d'artisans dans la salle polyvalente[27]

    Médias

    Outre la presse locale, on note Radio Scarpe Sensée, ancienne radio pirate devenue légale lors du premier mandat de François Mitterrand, et qui se concentre désormais sur le social, la culture et l'éducation des habitants du territoire[28].

    Économie

    En 2018, la commune dispose d'un commerce de centre-ville dynamique et attractif, ainsi que d'un marché hebdomadaire qui regroupe une quinzaine de commerçants[29].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château n'existe plus.
    • L'église Saint-Martin, de style gothique et détruite en partie lors d'un bombardement allié en , fut reconstruite en 1923 par l’architecte, M. Mulard, selon les plans d'origine. Les piliers seront en grès poli de Saverne, et le bâtiment est en grès rose d’Alsace [30],[31].
      Le bâtiment est notamment remarquable par sa verrière historiée, qui reflète la politique de reconstitution des vitraux des églises du nord de la France détruites pendant le conflit[32].
      Elle contient un orgue Cavaillé-Coll électrifié en 1970[33]
    • Le monument aux morts[34].
    • La crypte des décapités de Munich, situé à la sortie de Vitry-en-Artois, en direction de Sailly-en-Ostrevent au lieu-dit « le Mont Métier », où reposent les cendres de neuf membres de l’organisation de Résistance mise sur pieds par Georges Detrez et Désiré Facon arrêtés la nuit du 13 au . Vingt-huit personnes sont déportées et 9 d'entre-elles sont condamnées à mort par le Tribunal du Peuple nazi, et ont été décapitées et incinérées à Munich le .
      Ramenées en France en 1947, les neuf urnes sont, quelque temps, exposées dans le chœur de l’église Saint-Martin, puis abritées dans le mémorial, inauguré le par le général de Larminat et le préfet Georges Phalempin[35].
    • La gare ferroviaire de Vitry-en-Artois.
    • L’aérodrome de Vitry-en-Artois ou de Vitry-Brebières a accueilli, en 1944, le retour en France du Groupe de bombardement Lorraine. Cédé par l'Aviation civile à un syndicat intercommunal (SIVU) rassemblant Brebières et Vitry, il est géré par la communauté de communes Osartis Marquion. La ville de Brebières souhaitant créer un parc éolien, le conseil communautaire a décidé en de mettre fin à l'activité aérienne d'avions légers, pour laisser subsister celle des ULM[36].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Vitry-en-Artois se blasonnent ainsi :
    d'azur au château d'argent, ouvert, ajouré et maçonné de sable, surmonté d'une couronne d'or et posée sur une terrasse de sinople chargé d'une devise ondée d'argent.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Jean-Marc Léonard, Histoire de Vitry-en-Artois, 1986, 195 pages (ISBN 2950168701) et (ISBN 9782950168702)
    • Bernard Mazingue, Vitry-en-Artois sous la Révolution, Saint-Nicolas,1987.
    • Bernard Mazingue, Réfractaires et curés de l'an II, Saint-Nicolas, 1991.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public - 1992 - 214 pages (Jean-Marie Pesez, Archéologie de la maison paysanne).
    12. Page "Histoire" du site de la mairie
    13. J.B. Richard (pseudo de Jean-Marie-Vincent Audin), Les Chemins de Fer par Richard : Chemin de fer du Nord. De Paris à la frontière de Belgique par Lille et Valenciennes... Itinéraire, etc, Paris, L. Maison, éditeur, , 49 + annexes p. (lire en ligne), « Itinéraire », p. 36.
    14. François Palau et Maguy Palau, Le rail en France : Les 80 premières lignes, 1828-1851, F. et M. Palau (réimpr. 2003) (1re éd. 1995), 217 p. (ISBN 978-2-9509421-0-4 et 2-9509421-0-5, notice BnF no FRBNF35772084), « 3.11 Paris à Lille et Valenciennes », p. 119-120.
    15. J. B. Duvergier, « Table chronologique : 3 août », Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements, et avis du Conseil d'Etat, , p. 487 (lire en ligne, consulté le ).
    16. « Vitry-en-Artois », sur monumentsmorts.univ-lille3.fr (consulté le ).
    17. « D'hier à aujourd'hui - Vitry-en-Artois : La Gare », L'Observateur du Douaisis, no 789, , p. 35.
    18. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    19. Géraldine Csizmadia, « Vitry-en-Artois: Parmi dix engagements, un espace sportif et du logement : Depuis sa réélection, Pierre Georget et son équipe municipale s’attachent à poursuivre le dialogue avec les habitants, dans les boîtes aux lettres, mais aussi sur internet. Il détaille les principaux chantiers du mandat qui débute, marqué notamment par la construction de logements, d’un Ehpad, d’un béguinage », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    24. « Évolution et structure de la population à Vitry-en-Artois en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    25. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
    26. Bruno Place, « L'interview du maire : « Le bonheur fleurit à Vitry », L'Observateur de l'Arrageois, no 650, , p. 9.
    27. Bruno Place, « L'agenda de Vitry-en-Artois », L'Observateur de l'Arrageois, no 650, , p. 9.
    28. Bruno Place, « La vie associative : de Loisirs à Scarpe Sensée », L'Observateur de l'Arrageois, no 650, , p. 10.
    29. « Un bonbon fait la renommée de la ville : La Pomme d'amour fait connaître Vitry-en-Artois dans toute la France, grâce à sa confrérie et à la journée de l'Ascension qui la célèbre », L'Observateur de l'Arrageois, no 650, , p. 8.
    30. Clochers.org
    31. 40000clochers.com
    32. « Vitry-en-Artois, église Saint-Martin », sur https://www.patrimoine-histoire.fr, (consulté le ).
    33. « L'Orgue », notice no IM62001681, base Palissy, ministère français de la Culture.
    34. Site "memoiresdepierre"
    35. Bruno Place, « Les richesses de la ville », L'Observateur de l'Arrageois, no 650, , p. 8.
    36. Bruno Place, « Fini les avions, place aux ULM : La communauté de communes a décidé de fermer l’aérodrome de Vitry-Brebières. Le terrain est donc réservé aux ULM, disposant d'une piste réduite », L'Observateur de l'Arrageois, no 826, , p. 7.
    37. Richard, Guide du voyageur en France, éd. Hachette, 1861.
    38. A. Bouthors, Coutumes locales du bailliage d'Amiens rédigées en 1507, éd. Société des Antiquaires de Picardie, 1853.
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