Visseiche

Visseiche est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne, peuplée de 830 habitants[Note 1].

Visseiche

La mairie.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Bruno Gatel
2020-2026
Code postal 35130
Code commune 35359
Démographie
Gentilé Visseichais
Population
municipale
830 hab. (2018 )
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 57′ 21″ nord, 1° 18′ 03″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 91 m
Superficie 16,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction La Guerche-de-Bretagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Visseiche
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
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Visseiche
Liens
Site web www.visseiche.com

    Géographie

    Carte de la commune de Visseiche

    La Seiche, affluent de rive gauche de la Vilaine, traverse la commune de Visseiche, passant au sud du bourg. C'est une rivière réputée très poissonneuse, mais hélas parfois les poissons y sont victimes de pollutions comme en [1],[2]. En amont de Visseiche, ce cours d'eau a traversé l'étang de Carcraon et servi un temps de limite communale avec Domalain.

    Au nord-ouest, la commune est délimitée par le ruisseau du Bas Mesnil, affluent de rive droite de la Seiche, qui se jette dans celle-ci au niveau de l'étang de Marcillé, et sert en partie de limite communale avec Marcillé-Robert.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 739 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[9] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 821,7 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 33 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Visseiche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Guerche-de-Bretagne, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (68,2 %), terres arables (28,8 %), zones urbanisées (1,6 %), prairies (1,4 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attestée sous les formes Visechia en 1115, Vissegia en 1156, Visicca en 1184, vicus sipia [23], parochia de Visecha en 1240, Vissecha en 1516.

    En latin classique, vicus est un quartier de ville ou bourgade rurale ; dans la Gaule romaine, un village, une ville de taille moyenne ou de moyenne importance, sans fortifications particulière.

    Visseiche signifie « village ou bourg sur la Seiche »[24].

    Histoire

    Antiquité

    Lieu de passage dès l'Antiquité, Visseiche est citée sur la table de Peutinger sous le nom de Vicus Sipia sur l'itinéraire reliant à l'Antiquité Rennes et Angers. Les fouilles réalisées en 1995 ont mis au jour les fondations constituées de pieux en bois de la voie antique reliant Condate Riedonum (Rennes) à Juliomagus (Angers). « Une couche de poutres de bois recouverte d'une chape de graviers et d'argile supportait la chaussée ainsi drainée et stabilisée. Dans un second temps, un important ouvrage franchissant la rivière a été mis en œuvre. Il était constitué d'une digue et d'un pont supporté par des pieux de chêne ». Cet ouvrage est daté des années 20 avant J.-C.[25].

    C'était là qu'était la station romaine de Sipia (d'où Vicus Sipia [Visseiche]), indiquée par les itinéraires sur la voie romaine qui reliait Angers à Rennes. On trouve fréquemment dans le bourg et aux environs des traces de cette antiquité, entre autres des cercueils en calcaire coquillier, des substructions cimentées à chaux et à sable, des petits fourneaux de brique disposés comme ceux des bains romains, etc.

    Moyen Âge

    Des fouilles ont également mis en évidence des habitats du Haut Moyen Âge, ainsi que deux nécropoles en usage du VIe siècle au XIe siècle[25]. La nécropole carolingienne concerne 72 individus : elle fut abandonnée dans le courant du XIe siècle, ce que prouve l'existence d'une chapelle dédiée à Saint Pierre construite à son emplacement à cette époque[26].

    Vitrail de l'église paroissiale Saint-Pierre représentant Jacques de Champagné

    En 1115, Brient de Visseiche, et en 1156, Raoul de Visseiche furent témoins des donations faites par les sires de la Guerche au prieuré Saint-Nicolas[27] de cette ville. En 1184, Simon de Visseiche, seigneur de Visseiche, donna lui-même à l'abbaye de Saint-Melaine une dîme qu'il possédait en la paroisse de Noyal-sur-Vilaine[28].

    En 1415, Anne d'Épinai, dame de Fontenaille, demanda par testament d'être enterrée dans l'église de cette paroisse et ordonna qu'il soit dit cinq cents messes dans cette église pour le repos de son âme[29].

    La paroisse de Visseiche dépendait autrefois de la châtellenie du Désert, qui appartint aux barons de Châteaubriant, puis à ceux de Vitré à partir de 1542, et disposait du droit de haute justice. Le chef-lieu de la châtellenie du Désert se trouvait au manoir de la Rivière du Désert, en Visseiche, et s’étendait sur le territoire des paroisses d'Availles, Bais, Brielles, Chancé, Domalain, Gennes, Moulins, Moutiers, Le Pertre, Saint-Germain-du-Pinel, Vergéal et Visseiche[28].

    Le manoir de la Montagne est mentionné dès le XIIIe siècle : il fut la propriété de la famille Champagné (Gohier Ier de Champagné est seigneur de la Montagne en 1246 ; son petit-fils Gohier III participa à une croisade ; certains de leurs descendants Jean Ier, Jean II et Jean III de Champagné furent tous les trois chambellans du duc de Bretagne, le dernier cité étant aussi connétable de Rennes en 1541 et son fils Jacques de Champagné est représenté sur un vitrail de l'église paroissiale Saint-Pierre, puis de la famille Hay, seigneur des Nétumières à partir de 1583 en raison du mariage de Françoise de Champagné[30] avec Paul Hay des Nétumières[31], lequel fut président à mortier au Parlement de Bretagne[28].

    Époque moderne

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Visseiche en 1778 :

    « Visseiche, sur la route de Rennes à La Guerche ; à 7 lieues un tiers de Rennes, son évêché et son ressort, et à une lieue un huitième de La Guerche, sa subdélégation. On y compte 1 300 communiants[32] ; la cure est présentée par un chanoine de l'église cathédrale de Rennes. Le territoire, coupé par la rivière de Seiche et d'une superficie assez plane, est couvert d'arbres et de buissons ; il offre à la vue des terres bien cultivées[29]. »

    Le XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Visseiche en 1845 :

    « Visseiche (sous l'invocation de saint Pierre) : commune formée par l'ancienne paroisse du même nom, aujourd'hui succursale. (...). Principaux villages : la Fresnais, le Haut-Etanchet, la Thébaudière, la Vaudrie, la Florancière, la Blandinière, la Basse-Bussonnière, l'Onglée, la Gauffrère, l'Arnerie. Maisons importantes : la Montagne, la Grande-Motte, la Grand'Rivière. Superficie totale : 1602 hectares (...) dont terres labourables 1 076 ha, prés et pâtures 240 h, bois 81 ha, vergers et jardins 69 ha, landes et incultes 61 ha (...). Moulins : 4 (de Visseiche, de la Grand-Rivière, minoteries, à eau ; de la Grand'Rivière , de la Grande-Motte, à vent). (...) Les anciens châteaux étaient la Montagne et Longlée. Celui-ci sert de magasin pour fourrage ; le premier a été démoli en 1839 pour servir à la construction d'une maison moderne. Géologie : schiste argileux. On parle le français[33]. »

    La Belle Époque

    Le eut lieu l'expulsion des religieux de l'école libre (privée) de Visseiche en fonction de la loi sur les congrégations[34].

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Visseiche porte les noms de 48 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; sept soldats sont morts en Belgique dont six dès l'année 1914, un (Émile Morel) en Serbie dans le cadre de l'expédition de Salonique, la plupart des autres sont morts sur le sol français ; parmi eux Louis Couasnon[35], décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, tué à l'ennemi le à Vauxaillon (Aisne)[36].

    Joseph Boucherie[37], aumônier militaire au 154e régiment d'infanterie, est mort pour la France des suites de ses blessures le à Bou Denib (Maroc). Il a été décoré de la Croix de guerre et fait chevalier de la Légion d'honneur.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Visseiche porte les noms de deux hommes (Victor Hervé et Théophile Martin[38]) morts pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale[36].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Claude Barbé[39] est mort pour la France le , tué à l'ennemi à Tiaret (Algérie) pendant la Guerre d'Algérie[36].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 2001[40] Maurice Viel   Agriculteur
    mars 2001[41] mars 2008 Fernand Crosnier   Agriculteur retraité
    mars 2008[42] En cours Bruno Gatel UDI VRP
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

    En 2018, la commune comptait 830 habitants[Note 7], en augmentation de 3,62 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3031 2111 8111 6001 5591 5311 5141 5801 580
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5791 4451 4121 3371 3711 3421 3161 3181 270
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1761 1531 1441 0271 0181 0691 0511 0501 027
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    981904785723689687804821807
    2017 2018 - - - - - - -
    823830-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus n°8 de Vitré Communauté.

    Lieux et monuments

    L'église paroissiale Saint-Pierre.
    • Le château de la Montagne, sur le site d'un ancien manoir attesté dès le XIIIe siècle et abandonné par la famille Hay des Nétumières en 1784 au profit du château voisin de Monbouan, le château de la Montagne est bâti en 1884 par l'architecte Henri Mellet pour le comte Pierre-Élie Hay des Nétumières : terrasse aménagée par un architecte de Vitré, vers 1900, construction de la chapelle en 1929 en ex-voto de la Grande Guerre par Madame des Nétumières, construit dans le style néo XVIIe, le château est une demeure atypique dans la production d'Henri Mellet, mais peut être considéré comme un exemple représentatif et digne d'intérêt à l'échelle du département d'Ille-et-Vilaine. Le château conserve son décor intérieur.

    La commune compte un monument historique :

    L'église Saint-Pierre de Visseiche

    Réseaux

    Un point de suivi de la qualité des eaux de la Seiche est présent sur la commune[48].

    Personnalités liées à la commune

    Un membre du groupe de musique Baradoz est originaire de Visseiche[réf. nécessaire], d'où la référence de ce village dans le morceau Maeziou.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Amand Baron, Visseiche, monographie manuscrite des origines à 1945, 1992, (Archives d'I&V - 2 J 565).

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/pollution-de-la-seiche-les-poissons-morts-recuperes-dans-la-riviere-5213133
    2. franceinfo, « Ille-et-Vilaine : plus de quatre tonnes de poissons morts retirées de la Seiche après des rejets de l'usine... », sur francetvinfo.fr, Franceinfo, (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Visseiche et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Visseiche et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Sur la table de Peutinger
    24. Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 119, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828, consulté le ).
    25. Yves Ménez et Stéphane Hinguant, Fouilles et découvertes en Bretagne, éditions Ouest-France, 2010, (ISBN 978-2-7373-5074-0).
    26. Pierre-Roland Giot, L. Fleuriot, G. Bernier, B. Merdrignac et P. Guignon, "Les premiers bretons. La Bretagne du Ve siècle à l'an 1000", éditions Jos, 1988, (ISBN 2-85543-083-6).
    27. http://www.vivre-au-pays-guerchais.com/decouvrir-le-pays/la-guerche-de-bretagne/ancien-prieure-saint-nicolas-p-111
    28. http://www.infobretagne.com/visseiche.htm
    29. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, tome 4, 1778, consultable https://archive.org/stream/dictionnairehist04og#page/514/mode/2up
    30. Françoise de Champagné, née le à Visseiche, décédée le à Erbrée
    31. Paul Hay, baron des Nétumières, né le à Vitré, décédé le à Erbrée
    32. Personnes en âge de communier
    33. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1845, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiol5fHwu_XAhUpDsAKHeXUDBUQ6wEIJzAA#v=onepage&q=Visseiche&f=false
    34. Journal La Croix n° du 28 janvier 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k220238j/f2.image.r=Visseiche?rk=386268;0
    35. Louis Couasnon, né le à Maël-Carhaix, sergent au 12e bataillon de tirailleurs malgaches
    36. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=20171
    37. Joseph Boucherie, né le à Visseiche
    38. Théophile Martin, né le à Martigné-Ferchaud, pionnier au 611e régiment de pionniers, mort le à Fays-les-Veneurs (Belgique)
    39. Claude barbé, né le à Visseiche, chasseur au 5e Groupement des commandos parachutistes
    40. « Élections municipales 2001 », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
    41. « Le maire Bruno Gatel reconduit dans ses fonctions », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    42. « Bruno Gatel a été élu maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    43. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    44. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    47. « Église Saint-Pierre », notice no PA00090895, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Qualit'eau 35 n°30 p.5 - bulletin du réseau de suivi de la qualité des eaux superficielles en Ille-et-Vilaine » (consulté le ).
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