Rannée

Rannée est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 086 habitants[Note 1].

Rannée

La mairie.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Guy Ferré
2020-2026
Code postal 35130
Code commune 35235
Démographie
Gentilé Rannéen
Population
municipale
1 086 hab. (2018 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 27″ nord, 1° 14′ 26″ ouest
Altitude Min. 55 m
Max. 114 m
Superficie 51,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Guerche-de-Bretagne
(banlieue)
Aire d'attraction La Guerche-de-Bretagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Rannée
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Rannée
Géolocalisation sur la carte : France
Rannée
Géolocalisation sur la carte : France
Rannée

    Géographie

    Carte de la commune.

    Forêt

    La forêt de la Guerche (située en fait à Rannée) est l'une des plus vastes du département. Des activités connexes s'y sont développées, comme de petits ateliers de vannerie professionnelle qui fabriquaient les paniers à pommes et les resses (vannerie bâtie sur arceaux)[1].

    Les vanniers, appelés aussi pann'rotieux, vendaient leurs objets notamment lors des grandes foires de la fin de l'été de la Guerche de Bretagne : ces foires sont dites angevines dont la foire aux « bitraos » (gardiens de troupeaux), la foire aux Prussiens (référence probablement à  l’occupation par les troupes prussiennes de la région de début septembre à début )[2].

    Les vanniers prélevaient dans la forêt la « bourdann » (la bourdaine qui est un arbuste noir à fruit rouge) et le châtaignier. Aujourd'hui, les vanniers préfèrent l'osier qu'ils achètent conditionné en bottes. L'atelier Hérisset est le dernier atelier en activité[3].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 739 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Soudan », sur la commune de Soudan, mise en service en 1994[10] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 821,7 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 39 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 12,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Rannée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Guerche-de-Bretagne, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[20] et 5 337 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Guerche-de-Bretagne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,7 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), terres arables (13,1 %), prairies (5,1 %), zones urbanisées (0,8 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Radenix en 1150, Raenia en 1180, Redenia en 1188[27], Rasné au XVIe siècle.

    « Fougeraie, lieu ou poussent les fougères »[27], du breton radenn « fougère », avec amuïssement roman du [d] intervocalique.

    Histoire

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    Rannée est peuplé depuis longtemps. Les mines d'or situées à l'ouest de la forêt ont été exploitées depuis l'Antiquité. De nombreuses pièces de monnaies sont encore trouvées de nos jours dans la forêt (site d'un village gaulois, voie romaine…).

    En plus de la richesse de son sous-sol, Rannée était un lieu stratégique situé aux confins des pays de deux cités gauloises qui ont donné les actuelles Rennes et Nantes.

    Localisée par la suite sur la marche franco-bretonne, il est certain que de nombreux échanges s'y sont déroulés avec l'Anjou voisin.

    De 1791 à 1900, la commune de Rannée est rattachée à La Guerche-de-Bretagne. Avant 1791, La Guerche dépendait de la paroisse de Rannée. Pendant la Révolution, une partie de la bourgeoisie de ce quartier s'est opposée au projet initial de la création de deux communes. Ils souhaitaient développer la Guerche, cependant, ils se sont mis à dos la population des autres quartiers de l'ancienne paroisse en supprimant le droit de culte, le cimetière, les cloches de l'ancienne paroisse (aujourd'hui Rannée). Ils confisquèrent aussi les biens de cette paroisse. La population de Rannée a ressenti cette période comme une forme d'occupation, ce qui a pu favoriser un certain conservatisme religieux (en réaction au zèle « abusif » de certains patriotes guerchais) et plus généralement une méfiance par rapport à leurs voisins guerchais. Les habitants retrouveront les cloches chez un brocanteur et militeront jusqu'au rétablissement du droit de culte et du retour au statut de commune.

    Au début du XXe siècle, les habitants de Rannée font construire une école privée (il n'y avait alors aucune école à Rannée). Celle-ci est rapidement confisquée par l'État. Les habitants obtiendront la récupération des lieux (qui étaient des biens privés, propriété notamment de la famille Dutertre et non pas de l'Église : ils n'auraient donc pas dû être confisqués). On s'émeut qu'une commune aussi importante n'ait pas d'école publique. Elle est construite dans les années 1930 : deux élèves (enfants d'une même famille) s'y inscriront dans le siècle. L'école privée est toujours en activité.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, les troupes allemandes occupent la forêt (réserve importante de munitions et de matériel près de la gare de la forêt). Les habitants sont régulièrement réquisitionnés pour y travailler. Le château de la forêt est détruit à la suite des combats de la Libération.

    En 2000, une grande fête a été organisée pour célébrer les cent ans de la commune.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    23 février 1936 27 mars 1971 Julien Chopin[28]    
    27 mars 1971 25 mars 1989 André Taillandier[29]   Directeur d'exploitation forestière
    25 mars 1989 29 mars 2014 Joseph Aulnette   Retraité
    29 mars 2014 25 mai 2020 Gérard Chopin[30] SE Technicien
    25 mai 2020 En cours Guy Ferré[31]   Comptable
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1901. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

    En 2018, la commune comptait 1 086 habitants[Note 7], en diminution de 3,12 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6061 5671 5961 4121 3521 2571 3051 1851 188
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 1631 1601 1141 1151 1091 1111 1531 1591 165
    2013 2018 - - - - - - -
    1 1211 086-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus n°8 de Vitré Communauté.

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien.
    Statues mariales fixées au chêne de la Vierge.

    L'église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien est inscrite aux monuments historiques depuis le [36],[37]. Le chœur, l'abside et la base de la tour datent du XIIe siècle, tandis que les collatéraux ont été édifiés au XVIe siècle.

    L'église conserve trois beaux retables :

    • le retable du maître-autel, orné de colonnes,
    • un retable nord, également composé de colonnes corinthiennes,
    • un retable sud, de 1652, comprenant un groupe en terre cuite polychrome figurant sainte Anne et la Vierge. La curieuse chaire en bois , du XVIe siècle, est la plus ancienne d'Ille-et-Vilaine.

    Le retable du maître-autel est orné de colonnes et d'une frise à rinceaux surmontée de trois frontons interrompus. Au-dessus s'élève une niche centrale accostée de deux cornes d'abondance. Il renfermait autrefois une peinture du XVIIe siècle, représentant le commandeur du temple de La Guerche.

    Il existe en forêt de la Guerche, un chêne dédié à la Vierge appelé « Chêne à la Vierge ». L'histoire a trait à la période révolutionnaire. En 1792, des Bleus y surprirent une jeune fille occupée à prier une statuette nichée dans un creux de l'arbre et elle cachait des prêtres. Ils lui intimèrent d'indiquer où se trouvait le prêtre réfractaire de la paroisse. Devant son refus, ils la fusillèrent au pied de l'arbre. Depuis, l'endroit, libre d'accès, est l'objet d'une dévotion populaire à la Vierge Marie comme en témoignent les nombreuses statues et ex-voto accrochés à l'arbre. Dans la nuit du 11 au , le site est détruit, le chêne ayant brûlé[38].

    Personnalités liées à la commune

    • Jules-Émile-François Hervé de Beaulieu, né à Rannée le , décédé à Redon le . Il fut ministre des contributions et revenus publics du au . Il suit la même voie que son père, celle de l’administration des fermes d’impôts en Bretagne.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. François de Beaulieu, « Les vanniers de Rannée. En pays gallo, une dynastie d’artistes de l’osier », 2011, p. 38–43 ArMen, no 122.
    2. Roger Hérisset, La Vannerie en Bretagne : nouvelle approche de l'ethnologie de la vannerie et contribution à l'étude des composantes culturelles, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, , 408 p. (ISBN 978-2-7535-3531-2, 6), page 132.
    3. Roger Hérisset, « Le patrimoine vannier à redécouvrir », septembre 2003, Institut culturel de Bretagne, Sterenn, no 20.
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Soudan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Rannée et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Soudan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Rannée et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de La Guerche-de-Bretagne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Editions Jean-paul Gisserot, coll. « Universels Gisserot » (no 22), , Universels Gisserot, p. (ISBN 978-2-87747-482-5, OCLC 2877474828, lire en ligne), p. 101.
    28. Chopin : Nom relevé sur un extrait d'acte de naissance portant mention de ses nom et signature en 1938 et 1951
    29. Taillandier : Nom relevé sur un extrait d'acte de naissance portant mention de ses nom et signature en 1976
    30. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
    31. « Rannée. Guy Ferré, septième maire de la commune », Ouest-France, (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. Notice no PA00090663, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Notice no IA00130859, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Ouest-France, 13 juillet 2018

    Bibliographie

    • Roger Hérisset, La Vannerie en Bretagne, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 408 p.
    • Jean-Claude Meuret, Peuplement, pouvoir et paysage sur la marche Anjou-Bretagne, Société d'Archéologie et d'Histoire de la Mayenne, Laval, 1993.
    • Paul Banéat, Le Département d'Ille-et-Vilaine, Rennes : Librairie Moderne J. Larcher, 1927-1929., p. 160-165.
    • Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Rennes : Fougeray Libraire-éditeur. Paris : René Hatton Libraire-éditeur, 1882-1886., t. 2, p. 744-749.
    • Armand Baron, Rannée. Évêché de Rennes - Baronnie de la Guerche - Sénéchaussée de Rennes (texte manuscrit relié, non daté, A. C. Rannée).

    Voir aussi

    Liens externes

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