Villeneuve-sous-Dammartin

Villeneuve-sous-Dammartin est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Villeneuve.

Villeneuve-sous-Dammartin

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Roissy Pays de France
Maire
Mandat
Isabelle Gautier
2020-2026
Code postal 77230
Code commune 77511
Démographie
Gentilé Villeneuvois
Population
municipale
643 hab. (2018 )
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 00″ nord, 2° 38′ 24″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 116 m
Superficie 7,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mitry-Mory
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Villeneuve-sous-Dammartin
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Villeneuve-sous-Dammartin
Géolocalisation sur la carte : France
Villeneuve-sous-Dammartin
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Villeneuve-sous-Dammartin
Liens
Site web villeneuve-sous-dammartin.fr

    Géographie

    Localisation

    Localisation de la commune de Villeneuve-sous-Dammartin dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune est située à environ 40,2 kilomètres du centre de Paris[Carte 1], à l’extrémité nord-est de la région Ile-de-France, sur la partie septentrionale du département de Seine-et-Marne.

    Elle est distante de 8,7 kilomètres de l'aéroport Charles-de-Gaulle et profite de sa sphère d'influence.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Villeneuve-sous-Dammartin
    Moussy-le-Vieux Longperrier Dammartin-en-Goële
    Le Mesnil-Amelot Thieux

    Géologie et relief

    Villeneuve-sous-Dammartin se situe au pied des monts de la Goële. L'altitude de la commune varie de 72 mètres à 116 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 90 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Villeneuve-sous-Dammartin.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    • la Biberonne, longue de 12,23 km[3], (principal affluent de la Beuvronne) dans laquelle s'écoule la majorité des rus prenant naissance au pied de la butte de Goële. Le mot Biberonne vient du latin "biber", qui siginifie "castor". Ce même mot latin est à l'origine du nom de son confluant "la Beuvronne". Du temps de l'occupation romaine de nombreux castors vivaient dans les cours d'eau et zones marécageuses de l'actuelle Île-de-France ;
      • un bras de la Biberonne, long de 1,61 km[4] ;
      • le ru de Thieux, 3,78 km[5], et ;
      • le fossé 01 du Moulin de Villeneuve, 2,42 km[6], affluents de la Biberonne.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,59 km[7].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,9 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,9 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 721 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,9 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,6 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Creil, qui se trouve à 28 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 10,9 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Villeneuve-sous-Dammartin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 34 lieux-dits administratifs [Note 4] répertoriés[23] dont Stains , hameau isolé au milieu de ses champs.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71% ), mines, décharges et chantiers (17,2% ), forêts (8,5% ), zones urbanisées (3,3 %)[24].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Roissy Pays de France, approuvé le et porté par la communauté d’agglomération Roissy Pays de France[27].

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration[28],[29].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 291 dont 60,7 % de maisons et 39,1 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 87,2 % étaient des résidences principales, 3,3 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 49,8 % contre 47,8 % de locataires[30] -[Note 5], dont 3,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 2,4 % logés gratuitement.

    Voies de communication

    À mi-chemin entre Dammartin-en-Goële et Le Mesnil-Amelot, la D 401 traverse la rue principale du village (rue de Paris)

    Transports

    Des bus relient le village aux terminaux et gares RER et TGV de l'aéroport, situées à huit kilomètres environ. Sept lignes de bus au total traversent le village, dont trois lignes spécifiques pour les scolaires.

    Pour améliorer l'accès des salariés non véhiculés à la plate-forme aéroportuaire, nécessitant une desserte 24h/24, un service de bus à la demande, « Filéo » ex-Allobus, a été mis en place, n'exigeant qu'une simple réservation téléphonique jusqu'à une heure à l'avance.

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villanova en 1204[31] ; Villeneuve sous Dammartin en 1793[32].

    De l'oïl ville et de l'adjectif féminin nova, « neuve »[31].

    L'hagiotoponyme caché « Dammartin » viendrait de Domnus Martinus, le nom latin de saint Martin de Tours, qui évangélisa la région au IVe siècle.

    Histoire

    Plusieurs millénaires d'occupation de lieux isolés sur le territoire sont attestés par les découvertes archéologiques, en particulier autour de la fontaine des Gallas.

    • Le village implanté à l'ouest de la rivière Biberonne est cité dès 1138 et dans la charte d'affranchissement de 1204.
    • Au XIIe siècle, le clergé ouvrit sous le nom de Villes neuves des asiles ou les serfs et les vagabonds devinrent propriétaires d'une parcelle assortie de la protection juridique la plus étendue (droit de bourgeoisie)

    En l'année 1177, le pape Alexandre III fit au troisième concile du Latran une déclaration demeurée célèbre « Tous les chrétiens sont exempts de servitude. Ce fut pour les habitants de ces villes nouvelles un solide point d'appui afin d'établir leurs affranchissements.

    Dans le département de Seine-et-Marne, outre Villeneuve-sous-Dammartin, il existe cinq autres communes dont l'origine remonte à cette époque: Villeneuve-le-Comte, Villeneuve-Saint-Denis, Villeneuve-les-Bordes, Villeneuve-aux-Asnes (Brou-sur-Chantereine) et Villeneuve-sur-Bellot.

    Dans la première moitié du XIIe siècle, les moines cisterciens de l'abbaye de Chaâlis (Oise), dotés par Louis VI et des seigneurs locaux, installent leur grange de Stains près des marais.

    • En 1182, la seigneurie est double. Le fief de Villeneuve est à Josselin de Dammartin, vassal du comte, et Jean de Pomponne détient le fief dit de Chantilly, qui appartient en 1307 à Raoul de Chantilly puis est acquis par le comté à la suite d'un procès contre le comte de Dammartin en 1347. Unifiée, sous le nom de Chaversy, la seigneurie est vendue le à Mme de La Roche-Guyon (Jeanne de La Roche-Guyon-Vaux ?) qui la cède trois ans plus tard à Jean de Fleury, secrétaire du roi. Son fils Gilles de Fleury lui succède, puis son gendre Jacques de Reilhac cède la seigneurie en échange à Antoine de Chabannes, comte de Dammartin, le . Le , Jean de Chabannes vend à Geoffroy de La Croix de Plancy, dont la petite-fille maternelle Isabeau Guillart, en épousant René Baillet, apporte la terre dans la maison Potier de Tresmes et de Gesvres (et Gesvres) (car sa fille Charlotte Baillet marie Louis Potier). Le est signée la vente à François Petit de Ravannes, dont la petite-fille, Anne, épouse Paulin Pondre de Guermantes. Leur nièce, Élisabeth Louise de Malide, apporte Villeneuve le à son époux Timoléon de Cossé, futur neuvième duc de Brissac.
    • Les marais communaux situés au fond du chemin des processions (actuelle rue des Tilleuls) étaient utilisés comme pâturages communs. En 1791, ils seront partagés entre les habitants. Les trois grandes fermes seront rachetées par leurs tenanciers.

    À la Révolution, le château confisqué comme bien national. Il est acquis par Théodore Bernier, cultivateur à Stains (maire du village de 1809 à 1831) puis vendu à un ancien agent de change, M. Delauney-Lemière.

    Offert en 1864 à Marguerite Bellanger par l'empereur Napoléon III.

    Il est reconstruit à la fin du XIXe siècle par Maurice Hutin. Transformé en école privée, il hébergea de 1961 à 1974 le centre Thomas-More de Roger Turgis.

    Roger Turgis qui enseignait l'anglais au collège oratorien de Juilly, avait créé un organisme de "Séjours et cours de vacances en Angleterre" où les jeunes étaient encadrés par des adultes et hébergés dans des familles.

    Maison de retraite jusqu'en 2004 Il est aujourd'hui le siège social du groupe ECT.

    • Le village reste rural et sa population ne s'est accrue que de 40 % en deux-cents ans.

    Politique et administration

    Villeneuve-sous-Dammartin fait partie de l’arrondissement de Meaux.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1793 1809 Honoré Bouchard   Cultivateur
    1809 1831 Théodore Bernier   Cultivateur
    1831 1837 Joseph Bouchard   Cultivateur
    1837 1856 Antoine Bouchard   Cultivateur
    1856 1881 Théodore Bernier   Cultivateur
    1882 1893 Louis Alex Bouchard   Cultivateur
    1893 1897 Edmond Anquetil   cultivateur à Stains
    1897 1910 Maurice Hutin   Ingénieur
    1910 1914 Paul Boisseau   Cultivateur
    1914 1920 Ferdinand Bordot    
    1920 1929 Georges Boisseau   Cultivateur
    1929 1935 Louis Alex Pontleve   Charron
    1935 1937 Marcel Fouillaux    
    1937 1945 Emile Gautier   Cultivateur
    1945 1951 Abel Corroenne   instituteur
    1951 1977 Gabriel Desplanques   Cultivateur
    1977 1984 François Gibert   postier
    1985 1989 Roger Margotteau   Cultivateur
    1989 1993 Claude Hervy-Muscianese   Enseignante
    1993 2008 Jacques Briatte   Chauffeur de bus
    2008 août 2019 Gilles Chauffour UMP[33] Cadre transport
    novembre 2019[34] En cours Isabelle Gautier   Cultivatrice

    Finances locales

    Villeneuve-sous-Dammartin est l'une des communes de France les plus endettées dans sa catégorie des communes de 500 à 2 000 habitants[35].

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [36],[37].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Villeneuve-sous-Dammartin est assurée par la Communauté d'agglomération Roissy Pays de France pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [38],[39],[40].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[41]. La Communauté d'agglomération Roissy Pays de France assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[38],[42].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de la Goële qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [38],[43],[44].

    Population et société

    D'un village essentiellement agricole, Villeneuve s'est transforméé en trois décennies, depuis la construction de l'aéroport, en une petite commune d'employés et d'ouvriers, majoritairement salariés de la plate-forme aéroportuaire.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

    En 2018, la commune comptait 643 habitants[Note 7], en diminution de 0,46 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    421414400374374413413420384
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    387389418397404413413414422
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    399396345320366372360289351
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    310299298277413534600609646
    2017 2018 - - - - - - -
    641643-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Évolution de la pyramide des âges de la commune de Villeneuve sous Dammartin, comparaison entre l'année 2006 et 1990[48],[49] :

    Pyramide des âges en 2006 en nombre d'individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0 
    90 et plus
    6 
    5 
    75 à 89
    8 
    10 
    60 à 74
    11 
    63 
    45 à 59
    58 
    93 
    30 à 44
    73 
    72 
    15 à 29
    82 
    61 
    0 à 14
    60 
    Pyramide des âges en 1990 en nombre d'individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0 
    95 et plus
    4 
    9 
    75 à 94
    24 
    15 
    60 à 74
    18 
    25 
    45 à 59
    19 
    52 
    30 à 44
    51 
    67 
    15 à 29
    47 
    39 
    0 à 14
    43 

    Manifestations culturelles et festivités

    À la fin du XIXe siècle, il existait déjà une activité sportive : un cercle de tir à l'arc

    XXe siècle

    • Deux associations existaient dans le village :
      L'ASV, association sportives villeneuvoise continue ses activités
      L'ASL, association sport et loisirs a été dissoute en 2009
    • Un comité des fêtes est actuellement en cours de création
    • Fête communale et brocante le troisième weekend de septembre

    Enseignement

    Villeneuve-sous-Dammartin est située dans l'académie de Créteil.

    Établissements scolaires

    La commune administre une classe maternelle et deux classes élémentaires communales.

    La commune est sectorisée sur le collège de Saint-Mard et lycée Charles-de-Gaulle de Longperrier.

    Le collège de Juilly établissement privé sous contrat situé à km dans la commune de Juilly, comprenait une école maternelle, une école primaire, un collège et un lycée.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 238, représentant 611 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 800 euros[50].

    Emploi

    En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 350, occupant 325 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71,9 % contre un taux de chômage de 8,8 %. Les 19,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 10,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,2 % de retraités ou préretraités et 4,9 % pour les autres inactifs[51].

    Entreprises et commerces

    En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 58 dont 14 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 4 dans la construction, 26 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 3 dans les activités financières et d'assurance, 3 dans les activités immobilières, 6 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[52].

    En 2019, 12 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 10 individuelles.

    Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[53].

    • Villeneuve possède une boulangerie, deux restaurants, un centre de contrôle technique automobile et une station services-garage TOTAL.

    Toutefois, la proximité des communes de Longperrier, Dammartin-en-Goële, les centres commerciaux régionaux les sentiers à Claye-Souilly (12 km) et Aéroville (km) permet de disposer de tous les services et commerces nécessaires.

    • Le siège social d'ECT (leader national du stockage des déchets et matériaux inertes, et de l’aménagement paysager) est situé sur la commune.

    Proche de Roissy CDG la zone artisanale du jeu de paume accueille de nombreuses entreprises liées à l'aéroportuaire. La commune est aisément accessible par voie routière, à 25 kilomètres de Paris, par l'autoroute du Nord (Paris, Porte de la Chapelle - Lille), l'autoroute A3 (Paris, Porte de Bagnolet - Paris-Nord 2 - aéroport Paris-Charles-de-Gaulle), la route nationale 17 située à l'ouest, ou la Francilienne qui contourne le village et l'aéroport par le nord.

    Agriculture

    Villeneuve-sous-Dammartin est dans la petite région agricole dénommée la « Goële et Multien », regroupant deux petites régions naturelles, respectivement la Goële et le pays de Meaux (Multien)[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)[54].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[55]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 174 ha en 1988 à 231 ha en 2010[54]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villeneuve-sous-Dammartin, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Villeneuve-sous-Dammartin entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[54],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 6 4 3
    Travail (UTA) 18 10 6
    Surface agricole utilisée (ha) 1 042 891 694
    Cultures[56]
    Terres labourables (ha) 998 890 694
    Céréales (ha) 567 507 s
    dont blé tendre (ha) 410 448 374
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 140 s
    Tournesol (ha) 32
    Colza et navette (ha) s 75 s
    Élevage[54]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 42 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul

    Portail de l'église. - Cloche de l'église sonnant la demie :

    Contiguë au château dont elle a sans doute constitué la chapelle, l'église date dans sa majeure partie du XVIe siècle. Le niveau du sol est situé en contrebas de celui de la rue. La façade en est simple et le portail est surmonté d'une statue de saint Pierre en pierre polychrome. Quelques chapiteaux aux décors variés, dont le style rappelle celui du XIIe siècle, ne sont probablement qu'imités de l'art roman. Messe le premier dimanche de chaque mois.

    • Dans l'église : trois pierres tombales du XVIe siècle classées a l'inventaire des monuments historiques.

    Liste d'objets classés

    Lieux et monuments

    • Château
    • Le parc du château avec son jardin d'agrément et sa pièce d'eau avec île artificielle, époque de construction XVIIe siècle et XIXe siècle, repéré par le pré-inventaire des jardins remarquables[61] (propriété privée).
    • Les marais (espace boisés classés).
    • Le cimetière : quelques tombes anciennes intéressantes, caveau de la famille de Cossé-Brissac. Tombe bazelaire : sépulture maçonnique.
    • Le le premier contingent de taxis de la Marne, sous la conduite du lieutenant Lefas, stationnera toute la journée sur le bord de la nationale 2 entre le Mesnil-Amelot et Villeneuve-sous-Dammartin.
    • Le tracé historique de la route nationale 2 passait par Villeneuve-sous-Dammartin.

    La RN 2 a été modifiée entre Le Bourget et Dammartin-en-Goële au début des années 1970, en raison de la création de l'aéroport Charles-de-Gaulle. Le tronçon de l'ex-RN2 traversant Villeneuve fut alors déclassé en RD 401 en Seine-et-Marne..

    Personnalités liées à la commune

    • Jean de Fleury, seigneur de Villeneuve, secrétaire de Charles VII en 1425.
    • Jacques de Reilhac (.....- 11/1471) : marié à Jeanne de Fleury, dame de Villeneuve-sous-Dammartin, seigneur de Villeneuve, conseiller, secrétaire, maître des comptes, général des finances et ambassadeur des rois Charles VII, Louis XI et Charles VIII entre 1458 et 1471.
    • Charles Guillart, évêque de Chalons et de Chartres au XVIe siècle mort à Villeneuve le (pierre tumulaire dans l'église).
    • Famille de Cossé-Brissac.
    • Augustin Marie Paul Pétronille « Timoléon » de Cossé-Brissac[62] ( - ) : 8e duc de Brissac, pair de France, baron de l'Empire, commandeur de la Légion d'honneur, conseiller général de Maine-et-Loire (en 1802), préfet de Marengo (1809) puis de la Côte-d'Or, ministre d'État.
    • Jean-Baptiste Pallyart (1740- ), curé de Villeneuve-sous- Dammartin avant la Révolution, il fut nommé en 1803 chanoine honoraire de Paris[63].
    • Antoine Jean Beauvisage (1786-1836), humaniste, entrepreneur et manufacturier - homme d’affaires, décédé le à Villeneuve, enterré au cimetière du Père-Lachaise.
    • Marguerite Bellanger. Née Julie Lebœuf, comédienne, elle est connue comme amie de l'empereur Napoléon III au début des années 1860. Propriétaire du château, elle y meurt le .
    • Maurice Hutin (1858 - 15-3-1910), ingénieur des ponts et chaussées, chevalier de la Légion d'honneur, second directeur des travaux du canal de Panama avant d'être contraint de rentrer en France pour des problèmes de santé, président de la Société nouvelle du canal. Maire du village de 1897 à 1910.
    • Marcel Mennesson, fondateur de la société Solex et inventeur du célèbre cyclomoteur.
    • Paul Poupard, prêtre paroissial lorsqu'il enseignait les lettres au cours Bautain à Juilly.

    Héraldique

    Elles peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

    De sinople à la gerbe de blé d'or; à la bordure empierrée d'argent et maçonnée de sable.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Landry, curé de Villeneuve-sous-Damartin, Le « grand hyver » de 1709, Généalogie Briarde no 46 ()
    • Jean-Claude Corvisier, Dammartin-en-Goële et ses environs 1945-1975 Tome III - Éditions A. Sutton Collection: Mémoire En Images
    • Jean-Claude Corvisier, Sur la route des taxis de la Marne Auteur: Éditeur: A. Sutton Collection: Mémoire En Images

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Villeneuve-sous-Dammartin, » sur Géoportail (consulté le 6 avril 2020)..
    2. « Villeneuve-sous-Dammartin - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
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    Références

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    2. « Plan séisme consulté le 6 avril 2020 ».
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    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Thieux (F6612400) » (consulté le ).
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    7. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 25 août 2018.
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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    57. Notice no PM77001853, base Palissy, ministère français de la Culture.
    58. Notice no PM77001852, base Palissy, ministère français de la Culture.
    59. Notice no PM77001851, base Palissy, ministère français de la Culture.
    60. Notice no PM77001854, base Palissy, ministère français de la Culture.
    61. Notice no IA77000393, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. Histoire généalogique et héraldique des pairs de France Volume 6 Par Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles 1826
    63. Paul Pisani, L'Église de Paris et la Révolution., t. 2 1792-1796, Alphonse Picard et fils, , 438 p., p. 337.
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