Transaction sociale

La transaction sociale désigne l'effort d'adaptation, de négociation et de résolution de conflits effectué par un individu au sein de la vie quotidienne et de la vie sociale.

Description

Tirant ressource de l’économie des coûts de transaction (Williamson, 1975[1]), selon laquelle la transaction est un échange négocié, la transaction sociale puise tout autant dans le champ du droit, au sein duquel la transaction est vue comme une technique de prévention et de résolution des conflits qui échappe au carcan judiciaire. Elle pose de facto ses fondements dans une double tradition sociologique : d’abord celle du conflit (Simmel, 1917 ; rééd. 1999[2]), pour laquelle la vie sociale est structurée par des couples de tensions opposées (liberté et égalité, tradition et modernité, identité et altérité, proximité et distance, etc.), ensuite celle de l’écologie sociale initiée par l’École de Chicago, selon laquelle les redistributions de l’espace urbain produisent du conflit et nécessitent des accommodations entre les générations successives de migrants et de néo-urbains (Grafmeyer et Joseph, 1984[3] ; Guth, 2008[4]). Cette théorie de la transaction sociale aspire à transcender la théorie de la reproduction sociale (Bourdieu, 1971[5]) et celle de la production sociale (Touraine, 1973[6]) en montrant leur part respective de vérité et l'impératif scientifique de les concilier pour qui veut donner sens à ce qui se joue socialement. Se focalisant sur la régulation des conflits, elle relève à la fois du marché et du jeu des valeurs et légitimités à l’œuvre pour montrer que les individus construisent la société dans laquelle ils vivent et que, dans le même temps, la société re-produit ces individus.

La transaction sociale est donc un processus qui comprend de l’échange et de la négociation, du rapport de force et de l’imposition. Et précisément, elle pointe ici l'existence congruente de conflits d’intérêt, mais aussi de conflits de valeur, plus âpres et plus ardus dans leurs résolutions, quand entrent en jeu les multiples conceptions d'une question sociale telles qu'elles ont été intériorisées par les acteurs en présence. La transaction sociale suggère conséquemment des négociations complexes, instables dans le temps, plus ou moins formelles, des échanges et négociations où les enjeux s'entremêlent. Et, « en fonction d’un état de forces et de rationalités en présence ainsi que d’un environnement sociétal, la transaction sociale débouche sur un compromis pratique. Elle aboutit à un compromis qui n’est pas forcément une compromission » (Gibout et al., 2009[7]).

In fine, la transaction sociale est donc à la fois un processus social et un produit sociétal instable qui découle de ce même processus à l'œuvre. Le processus de la transaction sociale se fait progressivement par le jeu réciproque des acteurs sociaux en présence pour faire avancer une question qui les rassemble durablement ou les oblige à se retrouver ponctuellement. Mais aucun de ces acteurs n'entend perdre la face en rapport à ses idées propres et cherche donc un compromis pratique qui permet d'échapper au reniement de ses valeurs, ce qui s'apparenterait à une compromission. Le résultat est alors un produit transactionnel qui, en vertu du caractère instable, provisoire et re-négociable de la transaction (Ledrut, 1976[8]), sera au fil d'un temps plus ou moins long presque nécessairement remis en cause. Comme l'écrit Jean Rémy en parlant de l'espace transactionnel : « Une distribution inégale des cartes au départ du jeu, une distribution inégale des atouts et un ensemble de règles qui déterminent les modalités d’échange entre les joueurs. Découle de ces trois éléments le repérage des positions fortes ou faibles des joueurs, de leurs capacités d’initiative et de leurs possibilités tactiques. Cette construction des positions, bien qu’indépendante de la volonté des joueurs, n’exclut cependant pas l’existence d’une bonne ou mauvaise manière de jouer ; il y a ainsi des stratégies payantes et d’autres qui ne le sont pas. » (Rémy, 2005, p. 81[9]).

D’abord, comme notion heuristique et « principe organisateur et inducteur de la construction d’hypothèses et d’interprétations théoriques » (Rémy et al., 1978, p. 87[10]), la transaction sociale permet de mieux saisir le fait social en invitant à y observer et à y comprendre la conjugaison de la liberté de l’acteur et des contraintes du système, ou dit autrement la conciliation de la production de la société et de sa reproduction. Par ailleurs, comme outil paradigmatique, parce que « plus qu’une somme de concepts, [elle est] l’image de base à partir de laquelle s’imagine une interprétation de la réalité » (ibid.), la transaction sociale est une aide possible pour dépasser les oppositions entre différentes théories portant sur un même objet scientifique et alors produire ou inventer des définitions qui soient propres aux , auteurs.

Histoire

Le concept de transaction sociale a été initié et créé par Jean Rémy, Liliane Voyé et Émile Servais (enseignants à l'université catholique de Louvain en Belgique) au cours des années 1970, puis défini et popularisé dans un ouvrage intitulé Produire ou reproduire ? Une sociologie de la vie quotidienne (1978)[11]. Il a depuis fait l’objet de plusieurs travaux, en particulier ceux recensés dans les trois ouvrages collectifs parus au cours des années 1990 sous la direction de Maurice Blanc (1992[12], 1994[13], 1998[14]) ainsi que dans plusieurs numéros de la revue scientifique Pensée Plurielle (2009/1 ; 2013/2-3 ; 2017/2) ou de la revue en ligne Sociologies (dossier « Espaces et transactions sociales », ) éditée par l'Association internationale des sociologues de langue française (AISLF).

Par ailleurs, depuis le milieu des années 2000 et jusqu'à nos jours, des débats ont été lancés quant à son actualité, son acuité, ses complémentarités ou différences avec d'autres approches sociologiques contemporaines (l'interactionnisme symbolique, la sociologie d'Anthony Giddens, la sociologie pragmatique de Luc Boltanski et Laurent Thévenot - 1991[15]- , le modèle canadien de l’accommodement raisonnable de Bouchard et Taylor -2008[16] - ou les concepts de négociation ou de reliance par exemple) et la façon dont, comme paradigme plus que comme concept, la transaction sociale autorise à comprendre les mutations à l'œuvre dans les sociétés contemporaines (Blanc, 1998[17], 2009-1[18] & 2009-2[19], 2017[20] ; Boissonnade, 2009[21] ; Marcel Bolle de Bal, 1998[22] ; Cordelier, 2016[23] ; Dubar, 1998[24] ; Foucart, 2017 ; Fusulier & Marquis, 2008[25] & 2009[26] ; Gibout et al. 2009[27] ; Rémy, 2005[28] ; Rougemont, 2017[29] ; Schurmans, 2013[30]; Stoessel-Ritz et al., 2012[31] ; Storrie, 1994[32] & 1998[33]).

A l'international

Le paradigme de la transaction sociale est né en Belgique mais s'est depuis implanté largement dans le monde de la recherche en sciences sociales, et spécialement en sociologie francophone (Afrique noire, Belgique, Canada, France, Maghreb, , etc.). Il existe d'ailleurs depuis le milieu des années 1990, au sein de l'Association internationale des sociologues de langue française (AISLF), un Comité de Recherche (CR no 21) dédié. Originellement intitulé Transactions sociales, il a depuis juillet 2016 pris le nom de « Transactions sociales, cultures et émancipations ». Les participations très régulières aux différentes manifestations organisées par l'AISLF témoignent de la récurrence de travaux questionnant la transaction sociale comme concept ou paradigme et témoignant de sa capacité à interroger le monde d'aujourd'hui.

Extension des champs d'étude

Depuis les années 1970, plusieurs champs sociologiques ont mobilisé ce paradigme, en particulier la sociologie urbaine et la sociologie politique (Blanc, 2007[34], 2012[35], 2014[36] et 2016[37] ; Bourdin, 1996[38] ; Casteigts, 2009[39] ; Dandolova, 2016[40], Dorso, 2008[41] et 2020[42] ; Fousseni, 2016[43] ; Gibout, 2009 et 2016[44] ; Gibout et Zwarterook, 2013[45] ; Gilbert ; Hamman dir., 2011[46],[47] ; Hamman, 2013[48] ; Kim Kyung Sook 2014[49] ; Lancereau, 2017 ; Rémy et al. 1989[50] ; Rémy, 2016[51] ; Silvano, 1994[52] 2001[53], 2011[54] et 2016[55] ; Soto, 2012[56] ; Stoessel-Ritz, 2016[57] ; Storrie, 1997[58]), ainsi que celles du travail social et du développement.

Au début des années 1980, plusieurs travaux en sociologie de la famille (Bawin-Legros, 1992[59], Bernard, 2009[60] ; Tonle Matemnago, 2017[61],[62] ; Rémy et al. 1978[63]; Silvano, 2017[64]) et en sociologie du travail (autour, par exemple, des questions de double identité professionnelle, de relations professionnelles ou de relations sociales au travail, d'économie sociale et solidaire ou encore d'emploi rural. i.e. Dubar, 1994[65] ; Chasserio et al., 2016 ; Laport, 2015 et 2016 ; N'Dione Mbinky, 2017[66] ; Stoessel-Ritz, 2013, 2015 & 2017) ont eu recours à la transaction sociale.

Plus récemment, depuis les années 1990 et 2000, un élargissement des questions mobilisant la transaction sociale a été constaté. Ainsi, avons nous constaté des travaux traitant des domaines sociologiques de l’environnement, avec une pluralité de terrains, d'échelles et de thématiques (Bignoumba Backouyanga, 2013[67] ; Blanc & Hamman, 2009[68] ; Génard & Neuwels, 2016[69] ; Gibout, 2017[70] ; Hamman, 2016[71], 2017 et 2019[72] ; Maramatsu, 2012[73] ; Rémy, 1996[74]), des migrations (abordées sous différents angles (Bolzman, 2009 ; De Souza Martins, 2009 ; Duvivier, 2009 ; Foucart, 2009), de la socialisation scolaire (Frachebond, 2017[75]) du monde enseignant en particulier universitaire (i.e.Charmillot, Dayer et Schurmans, 2008[76] ; Lafont et Pariat, 2013[77] & 2017[78] ; Lafont, 2016[79] et 2019[80] ; Lafont, Laport et Pariat, 2020[81] ; Laport, 2015[82] ; Schurmans, 2001 ; Schurmans et al., 2008[83]), du développement durable (i.e. Casteigts, 2013[84] ; Hamman & Blanc, 2009[85] ; Hamman, 2011, 2012[86] & 2014[87] ; Meité, 2014[88] ; Momar Sarr, 2017[89] ; Stoessel-Ritz et al., 2012[31]), de la justice sociale, du travail social (i.e. Foucart, 2005[90] ; Fourdrignier, 2016[91] ; Laport, 2016[92] ; N'Dione Mbinky, 2017[93] ; Roelens, 1999[94] & 2004[95] ; Stoessel-Ritz et al., 2016[96] & 2017[97]), de la santé (Foucart, 2004[98] & 2015[99]), de la sexualité (avec, par exemple, des travaux sur les rapports de sexe, la prostitution féminine et masculine, la découverte amoureuse, la séduction. i.e. Dayer, 2013[100] ; Foucart, 2011[101] ; Gibout, 2019[102] ; Gouyon, 2013[103] ; Jovelin, 2011[104] ; Schurmans, 2008[105], Schurmans & Dominicé, 1997[106], Van Campenhoudt et al., 1994[107]), du genre (en particulier sur la question des identités de genre et de la transsexualité. i.e. Carjaval-Sanchez, 2013[108] & 2014[109] ; Dayer, 2013, Dayer 2015[110]), de la justice (avec, entre autres travaux, des questionnements sur la justice réparatrice, sur les normes juridiques ou sur les relations entre normes juridiques et normes sociales. i.e. Blanc, 2012[111] ; Carjaval-Sanchez, 2009[112] & 2012[113]; Kellerhals et al., 1992[114]), de la religion (en particulier les tensions internes dans le catholicisme entre différents acteurs ou différentes cultures régionales du catholicisme. i.e. Turcotte, 1994[115],[116] & 2009[117], Turcotte & Rémy, 1997[118] & 2006[119]) ou sociologie du sport et des activités ludiques ou récréatives (En particulier, nous pouvons noter plusieurs travaux sur les sports urbains, les sports de pleine nature ainsi que sur la gouvernance des espaces sportifs et des politiques publiques du sport, de l'intégration et de la politique de la ville. i.e. Gibout, 2009[120] & 2016[121] ; Gibout & Audouit, 2017[122] ; Laurent, 2012[123] ; Lebreton, 2015[124] ; Lebreton & Gibout, 2014[125] et 2017[126] ; Moussa, 2013[127].

Notes et références

  1. O. Williamson, Markets and Hierarchies. Analysis and Antitrust Implications, New York, Free Press
  2. Georg Simmel, Sociologie, Paris, PUF,
  3. Yves Grafmeyer et Isaac Joseph, L’École de Chicago. Naissance de l’écologie urbaine, Paris, Aubier, , 377 p. (ISBN 978-2-08-122663-0)
  4. S. Guth (ed.), Modernité de Robert Ezra Park. Les Concepts de l’École de Chicago., Paris, L'Harmattan,
  5. Pierre Bourdieu, La Reproduction. Éléments pour une théorie du système d’enseignement, Paris, Minuit,
  6. Alain Touraine, Production de la société, Paris, Seuil,
  7. Christophe Gibout, Maurice Blanc & Jean Foucart, « Transactions sociales et sciences de l'homme et de la société », Pensée plurielle, 1/2009 (no 20), p. 7-11.
  8. Raymond Ledrut, L’Espace en question, Paris, Anthropos,
  9. Jean Rémy, « Négociations et transaction sociale », Négociations, 1/2005 (no 3), p. 81-95
  10. Jean Rémy, Liliane Voye & Émile Servais, Produire ou reproduire ? Une sociologie de la vie quotidienne, Bruxelles, De Boeck,
  11. Jean Rémy, Liliane Voye & Émile Servais, Produire ou reproduire ? Une sociologie de la vie quotidienne, Bruxelles, Éditions ouvrières,
  12. Maurice Blanc (Eds), Pour une sociologie de la transaction sociale, Paris, L'Harmattan,
  13. Maurice Blanc, Marc Mormont, Jean Rémy & Tom Storries (Eds), Vie quotidienne et Démocratie. Pour une sociologie de la transaction sociale (2), Paris, L'Harmattan,
  14. Maurice Blanc, Marie-France Ferynet & Gaston Pineau (Eds), Les Transactions aux frontières du social. Formation, développement local et travail social, Lyon, Chronique Sociale,
  15. Luc Boltanski et Laurent Thévenot, De la justification. Les Économies de la grandeur, Paris, Gallimard,
  16. Gérard Boucard et Charles Taylor, Fonder l’avenir. Le Temps de la conciliation, Rapport de la Commission de consultation sur les pratiques d’accommodement reliées aux différences culturelles, Québec, (lire en ligne)
  17. Maurice Blanc, La transaction. Un processus de production et d'apprentissage du vivre ensemble, 1998, dans M.P. Freynet, M. Blanc & G. Pineau (dir.), Les transactions aux frontières du social, Lyon : Chronique Sociale, pp. 219-237.
  18. Maurice Blanc, « L’Avenir de la sociologie de la transaction sociale », Recherches sociologiques et anthropologiques [En ligne], 2009 (no 40-2) (lire en ligne)
  19. Maurice Blanc, « La Transaction sociale : Genèse et Fécondité heuristique », Pensée plurielle, 1/2009 (no 20), p. 25-36.
  20. Maurice Blanc, « Éditorial. Transactions sociales dans la vie quotidienne », Pensée plurielle, no 45, , p. 7–11 (ISSN 1376-0963, DOI 10.3917/pp.045.0007, lire en ligne, consulté le )
  21. Jérôme Boissonnade, « Les Apports de la sociologie pragmatique à la transaction sociale. Le Concept de « régimes d'action » dans l'analyse du discours des « jeunes de banlieue », Pensée plurielle, , p. 1/2009 (no 20), p. 37-50
  22. Marcel Bolle de Bal, Transaction et reliance. La rencontre de deux concepts complémentaires, 1998, dans, M.P. Freynet, M. Blanc & G. Pineau (dir.), Les transactions aux frontières du social, Lyon : Chronique Sociale, pp. 43-55
  23. Benoît Cordelier, « Retour sur le concept de transaction: De la sociologie à la communication des organisations en France », Revue Française des Sciences de l'Information et de la Communication, , p. 1-14 (lire en ligne)
  24. Claude Dubar, Interaction symbolique et transaction sociale, 1998, dans, M.P. Freynet, M. Blanc & G. Pineau (dir.),Les transactions aux frontières du social, Lyon : Chronique Sociale, pp. 56-65.
  25. Bernard Fusulier & Nicolas Marquis, « La Notion de transaction sociale à l’épreuve du temps », Recherches sociologiques et anthropologiques [En ligne],, 39-2 | 2008 (lire en ligne)
  26. Bernard Fusuiler & Nicolas Marquis, « Faire une sociologie de la transaction sociale ou de la transaction sociale une sociologie ? », Recherches sociologiques et anthropologiques, 2009, n°40-2, p. 141-147 (lire en ligne)
  27. Christophe Gibout, Maurice Blanc & Jean Foucart, « Transactions sociales et sciences de l'homme et de la société », Pensée plurielle, 1/2009 (no 20), p. 7-11.
  28. Jean Rémy, « Négociations et transaction sociale », Négociations, 1/2005 (no 3), p. 81-95
  29. Héloïse Rougemont, « Un monde à (re)trouver ? Essai en faveur d’une cité verte », Pensée plurielle, no 45, , p. 31–46 (ISSN 1376-0963, DOI 10.3917/pp.045.0031, lire en ligne, consulté le )
  30. Marie-Noëlle Schurmans, « Négociations et Transactions : Un fondement socio-anthropologique partagé », Négociations, 2/2013 (no 20), p. 81-93
  31. Josiane Stoessel-Ritz, Maurice Blanc & Nicole Mathieu, Développement durable, communautés et sociétés, Bruxelles, Peter Lang Editions,
  32. Tom Storries, La citoyenneté, un auto-apprentissage institutionnel, 1994, dans M. Blanc, M. Mormont, J. Rémy & T. Storries (dir.), Vie quotidienne et démocratie. Pour une sociologie de la transaction sociale (suite), Paris : L'Harmattan, pp. 235-260.
  33. Tom Storries, Le désapprentissage des hégémonies simplificatrices, 1998, dans M.P. Freynet, M. Blanc & G. Pineau (Dir.), Les transactions aux frontières du social, Lyon : Chronique Sociale, pp. 205-218.
  34. Maurice Blanc, « La « politique de la ville » : une « exception française » ? », Espaces et sociétés, vol. 128-129, no 1, 2007, p. 71-86
  35. Maurice Blanc, « Espace, inégalité et transaction sociale », SociologieS, (lire en ligne)
  36. Maurice Blanc 2014. « Gouvernementalité, citoyenneté active et transactions sociales », in Cátedra Michel Foucault, La emergencia de la ciudadanía : democracia, poder y conflicto, Santiago de Chile, Lom ediciones (Actas VIa Escuela Chile-Francia, 2012), p. 145-159
  37. Maurice Blanc, « La spatialité du social. Introduction au Dossier « Espaces et transactions sociales » », SociologieS, (ISSN 1992-2655, lire en ligne, consulté le )
  38. Alain Bourdin (1996), « Transaction et action organisée », dans Voyé L. (dir.), Ville et transaction sociale. Hommage au Professeur Jean Remy, Paris, Éditions L’Harmattan, pp. 247-258.
  39. Michel Casteigts, « Transactions interculturelles et intégration territoriale. Le Cas du Pays basque », Pensée plurielle, 2/2009 (no 21), , p. 179-193.
  40. Iskra Dandolova, « Dimitrovgrade : la naissance d'une ville socialiste en Bulgarie », SociologieS, (ISSN 1992-2655, lire en ligne, consulté le )
  41. Franck Dorso, La Part d'ombre : Transactions et conflits entre les usages informels et les opérations de rénovation de la muraille de Theodose II à Istanbul. Thèse pour le doctorat en sociologie, Strasbourg, Université Marc Bloch - Strasbourg 2,
  42. Franck Dorso, « L’hypothèse de l’inconnaissance dans les dynamiques d’(in)visibilisation de la ville informelle », Territoires en mouvement, (lire en ligne, consulté le )
  43. T.R. Fousseni, Les Inégalités écologiques à l'aune du choléra : Étude dans la ville de Cotonou au Bénin. Thèse de doctorat en sociologie., Strasbourg, Université de Strasbourg,
  44. Christophe Gibout, « Transactions dans la ville récréative contemporaine. Les espaces publics comme médiateurs sociaux », SociologieS, (ISSN 1992-2655, lire en ligne, consulté le )
  45. Christophe Gibout & Irénée Zwarterook, « Gérer les risques industriels et la pollution dans le Dunkerquois : Une double échelle transactionnelle », Pensée plurielle, 2/2013 (no 33-34), , p. 131-148
  46. Philippe Hamman (Ed.), Le Tramway dans la ville. Le Projet urbain négocié à l’aune des déplacements, Rennes, Presses universitaires de Rennes,
  47. Philippe Hamman, « La Ville durable comme produit transactionnel », Espaces et Sociétés, 4/2011 (no 147), , p. 25-40.
  48. Philippe Hamman, Sociologie des espaces-frontières. Les Relations transfrontalières autour des frontières françaises de l’Est, Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg.,
  49. Kim Kyung Sook, L'invention de l'environnement en Corée : mobilisation sociale et régulation autour de l'aménagement du territoire à Saemankum. Thèse pour le titre de Docteur en Sociologie, Strasbourg, Université de Strasbourg,
  50. Jean Remy, M. Molitor, M. Chaumont & Luc Van Campenhoudt. (eds), Le Mouvement et la forme. Essais sur le changement social, Bruxelles, Publications des facultés universitaires Saint-Louis.,
  51. Jean Remy, « Spatialité du social et transactions », SociologieS, (ISSN 1992-2655, lire en ligne, consulté le )
  52. Filomena Silvano, « Gérer la distance. Les sauts d'échelles dans les relations sociales », Espaces et Sociétés, 1994 (no 79), p. 93-105
  53. (pt) Filomena Silvano, Antropologia do Espaço, Lisbonne, Assírio & Alvim, , 112 p. (ISBN 978-972-37-1534-7)
  54. (pt) Filomena Silvano, De casa em casa, Lisbonne, Palavrao, , 80 p. (ISBN 978-989-97559-2-5)
  55. Filomena Silvano, « Diaspora portugaise. Un compromis culturel qui donne sens à la dispersion spatiale des vies », SociologieS, (ISSN 1992-2655, lire en ligne, consulté le )
  56. M. Soto, Conflits, usages et représentations des processus de patrimonialisation des quartiers anciens péri-centraux : Étude comparée de Bâle, Strasbourg et Valparaiso. Thèse pour le doctorat en sociologie., Strasbourg, Université Marc Bloch - Strasbourg 2,
  57. Stoessel - Josiane Ritz, « Les Nouvelles Socialités urbaines. Friches, jardins et bien commun dans deux villes désindustrialisées », SociologieS, (lire en ligne)
  58. Tom StorrieCitizen or What ?, 1997, dans J. Roche & S. Tucker (Eds), Youth and Society. Contemporary theory, Policy and practice, Londres : Sage and Open University.
  59. Bawin- Bernadette Legros (1992). « Le concept de transaction sociale dans l’analyse sociologique du divorce », in M. Blanc (éd.), Pour une sociologie de la transaction sociale. Paris : L’Harmattan, p. 216-234.
  60. Julien Bernard, « La construction sociale des rites funéraires. Une transaction affective essentielle », Pensée plurielle, vol. 20, no 1, 2009, p. 79-91
  61. « thèse Tonle »
  62. Tonle Matemnago, Les conflits et transactions sociales liés aux changements affectant la pratique du deuil sur les hauts plateaux de l’Ouest Cameroun. Thèse de Sociologie et ethnologie sous la Direction de Philippe Hamman et Roger Some., Strasbourg, Université de Strasbourg,
  63. Jean Remy, Liliane Voye et Emile Servais, Produire ou reproduire ? Une sociologie de la vie quotidienne, tome 1, Bruxelles, Les Éditions Vie Ouvrière, , p. 159-167
  64. Filomena Silvano, « Des choses qui ont traversé des océans : sur la matérialité des transactions identitaires, Things that have crossed oceans: on the materiality of identity transactions », Pensée plurielle, no 45, , p. 61–75 (ISSN 1376-0963, DOI 10.3917/pp.045.0061, lire en ligne, consulté le )
  65. Claude Dubar (1994), « Double Transaction et Différenciation sexuelle : L’Interprétation de deux biographies professionnelles », dans M. Blanc, M. Mormont, J. Remy & T. Storrie (dir.) (1994), Vie quotidienne et Démocratie. Pour une sociologie de la transaction sociale (suite), Paris, Éditions L’Harmattan, pp. 111-128.
  66. Madeleine N'Dione Mbinky, « Le réseau d’entreprises de l’Économie sociale et solidaire Le Relais : les transactions dans la transposition de la France au Sénégal », Pensée plurielle, 2017/2 (n° 45), p. 47-60. (lire en ligne)
  67. Diane-Marie Bignoumba Backnouyanga, Les Enjeux de la gestion du risque environnemental dans la zone de N'Toum au Gabon : Cas de l'entreprise Cimgabon. Thèse de Doctorat en Sociologie., Dunkerque, Université du Littoral Côte d'Opale,
  68. Maurice Blanc & Philippe Hamman, « Ville et environnement en France et en Allemagne : échelles, frontières et transactions », Revue d’Allemagne et des pays de langue allemande, 2009, vol. 41, no 3, p. 325-337
  69. Jean-Louis Genard et Julie Neuwels, « Le développement durable comme objet de transactions. Les politiques urbaines en région bruxelloise », SociologieS, (ISSN 1992-2655, lire en ligne, consulté le )
  70. Christophe Gibout, « Des corps tendus derrière la plage. Drague homosexuelle et environnement », Corps, no 15, , p. 111–121 (ISSN 1954-1228, DOI 10.3917/corp1.015.0111, lire en ligne, consulté le )
  71. Philippe Hamman, « Durabilité et lien social : transitions et transactions dans l’expérimentation », SociologieS, (ISSN 1992-2655, lire en ligne, consulté le )
  72. Philippe Hamman, Gouvernance et développement durable. Une mise en perspective sociologique, Bruxelles, De Boeck Superieur, (ISBN 2807328245)
  73. Kenjiro Maramatsu, Usage de l'agriculture dans le social : Dispositifs, pratiques et formes d'engagement. Thèse de doctorat en sociologie, Mulhouse, Université de haute - Alsace,
  74. Jean Remy, « La Transaction, une méthode d’analyse : Contribution à l’émergence d’un nouveau paradigme », Environnement & Société, no 17, , p. 9-31
  75. « no 123/Les transactions sociales, un autre regard sur la socialisation | revue [petite] enfance », sur www.revuepetiteenfance.ch (consulté le )
  76. Maryvonne Charmillot, Caroline Dayer et Marie-Noelle Schurmans (Dir.), CONNAISSANCE ET ÉMANCIPATION Dualismes, tensions, politique, Paris, L'Harmattan, , 198 p. (ISBN 978-2-296-05981-8)
  77. Pascal Lafont, & Marcel Pariat, « Nécessité transactionnelle et construction de connaissances : une relation incertaine en situation de crise à Haïti », Pensée plurielle, vol. 33-34, no 2, 2013, p. 163-176
  78. Pascal Lafont et Marcel Pariat, « Processus transactionnels et doctorat par la validation des acquis de l’expérience. Enseignements d’une démarche expérimentale dans le champ de l’architecture, Transactional processes and doctorate by Recognition of Prior Leaning. Lesson of an experimental approach in the field of architecture », Pensée plurielle, no 45, , p. 93–105 (ISSN 1376-0963, DOI 10.3917/pp.045.0093, lire en ligne, consulté le )
  79. Pascal Lafont, « La coopération au sein d’un réseau international interuniversitaire revisitée à l’aune des processus de transaction et de transition », Pensée plurielle, vol. 41, no 1, 2016, p. 41-53
  80. Pascal Lafont, Validation des Acquis de l'Expérience et Education Tout au Long de la Vie. Paroles d'acteurs politiques et sociaux, Paris, Editions Pétra, , 372 p. (ISBN 978-2-84743-264-0, lire en ligne)
  81. Pascal Lafont, Danielle Laport et Marcel Pariat (Dir.), Mobilités et Migrations : Transactions éducatives et sociales, Paris, Editions Pétra, , 300 p. (ISBN 978-2-84743-283-1, lire en ligne)
  82. Danielle Laport, « Le tutorat intergénérationnel, l’épreuve de la preuve. Vers une socialisation professionnelle « singulariste » ? », Pensée Plurielle, no 40 (2015/3), p. 73-84
  83. Marie-Noelle Schurmans, Maryvonne Charmillot & Caroline Dayer (2008), Processus interactionnels et construction de la connaissance. Élaboration négociée d’une démarche de recherche, in, Collectif. Processus interactionnels et Situations éducatives, Paris : De Boeck.
  84. Michel Casteigts, « « Risques, développement durable et transactions discursives » », Pensée plurielle, 2/2013 (no 33-34), , p. 117-129.
  85. Philippe Hamman et Christine Blanc, Sociologie du développement durable urbain., Bruxelles, PIE Peter Lang,
  86. Philippe Hamman, Sociologie urbaine et développement durable, Bruxelles, De Boeck Supérieur, , 199 p. (ISBN 978-2-8041-7210-7)
  87. Hamman Philippe, « Repenser la ville à l'heure des injonctions au développement durable », Questions de communication, 1/2014 (no 25), p. 81-101.
  88. Meité Youssouf, Gouvernance du transport urbain et mobilité durable dans le district d'Abidjan (Côte d'Ivoire). Thèse pour l'obtention du titre de docteur en sociologie, Strasbourg., Université de Strasbourg,
  89. Sérigné Momar Sarr, Usages et conservation des communs en contexte de changement climatique dans le delta du Saloum (Sénégal). Thèse de Sociologie sous la direction de Josian Stoessel-Ritz et de Issiaka Laleye., Saint Louis du Sénégal, Université Gaston Berger / Université Strasbourg, (lire en ligne)
  90. Jean Foucart, « Relation d'aide, fluidité sociale et enjeux symbolico-identitaires: Du paradigme réparateur au paradigme de l'accompagnement », Pensée plurielle, 2005, no 10 (2), p. 97-117
  91. Marc Fourdrignier, « Les coopérations, de nouvelles transactions dans le travail social ? », Pensée Plurielle, no 43 (2016-3), p. 23-35.
  92. Danielle Laport, « Les relations sociales de travail à l’épreuve de la transaction sociale Une approche de la dialectique transaction/transformation en Martinique », Pensée Plurielle, no 41 (2016-1), p. 95-109
  93. Madeleine N'Dione Mbinky, « Le réseau d’entreprises de l’Économie sociale et solidaire Le Relais : les transactions dans la transposition de la France au Sénégal, The transposition in Senegal of an imported model of a social and solidarity economy (ESS) company within a North-South transaction context. The case of Le Relais, a network of companies with a socioeconomic vocation », Pensée plurielle, no 45, , p. 47–60 (ISSN 1376-0963, DOI 10.3917/pp.045.0047, lire en ligne, consulté le )
  94. Nicole Roelens, « Efficacité collective et transactions symboliques autour de la question de la qualité », Éducation Permanente, no 140, octobre 1999
  95. Nicole Roelens, « La nouvelle classification des emplois dans les centres sociaux et socioculturels ou La déconstruction idéologique des fondements du travail social », Travailler, vol. 11, no 1, 2004, p. 91-121
  96. Josiane Stoessel-Ritz, Maurice Blanc ry Jean Foucart, « Travail social, partenariats et transactions sociales », Pensée plurielle, 3/2016 (no 43), , p. 7-13.
  97. Josiane Stoessel-Ritz, Agriculture et lien social : travailler la terre et produire des transactions sociales pour le bien commun, dans, Philippe Hamman (dir.), Ruralité, nature et environnement, Toulouse : Erès, pp. 149-180. (ISBN 9782749253923)
  98. Jean Foucart, Sociologie de la souffrance, Bruxelles, De Boeck Supérieur, , 324 p. p. (ISBN 978-2-8041-4368-8)
  99. Jean Foucart, « La souffrance au travail. Une problématisation sociologique », Pensée Plurielle, 2015/1 (n° 38), p. 35-44
  100. Caroline Dayer, « Trans-actions », Pensée plurielle, 2/2013 (no 33-34), , p. 193-204.
  101. Jean Foucart, « Transaction sociale et gestion de l'intolérable. Une approche théorique de la déviance et du proxénétisme », Pensée plurielle, 2/2011 (no 27), p. 29-41
  102. Christophe Gibout, « Social transaction: A relevant paradigm for the sociology of sexuality and gender?. », INSEP - Journal of the International Network for Sexual Ethics & Politics,, , pp.23-38. (lire en ligne)
  103. Mariem Gouyon, « La Ruse dans la transaction sexuelle : Une liaison constitutive des rapports sociaux homosexuels de milieu populaire à Casablanca », Pensée plurielle, 2/2013 (no 33-34), , p. 217-226
  104. Emmanuel Jovelin, « De la prostitution aux clients de la prostitution », Pensée plurielle, 2/2011 (no 27), p. 75-92
  105. Marie-Noëlle Schurmans, « Dimensions éducatives des relations amoureuses », Éducation et Sociétés, 2/2008 (no 22), , p. 71-86.
  106. Marie-Noëlle Schurmans et Loraine Dominice, Le Coup de foudre amoureux : essai de sociologie compréhensive, Paris, Presses Universitaires de France, , 332 pages p. (ISBN 978-2-13-048883-5)
  107. Luc Van Canpenhoudt, Jean Rémy, D. Peto, M. Hubert, La relation sexuelle comme transaction sociale, 1994, in M. Blanc, M. Mormont, Jean Rémy, T. Storrie, Vie quotidienne et démocratie. Pour une sociologie de la transaction sociale, Paris, L’Harmattan, pp. 93-112.
  108. Fernando Caravajal Sanchez, « L'Analyse des constructions transidentitaires à la lumière de la double transaction », Pensée plurielle, 2/2013 (no 33-34), , p. 179-191.
  109. Fernando Caravajal Sanchez, « Le trans : un archétype de l’ex en tous genres ? », Dialogue, 2014/3 (no 205), p. 23-36.
  110. Caroline Dayer, « Organisation, Conflit et Négociation : Du genre à ne pas dire son nom », Négociations, 1/2015 (no 23), p. 105-120
  111. Maurice Blanc, « Espace, inégalité et transaction sociale », SociologieS [En ligne], (lire en ligne)
  112. Fernando Caravajal Sanchez, « La justice réparatrice, la médiation pénale et leur implantation comme cas particuliers de transactions sociales », Pensée plurielle, 1/2009 (no 20), p. 51-62.
  113. Fernando Caravajal Sanchez, « Lien social émancipateur et modèles de justice », Pensée plurielle, 1/2012 (no 29), p. 61-74.
  114. Jean Kellerhals ; Marianne Modak et Jean-François Perrin. (1992). « Transactions interindividuelles, cohésion de groupe et normes de justice », in M. Blanc (éd.), Pour une sociologie de la transaction sociale. Paris : L’Harmattan, p. 167-193.
  115. Paul-André Turcotte, Intransigeance ou compromis : sociologie et histoire du catholicisme actuel, Montréal, Fides,
  116. Paul-André Turcotte, « Compromis religieux, régulation et socialisation », Social Compas, vol. 53 (4), , p. 451-455.
  117. Paul-André Turcotte, « Les Transactions sociales de la religion : De la médiation au compromis », Pensée plurielle, 2/2009 (no 21), , p. 13-25
  118. Jean Rémy et Paul-André Turcotte, « Compromis religieux et transactions sociales dans la sphère catholique », Social Compass, 1997, no 44-4, p. 627-640
  119. Jean Rémy et Paul-André Turcotte, Médiations et compromis. Institutions religieuses et symboliques sociales. Contributions à une relecture des classiques de la sociologie, Paris, L'Harmattan, , 284 p. p. (ISBN 978-2-296-00186-2, lire en ligne)
  120. Christophe Gibout, « L'espace public comme lieu de transactions sociales. Une lecture à partir des pratiques de loisirs urbains », Pensée plurielle, vol. 20, no 1, 2009, p. 153-165
  121. Christophe Gibout, « Transactions dans la ville récréative contemporaine », SociologieS, (lire en ligne)
  122. Christophe Gibout et Christelle Audouit, « Des pratiques sportives aux relations aux lieux. Une lecture transactionnelle au prisme du windsurf en région languedocienne », Pensée Plurielle, , p. 13-30 (ISSN 1376-0963, lire en ligne)
  123. Julien Laurent, This is Street Skateboarding. Le Skateboard : Analyse sociologique d'une pratique physique., Paris, L'Harmattan,
  124. Florian Lebreton, « Les Sports urbains au service de la médiation éducative. Activités éduco-sportives et cultures urbaines », Les Cahiers dynamiques, 3/2015 (no 65), , p. 30-39.
  125. Florian Lebreton et Christophe Gibout, « Cultures juvéniles et loisirs sportifs de rue : une approche par l’espace public », Agora débats/jeunesses, 2014/3 (no 68), p. 71-84.
  126. Florian Lebreton et Christophe Gibout, « Les nouveaux usages ludiques du patrimoine militaire. Opportunités pour le développement ludique des territoires ? », RISEO, , pp. 53-75 (lire en ligne)
  127. Kinda Moussa, Pratiques et politiques sportives dans les quartiers sensibles : Une approche monographique aux 3 Cités à Poitiers. Thèse de doctorat en sciences et techniques des activités physiques et sportives, Dunkerque, Université du Littoral - Côte d'Opale,
  • Portail de la sociologie
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.