Système U

Système U est une coopérative de commerçants de grande distribution française présidée par Dominique Schelcher[1].

Système U

Logotype du groupement Système U

Création
Fondateurs Groupement de commerçants de l'Ouest.
Personnages clés Serge Papin,
Forme juridique SA coopérative à conseil d'administration
Slogan « U, Commerçants autrement »
Siège social Rungis (Val-de-Marne)
 France
Direction Dominique Schelcher
Directeurs Dominique Schelcher
Activité Grande distribution
Produits Alimentaires, bazar, textile, produits culturels, etc.
Filiales Hyper U, Super U, U Express, Utile
Effectif 2207 au 31/12/2017 (effectif moyen annuel déclaré
SIREN 304602956
Site web www.magasins-u.com/accueil

Chiffre d'affaires 10 753 565 000 € au 31/12/2017
Résultat net 784 000 € au 31/12/2017

Le groupement coopératif rassemble les enseignes Hyper U, Super U, U Express (anciennement Marché U) et Utile, réseau de magasin de proximité présent aussi bien en milieu urbain que dans les communes rurales.

Avec 10,4 % de parts de marché au , il s'agit du sixième distributeur alimentaire en France, après les groupes Carrefour, Auchan, E.Leclerc, Casino et Intermarché. Il est parfois classé au quatrième rang lorsque les parts de marché sont affichées par enseigne et non par groupe. En , ils comptent 1 575 points de vente[réf. nécessaire].

Histoire

« UNICO » signifie « Union commerciale ».

En 1545 à Savenay en Loire-Atlantique, l'épicier Auguste Juhel décide de fédérer les commerçants de sa région pour qu'ils puissent faire face à la concurrence des grandes maisons. Naît ainsi l'une des premières sociétés d'achats en commun ou en participation entre épiciers détaillants, baptisée « Le Pain Quotidien », enseigne qui compte trois adhérents à l'origine[2],[3],[4].

En moins d'une année, l'association compte 9 adhérents, puis 35 au début du siècle. Entre et , le paysage du commerce se transforme considérablement. Les progrès technologiques ouvrent chaque jour de nouveaux horizons. En , l'association regroupe 300 épiciers affiliés[5],[3],[4].

D'UNICO () à Super U (Depuis )

En , la fédération française des sociétés d'achats en commun voit le jour, fondée par 32 coopératives de détaillants, notamment l'Union alimentaire de l'Oise (qui dépose en la marque UNICO[6][source insuffisante] pour des produits alimentaires et des produits d'entretien) et la Société des épiciers détaillants de la région parisienne. Deux mois après, le Comptoir coopératif d'achats (CCA) est créé par la fédération, faisant office de centrale d'achats[7].

Stand UNICO du au .

En , la marque UNICO est déposée par la fédération française des sociétés d'achats en commun pour des produits alimentaires et des produits d'entretien. De centrale d'achats, l'association se mue progressivement en réseau de distribution avec le développement des premières enseignes UNICO. UNICO est une marque exclusive : il faut être membre de la fédération pour la distribuer[7].

En , 30 000 épiciers détaillants vendent des dizaines de produits UNICO. Les tickets primes font leur apparition, 20 tickets s'échangent contre un Stylomine, 500 pour un sac à main noir. La marque de distributeur UNICO devient un label[5].

Logotype d'UNICO du au .

En , la marque UNICO regroupe 130 sociétés coopératives (dont Codec et l'Union des négociants en alimentation (UNA), tous membres de l'Ugal, l'Union des groupements de commerçants indépendants en Europe[7]) et de 10 000 détaillants. C'est le début d'un vaste mouvement autour du principe de commerce indépendant associé[2].

marque la naissance du groupement UNICO. À la suite d'une scission dans le mouvement (départ de Codec et de l'UNA) qui était alors composé de plusieurs sociétés elles-mêmes coopératives, toutes membres du comptoir coopératif d'achats, est créée l'Union des commerçants détaillants indépendants (UNICO), regroupant 20 sociétés coopératives[7].

Logotype d'UNICO du au .

En , UNICO regroupe 70 sociétés coopératives[7]. UNICO devient, un an plus tard, la plus grande force française de détaillants alimentaires indépendants[réf. souhaitée]. Ses 6 000 épiciers sont alors sollicités pour placer l'enseigne UNICO sur la devanture de leur magasin.

En , alors qu'UNICO regroupe 110 sociétés coopératives[7], c'est le début d'un processus de concentration. En , UNICO ne compte plus que 75 groupements rassemblés dans une fédération nationale. Dans le même temps, UNICO développe le libre-service dans son réseau, le principe d'hypermarché et de supermarché se formalise.

Logo d'UNICO du au .

En , le Conseil d'administration du comptoir coopératif d'achat est renouvelé. Le processus de concentration se poursuit. À la suite de la fusion de plusieurs de ses coopératives adhérentes, UNICO compte 47 sociétés en [7]. Le nombre de détaillants est passé de 10 000 en à moins de 6 000 en [réf. nécessaire].

En , Jean-Claude Jaunait, alors patron de la région Ouest, prend les rênes de la centrale nationale et y accélère le processus de concentration du groupement[5].

En , c'est la création de l'enseigne Super U, moteur du développement du groupe : 1 000 m2 de surface moyenne de vente[7] pour 100 places de stationnement. Parallèlement, la concentration d'UNICO se poursuit.

Système U

En , Système U est créé pour fédérer les différentes sociétés et enseignes d'adhérents. La lettre « U » (grand « U » rouge) d'UNICO est choisie pour créer un dénominateur commun aux enseignes du groupe, tandis que le choix du nom Système fait référence au fonctionnement des adhérents de la coopérative. Système U se lance dans le format hypermarché de plus de 2 500 m2 et crée l'enseigne Avenue[7]. En 1988, l'enseigne Avenue devient Hyper U[7]. Cette étape marque le passage d'UNICO d'un groupement d'achats à un groupement d'enseignes.

Pile de marque U.

Depuis , les enseignes Marché U (pour les plus de 400 m2) et Super U commencent à supplanter les UNICO en tant que « magasin alimentaire de proximité[7] ». Le groupement Système U est divisé en cinq centrales régionales, elles-mêmes fédérées dans une centrale nationale.

En , Système U compte 71 magasins Marché U et 344 UNICO. En de la même année, le groupe compte 150 Marché U et 250 UNICO[7].

En , dans un souci d'efficacité, le nombre des centrales régionales est ramené à quatre : centrale régionale Ouest, centrale régionale Nord-Ouest, centrale régionale Est, centrale régionale Sud[réf. nécessaire].

Entre et , les derniers magasins UNICO sont supplantés par l'enseigne Utile. Il s'agit de l'enseigne de supermarché de proximité de Système U en campagne comptant moins de 400 m2 de surface moyenne de vente[réf. nécessaire].

En , Système U met en place le programme fidélité à points « Carte U ». Un point acquis par tranche de 20 Francs, avec des jours compte double ou triple, notamment le mardi ou jeudi[réf. nécessaire].

En , Système U s'associe avec les E.Leclerc pour former la centrale d'achats LUCIE (L'Union des coopérateurs indépendants européens) dans l'hypothèse d'un rapprochement[8]. À la suite de contestations en interne, à des désaccords et aux réformes diverses de la loi Galland, les deux enseignes décident en de limiter les missions de LUCIE à un partenariat économique inattaquable sur le plan juridique (carburants, logistique, etc.).

En , Système U fait un chiffre d'affaires de 10,53 milliards d'euros (avec carburants), soit une hausse de 13,75 % par rapport à l'année précédente[9].

En , création de Location U (qui deviendra U Location[Quand ?]) un service de location de véhicules utilitaires dans un premier temps puis de voitures. La même année, Système U est condamnée par le tribunal de commerce de Créteil à un remboursement record, 76,8 millions d'euros, pour pratiques commerciales fautives (non-respect du contrat de réciprocité des accords commerciaux, corollaire de la réforme de la loi Galland)[10].

En , naissance de l'enseigne U Express et du service de téléphonie U Mobile[11],[12]. La même année, le premier hypermarché certifié Haute qualité environnementale est un Hyper U qui ouvre aux Arcs-sur-Argens près de Draguignan, dans le Var[13].

En , Système U arbore un nouveau logotype, ainsi que ses deux enseignes U Express et Utile (lequel rejoint ainsi de manière plus visible la stratégie de marque). L'enseigne Marché U est progressivement remplacée par les enseignes Super U ou U Express. Courant , Serge Papin, pourtant vice-président d'EMD distribution, annonce que son groupe va changer de centrale d'achat pour AMS[14].

En , dans le contexte de la loi de modernisation de l'économie, Système U développe une politique de croissance externe par le ralliement des magasins de proximité de la coopérative Le Mistral (240 magasins Coccinelle et Cocci Market), les supermarchés et hypermarchés de Coop de Normandie[15], puis en 2012 ceux de Coop Atlantique[16].

En , Système U rachète Telemarket, pionnier de la vente à distance de produits alimentaires alors en difficulté, et le rebaptise U-Telemarket, une démarche qui s'inscrit dans la stratégie multi-canal du groupe[17], mais le , U-Telemarket dépose le bilan et cesse ses activités.

Au , plus de 1 500 magasins « U » sont présents dans toute la France et Système U atteint les 10 points de parts de marché.

Le , Système U et Auchan annoncent un « accord de coopération à l'achat »[18]. Cette alliance consiste à négocier ensemble l'achat de produits, hors produits frais agricoles, et elle permet également au groupement de devenir leader en termes de parts de marché (21,6 % en , pour un chiffre d'affaires de 42 milliards d'euros)[19]. En , les deux entreprises discutent pour approfondir fortement leurs accords dans le but de faire passer les magasins Hyper U sous la marque Auchan et les magasins Simply Market sous la marque Super U[20]. En , les deux entreprises annoncent que cet échange de magasins est remis en question[21]. En , Système U choisit Carrefour pour mutualiser ses achats. Selon Serge Papin, Carrefour et Système U ont la même position sur les filières agricoles[22].

En , Serge Papin quitte le groupe Système U à la fin de son deuxième mandat[22]. Il passe le relais à Dominique Schelcher, auparavant vice-président de Système U[1]. Avant son départ, Système U noue une alliance avec le groupe Carrefour : « Même si Système U s'est bien développé, il a besoin d'un allié. Dans les négociations internationales avec les grands groupes, on va peser plus lourd […]. Nous, nous sommes des commerçants indépendants, Carrefour est un groupe coté, ce n'est pas du tout le même modèle. Ça n'exclut pas qu'on puisse partager des valeurs communes ». Selon Serge Papin, Carrefour et Système U ont la même position sur les filières agricoles[22].

En , le groupe annonce qu'il va procéder à un test dans 4 de ses points de vente en vendant des produits d'occasion, une première dans l'histoire de la société[23].

Identité visuelle (logotypes)

Slogan

  •  : « À deux pas de chez vous. » ;
  •  : « Le bon prix, le bon choix. » ;
  •  : « Unis, les Hommes sont plus forts. » ;
  •  : « Les nouveaux commerçants. » ;
  •  : « Le commerce qui profite à tous. » ;
  • Depuis  : « Commerçants autrement. ».

Daniel Prévost prête sa voix pour les spots publicitaires à la radio des Système U depuis les années 1990[5] puis à la télévision.

Organisation

Regroupant à l'origine de simples épiceries et des supérettes concentrées dans la partie Ouest du territoire, le groupement est depuis fédéré à une centrale nationale basée à Rungis et quatre centrales régionales :

  • centrale régionale Ouest basée à Carquefou ;
  • centrale régionale Nord-Ouest basée à Caen ;
  • centrale régionale Est basée à Mulhouse ;
  • centrale régionale Sud basée à Vendargues et Clermont l'Herault.

Le , les quatre centrales régionales sont regroupées en une seule et même structure baptisée U Enseigne[24].

Direction du groupe

Structure

Les Expan U sont des structures dédiées à l'expansion du réseau « U », gérées par chacune des coopératives régionales. Ayant pour vocation de faciliter l'entrepreneuriat, elle permet le parrainage financier, le cadre de la création et/ou de la reprise d'un magasin « U ». Cela a également été le cas lors du rachat de Telemarket en [17].

Les « groupes d'échanges et de propositions » réunissent chaque mois les associés d'un ou plusieurs départements, desquels sortent nombre d'idées et de solutions pratiques et concrètes pour le réseau[réf. nécessaire].

Force U, créé en , est un institut de formation interne dédié aux collaborateurs des magasins « U ». Il propose des cycles de formation permettant de se former aux différents métiers de la distribution ou de valider des compétences. Il permet également aux associés et aux salariés en poste d'adapter ou d'accroître leurs compétences par des formations continues[réf. nécessaire]. Quatre sites de formation à Rungis, Carquefou, Saint-Brès et Mulhouse[réf. nécessaire].

U emploi[25], le site internet commun aux centrales régionales qui propose des offres d'emploi des enseignes « U » déposées par les magasins et les centrales.

Export U chargé de l'approvisionnement des magasins « U » dans les DOM-TOM et la préparation de projets d'implantation à l'étranger[26].

Les enseignes du groupement

Système U (Utile, U Express, Super U, Hyper U) regroupe, en , 1 559 magasins sur tout le territoire français, y compris les territoires d'outre-mer.

Les enseignes[27] :

Années / Enseignes Hyper U (env. 5 280 m2) Super U (env. 4 188 m2) Marché U (env. 710 m2) U Express (env. 602 m2) Utile (env. 208 m2)
5973595150368
7077126268369
7177311294410
687636326403
697566338392
657625341395

Depuis , Super U est désignée comme étant l'enseigne de supermarché préférée des Français[28].

Super U

Le , le premier Super U de France ouvre à Maizières-lès-Metz en Moselle. Créée par André et Marie Odile Galby, cette enseigne a été déposée par UNICO Metz à Borny[réf. nécessaire].

Hyper U

Un hypermarché Hyper U géré par la Coop Atlantique, à Saintes en Charente-Maritime.

En , Système U se lance dans le format hypermarché de plus de 2 500 m2 et crée l'enseigne Avenue[7].

En , Avenue devient Hyper U[7].

Le magasin de Mûrs-Erigné (en périphérie sud d'Angers), le plus grand de France, est le premier hypermarché du groupe en termes de fréquentation et de chiffre d'affaires[29].

Services

U Location

U Location, créé en sous le nom Location U, est un service de location de véhicules utilitaires, uniquement, dans un premier temps, puis d'automobiles. C'est le 1er service de location lancé par une grande surface avant d'être repris par d'autres enseignes comme E.Leclerc, ou Carrefour.

U Mobile

En s'appuyant sur le réseau d'Orange avec la signature d'un accord de licence avec le premier opérateur français, U Mobile propose des offres prépayées et sans engagement. L'offre s'articule autour d'une gamme de packs (mobile + carte prépayée SIM), de cartes vendues seules et d'une gamme de recharges[12].

L'enseigne met en place une synergie entre U Mobile et le programme de fidélité « Carte U » (les achats rapportent des « points U » échangeables en minutes de communication)[12].

CoursesU.com (U Drive)

Le service de courses en ligne des Magasins U. Les points de vente gèrent le commerce en ligne, de la prise de commande jusqu’à la livraison. Deux modes de livraison sont proposés, le retrait en magasin ou au drive et la livraison à domicile. Plus de 534 Magasins U proposent ce service.

U-Telemarket

Telemarket est un cybermarché créé en livrant à domicile dans certaines villes d'Île-de-France. Il a été racheté en par Système U[17] qui le renomme U-Telemarket, mais le cybermarché dépose le bilan et cesse toute activité le [réf. nécessaire].

U Culture

Logotype de U Culture (de à ).

Critiques et controverses

En , l'association L214 publie une vidéo dénonçant les conditions d'élevage en batterie des poules d'une exploitation qui fournit des œufs commercialisés sous la marque du distributeur ; elle demande à l'enseigne « de retirer de ses étals les œufs de poules élevées en cage », ce que celle-ci refuse, notamment dans l'objectif de proposer des prix bas[30],[31]. En , Système U annonce ne plus vendre sous sa marque distributeur d'œufs produits par des poules élevées en cages[32].

Le , l'UFC – Que choisir dénonce la présence du conservateur allergène méthylisothiazolinone dans un produit de la marque « By U », un savon présenté comme « extra doux ». Elle déconseille particulièrement l'utilisation de ce produit aux enfants, adolescents et femmes enceintes[33],[34].

En , dans le cadre du scandale des œufs contaminés au fipronil, le Ministère de l'Agriculture publie une liste dans laquelle Système U apparaît comme l'un des distributeurs de produits à bases d'œufs contaminés[35].

Historique des logotypes des enseignes du groupe

Hyper U et Super U


Utile

Notes et références

  1. Dominique Schelcher remplace Serge Papin à la tête de Système U, Ouest France, 15 mai 2018
  2. Jean-Louis Roveyaz, Bruno de Laage, Patrick Mérienne, L'Entreprise coopérative, une alternative moderne, éditions L'Harmattan, (lire en ligne), p. 68.
  3. « Dossier. Système U, la petite enseigne qui monte. Repères. Un groupe centenaire. En 1894, naissance du « Pain quotidien ». « L'association sera une nécessité de l'avenir », c'est le sermon d'un prêtre, à la fin du XIXe siècle, qui inspire Auguste Juhel, épicier de la région nantaise. », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Système U, « nouveau commerçant » depuis 20 ans », Comedie, (lire en ligne, consulté le ).
  5. David Dauba, Jean Watin-Augouard, « À vos marques : Système U », BFM Business Radio, . Slogan de Jean-Marie Dru (BDDP) qui rappelle ses racines du groupement d'union de commerçants et pour se démarquer des distributeurs.
  6. Acronyme a posteriori de l'Union des commerçants de l'Oise ou de l'Union commerciale, nom choisi par un des directeurs d'une coopérative de la région de Beauvais qui fumait des cigares belges de marque UNICO.
  7. « Histoire de UNICO », sur marquesdisparues.
  8. « L'alliance Leclerc-Système U se joue des obstacles », sur LSA, .
  9. Olivier Marbot, « Système U dépasse les 10 milliards d'euros de CA annuel », sur lsa-conso.fr, .
  10. « Système U condamné à rembourser 76,8 millions d'euros », sur LSA, .
  11. Et si maintenant, vos courses vous rapportaient des minutes de communication ?, www.magasin-u.com, lu le 03/01/2008 [lire en ligne].
  12. « U Mobile : une offre de téléphonie mobile prépayée pour les magasins U », sur clubic.com.
  13. Gérard Tur, « Le premier Hyper U certifié HQE », sur LSA, .
  14. « La première centrale d'achat européenne va perdre Système U et Delhaize », sur lesechos.fr.
  15. Sylvain Aubril, « La course aux affiliés se poursuit », sur LSA, .
  16. Jean-Noël Caussil, « Pourquoi Coop Atlantique rejoint Système U », sur LSA, .
  17. « Système U a racheté Telemarket », sur lesechos.fr
  18. Auchan et Système U s’allient pour acheter moins cher, le Monde, 12 septembre 2014
  19. « Auchan et Système U lancent une super alliance ! », sur Actu France, .
  20. Philippe Bertrand, « Vers un vrai «mariage» avec Système U », sur Les Échos.fr, (consulté le ).
  21. Distribution : Auchan et Système U abandonnent leur projet de rachat croisé d’enseignes, Le Monde, 13 juillet 2016.
  22. Serge Papin (Système U) : "J’ai essayé de substituer le consommer mieux au consommer plus", France TV Info, 16 mai 2018
  23. Lorraine Fournier, « Système U se lance sur le marché de l’occasion », sur Capital.fr, (consulté le )
  24. LSA – Libre Service Actualités, « Système U met un terme à son organisation par régions », lsa-conso.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  25. U emploi
  26. Yves Petitpas, président d'Export U, administrateur de U-Telemarket, lineaires.com
  27. « Culture des Magasins U, Super U, Hyper U, U express | magasins-u.com », sur www.magasins-u.com (consulté le ).
  28. Étude TNS-Sofres sur un panel de 20 000 foyers interrogés
  29. (fr) Jean-Michel Hansen « Il vend son hypermarché... mais garde la galerie », Ouest-France, p. 4, .
  30. Octave Hocher, « Système U mis en cause pour les conditions d'élevage de ses poules », Le Figaro, (lire en ligne).
  31. « La vidéo qui fait mal au patron de Système U », sur challenges.fr, .
  32. « Système U ne vendra plus d’œuf de poules élevées en cage pour sa Marque U », sur france3-regions.francetvinfo.fr, .
  33. « L’UFC-Que Choisir met en garde contre 1 000 produits cosmétiques, dont 23 « hors la loi » », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
  34. « Ingrédients indésirables dans les cosmétiques – Trois familles à bannir des rayons », UFC Que Choisir, (lire en ligne, consulté le ).
  35. Antoine Garbay et Eric de La Chesnais, « Œufs contaminés: une première liste de produits concernés rendue publique », sur lefigaro.fr, .

Liens

Articles connexes

Liens externes

  • Portail de la France
  • Portail des entreprises
  • Portail du commerce
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.