Serrières-sur-Ain

Serrières-sur-Ain est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle se situe à 26 kilomètres de Bourg-en-Bresse et 18 kilomètres de Nantua.

Pour les articles homonymes, voir Serrières.

Serrières-sur-Ain

Serrières-sur-Ain
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Nantua
Intercommunalité Communauté de communes Rives de l'Ain - Pays du Cerdon
Maire
Mandat
Jean-Michel Boulmé
2020-2026
Code postal 01450
Code commune 01404
Démographie
Population
municipale
134 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 09′ 12″ nord, 5° 27′ 07″ est
Altitude Min. 260 m
Max. 649 m
Superficie 8,18 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pont-d'Ain
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Serrières-sur-Ain
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Serrières-sur-Ain
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Serrières-sur-Ain
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Serrières-sur-Ain

    Ses habitants n'ont pas d'appellation particulière.

    Géographie

    Localisation

    Serrières-sur-Ain se situe au centre du département de l'Ain dans le Haut Bugey, dans le massif du Jura. La commune marque la limite sud-ouest du canton d'Izernore. Son territoire est vallonné par les Monts Berthiand. En effet, la dénivellation est importante puisque l'altitude mesurée au bord de l'Ain est de 233 mètres, et celle au lieudit « Sur les Roches » est de 571 mètres. C'est un territoire très accidenté. Il est délimité par les communes de Bolozon, Leyssard, Challes, Poncin et Hautecourt-Romanèche.

    La commune comprend trois hameaux : Merpuis au sud, Sonthonnax-le-Vignoble au nord-est sur le flanc du Berthiand, et Malaval au centre-est.

    Climat

    Le climat est de type semi-continental.

    Hydrographie

    La rivière d'Ain borde la commune sur une distance de 8 kilomètres, mais il existe d'autres petits ruisseaux, le premier, le bief de Serrières appelé Fontaine Noire, et le second le bief de Sonthonnax ou Renom de Cuina se jettent dans l'Ain.

    Les caractéristiques du territoire ont provoqué la création de quelques cascades dans la commune. Celle de Sous-Français est haute de 30 mètres, or le débit du Renon de Cuina qui la franchit étant irrégulier, elle n'est parfois pas visible. En période de forte crue, elle est par contre importante. Une seconde cascade est celle du Petit-Gland. Elle se situe à la limite avec la commune de Leyssard. Elle est composées de trois sauts successifs dont chacun mesure une dizaine de mètres. Le bief de Leyssard la franchie lors des crues.

    Un plan d'eau s'est constituée lors de la création du barrage d'Allement[1] en 1959. Sa longueur est de 4 kilomètres pour des profondeurs variant de 10 à 15 mètres. Ce site a été développé pour la pratique de certains loisirs, tels les sports nautiques ou la baignade.

    Voies de communication et transports

    Serrières-sur-Ain est située le long de la route départementale 979 qui relie Bourg-en-Bresse à Montréal-la-Cluse en traversant la rivière d'Ain par l'ouest et en passant par le col de Berthiand par l'est. Le pont de Serrières-sur-Ain permet de traverser la rivière pour l'autre rive. Il est composé d'une arche unique. Enfin la route départementale 91 longe toute la rivière car elle est située sur la rive gauche. Cette route relie Poncin à Thoirette.

    Il existe également une voie communale qui permet de relié le hameau Merpuis à Challes-la-Montagne, celle-ci est classée comme route touristique.

    Urbanisme

    Typologie

    Serrières-sur-Ain est une commune rurale[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,6 %), prairies (24 %), eaux continentales[Note 2] (12 %), zones urbanisées (3,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Morphologie urbaine

    Le territoire communal est une étroite bande allongée sur environ 8 kilomètres, l'ouest est délimité par la rivière d'Ain avec Hautecourt-Romanèche de l'autre côté. La pointe nord touche la commune de Bolozon, on trouve sur les flancs du Berthiand à l'ouest, les communes de Leyssard et Challes-la-Montagne, puis au sud, Poncin

    (Thoirette par D91)
    Bolozon
    (Nurieux-Volognat, Nantua par D979)
    Leyssard
    Hautecourt-Romanèche
    (Bourg-en-Bresse par D979)
    N
    O    Serrières-sur-Ain    E
    S
    Poncin
    (Ambérieu-en-Bugey par D91)
    Challes-la-Montagne

    Logement

    Le nombre total de logements dans la commune est de 155[9]. Parmi ces logements, 25,8 % sont des résidences principales, 70,3 % sont des résidences secondaires et 3,9 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour une part de 97,5 % des maisons individuelles, aucun appartement et enfin seulement 2,5 % sont des logements d'un autre type. La part d'habitants propriétaires de leur logement est de 80 %[9]. Ce qui est supérieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, la part de locataires est de 17,5 % sur l'ensemble des logements qui est inversement inférieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[9]. On peut noter également que 2,5 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage est de 4,9 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, aucun ne sont des studios, 5 % sont des logements de deux pièces, 30 % en ont trois, 32,5 % des logements disposent de quatre pièces, et 32,5 % des logements ont cinq pièces ou plus[9].

    Toponyme

    Le nom est mentionné anciennement sous les formes Ecclesia de Serreres au XIIIe siècle, puis Serreres et Serrieres au cours des deux siècles suivants et Parrochia Serreriarum au XVIe siècle[10].

    Le toponyme dérive des noms locaux serraz, serre qui désigne, selon André Pégorier, une « colline allongée », avec le suffixe collectif -ière[10].

    Histoire

    Faits historiques

    Le territoire sur lequel est aujourd'hui définit la commune semble habité depuis la préhistoire. En effet, des fouilles ont montré des abris préhistoriques dans certaines grottes[11]. Des tessons de poterie et du charbon ont été découverts dans la grotte au nord de Serrière dite « Sous la Pierre »[12]. La grotte de la Fée est aujourd'hui enfouie à cause de la création du barrage d'Allement, mais des fouilles archéologiques y ont été pratiquées.

    La paroisse était placée sous la vocable de Saint Maurice[12]. En 1198, l'archevêque de Lyon, Raynaud de Forest émet la sentence du placement de la paroisse à la collation du prieur de Nantua. Après le XVIe siècle, elle devient succursale de la paroisse de Leyssard.

    En 1420, Amédée VIII de Savoie inféode Serrières à François de Mornay. Il délivre également une autorisation d'y faire construire une maison forte. Cette seigneurie fut ensuite transmise à la famille d'Oyonnax. Antoinette d'Oyonnax, la dernière héritière, la transmet par mariage à Claude Chabod. Or, en 1565 leur seul fils Philippe de Chabod étant décédé et sans enfant, la terre fut léguée à Louis de Seyturier, qui était le frère de Claudine, la veuve de Philippe de Chabod. La descendance de Louis conserva la terre.

    La Révolution fut fatale à la maison forte qui fut démoli. Aujourd'hui on peut toujours observer les murs de la base.

    Toujours au Moyen Âge, se dressait le château de Belvoir ou Beauvoir, centre de la seigneurie de Beauvoir[13].

    C'est le que Serrières-sur-Ain devient indépendante. Elle se sépare de la commune de Leyssard et inclut dans sa commune les hameaux de Merpuis, Sonthonnax-le-Vignoble et Malaval.

    Politique et administration

    Résultats politiques

    Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours
    Élections législatives, résultats des deuxièmes tours
    Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores
    Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores
    Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours
    Élections municipales, résultats des deuxièmes tours
    Référendums

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1983 2004 Paul Guillemaud   Démissionne en décembre 2004
    2005 2008 Raymond Richonnier    
    2008 En cours Jean-Michel Boulmé SE Agent d'affaires
    Réélu en 2014

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

    En 2018, la commune comptait 134 habitants[Note 3], en augmentation de 7,2 % par rapport à 2013 (Ain : +4,54 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    447376434454456428371345323
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    314314319285283269252234194
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    18216517213012291816364
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018 - -
    7179111115125134134--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Évolution de la pyramide des âges de la commune de Serrières-sur-Ain, comparaison entre l'année 1999 et 1982[30] :

    Pyramide des âges en 1999 en nbre d'individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    5 
    75 à plus
    5 
    5 
    60 à 74
    9 
    15 
    40 à 59
    8 
    9 
    20 à 39
    9 
    7 
    0 à 19
    7 
    Pyramide des âges en 1982 en nbre d'individus.
    HommesClasse d’âgeFemmes
    3 
    75 à plus
    8 
    8 
    60 à 74
    3 
    11 
    40 à 59
    10 
    12 
    20 à 39
    4 
    3 
    0 à 19
    2 


    Les pyramides graphiques de 1982 et 1999 permettent de remarquer une inégalité dans la répartition des populations par âge. En 1982, on observait un déficit des femmes de 60 à 74 ans, et en 1999, le nombre d'hommes de 40 à 59 ans est environ deux fois plus élevé que le nombre de personnes des autres catégories.

    Enseignement

    La mairie (anciennement école)

    L'école était auparavant située dans la mairie. Il y avait une cour bordée par un muret et un préau. Mais le faible effectif des enfants dans la commune a provoqué la fermeture de la classe en 1960. En 1985, cette salle a été réaménagée en salle polyvalente.

    Le collège le plus proche de Serrières-sur-Ain[31] est le collège "Roger Vaillant" de Poncin. Serrières-sur-Ain est incluse dans le secteur[32] de ce collège. Le département de l'Ain met à disposition un transport scolaire gratuit le matin et le soir.

    Il en est de même pour le transport jusqu'au lycée. Le lycée le plus proche de Serrières-sur-Ain étant le lycée "Xavier Bichat" de Nantua[33].

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête communale a lieu le 22 septembre[11].

    Santé

    Les pharmacies les plus proches sont celles de Villereversure à 6,2 kilomètres et de Saint-Martin-du-Frêne à 7,9 kilomètres. Il en est de même pour les services d'infirmière et pour les médecins dont un se trouve également à Maillat.

    Sports et associations

    Quelques associations sont présentes dans la commune[34]. Il y a le comité d'animation, une association dénommée « les amis de la rivière d'Ain », mais également les sociétés de chasse et de pêche.

    Médias

    Le journal le Progrès propose une édition locale aux communes du Haut-Bugey. Il parait du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international. La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

    Économie

    Le vignoble

    L'économie de la commune relève surtout de l'agriculture. Les spécialités sont l'élevage, la production laitière et les céréales. Il ne restait en 1998 qu'une seule exploitation agricole, les autres terres cultivables étant louées à des exploitations des villages voisins.

    Le relief du hameau Sonthonnax-le-Vignoble étant tellement accidenté qu'il se réduit pratiquement à du pâturage. Or comme son nom l'indique, et ceci jusqu'en 1900, des vignes y existaient. Il n'en reste aujourd'hui que quelques parcelles.

    Il existait une fruitière qui est aujourd'hui transférée à Poncin. Un restaurant et une auberge constituent les autres activités économiques de cette petite commune.

    Des bateaux touristiques circulent sur l'Ain l'été.

    Revenus de la population et fiscalité

    Selon l'enquête de l'INSEE en 1999[35], les revenus moyens par ménage sont de l'ordre de 14 800 euros par an, légèrement inférieurs à la moyenne nationale est de 15 027 euros par an. Aucun foyer n'est soumis à l'impôt de solidarité sur la fortune.

    Emploi

    En 1999, la population de Serrières-sur-Ain se répartissait à 45,6 % d'actifs, ce qui équivaut au 45,2 % d'actifs de la moyenne nationale, 40,5 % de retraités, un chiffre plus de deux fois supérieur au 18,2 % national. On dénombrait également 17,7 % de jeunes scolarisés et 3,8 % d'autres personnes sans activité.

    Le taux d'activité de la population des 20 à 59 ans de Serrières-sur-Ain était de 88 %, avec un taux de chômage de 8,3 %, en 1999 donc inférieur à la moyenne nationale de 12,9 % de chômeurs.

    Répartition des emplois par domaine d'activité

      Agriculteurs Artisans, commerçants, chefs d'entreprise Cadres, professions intellectuelles Professions intermédiaires Employés Ouvriers
    Serrières-sur-Ain 0 % 25 % 12,5 % 25 % 12,5 % 25 %
    Moyenne nationale 2,4 % 6,4 % 12,1 % 22,1 % 29,9 % 27,1 %
    Sources des données : INSEE[35]

    Commerce

    • La Guinguette des Gorges de l'Ain a été créée en 2008 avec le soutien du Syndicat Mixte pour l'Aménagement et l'Equipement de l'île Chambod composé des élus locaux afin de dynamiser la vie locale et l'offre touristique. Située sur la commune de Serrières-sur-Ain, au lieu-dit "Le betet", cette brasserie propose en toute simplicité une carte à découvrir en famille ou entre amis.

    Culture et patrimoine

    Monuments laïques

    • Le pont de Serrières-sur-Ain traversant la rivière d'Ain a été mis en service en 1959[36]. Il permet à la route départementale 979 de rallier Bourg-en-Bresse à Montréal-la-Cluse. Il a été construit à la place d'un pont suspendu qui existait auparavant. C'est un pont constitué d'un seul arc d'une portée de 124 mètres. Sa longueur est de 225 mètres, il est situé à 45 mètres au-dessus de la rivière.
    Le pont de Serrières-sur-Ain.
    • Beaucoup de moulins à eau ont existé le long de la rivière d'Ain, dans la commune. Malheureusement, ils ont aujourd'hui tous disparu à la suite de la mise en eau du barrage d'Allement.

    Monuments religieux

    L'église

    L'église de Serrières se situe au cœur du village. Elle a été construite entre 1893 et 1897 en remplacement d'une vieille chapelle démolie pour cause de vétusté. L'édifice est construit en forme de croix latine, et son clocher n'a jamais été terminé à cause de financements trop faibles.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Le barrage d'Allement, sur fr.structurae.de
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Données INSEE compulsées par Linternaute - Logement à Serrières-sur-Ain.
    10. Henry Suter, « Serrières », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
    11. « Serrières-sur-Ain »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur quid.fr
    12. A. Bernat, P. Guillemaud, R. Ma, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 178 (ISBN 2-907656-29-5)
    13. Samuel Guichenon, Histoire de Bresse et de Bugey : Partie 2 : Contenant les fondations des Abbayes, Prieurez, Chartreuses, Egliſes Collegiales & les Origines des Villes, Chaſteaux, Seigneurs & principaux Fiefs, Lyon, Jean Antoine Huguetan & Marc Antoine Ravaud, , 109 p. (notice BnF no FRBNF30554993, lire en ligne), p. 87.
    14. Élection présidentielle française de 2007.
    15. Élection présidentielle française de 2002.
    16. Élections législatives françaises de 2007.
    17. Élections législatives françaises de 2002.
    18. Élections européennes de 2004 en France.
    19. Élections régionales françaises de 2004 .
    20. Élections cantonales françaises de 2008.
    21. Élections cantonales françaises de 2001.
    22. Les résultats de ces élections ne sont disponibles que pour l'ensemble du canton d'Izernore.
    23. Élections municipales françaises de 2008.
    24. Élections municipales françaises de 2001.
    25. Référendum français sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Recensement de l'INSEE en 1999 - Population totale par sexe et âge.
    31. Collège le plus proche, sur maps.google.fr
    32. Carte des secteurs des collèges de la circonscription d'Ambérieu.
    33. Lycée le plus proche, sur maps.google.fr
    34. Les associations, sur ccmontsberthiand.com
    35. Données démographiques d'après l'INSEE compulsées par linternaute.
    36. A. Bernat, P. Guillemaud, R. Ma, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 176 - 185 (ISBN 2-907656-29-5).

    Voir aussi

    Bibliographie

    • A. Bernat, P. Guillemaud, R. Ma, Richesses Touristiques et Archéologiques du Canton d'Izernore, ITALIQ, 1998, p. 176 - 185 (ISBN 2-907656-29-5)

    Articles connexes

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