Saint-Ybard

Saint-Ybard est une commune française située dans le département de la Corrèze et la région Nouvelle-Aquitaine.

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Saint-Ybars.

Saint-Ybard

La place et l'église.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté de communes du pays d'Uzerche
Maire
Mandat
Jean-Jacques Dumas
2020-2026
Code postal 19140
Code commune 19248
Démographie
Gentilé Saint-Ybartois
Population
municipale
689 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 56″ nord, 1° 31′ 21″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 497 m
Superficie 30,05 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Uzerche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Uzerche
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Ybard
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Saint-Ybard
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Ybard
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Ybard
Liens
Site web www.saint-ybard.fr

    Géographie

    Localisation

    Saint-Ybard est une commune rurale située au bord de la Vézère, au centre-ouest de la France, en bordure ouest du Massif central.

    Saint-Ybard est à km au nord-ouest d’Uzerche, à 36 km au nord-ouest de la préfecture Tulle, à 49 km au nord de Brive-la-Gaillarde et à 55 km au sud de Limoges.

    Communes voisines

    Géologie et relief

    Le territoire de la commune, qui s'étend sur 3 005 ha, est vallonné, recouvert de bocages, de bois et bosquets.

    Saint-Ybard, comme l’ensemble du canton d’Uzerche, est assis sur un sol essentiellement composé de gneiss[1].

    Hydrographie

    La commune est parcourue par de nombreux cours d'eau[2],[3] :

    Climat

    Saint-Ybard n'ayant pas de station météo, le tableau suivant recense les données climatique de Limoges, distante de 47,4 kilomètres à vol d'oiseau[4].

    Relevé météorologique de Limoges
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,8 3,4 5,3 8,9 11,9 13,8 13,8 11,2 8,4 4 1,9 7,2
    Température moyenne (°C) 4,2 5 7,2 9,5 13,3 16,5 18,7 18,6 15,7 12,3 7,2 4,7 11,1
    Température maximale moyenne (°C) 7 8,3 11,1 13,7 17,7 21,2 23,7 23,5 20,3 16,2 10,4 7,5 15,1
    Ensoleillement (h) 83 101 145 173 192 227 250 237 198 140 99 86 1 931
    Précipitations (mm) 89,9 77,3 80,8 84 89,2 70,1 62,8 78,1 80 89,3 93,9 97,1 992,5
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
     
     
     
    7
    1,4
    89,9
     
     
     
    8,3
    1,8
    77,3
     
     
     
    11,1
    3,4
    80,8
     
     
     
    13,7
    5,3
    84
     
     
     
    17,7
    8,9
    89,2
     
     
     
    21,2
    11,9
    70,1
     
     
     
    23,7
    13,8
    62,8
     
     
     
    23,5
    13,8
    78,1
     
     
     
    20,3
    11,2
    80
     
     
     
    16,2
    8,4
    89,3
     
     
     
    10,4
    4
    93,9
     
     
     
    7,5
    1,9
    97,1
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

    Voies de communication et transports

    Pour accéder à Saint-Ybard par la route, emprunter la sortie 44 de l’autoroute A20, (échangeur à km).

    Les accès en train les plus proches sont : la gare ferroviaire d’Uzerche à km (voir Gare d'Uzerche) et la halte de Masseret à 12 km (voir Gare de Masseret).

    Les aéroports sont ceux de Limoges-Bellegarde (63 km) et de Brive-Vallée de la Dordogne (50 km).

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Ybard est une commune rurale[Note 1],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Uzerche, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 8 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (61,5 %), zones agricoles hétérogènes (26,4 %), forêts (11 %), terres arables (1,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Sancti Eparchii doit son nom à Eparchius, moine périgourdin reclus à Angoulème au VIe siècle[11],[12].

    Le nom de la commune est Sanch Ibarch en occitan.

    Histoire

    La paroisse de Saint-Ybard[1],[11] est connue sous ce nom dès 987 dans le cartulaire d’Uzerche. Son patron, Eparchius, a supplanté le toponyme antérieur. Pourtant le territoire a gardé de nombreuses traces d’une occupation très ancienne : tumulus de Montfumat et de la Vernouille, constructions gallo-romaines au bourg et au Cloup.

    Il est, de plus, traversé par deux antiques chemins de long parcours qui se croisent à la Rade : le plus ancien du nord-ouest au sud-est dit Route des Métaux Précieux ; l’autre, chemin de crête (ou de pouge) reliant le Haut-Limousin au bassin de Brive, fréquenté jusqu’au XIXe siècle (route de la Vinade).

    Dès le Xe siècle, la paroisse fait partie de la vicomté de Limoges et de la baronnie de Bret. À partir du XIIe siècle, les Pérusse en sont les feudataires principaux et leurs diverses branches se succèdent, à Garaboeuf et à la Vernouille jusqu’au XVIIIe siècle. La baronnie de Saint-Ybard fait alors partie du Bas-Limousin.

    À la prééminence féodale des Pérusse des Cars correspond la prééminence religieuse de l’abbaye d’Uzerche qui y possède de puissants intérêts et y crée une prévôté distincte de la cure. Jusqu’en 1761 les prêtres sont à la nomination du prévôt ou de son supérieur l’abbé d’Uzerche. Quant à la fête patronale, elle passe au XIXe siècle de saint Cybard (1er juillet) à saint Roch (), ce dernier étant, dit-on, souverain contre la peste et les épizooties.

    Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, Saint-Ybard a la réputation de pays riche où les impôts rentrent mieux que dans les paroisses voisines. De plus, les Pérusse y ont installé des forges sur la Vézère puis sur l’Auvézère et même un moulin à papier.

    La Révolution française n’y est point sanglante même si le château de Garaboeuf est démoli et si un bref instant (1792-94) la commune est rébaptisée L'Union-sur-Vézère, pour suivre un décret de la Convention.

    Le XIXe siècle est pour Saint-Ybard un sommet démographique (1 636 habitants en 1846). La vie politique voit durant la première moitié, l’influence prépondérante des Descubes de la Vernouille et durant la seconde, les Brugère. À partir de 1881, la querelle scolaire à Saint-Ybard comme ailleurs, constitue la ligne de clivage entre les républicains et leurs adversaires. Mais deux fléaux vont amoindrir, malgré des réussites agricoles certaines au XXe siècle, la vie de la commune : les ravages des deux guerres et une forte émigration. L’autoroute réussira-t-elle là où le chemin de fer a échoué ?

    Politique et administration

    Administration municipale

    La commune dispose d'un conseil municipal de 15 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[13]).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1965 Pierre Bourbouloux    
    1965 1989 Emile Dupuy    
    1989 En cours Jean-Jacques Dumas [14]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
      Administrateur de sociétés
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Saint-Ybard est membre de la communauté de communes du Pays d'Uzerche, qui est constituée de douze communes.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[15].

    Environnement

    Des conteneurs de tri sélectif sont accessibles sur la place du Foyer Rural, au cœur du bourg de Saint-Ybard.

    La déchèterie la plus proche est celle d'Uzerche à 9,4 km[16].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

    En 2018, la commune comptait 689 habitants[Note 3], en augmentation de 4,08 % par rapport à 2013 (Corrèze : −0,08 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2541 3211 3101 5151 5571 5321 5231 6361 520
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5061 5021 5141 3831 3581 4191 4181 5781 571
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5141 5101 5101 3441 2231 1801 1551 066991
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    840770703660591593643650656
    2013 2018 - - - - - - -
    662689-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, Saint-Ybard comptait 656 habitants (soit une augmentation de 11 % par rapport à 1999). La commune occupait le 13 385e rang au niveau national, alors qu'elle était au 13 453e en 1999, et le 79e au niveau départemental sur 286 communes.

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (32,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (29,9 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,2 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 14,9 %, 15 à 29 ans = 15,5 %, 30 à 44 ans = 20,4 %, 45 à 59 ans = 20,1 %, plus de 60 ans = 29,1 %) ;
    • 49,8 % de femmes (0 à 14 ans = 16,2 %, 15 à 29 ans = 12,5 %, 30 à 44 ans = 17,1 %, 45 à 59 ans = 17,4 %, plus de 60 ans = 36,7 %).
    Pyramide des âges à Saint-Ybard en 2007 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,2 
    90  ans ou +
    0,9 
    10,3 
    75 à 89 ans
    14,7 
    17,6 
    60 à 74 ans
    21,1 
    20,1 
    45 à 59 ans
    17,4 
    20,4 
    30 à 44 ans
    17,1 
    15,5 
    15 à 29 ans
    12,5 
    14,9 
    0 à 14 ans
    16,2 
    Pyramide des âges du département de la Corrèze en 2007 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    1,9 
    9,5 
    75 à 89 ans
    14,2 
    16,2 
    60 à 74 ans
    17,3 
    22,0 
    45 à 59 ans
    21,0 
    19,6 
    30 à 44 ans
    17,9 
    16,9 
    15 à 29 ans
    13,8 
    15,3 
    0 à 14 ans
    13,9 

    Enseignement

    La commune est en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Saint-Martin-Sepert et Saint-Pardoux-Corbier : les enfants vont de l'école maternelle au CP à Saint-Ybard [23], puis au CE1 à l'école élémentaire publique de Saint-Martin-Sepert[23], et enfin du CE2 au CM2 à l'école de Saint-Pardoux-Corbier[23].

    Ensuite, les élèves vont au collège Gaucelm-Faidit d'Uzerche[24]. Les lycées les plus proches sont ceux de Brive-la-Gaillarde[24],[25] et ceux de Tulle[24],[25].

    Cultes

    Pour le culte catholique, Saint-Ybard dépend du diocèse de Tulle, et fait partie de l'ensemble inter-paroissial d'Uzerche-Vigeois : le doyenné de Moyenne Vézère[26].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 16 137 , ce qui plaçait Saint-Ybard au 21 501e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[27].

    Population active

    La population âgée de 15 à 64 ans s'élevait en 2007 à 372 personnes (330 en 1999), parmi lesquelles on comptait 76,3 % d'actifs dont 73,7 % ayant un emploi et 2,7 % de chômeurs[28].

    Le taux d'activité en 2007 est de 49,2 % pour la tranche d'âge 15 - 24 ans, 94,4 % pour la tranche d'âge 25 - 54 ans, et 46,5 % pour la tranche d'âge 55 - 64 ans. En 2007, 77,4 % des hommes sont actifs pour 75,1 % des femmes[28].

    En 2007, 31,2 % des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi et résidant dans la commune travaillaient à Saint-Ybard, 59,2 % dans une autre commune de la Corrèze et 7,1 % dans un autre département de la région Limousin[29].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune présente plusieurs sites et monuments remarquables : l'église, les ruines du château de Garaboeuf, la chapelle Saint-Roch, les magnifiques cascades de Bialet (site classé), le viaduc autoroutier et le viaduc ferroviaire sur la Vézère.

    Personnalités liées à la commune

    • Simone de Beauvoir, qui y passa régulièrement ses vacances étant jeune, chez son grand-père.
    • Hortense Dufour, qui elle aussi passa des vacances dans le village.
    • Bernard Comby, troubadour, poète né dans la commune mêlant chant et vers déclamés.
    • André Dufour, né le à Saint-Ybard (Corrèze), mort le à Poitiers (Vienne) ; professeur agrégé d’histoire ; militant syndicaliste, membre de la CA du SNEPS (1937-1939), membre du bureau de la section académique (S2 puis S3) de Poitiers du SNES (1946-1968), puis secrétaire du S3 de 1961 à 1968 ; militant communiste, secrétaire du Mouvement de la Paix des Deux-Sèvres ; responsable pour la Vienne de l’ARAC.

    Héraldique

    De gueules au pal de vair, au lambel à cinq pendants d'argent.

    Jumelages

    Galerie d'images

    Notes et références

    Références

    1. Corinne Michel - CRDAP, Rayonnement d'une ville-paysage, Editions Les Ardents Editeurs
    2. « Service d’Administration National des Données et Référentiels sur l’Eau (Sandre) ».
    3. « Caractéristiques chiffrées des cours d'eau du Sandre ».
    4. « Distance orthodromique », sur lion1906.com.
    5. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. Louis Bournazel, Histoire du Pays d'Uzerche Tome 2, Editions Lemouzi n°188bis (2009)
    12. Marcel Villoutreix, Les noms de lieux du Limousin
    13. « nombre des membres du conseil municipal des communes », Legifrance.
    14. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    15. Site des villes et villages fleuris, consulté le 31 janvier 2021.
    16. « Informations utiles de Condat-sur-Ganaveix ; consulté le 29 juin 2011 », Annuaire des Mairies.
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. « Évolution et structure de la population à Saint-Ybard en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    22. « Résultats du recensement de la population de la Corrèze en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. (fr) « Écoles publiques de la Corrèze », Inspection académique de la Corrèze.
    24. (fr) « Établissements scolaires publiques de la Corrèze », Inspection académique de la Corrèze.
    25. (fr) « Établissements scolaires privés de la Corrèze », Inspection académique de la Corrèze.
    26. (fr) « Diocèses de Tulle », Église catholique de Corrèze (diocèses de Tulle).
    27. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    28. « Résultats du recensement de la population - 2007 - Thème : Emploi - Population active (Saint-Ybard) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    29. « Résultats du recensement de la population - 2007 - Thème : Formes et conditions d'emploi (Saint-Ybard) », sur site de l'Insee (consulté le ).

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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