Saint-Vincent-d'Olargues

Saint-Vincent-d'Olargues (Sant Vincenç d'Olargues en occitan) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie. La commune est membre du Parc naturel régional du Haut-Languedoc. Elle adhère également à la communauté de communes Orb et Jaur.

Saint-Vincent-d'Olargues

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Intercommunalité Communauté de communes du Minervois au Caroux
Maire
Mandat
Bernard Fontes
2020-2026
Code postal 34390
Code commune 34291
Démographie
Gentilé Vincentinois
Population
municipale
359 hab. (2018 )
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 41″ nord, 2° 52′ 48″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 1 085 m
Superficie 15,84 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Olargues
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Pons-de-Thomières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Vincent-d'Olargues
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Saint-Vincent-d'Olargues
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Saint-Vincent-d'Olargues

    Ses habitants sont appelés les Vincentinois.

    Géographie

    Carte

    Saint-Vincent-d'Olargues se situe au nord ouest du département de l'Hérault, à 5 km d'Olargues, à 30 km de Bédarieux et à 50 km de Béziers. La commune est traversée par deux routes départementales ; la RD 908 reliant Saint-Pons-de-Thomières à Bédarieux via Olargues et la RD 14 rejoignant le col de Fontfroide. Saint-Vincent est accroché au flanc de l'Espinouse formant les premiers contreforts du Massif central au-dessus du village d'Olargues. La commune est baignée par le Jaur au niveau de Galhergues et de Julio ainsi que par de nombreux ruisseaux dont le plus important est le ruisseau de Coustorgues.

    • La commune a la particularité d'être composée de douze hameaux dispersés, depuis les bords du Jaur jusqu'au flanc de l'Espinouse, autour du bourg centre qu'est Saint-Vincent.

    Il s'agit des hameaux de:

    • Camproger
    • Cros de Saint Vincent (le)
    • Fontésié (la)
    • Gallergues
    • Gourlaury
    • Julio
    • Mas du Gua (le)
    • Mazarié (la)
    • Pestous
    • Pradels
    • Raspalhac
    • Violgues

    Communes limitrophes[1]

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 291 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cambon-et-Salvergues », sur la commune de Cambon-et-Salvergues, mise en service en 1998[7]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 9,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 477,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 58 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 14,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[16]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[17],[18].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « grotte de Julio »[20], d'une superficie de 17,44 ha, un lieu de présence et/ou de mise-bas pour de nombreuses espèces de chauve-souris mentionnées dans l'annexe II de la Directive, en particulier, le Minioptère de Schreibers, le grand Murin , le petit Murin, le Vespertilion de Capaccini, le Rhinolophe eutyale,et le Rhinolophe de Mehely[21].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[22] : la « grotte de Julio » (58 ha), couvrant 2 communes du département[23] et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] :

    • le « massif de l'Espinouse » (20 035 ha), couvrant 19 communes du département[24] ;
    • le « massif du Somail » (23 004 ha), couvrant 11 communes dont dix dans l'Hérault et une dans le Tarn[25] ;
    • la « montagne noire centrale » (34 724 ha), couvrant 27 communes du département[26].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Vincent-d'Olargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Olargues, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[30] et 2 458 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[31],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[33],[34].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,4 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Plan cadastral napoléonien (1831).

    L'occupation du site de Saint-Vincent remonte à l'époque préhistorique comme le prouve le dolmen de Raspailhac dont les vestiges sont exposés au musée d'Olargues.

    Au cours de la Révolution française, la commune porte les noms de Collines-et-Rochers et de Vincent-de-Collines-et-Rochers[36].

    Au XIXe et au XXe siècle, le village s'est spécialisé dans la production castanéicole, de prunes et de cerises.

    Ce n'est que le [37] que l'appellation Saint-Vincent-d'Olargues fut adoptée en remplacement de Saint-Vincent.

    Depuis 2014, à la suite de la disparition de l'ancien canton d'Olargues, la commune appartient au canton de Saint-Pons-de-Thomières.

    Les Hospitaliers

    Saint-Vincent est une ancienne commanderie hospitalière de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem attestée depuis au moins 1174[38] devenue après 1345 un membre de la commanderie de Narbonne du grand prieuré de Saint-Gilles au sein de la langue de Provence[39],[40],[41].

    L'église de Saint-Vincent est mentionnée dès 1157 lorsque Pons d'Olargues en fait don aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[42].

    Héraldique

    Les armes de Saint-Vincent-d'Olargues se blasonnent ainsi : parti, au premier d'azur à deux pots d'or rangés en pal, au deuxième de sable à une croix de Malte d'argent bordée d'or[43].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2014 En cours Bernard Fontes SE Retraité[44]
    2007 2014 Jacques Lepape DVD  
    2001 2007 Gilbert Fontes    
        Jean-Louis Sèbe    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46]. En 2018, la commune comptait 359 habitants[Note 7], en augmentation de 12,19 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4721 3291 5411 5601 6041 5761 5501 5151 568
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4941 4341 3721 305928836929781740
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    758703634603567552546520498
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    438372340335301323318323351
    2018 - - - - - - - -
    359--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie locale

    Activités

    Lieux et monuments

    Église
    • L'église de Saint-Vincent : elle contient des représentations picturales très bien conservées. L'église abrite également un calvaire remarquable.
    • Tour romane à Gallergues.
    • Maison Renaissance à Julio.
    • Pont du Cros.
    • Chapelle Saint-Martin-des-Œufs citée en 1694.
    • Ancienne mine.
    • Forêt domaniale de Carcadal.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Rémi Azemar, « Les roches à cupules de Malaret (commune de Saint-Vincent d'Olargues, 34) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 16, , p. 25-31
    • Rémi Azemar, « Les gravures rupestres des dolmens des Cévennes occidentales », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 16, , p. 17-24
    • Robert Guiraud et Marcel Soulier, « Les plaques-boucles de Saint-Vincent d'Olargues », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 4, , p. 43-49
    • Robert Guiraud, « Vestiges d'époque gallo-romaine dans la commune de Saint-Vincent-d'Olargues », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 5, , p. 19-23
    • Robert Guiraud, « Les dolmens de la commune de St-Vincent d'Olargues », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 1, , p. 18-26
    • Florence Journot, « La tour de Gaillergues (commune de Saint-Vincent d'Olargues) et la Tour du Pin (commune de Vieussan) : Saint-Vincent d'Olargues et Cébazan (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 7, , p. 61-70
    • Joseph Sahuc, « Deux croix cimétériales », Revue historique du diocèse de Montpellier, no 1, , p. 41-48

    Fonds d'archives

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Notes

      Références

      1. IGN, Géoportail, consultation à l’échelle Ville + 1/4, le 12 décembre 2008
      2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      7. « Station Météo-France Cambon-et-Salvergues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      8. « Orthodromie entre Saint-Vincent-d'Olargues et Cambon-et-Salvergues », sur fr.distance.to (consulté le ).
      9. « Station Météo-France Cambon-et-Salvergues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      10. « Orthodromie entre Saint-Vincent-d'Olargues et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
      11. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      12. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      13. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
      15. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
      16. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
      17. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
      18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
      20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Vincent-d'Olargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      21. « site Natura 2000 FR9101427 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
      22. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Vincent-d'Olargues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      23. « ZNIEFF la « grotte de Julio » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      24. « ZNIEFF le « massif de l'Espinouse » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      25. « ZNIEFF le « massif du Somail » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      26. « ZNIEFF la « montagne noire centrale » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      28. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      30. « Unité urbaine 2020 d'Olargues », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      31. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      32. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
      33. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      37. Journal officiel, 1955, n°74, p.3001
      38. Clovis Brunel, Les plus anciennes chartes en langue provençale : recueil des pièces originales antérieures au XIIIe siècle, publiées avec une étude morphologique, Slatkine Reprints, , 779 p. (présentation en ligne), p. 131-32, doc. 139.
      39. Abbé Sabarthès, « La commanderie de Narbonne: Ordre de Malte », Mémoires de la Société des arts et des sciences de Carcassonne, t. VII, 1894-1895, lire en ligne sur Gallica.
      40. Abbé C. Nicolas, « Histoire des grands prieurs et du prieuré de Saint-Gilles faisant suite au manuscrit de Jean Raybaud 1751-1806 : tome III », Mémoires de l'Académie de Nîmes, t. XXIX, , p. 121, lire en ligne sur Gallica.
      41. J. Sahuc, Archives de l'ancien évêché de Saint-Pons: Inventaire de 1746, J. Lauriol, , 423 p. (présentation en ligne).
      42. Antoine du Bourg, Ordre de Malte : Histoire du grand prieuré de Toulouse et des diverses possessions de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem dans le sud-ouest de la France..., Toulouse, L. Sistac et J. Boubée, , lire en ligne sur Gallica
        La commanderie de Narbonne faisait partie du grand prieuré de Saint-Gilles mais une partie des archives des commanderies de ce prieuré se trouvaient à Toulouse.
        .
      43. Didier Catarina et Jean-Paul Fernon, Armorial des communes de l'Hérault, Artistes en Languedoc, (ISSN 1264-5354), p 67.
      44. http://operations.evenement.lemonde.fr/languedoc-roussillon-midi-pyrenees/herault,34/saint-vincent-d-olargues,34291/elections/presidentielle-2017/
      45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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