Saint-Léon-sur-Vézère
Saint-Léon-sur-Vézère est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. La commune fait partie du canton de la Vallée de l'Homme (et auparavant du canton de Montignac).
Pour les articles homonymes, voir Saint-Léon.
Saint-Léon-sur-Vézère | |||||
Le château de Clérans à Saint-Léon-sur-Vézère. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée de l'Homme | ||||
Maire Mandat |
Yannick Dalbavie 2020-2026 |
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Code postal | 24290 | ||||
Code commune | 24443 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Léonnais | ||||
Population municipale |
421 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 00′ 41″ nord, 1° 05′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 260 m |
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Superficie | 13,76 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée de l'Homme | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | saint-leon-sur-vezere.fr | ||||
Elle fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France ».
Géographie
Généralités
La commune de Saint-Léon-sur-Vézère, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).
Au sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, elle est, comme son nom l'indique, arrosée par la Vézère qui y forme deux méandres successifs. Elle est membre de l'association « Les Plus Beaux Villages de France ».
L'altitude minimale, 62 mètres, se trouve au sud-ouest, là où la Vézère quitte la commune pour entrer sur celle de Peyzac-le-Moustier. L'altitude maximale avec 260 mètres est localisée au nord, près du lieu-dit Argiller, en limite de la commune de Plazac.
Le village de Saint-Léon-sur-Vézère, au bord de la rivière et traversé par la route départementale 66, se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres au sud-ouest de Montignac-Lascaux et onze kilomètres au nord-est des Eyzies.
La commune est également desservie par la route départementale 706 qui longe la Vézère en rive droite, et par la route départementale 45 au nord.
Le sentier de grande randonnée GR 36 traverse le territoire communal sur plus de cinq kilomètres.
Communes limitrophes
Saint-Léon-sur-Vézère est limitrophe de six autres communes. Au sud-ouest, son territoire est distant d'une trentaine de mètres de celui de Tursac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Léon-sur-Vézère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), prairies (18,3 %), terres arables (7 %), zones urbanisées (1,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour la Vézère — qui traverse la commune de l'est au sud-ouest — à Saint-Léon-sur-Vézère, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser les 400 mètres de part et d'autre du bourg, au niveau des lieux-dits Maison Rouge et les Grézals[20],[21].
Toponymie
Le nom de la commune se réfère à saint Léonce et à la Vézère, important affluent de la Dordogne et rivière qui arrose le territoire communal[22].
Ses habitants se nomment les Saint-Léonais[23].
En occitan, la commune porte le nom de Sent Lèon de Vesera[24].
Histoire
Préhistoire
Au lieu-dit Belcayre à environ 1,2 km au nord-est de Saint-Léon, près du château de Belcayre, en limite de Thonac au nord-est et Sergeac à l’est[25], le long de la Vézère, se trouvent quatre gisements paléolithiques[26]. D'amont vers l'aval :
- un gisement magdalénien pratiquement à l'aplomb du château de Belcayre - Delage l’appelle « le lieu inondé »[26] ;
- un abri effondré avec trois niveaux : moustérien, aurignacien et magdalénien : « l'abri de la Métairie »[26] ;
- un petit abri détruit par une très ancienne carrière et par la création d'un petit chemin passant au-dessus de la métairie[26] ;
- un gisement aurignacien, « l'abri de la gravure du Renne », dans une zone d'éboulis 150 mètres en aval[26].
Ces abris ont été découverts vers 1872-1874 par Alain Reverdit. Ses collections dispersées se retrouvent au British Museum (une vingtaine de lames en feuilles, dont deux du Solutréen I), au musée d'Art et d'Archéologie du Périgord (Périgueux ; deux fragments de « feuilles de laurier »[27] et un tronçon de flèche à cran[28]). L'abbé Landesque a fouillé pendant quelques jours vers 1900 l'abri de la Métairie, mais n'a laissé aucun écrit à ce sujet[28].
Dans le prolongement de Belcayre, l'abri de la Rochette, classé monument historique en 1932[29], a livré du Moustérien, du Châtelperronien et de l'Aurignacien[30],[31]. Une des pièces de vestiges humains trouvés par Otto Hauser en 1910 a été datée (datation absolue SMA) au Gravettien supérieur[32].
Époque gallo-romaine
Le lieu a connu une implantation gallo-romaine[22].
Moyen Âge
Un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Sarlat s'installe sur le territoire communal actuel au XIIe siècle[22].
La première mention écrite connue du lieu remonte au XIIIe siècle sous la forme Sanctus Leontius[22]. C'est de cette époque que date le château de Chaban, détruit au XIVe siècle et reconstruit lors des deux siècles suivants[33].
Époque moderne
Le manoir de la Salle, est construit au XVe siècle[34] et le château de Clérans au XVIe siècle[22]. Le château de Belcayre[25] daterait du XVe siècle[26].
Époque contemporaine
Le , la 111e division blindée allemande, en route vers la Normandie, abat un résistant à Saint-Léon-sur-Vézère et y fusille deux autres personnes[35].
De jeunes résistants Francs-tireurs et partisans, seront formés au maniement des armes et explosifs par des instructeurs républicains à Saint-Léon sur-Vézère, à l’Espicerie et à Combareytier. Francisco Coy dit Pistolete était l’un d’eux, un officier républicain espagnol gradé qui a grandement aidé les maquisards à la libération des territoires occupés[36].
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[37],[38].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Léon-sur-Vézère relève[42] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[43].
Population et société
Démographie
Les habitants de Saint-Léon-sur-Vézère se nomment les Saint-Léonnais[44].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].
En 2018, la commune comptait 421 habitants[Note 5], en diminution de 1,86 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
En 2013, Saint-Léon-sur-Vézère est organisée en regroupement pédagogique intercommunal[49] (RPI) avec les communes de Peyzac-le-Moustier et Plazac au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune se charge des classes de maternelle et le cours préparatoire. Les classes de cours élémentaire et de cours moyen ont lieu à Plazac.
Manifestations culturelles et festivités
Depuis 1983, l’église accueille plusieurs concerts du festival de musique du Périgord noir en août.
Depuis 2006, l'église accueille une ou deux représentations du Festival Più di Voce en Périgord, fin juillet ou début août.
Depuis 2001, la Rando Silex, randonnée en VTT, mais aussi pédestre, organisée par le club Vélo Silex[50], attire le premier dimanche d'octobre de nombreux concurrents (1 300 vététistes et 200 marcheurs en 2016 pour la 16e édition[51]).
Économie
Emploi
En 2015[52], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 185 personnes, soit 43,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-neuf) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,4 %.
Établissements
Au , la commune compte 90 établissements[53], dont cinquante-huit au niveau des commerces, transports ou services, quinze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, et quatre dans l'industrie[54].
Entreprises
Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, l' « Entreprise de travaux publics Estardier » (travaux de terrassement courants et travaux préparatoires), implantée à Saint-Léon-sur-Vézère, se classe en 44e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 719 k€[55].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Abris du Moustier, sites préhistoriques ayant donné leur nom au Moustérien
- Château de Chaban, XIIIe XVe et XVIe siècles, inscrit au titre des monuments historiques[33], visitable.
- Château de Clérans, XVIe siècle, au bord de la Vézère.
- Manoir de la Salle, XVe siècle, privé. Il est classé au titre des monuments historique pour ses façades et toitures depuis 1957 alors que le prieuré qui lui est attenant est inscrit depuis 1941[34].
- Église romane Saint-Léonce, XIIe siècle, couverte de lauzes, classée en 1942[56]. L'église[57] appartient à un prieuré bénédictin dont la plus ancienne mention date d'une bulle du pape Eugène III de 1153. Elle a été construite sur le site d'une villa gallo-romaine. Le prieuré dépend alors de l'abbaye de Sarlat. Le prieur Guillaume de Sendreux devient évêque de Sarlat en 1333. Pendant les guerres de religion les protestants s'installent dans l'église. Ils sont chassés par Jean de Losse, seigneur du lieu. L'église, ébranlée par une crue en 1961, a été restaurée par l'architecte Yves-Marie Froidevaux. L'église a un plan de croix latine avec abside et absidioles voûtées en cul-de-four à chaque croisillon du transept. La nef est charpentée. Les recherches archéologiques faites en 1961 et 1962 à l'occasion de la campagne de restauration de l'église ont mis au jour des murs de constructions romaines sous l'église[58].
- Cimetière avec chapelle du XIVe siècle, enclos et enfeus du XIIIe siècle, classé en 1942[59].
- Trois gisements préhistoriques remarquables : Sous le Roc, classé en 1912[60], le Moustier, classé en 1932[61], et la Rochette, également classé en 1932[62],[63].
- Parc du Conquil[64] avec site troglodytique, reproduction de dinosaures à taille réelle et parcours accorobranche[65].
- Panorama de la Côte de Jor.
- Centre bouddhiste Dhagpo Kagyu Ling[66], créé en 1975[67].
- Le manoir et la tour de la Vermondie, limitrophes de Saint-Léon-sur-Vézère, se trouvent sur la commune de Thonac
Personnalités liées à la commune
- Patrick Carré, sinologue et tibétologue, traducteur, essayiste et écrivain français.
- Jacques Chaban-Delmas (1915-2000) : c’est à Saint-Léon-sur-Vézère en 1943 que cet homme d'État, a été inspiré pour son nom de résistant, « Chaban », parce que, a-t-il confié dans « Mémoires pour demain », se promenant à travers la campagne, il avait identifié au départ d'un chemin un écriteau « Château de Chaban ».
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
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- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 339.
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- Jacques Coupry, « Aquitaine : Saint-Léon-sur-Vézère », dans Gallia, 1963, t. 21, fasc. 2, p. 525, 1969, t. 27, fasc. 2, p. 364-365
- « Cimetière », notice no PA00082859, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 mars 2011.
- « Gisement sous le Roc », notice no PA00082861, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 mars 2011.
- « Gisement préhistorique du Moustier », notice no PA00082862, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 mars 2011.
- « Gisement préhistorique de La Rochette », notice no PA00082863, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 mars 2011.
- Henri Delporte, « Le gisement paléolithique de La Rochette (commune de Saint-Léon-sur-Vézère, Dordogne) », dans Gallia Préhistoire, 1962, t. 5, fasc. 1, p. 1-22 (lire en ligne)
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- Union bouddhiste de France, consultée le 24 mai 2011.
- Thierry Dumas, « Le centre bouddhiste fête ses 40 ans », Sud Ouest édition Dordogne, 7 avril 2015, p. 11.
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