Saint-Guyomard

Saint-Guyomard [sɛ̃gijomaʁ] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Saint-Guyomard

Mairie de Saint-Guyomard.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Maurice Braud
2020-2026
Code postal 56460
Code commune 56219
Démographie
Gentilé Guyomardais, Guyomardaise
Population
municipale
1 367 hab. (2018 )
Densité 69 hab./km2
Population
agglomération
16 453 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 46′ 54″ nord, 2° 30′ 45″ ouest
Altitude 96 m
Min. 20 m
Max. 108 m
Superficie 19,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Guyomard
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Saint-Guyomard
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Guyomard
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Guyomard
Liens
Site web http://www.saint-guyomard.fr/accueil_saint_guyomard

    Géographie

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    Communes limitrophes de Saint-Guyomard
    Serent
    Trédion Bohal
    Le Cours Molac

    Saint-Guyomard est située dans le Morbihan, entre Vannes (au sud) et Ploërmel (au nord) à km de Malestroit. Elle est située au cœur des « Landes de Lanvaux », largement boisées aujourd'hui autour de Trédion. Elle est séparée de Sérent dont elle fut longtemps une trève par la pittoresque vallée de la Claie, qui avec l'Arz (au sud mais ne coulant pas en Saint-Guyomard) est une des principales rivières des landes de Lanvaux, bordées à l'est par l'Oust dont elles sont tributaires, et qui les entaillent profondément.

    Le point le plus bas est à 20 m d'altitude, le plus haut à 107 m. La commune présente un paysage varié et vallonné de bocages, de forêts (forêt de Molac au sud, bois de Brignac et bois de Lanvaux au nord-ouest...) et de landes résiduelles. La majeure partie de la commune est un plateau relevé entaillé du nord au sud par des ruisseaux tributaires de la Claie : ruisseaux du Grand Breuil, du Glouby, etc.).

    Une particularité de la commune est la « grotte aux Loups » près de Lézonnais.

    La forêt de Molac au sud de la commune présente la singularité d'être une des grandes forêts privées de Bretagne avec 1 500 ha.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 883 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lizio », sur la commune de Lizio, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 984,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,3 °C pour 1981-2010[11] à 12,4 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Guyomard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 3,3 % 66
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 21,6 % 428
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 12,9 % 255
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 28,0 % 555
    Forêts de feuillus 7,5 % 148
    Forêts de conifères 17,1 % 339
    Forêts mélangées 9,5% 189
    Source : Corine Land Cover[18]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Dyomar en 1542 ou 1546[19],[20]. Les curés en écrivaient le nom, Saint-Dyomart, tradition qui s'est poursuivie jusqu'en 1726.

    Saint-Guyomard est ainsi nommée d'après le nom de personne Guyomard, forme francisée du breton Guyomarc'h[21]. Les patronymes Guyomard, Guiomar, Guyomarc'h, Guyonvarc'h (forme mutée : mutation adoucissante m > v), etc. sont fréquents en Bretagne[22]. C'est également le prénom hériditaire des vicomtes de Léon sous la forme Guyomarch.

    L'anthroponyme Guyomarc'h, forme mutée Guyonvarc'h, représente le composé breton uuiu (forme mutée guiu) ho marc'h « digne [d'avoir un] bon cheval »[23],[24].

    Saint-Guyomard est un démembrement de la paroisse de Sérent qui possédait jadis trois trèves (Le Roc, Lizio et donc, Saint-Guyomard). Dès 1542, cette trève était aussi appelée Saint-Maurice.

    La forme bretonne correcte est Sant-Gwioñvarc'h[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 23 mai 2020 Robert Emeraud    
    23 mai 2020 En cours Maurice Braud[26]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

    En 2018, la commune comptait 1 367 habitants[Note 6], en augmentation de 7,47 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    730736754768747726709774920
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    768759756722770831893902935
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    901933921885878872917929873
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    8487707177797928109761 0001 023
    2013 2018 - - - - - - -
    1 2721 367-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

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    • Le château de Brignac (XVe-XVIe siècle) :

    Surplombant les méandres de la rivière Claie, il est le siège d'une ancienne seigneurie ayant appartenu successivement aux familles Brignac (XVe siècle), Papin (1573), Kerguézec, Quistinic (1642), Rosmadec, Talhouët (1697), Montgermont (1831) et Neuchèze (1930).
    Pierre de Brignac, premier propriétaire de la seigneurie, était un fidèle du duc François II et de la duchesse Anne. De ses séjours à Amboise ou à Blois lui vint l’envie d’égayer le vieux castel de ses aïeux. En signe de prérogatives seigneuriales, il ajouta au corps de logis une tour-donjon qui hésite toujours entre les préoccupations défensives et celles de l’agrément et confort propres à la Renaissance. Elle est dotée d'un escalier à vis desservant les différents étages et porte l'inscription « Fait par P. de Brignac et Péronnelle de Robien, l'an 1509 ». Un second corps de logis de plan carré a été construit à l’arrière de la tour, ouvrant à chaque niveau l’espace d’un véritable appartement. La seigneurie de Brignac passe ensuite à François de Kerguézec en 1642 puis à Marguerite de Quistinic, et enfin aux Guillemet (vers 1668). À la fin du XVIIe siècle, Sébastien de Rosmadec, maître du lieu et déjà propriétaire de Bohurel à Sérent et de la Cour de Bovrel, vend sa seigneurie en 1697 à la famille de Talhouët. Le château, passant ainsi de mains en mains, se voit ajouter une aile perpendiculaire sur façade. Six fenêtres encadrées de moulures et couronnées d'une accolade à chou et à crosses s'étagent toujours au-dessus de sa belle porte en anse de panier (1509).

    • La Cour de Bovrel :

    Ce château ou Cour de Bovrel (XVe-XVIe siècle) était le siège de la seigneurie du Bovrel ou Botvrel, ayant autrefois droit de haute, moyenne et basse justice. Le domaine a été propriété successive des familles Comenan, Rosmadec (1500) et Ollivier (1681). Lors de la Réformation de 1536, la seigneurie est passée aux familles de Quistinic puis, par alliance, Rosmadec. En 1681, Anne de Goulaine cède sa seigneurie de Bovrel à Sébastien de L'Ollivier dont l’une des descendantes, Marie Philippe de Lollivier de Saint-Maur, sera décapitée à Paris en . Après la Révolution, le domaine, passant aux mains des familles Trégouet, Gousset, Le Brusq, voit la naissance de l'écrivain Joseph Marie Loaisel de Tréogate (1752-1812). À partir des années 1970, le lieu deviendra un foyer culturel d'Art et d'Artisanat. Sa belle porte est couronnée d'une accolade à crochet et de part et d'autre, de hauts pinacles sculptés. Le portail en anse de panier est fermé par une porte en fer forgé : à son sommet trône un blason.

    • La chapelle Saint-Maurice[31] :

    Cette petite chapelle porte le nom de Saint-Maurice en hommage au saint patron du village qui lui-même répond indifféremment aux deux appellations (Saint-Guyomard, officiellement ou Saint-Maurice, affectivement).
    C’est au IIIe siècle de notre ère que, Saint-Maurice se trouvant parmi les soldats venus d'Orient prêter main-forte à l'empereur romain Maximien en difficulté en Valais (Saint-Maurice (Valais)), il refusa de sacrifier aux idoles et de persécuter les chrétiens. Un tel manquement lui valut d’être mis à mort avec ses compagnons en 302 ; voir Eucher de Lyon. Ce soldat, ce martyr décapité est représenté sous les traits d'un homme blanc dans la plupart des pays d'Europe alors qu'en vérité il s'agissait d'un égyptien de couleur noire comme le montre encore aujourd'hui la cathédrale de Magdebourg, en Allemagne.
    Le petit bâtiment érigé au XVe siècle a succédé à un sanctuaire primitif, lui-même bâti sur un autel païen comme en témoignent le menhir couché (pierre de chevet) et la fontaine de dévotion toute proche. L'intérieur de la chapelle date de 1777.

    Mais cette attribution de la chapelle Saint-Maurice à saint Maurice d'Agaune, reprise par de nombreux auteurs et sites Internet, est probablement une confusion. En fait, la chapelle est dédiée à saint Maurice de Carnoët comme l'affirme Albert Le Grand dans sa "Vie des Saints"[32].

    Hors sa porte en plein cintre, les statues polychromes de saint Guyomard et de saint Maurice (XVIIIe siècle) ou le vitrail représentant le même saint patron, cet édifice rectangulaire est sans grand caractère. Depuis le XIXe siècle, les travaux d’entretien y vont bon train : voûte et enduit des murs, réfection des faces Sud et Nord et, en 1980, remplacement du vitrail brisé.
    Dûment consacrée mais sans autre utilisation qu’un pardon annuel, la chapelle Saint-Maurice est aujourd’hui l’une des onze stations estivales du parcours Arts Capella mêlant (gratuitement) découverte du patrimoine et art contemporain au cœur-même des Landes de Lanvaux.

    • La Fontaine
    • Le Menhir de Coennely
    • L'église Saint-Guyomard

    Personnalités liées à la commune

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    • Joseph Marie Loaisel de Tréogate, fils de Anne-Marie de la Cour (inhumée au cimetière de Saint-Guyomard en 1762) et de Vincent Joseph Loaisel (inhumé en 1769, à Malestroit), il est né en 1752 au manoir de Bovrel, (Saint-Guyomard, Morbihan) où il a passé son enfance et pris le goût de la nature. Il a écrit nombre de romans et de pièces de théâtre : Florello (1776) considéré comme une possible préfiguration des romans américains d'un autre Breton : François René de Chateaubriand ; La Comtesse d'Alibre (1779) ; Dolbreuse (1783) où sont contés les remords d'un jeune officier ; Ainsi finissent les grands amours (1788), un titre programme : l’amour, donc, et même l'amour épistolaire : le récit se déroulant à travers les seules lettres du chevalier, adressées à un confident ou à la femme aimée ; Le Château du diable (1793) ; Lucile de Milcourt, ou le cri du sentiment (1794), etc. Ces œuvres sombres, bucoliques et préromantiques aux héros passionnés et tourmentés font montre assez fréquemment d’allusions géographiques instaurant un lien étroit entre personnages et romancier. Mention locale à la « rivière d’Aoust traversant Malestroit », au château de Dolbreuse qui rappelle clairement les tours de Largoët à Elven, sans compter les fontaines, ruisseaux, bois sombres et autres « berceaux de chèvrefeuille » qui implantent sans nulle équivoque leur auteur. Rallié à la Révolution, il devient auteur dramatique et se voit pensionné comme tel par la Convention. Il entre ensuite dans l’administration des postes et continue d’écrire pour le théâtre. À sa mort, à Paris, en 1812, il laissera 17 pièces. Extrait de Ainsi finissent les grandes passions : « Je fus élevé dans une maison de paix ; j’avois le meilleur des pères. J’eus aussi une mère tendre et une sœur chérie ; ils sont morts... je n’ai plus que des cendres à visiter et des larmes à répandre dans le lieu de ma naissance : je possédois aussi un petit manoir au milieu des champs, un petit bois, un petit verger. Ces biens touchans, ces jours si doux sont perdus pour moi; ils n’existent plus que dans ma mémoire, qui se perdra bientôt elle-même dans l’abîme du tems. Mes bons parens, et leur fille et leur malheureux fils, seront oubliés sur la terre... personne ne se souviendra de nous... ».
    • François Louis Barthélémy Dufresche, comte de la Villorion, né le à Cournon 56, après de brillantes études au séminaire des Trente-Trois de Paris, il est licencié en droit canon et civil à la Sorbonne. Après des études théologiques, il devient prêtre de la Compagnie de Jésus. Prieur de Saint-Guyomard. Il revient à Paris pour être enseignant au séminaire des Trente-Trois. Conseiller au Parlement de Paris, des missions lui sont confiées auprès de Saint-Père à Rome. Fait chevalier de l'Éperon d'Or ou de la Milice Dorée, pour services rendus au Vatican, par le pape Pie VII, qui le fait comte Palatin. Nommé directeur de l'hôpital des Incurables de Paris, qui deviendra par la suite, l'hôpital Laennec. Mort en 1827.
    • Michel Hoëllard est né en 1952 à Paris de parents émigrés originaires de Launay-Bijus, Saint-Guyomard. Il a d'abord écrit pour des revues littéraires. Rédacteur en chef de la défunte revue culturelle et littéraire en ligne Arsnumero dont l'accroche, Tout le monde ne peut pas lire Arsnumero, donnait assez le ton, il est également l'auteur de romans et de nouvelles publiés en France et en Italie (en français et en italien).

    Les recteurs de la paroisse

    Nom Prénom Fonction Début de mandat Fin de mandat
    LE CADRE Sylvestre Sub-curé 1602 1623
    VAILLANT Yves Sub-curé 1623 1626
    MAROT Julien Sub-curé 1626 1639
    DROUIN Jean Curé 1639 1672
    BOUEIFFOUX Anselme Curé 1673 1674
    BOUEIFFOUX Jean Curé 1674 1682
    BOUEIFFOUX Joseph Curé 1682 1687
    NAYL Guillaume Curé 1688 1689
    THEBAUD Julien Curé 1690 1699
    SENE Vincent Curé 1700 1709
    GUYMART Joseph Curé 1709 1728
    VALY Pierre François Curé 1730 1732
    FAUCHEUX Yves Curé 1733 1734
    PUISSANT Mathurin Curé 1734 1775
    DREAN Mathurin Jean Curé 1775 1779
    BRIEND Noël Curé 1779 1792
    THOMOUX Melaine Recteur 1802 1816
    FORDOS René Joseph Recteur 1816 1817
    DUFRESCHE François Recteur 1817 1827
    JOUBART François Recteur 1828 1851
    Spectacle équestre à la fête du cheval de Saint-Guyomard 2016

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la croix tréflée d'argent cantonnée en chef de deux corbeaux affrontés de sable; au chef palé d'argent et d'azur, chaque pal d'argent chargé d'une moucheture d'hermine de sable.
    Détails

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Lizio - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Guyomard et Lizio », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Lizio - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Guyomard et Séné », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Vannes-Séné - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    19. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 604a.
    20. Site de KerOfis : Saint-Guyomard
    21. ibidem
    22. Hervé Abalain, Noms de famille bretons, Editions Jean-Paul Gisserot, 2000, p. 20 (lire en ligne)
    23. Albert Dauzat (préface de Marie-Thérèse Morlet), Noms et prénoms de France, éditions Larousse 1980, p. 316b.
    24. Hervé Abalain, op. cit.
    25. KerOfis, ibidem
    26. « Municipales à Saint-Guyomard. Trois adjoints élus pour épauler le maire Maurice Braud », sur Ouest-France, (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. http://fr.topic-topos.com/chapelle-saint-maurice-saint-guyomard
    32. Albert Le Grand,... ; revu et corrigé par messire Guy Autret, Les vies des saints de la Bretagne Armorique : ensemble un ample catalogue chronologique et historique des evesques d'icelle... et le catalogue de la plupart des abbés, blazons de leurs armes et autres curieuses recherches..., 5e édition, J. Salaün, Quimper, 1901, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5038760/f512.image.r=Clohars-Fouesnant.langFR

    Voir aussi

    Liens externes

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