Saint-Céneri-le-Gérei

Saint-Céneri-le-Gérei est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 117 habitants[Note 1].

Saint-Céneri-le-Gérei

Le pont sur la Sarthe.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité Communauté urbaine d'Alençon
Maire
Mandat
Richard Marquet
2020-2026
Code postal 61250
Code commune 61372
Démographie
Gentilé Girois
Population
municipale
117 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 48″ nord, 0° 03′ 10″ ouest
Altitude Min. 115 m
Max. 193 m
Superficie 3,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Damigny
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Saint-Céneri-le-Gérei
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Saint-Céneri-le-Gérei
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Saint-Céneri-le-Gérei
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Saint-Céneri-le-Gérei
Liens
Site web www.saintceneri.org

    Géographie

    Localisation

    Saint-Céneri représente un bastion avancé de la Normandie aux confins des départements de l’Orne, de la Sarthe et de la Mayenne.

    Géologie et relief

    Dans un méandre de la Sarthe qui arrive d’Alençon et s’écoule vers Le Mans, Saint-Céneri est hissée sur un piton rocheux granitique et irrégulier. Les maisons à l’est surplombent la Sarthe alors qu’elles se superposent en terrasse sur le flanc ouest.

    À une dizaine de kilomètres au sud-ouest d’Alençon, Saint-Céneri se trouve au nord-est des Alpes mancelles[1], dans le parc naturel régional Normandie-Maine.

    Sismicité

    La commune est classée en zone 2 "risque faible"[2].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Vue de Saint-Céneri-le-Gérei.

    Le pont en pierre surplombe une boucle de la Sarthe[3].

    Un Schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) du bassin versant de la Sarthe-Amont a été mis au point[4].

    La fontaine miraculeuse[5],[6]. La source est alimentée par l’eau qui circule dans le réseau de fractures de la granodiorite du versant escarpé en rive gauche de la boucle de la Sarthe[7].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 774 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946[14] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,9 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[18].

    Voies routières

    Saint-Céneri-le-Gérei est reliée à la ville voisine d’Alençon, chef-lieu du département, par la route départementale 101.

    Transports en commun

    La commune est desservie par le réseau de bus Alto[19]. Ce réseau fait partie des Transports urbains de la communauté urbaine d'Alençon. Saint-Céneri-le-Géreï fait partie des lignes Iténéo 4 et Iténéo Access[20].

    Urbanisme

    La commune est partie prenante du Plan local d'urbanisme Intercommunal de la Communauté urbaine d'Alençon. En effet, par délibération du , la Communauté Urbaine d’Alençon (CUA) a prescrit l'élaboration du Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUI) sur la totalité de son territoire qui comprend 36 Communes, incluant Saint-Céneri-le-Gérei[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Céneri-le-Gérei est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,2 %), terres arables (39,8 %), forêts (11 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme S. Serenicus en 1050[29].

    Le lieu prit le nom de saint Céneri, né entre 620 et 625 à Spolète, en Italie et mort vers 669, un religieux du VIIe siècle, évangélisateur de la Normandie, un ermite qui fonda un monastère et une chapelle dans le village.

    Le déterminant complémentaire -le-Gérei fait référence à la famille Gérei[30], autrement dit la famille Giroie. Gérei ou Girei est la forme de l'Ouest, transcrite par Giroie en français.

    Le nom de la commune était autrefois écrit Saint Cénery le Gérey, mais le conseil général de l'Orne a fait simplifier la graphie usuelle des toponymes, dont le graphe -y noté par le simple -i en finale des noms propres, contrairement à l'usage général du français pour les noms propres (sauf Henri).

    Le gentilé est Girois[31].

    Histoire

    Un ermite italien Céneri, de son nom latin Serenicus (ou Senericus), a vécu à Saint-Céneri-le-Gérei au VIIe siècle. Il finit par accepter des disciples et, à sa mort, un monastère restera en construction avec une église dédiée à saint Martin de Tours. Ce monastère fut détruit par les Vikings en 903. L'église restera une dépendance de l’abbaye de Saint-Évroult.

    Historique du château.

    Le village de Saint-Céneri-le-Gérei a été établi une première fois en 1044. Son fondateur, Guillaume Giroie, a construit un château dont seuls demeurent, à l’époque actuelle, des pans de murs. Le château de Saint-Céneri-le-Gérei fut assiégé par Guillaume le Conquérant en 1060 avant d'être pris par Robert Courteheuse en 1088. Pendant la guerre de Cent Ans, Ambroise de Loré parvint à défendre la forteresse jusqu’à sa mort en 1436. Celle-ci fut assiégée par John Fastolf.[32]

    Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de L'Isle-sur-Sarthe[33].

    Depuis le XIXe siècle, la beauté de l’endroit a stimulé l’inspiration de beaucoup d’artistes qu’elle a attirés[34]. Le village a même son propre festival qui célèbre tous les ans les peintres qui sont venus ou ont vécu à Saint-Céneri-le-Gérei. Classé dans « les Plus Beaux Villages de France », il attire actuellement beaucoup de touristes.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1946 1953 Auguste-Jean Claire   Artiste peintre
    années 1970 juin 1995 Jacques Hébert SE Éleveur
    juin 1995 mars 2014 Kenneth Tatham NC Chef d'entreprise
    mars 2014[35] octobre 2017[36] Florence Mauny Uhl SE Architecte
    décembre 2017[37] En cours Richard  Marquet  SE Technicien de méthodes en maintenance
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2016

    En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[38] :

    • total des produits de fonctionnement : 87 000 , soit 682  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 78 000 , soit 606  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 30 000 , soit 236  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 12 000 , soit 94  par habitant.
    • endettement : 6 000 , soit 50  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 8,87 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 5,95 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,00 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 402 [39].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

    En 2018, la commune comptait 117 habitants[Note 7], en diminution de 2,5 % par rapport à 2013 (Orne : −2,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    310261388283343308298318348
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    333332304321274260262242229
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    203195171152157160148144140
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    121122136152122140126121117
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune relève de l'Académie de Caen.

    Les établissements d'enseignement les plus proches sont[44] :

    • Écoles maternelles et primaires à Moulins-le-Carbonnel,
    • Collèges à Moulins-le-Carbonnel,
    • Lycées à Alençon.

    Santé

    Les professionnels et établissements de santé :

    Cultes

    • La paroisse St Pierre au pays d'Alençon comporte 3 relais et 17 clochers. Le relais de Saint Denis d'Écouves comporte la commune de Saint-Céneri-le-Gérei[48],[49].

    Économie

    Agriculture

    • Cultivateurs et éleveurs[50].
    • La Confrérie des Fins Goustiers du Haut-Maine et Pail[51] tient depuis 2012 un stand au marché champêtre de Saint-Céneri-le-Gérei[52].

    Tourisme

    L’économie de Saint-Céneri-le-Gérei, en raison de son environnement pittoresque et calme, repose essentiellement sur le tourisme.

    • Base de pleine nature sur les bords de la Sarthe : Aire de camping[53].
    • Maisons d'hôtes et chambres meublées[54].
    • L'auberge des peintres[55].
    • Circuits de randonnées[56].
    • Aire de stationnement provisoire[57].

    Commerces-Artisanat

    • Restauration de meubles anciens[58] et objets d’art, Restauration de tableaux et objets en bois dorés[59].

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux :

    • Église Saint-Céneri, romane, du XIe siècle, classée monument historique[60],[61] avec ses peintures monumentales du XIVe siècle[62] et son chemin de croix, œuvre du sculpteur girois Malezieux[63].
    • Chapelle du XVe siècle[64] et la fontaine miraculeuse sur la rive opposée, face à la chapelle dite du Petit-Saint-Céneri, qui fut peinte par René Veillon en 1887, Gauthier en 1923, Bernard Buffet en 1976 et André Paly.
    • Le presbytère.
    • Les sarcophages mérovingiens.

    Patrimoine civil :

    • Ruines d'un château fort construit en 1049 par Geoffroy de Mayenne[65].
    • Le pont de Saint-Céneri sur la D 101.
    • Ancien hôtel Legangeux, devenu auberge des Peintres[66].
    • L’auberge Moisy[67].
    • L'ancienne épicerie Péronne.
    • L'auberge de la Vallée.
    • La maison en pierre de l'ancien maire Jean Jacquenot (1905-1977).
    • Le chemin des Gaulois, le moulin de Trotté, la pierre Bécue[68].

    Patrimoine naturel :

    Activité, labels et manifestations

    Saint-Céneri-le-Gérei est un des plus beaux villages de France[70]. Un reportage de l'émission de France 2[71] y a été réalisé par Stéphane Bern[72].

    Personnalités liées à la commune

    À Paul Saïn, aux peintres de St Céneri.

    Saint Céneri-le-Gérei, Barbizon des Alpes Mancelles[73],[74] :

    Héraldique

    Blason
    D'argent à la fasce d'azur.[75]
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Le territoire "Alpes Mancelles"
    2. Informations sur les risques naturels et technologiques
    3. Découverte et points d'intérêt
    4. Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux du bassin versant de la Sarthe-Amont, pp. 20 (B–Les activités humaines et le contexte socio-économique : Le tourisme)-32 (L’hydromorphologie des cours d’eau) et 37 (Barrage du pont)-98-103 (Annexe n°5 : Liste des communes du SAGE Sarthe Amont comprises dans les périmètres des Parcs Naturels Régionaux (PNR)
    5. Il était une fois... la fontaine miraculeuse
    6. La fontaine miraculeuse
    7. Alpes mancelles (Orne et Sarthe) Aquifères et Ressources en eau
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station météofrance Alençon - Valframbert - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Saint-Céneri-le-Gérei et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. Plans et Horaires des lignes de bus
    20. 24 lignes d’autocars régulières à disposition avec le réseau Cap’Orne
    21. Plan Local d’Urbanisme Intercommunal de la Communauté Urbaine d’Alençon
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Alençon », sur insee.fr (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 738 p. (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 590b.
    30. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 218a
    31. « Les Girois ont créé un superbe costume de lumière », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « siège du château de saint-Céneri », sur archives-lamayenne.fr (consulté le ).
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Céneri-le-Gérei », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    34. Grâce à Auguste Poulet-Malassis (éditeur alenconnais de Charles Baudelaire) et ses amis écrivains, poètes, musiciens et peintres
    35. « Florence Mauny-Uhl élue maire dans une ambiance conviviale », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    36. « Saint-Céneri-le-Gérei. Le maire Florence Mauny-Uhl démissionne », sur actu.fr, L'Orne Hebdo (consulté le ).
    37. « Richard  Marquet  maire  d’un  des  Plus  beaux  villages », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    38. Les comptes de la commune
    39. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    44. Les établissements d'enseignement les plus proches
    45. Médecins proches du village
    46. Centre Hospitalier intercommunal Alençon-Mamers
    47. Professionnels et établissements de santé
    48. La paroisse St Pierre au pays d'Alençon
    49. Diocèse de Séez
    50. Cultivateurs et éleveurs
    51. La Confrérie des Fins Goustiers du Haut-Maine et Pail
    52. Lesactions de la Confrérie particulièrement centrées sur le cidre, le poiré et leurs produits dérivés
    53. Aire naturelle base de plein nature
    54. Hébergement
    55. L'auberge des peintres
    56. Les méandres de la Sarthe : Randonnée pédestre les Alpes Mancelles
    57. Aire de stationnement temporaire
    58. L’atelier d’Amélie
    59. Tableaux, bois dorés et polychromes
    60. « Eglise », notice no PA00110910, base Mérimée, ministère français de la Culture : classement par arrêté du 12 juillet 1886.
    61. Intérieur de l’église de Saint Ceneri
    62. Notice no PM61000794, base Palissy, ministère français de la Culture peintures monumentales
    63. Journal de Denis Chautard, Prêtre de la Mission de France, Membre de l'Association d'Entraide aux Migrants de Vernon et Aumônier de la Communauté Chrétienne des Policiers d'Île-de-France]. Diocèse d'Evreux Mission de France
    64. « Chapelle de Saint-Ceneri », notice no PA00110909, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    65. Le château
    66. « Ancien hôtel Legangeux, devenu Auberge des Peintres », notice no PA61000029, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    67. « Ancienne auberge de Moisy », notice no PA61000030, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    68. le Chemin des gaulois (un morceau du GR36)
    69. Le Mont des Avaloirs
    70. Saint-Céneri-le-Gérei
    71. France 2 lance l'édition 2015 du "Village préféré des Français". Les internautes sont invités à choisir parmi 22 communes françaises. C'est le village ornais Saint Céneri-le-Gérei qui a été retenu pour défendre les couleurs de la Basse-Normandie.
    72. Émission de Stéphane Bern
    73. Saint Céneri-le-Gérei, Barbizon des Alpes Mancelles
    74. Les rencontres des peintres, une belle histoire...
    75. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=18574
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