Société des transports intercommunaux de Bruxelles

La Société des transports intercommunaux de Bruxelles généralement abrégée STIB, en néerlandais Maatschappij voor het Intercommunaal Vervoer te Brussel (MIVB), est un organisme d’intérêt public bruxellois de transport public.

Société des transports intercommunaux de Bruxelles

Création [1]
Forme juridique Société anonyme de droit public (d)
Slogan « C'est nous tous »[2]
Siège social Bruxelles
 Belgique
Direction Brieuc de Meeûs d'Argenteuil
Actionnaires Région de Bruxelles-Capitale
Activité Transport public
Produits Autobus, Métro, Tramway
Filiales Citeo
Effectif 9 512 personnes (2019)
BCE 0247499953
Site web www.stib.brussels

Fonds propres 45 488 281,60  en (2014)
Dette 81 450 242,10  (2014) 97 257 247,78  (2013)
Chiffre d'affaires 266 826 090,04  (2014)[3]
258 368 776,54  (2013)

Fondée en 1954, cette société est l’opérateur principal de transport public à Bruxelles. La STIB exploite aujourd’hui un réseau de 4 lignes de métro (39,9 km), 18 lignes de tramway (143 km) et 51 lignes d’autobus (360,9 km). Son réseau s’étend sur les 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale (161 km2) ainsi que 11 communes de la périphérie bruxelloise. La fréquentation du réseau est de 417,5 millions de voyageurs par an[3] (2018).

La STIB passe tous les cinq ans un contrat de gestion avec la Région de Bruxelles-Capitale pour fixer ses objectifs stratégiques (mission, production kilométrique, parts de marché) et déterminer le montant du subside.

Au niveau stratégique, la STIB est conseillère de la Région. Au niveau tactique (déterminer le réseau à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs) et opérationnel (exploitation, commercialisation), la STIB dispose d’une assez forte autonomie, la Région devant néanmoins marquer son accord pour les modifications du réseau.

La Société des transports intercommunaux de Bruxelles

Base légale

La STIB est créée, sous sa forme actuelle de société régionale, par l’Ordonnance du relative à l’organisation des transports en commun dans la Région de Bruxelles-Capitale. Les statuts de la société ont été approuvés par l’Arrêté de l’Exécutif de la Région de Bruxelles-Capitale du (paru au Moniteur belge le )[4].

De 1954 à 1990, les tramways bruxellois à voie normale, ainsi que les autobus complétant leur réseau, et à partir de 1976 le métro lourd, étaient déjà exploités par la STIB en tant que société intercommunale, d'où son nom, qu'elle a conservé par tradition (malgré l'abus de langage sous le nouveau régime) lorsqu'elle est devenue une société régionale.

Missions

La Société des transports intercommunaux de Bruxelles (STIB) est chargée d’exploiter le service public de transport en commun au sein de la Région de Bruxelles-Capitale.

Elle s’occupe de :

  • assurer le déplacement en transport public, selon des règles fixées par le contrat de gestion liant la STIB et la Région (« répondre aux besoins de déplacement des personnes physiques par un service de transport en commun de personnes et développer le recours à ce mode de déplacement ») ;
  • commercialiser ces services : vendre des titres de transport, gérer les recettes qui en découlent ;
  • gérer au mieux ses ressources financières : couvrir les besoins de financement par les ressources financières générées par son activité et celles prévues par la région ;
  • apporter ses compétences « transport » au Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale ;
  • adapter ses services et moyens aux évolutions de son environnement : attentes des clients, flux de déplacements, techniques… ;
  • réagir au vandalisme et lutter contre la fraude ;
  • assurer la coordination avec les autres sociétés de transport public (TEC, De Lijn) et les autres moyens de transport, ainsi que la prise en compte des groupes représentatifs des clients.

Le Conseil d'administration et la Direction générale[5]

  • Merlijn Erbuer, président du Conseil d’administration
  • Lotfi Mostefa, vice-président du Conseil d’administration
  • Brieuc de Meeûs, administrateur-directeur général
  • Tamara De Bruecker, directrice générale adjointe

Sur présentation des trois organisations syndicales représentatives du personnel de la Société des transports intercommunaux de Bruxelles, sont nommés administrateurs :

  • Omar Boujida (CGSP)
  • Christian Ecker (CGSLB)
  • Robert Timmermans (CSC)

Sont nommés administrateurs dans le rôle linguistique français :

  • Patrick Balcaen
  • Naima Belkhatir
  • Ismaël Ben Moha
  • Marie De Schrijver
  • Samir Mahla
  • Gisele Mbayoko
  • Lofti Mostefa
  • Joëlle Petit
  • Matthieu Pillois
  • Céline Vanderborght

Sont nommés administrateurs dans le rôle linguistique néerlandais :

  • Ibrahim El Ouakili
  • Merlijn Erbuer
  • Suzanne Hana
  • Saliha Raiss
  • N. (encore à désigner)

Accusation de fraude et emplois fictifs

En 2021, plusieurs personnalités politiques libérales accusent la société de fraude et exigent un audit approfondi de la société. la STIB estime le contraire, une plainte a été déposée auprès d’un juge d’instruction et la Stib se constitue partie civile[6],[7]. La notion d’emploi fictif étant dans ce cas le fait de bénéficier d’un emploi (contrat de travail, etc.), d’en toucher la rétribution afférente (salaires, etc.) sans pour autant effectuer les tâches que justifierait ce travail[8].

Identité visuelle

Longtemps caractérisée par des coloris jaunes et bleus, la STIB commence à renouveler de son identité visuelle en 2005 avec la livraison du premier T3000, un nouveau tram à plancher surbaissé. Ce nouveau véhicule dessiné par le designer Axel Enthoven entraîne un changement pour l’identité visuelle de la STIB qui, profitant de la livraison de ces 68 nouvelles motrices, opte pour des coloris métallisés gris-cuivre. La repeinture de la flotte débute en - conférence de presse exposant les premiers véhicules repeints au Heysel le - et s’achève en 2009.

L'ensemble de la communication est revue avec, notamment, l'utilisation d’une police de caractère spécifique à la STIB, la Brusseline, dessinée par Eric de Berranger et inspirée par sa grand sœur parisienne, la Parisine (elle dessinée pour la RATP par Jean-François Porchez). Cette nouvelle police est utilisée entre autres pour la signalétique métro, sur les plaques d’arrêts, sur les plans et imprimés édités par la STIB, sur les avis destinés aux voyageurs et sur les afficheurs de destination des nouveaux véhicules.

La STIB met également en place une nouvelle charte graphique pour ses imprimés destinés aux voyageurs. Ceux-ci sont surmontés d’un en-tête rouge courbé directement inspiré des courbes Art nouveau du T3000.

L'inspiration du renouveau de l’image de la STIB mélange volontairement des éléments formels retenus de l'Art nouveau comme étant emblématiques de Bruxelles[9][source insuffisante] et d'autres éléments formels dérivés du monde automobile actuel comme les couleurs métallisées et l'apparence des matières intérieures des véhicules. Ces choix prennent leur origine, entre autres, dans la campagne « Les voitures de demain »[10][source insuffisante] (1996) et sont amplifiés avec cette nouvelle image par Alain Flausch, directeur de la STIB de 2000 à 2011 et ancien publicitaire[11][source insuffisante].

Infrastructure

La STIB est actuellement le seul réseau belge de tramways et de métro à voie normale (1 435 mm), ce qui permet des raccordements industriels avec Infrabel, utilisés principalement pour la livraison des rames de métro. Les autres tramways et métros belges (aujourd'hui De LijnGand, à Anvers et à la côte), le TEC-Charleroi, et dans le passé SNCV, MIVG (Gand), MIVA (Anvers), STIC (Charleroi) et STIV (Verviers)) étaient ou sont à voie métrique. Seul l'ancien réseau de Liège Ancien tramway de Liège et Railways économiques de Liège-Seraing et extensions, devenus STIL en 1964 et bientôt le nouveau TEC-Liège était et sera également à voie normale. Dans le passé, certaines portions de ligne étaient communes à la STIB et à la SNCV avec une infrastructure à trois rails.

Les tramways de Bruxelles (pré-métro inclus) sont alimentés par caténaire à 600 V CC tandis que les lignes de métro sont alimentées par un troisième rail latéral surélevé à 900 V CC. Selon la géométrie des lieux, et entre autres en fonction de la présence d'aiguillages, le troisième rail peut indifféremment se trouver à gauche ou à droite de la voie.

Les dépôts

Dépôt de trams de Molenbeek.

Les dépôts suivants sont (ou vont bientôt être) en service. Les chiffres en regard de chaque dépôt indiquent les numéros d'indice visibles en noir sur blanc sur une petite plaque accrochée en haut de la vitre d'angle avant, à l'intérieur : par exemple, les trams du dépôt Avenue du Roi portent des indices allant de 100 à (en théorie) 199. (Comme ces indices s'entendent par ligne et qu'il n'y a jamais 100 véhicules d'un même dépôt sur une même ligne, en pratique ces numéros ne montent pas aussi haut.) Chaque couple ligne-indice correspond à un "service" ayant un horaire bien défini, de la sortie du dépôt jusqu'au retour au dépôt, sans tenir compte des éventuels remplacements de conducteur.

Bus

  • Marly [ 5.. ]
  • Petite-Île [ 6.. ]
  • Jacques Brel [ 7.. ]
  • Delta [ 8.. ]
  • Haren [ 9.. ]

Tramway

  • Saint-Gilles (Avenue du Roi) [ 1.. ]
  • Molenbeek (Rue d’Enghien) [ 2.. ]
  • Haren (Houtweg) [ 3.. ]
  • Ixelles (Avenue de l’Hippodrome) [ 4.. ]
  • Marconi (Chaussée de Ruisbroek) [ 5.. ]
  • Schaerbeek (Chaussée de Haecht) [ 6.. ]
  • Woluwe (Avenue de Tervueren) [ 7.. ]

Métro

  • Jacques Brel [ 3.. ]
  • Delta [ 9.. ]
  • Erasme [ 7.. ]
  • Haren (futur)

Réseaux

Généralités

La STIB, celle-ci possède trois réseaux distincts exploités en fonction du moment de la journée. Le réseau classique dit « de journée » qui regroupe l’ensemble des lignes de bus, trams et métros est exploité tous les jours de 5 h à 1 h. Dès cette dernière heure, le réseau de soirée prend la relève et ce jusqu’à passé minuit et ce du vendredi soir et samedi soir. Les divergences par rapport au réseau de journée sont faibles voire inexistantes pour la plupart des lignes ; c’est surtout la structure fondamentalement différente des lignes de trams desservant l’axe Nord-Sud qui a poussé l’exploitant à instaurer un réseau de soirée de façon à clarifier son offre dans l’esprit du voyageur, via la mise en place de lignes de tramways ne fonctionnant qu'à ce moment-là. Enfin, les nuits du vendredi au samedi et du samedi au dimanche, de 0 h 20 à 3 heures du matin, Noctis, le réseau nocturne, est exploité.

Le réseau de journée

L'ancienne ligne 22.

Ce réseau est exploité 7 jours sur 7 de 5 heures à 1 heures. Il regroupe l’ensemble des lignes de bus, trams et métros. Sa ligne directrice est basée sur les correspondances dites « non-pénalisantes ». Traversant, en sous-sol, l’hyper-centre de part en part, l’axe Nord-Sud est exclusivement exploité à l’aide des lignes 3 (Churchill - Esplanade) et 4 (Parking Stalle - Gare du Nord). Les autres lignes de trams qui autrefois traversaient également cet axe de part en part sont limitées aux extrémités de l’axe où les correspondances avec les lignes 3 et 4 sont possibles.

Le réseau de soirée

L’exploitation de celui-ci débute sur le coup des 20 heures. Bien que dans l’écrasante majorité des cas, les changements entre le réseau de journée et celui de soirée soient imperceptibles voire inexistants, les changements les plus visibles sont sur l'axe Nord-Sud, normalement desservi que par les lignes 3 et 4.

Noctis : le réseau nocturne

Depuis , de nouvelles lignes baptisées Noctis sont en circulation les nuits du vendredi au samedi et du samedi au dimanche, à raison d’un bus toutes les 20 ou 30 minutes de minuit jusqu’à environ 2 h 45 du matin, offrant la possibilité de sortir tard le soir sans avoir de problème pour rentrer chez soi, ni être contraint de prendre un taxi.


Réseau Bus

Citaro G sur la .

Bruxelles possède un réseau d'Autobus très vaste et dense de 50 lignes desservant l'ensemble de la Région de Bruxelles-Capitale ainsi qu'une dizaine de communes de Flandre. Outre le réseau de base, on retrouve des lignes ne circulant qu'en heures de pointe, des lignes ne circulant qu'en soirée et depuis le , un réseau de nuit nommé Noctis roulant les samedis et dimanches de minuit à 3 h.

Réseau Tramway

T4000 sur la ligne , actuelle ligne .

Bruxelles a aujourd’hui un réseau très vaste et dense (18 lignes), mais celui-ci va encore être étendu. Certaines lignes sont aménagées en prémétro grâce à des tunnels. Contrairement à Anvers, La Haye et Charleroi, les principales lignes de métro léger sont devenues des lignes de métro lourd.

Réseau Métro

M6 «BOA» sur la ligne Erasme .

Le métro de Bruxelles est l'un des nombreux moyens de transport en commun desservant la capitale de la Belgique. Il possède quatre lignes en site propre dont deux ayant un tronçon commun de 6,1 kilomètres[12]. Les lignes totalisent une grosse cinquantaine de kilomètres de voies, dont 37,5 km souterraines.[réf. souhaitée]

Informations statistiques

Vitesse commerciale constatée[3] :

  • Métro : 29,84 km/h
  • Tram : 16,9 km/h
  • Bus : 17,21 km/h

L’objectif est d’atteindre une vitesse moyenne de 20 km/h par l’augmentation du nombre de « sites propres », c’est-à-dire des bandes de circulation réservées aux véhicules de la STIB, soit marquées par un damier au sol, soit complètement isolées des voies de circulation destinées aux automobiles.

Numérotation des lignes du réseau

La numérotation des lignes du réseau de la STIB présente la particularité de ne pas distinguer le type de mode de transports en commun. En cela, Bruxelles se distingue d'autres villes européennes. Ainsi, pour prendre l'exemple de Paris, les lignes de la RATP numérotées de 1 à 18 désignent le métro, tandis que la numérotation des lignes de bus ne commence qu'à 20. Quant au tramway, il est numéroté de T1 à T10. Autre exemple : à Prague, les lignes de métro sont désignées par des lettres (A, B et C), les lignes de tramway par des numéros à 1 ou 2 chiffres (de 1 à 26 pour le réseau de jour, et de 50 à 59 pour le réseau de nuit), et les lignes de bus par des numéros à 3 chiffres (de 100 à 297 pour lignes urbaines de jour, de 301 à 398 pour les lignes suburbaines de jour, etc.).

Historiquement, cette numérotation commune est due au fait que dans les années soixante, de nombreuses lignes de tram (et l'unique ligne de trolleybus) sont devenues des lignes d'autobus sans changer de numéro pour autant. Depuis lors, certaines lignes ont disparu, d'autres ont été créées, parfois en reprenant le numéro d'une ligne supprimée ailleurs plusieurs années auparavant, mais l'habitude s'est conservée de ne pas séparer les trams et les bus dans la numérotation.

Les lignes du réseau de la STIB portant un numéro à un chiffre désignent soit une ligne de métro, soit une ligne de tramway « CHRONO » particulièrement fréquente et régulière. La plupart de ces lignes empruntent un tunnel du prémétro. Les lignes du réseau de nuit Noctis sont quant à elles numérotées de N04 à N18.

Matériel roulant

Un bus du réseau STIB.

Tarification

La STIB développe une large gamme de titres de transports utilisables en fonction de la fréquence des déplacements du client et de son âge.

Les principaux titres de transport sont les cartes de 1, 5 ou 10 voyages ainsi que la carte d’un jour. Un abonnement mensuel ou annuel existe, tant pour le réseau de la STIB seul que pour l’ensemble des réseaux de transport public (STIB, SNCB, TEC et De Lijn) dans la Région Bruxelloise. Les enfants de moins de 12 ans habitant la Région de Bruxelles-Capitale, ainsi que les personnes âgées de plus de 65 ans peuvent solliciter un abonnement gratuit. Des tarifs réduits sur les abonnements existent pour les 1218 ans, les 6065 ans, les personnes à faible revenu ainsi que les étudiants de moins de 25 ans.

De façon à inciter le voyageur à ne plus acquérir son titre de transport auprès du conducteur afin de favoriser la vitesse commerciale du véhicule, la STIB applique une surtaxe[13] sur les billets achetés à bord du véhicule.

Tarif en cours :

Nombre de voyages Temps maximal Prix : carte MOBIB jetable Prix par recharge : Carte MOBIB ou MOBIB BASIC
JUMP 1 voyage 1 unité d’une heure Tarif vendu hors véhicule : 2,10 
Tarif vendu dans le véhicule : 2,50 
2,10 
JUMP aller-retour 24 heures 4,20 
1 voyage aéroport 1 unité d'une heure Tarif vendu hors véhicule : 4,50 
Tarif vendu dans le véhicule : 6,00 
4,50 
JUMP 5 voyages 5 unités d’une heure 8,00 
JUMP 10 voyages 10 unités d’une heure 14,00 
10 voyages aéroport 10 unités d'une heure 32,50 
JUMP 24 heures 24 heures 7,50 
JUMP 48 heures 48 heures 14,00 
JUMP 72 heures 72 heures 18,00 

Les trois derniers tarifs sont forfaitaires et permettent un nombre illimité de voyages sur l’ensemble des réseaux métro, tram et bus durant un, deux ou trois services (de l'achat à la fin de service, par exemple de 10 heures du matin jusqu'à la fin de service et non pas jusqu'à 10 heures le lendemain). Il existe également différentes offres destinées aux touristes comme la « Brussels Card » qui combine les moyens de transport et les entrées de nombreux musées pour une durée déterminée. Le prix des abonnements sans réduction revient à 49  pour un mois et 499  pour un an[14] et permettent un nombre illimité de voyages sur l’ensemble du réseau (métro, tram et bus) pendant un mois ou une année. Il existe des réductions pour de nombreuses catégories de personnes, incluant notamment la gratuité totale pour les moins de 12 ans, les plus de 65 ans et les bénéficiaires du revenu d’intégration sociale[15],[16].

Les titres de transport peuvent être achetés à des bornes automatiques dénommées GO, situées aux entrées des stations ou aux principaux arrêts, ou auprès de vendeurs agréés (gares ferroviaires, grosses stations de métro, supermarchés, librairies…). Les abonnements nécessitent une photo.

Il existe aussi un abonnement dit MTB qui revient à 55,50  pour un mois et 583  pour un an et offrant l’usage illimité de tous les transports en commun sur le territoire de la Région Bruxelloise, toute entreprise publique de transport confondue, à savoir le métro, les trams et les bus de la STIB, les trains de la SNCB et les bus des sociétés TEC et De Lijn. Cet abonnement ne couvre pas l’usage de ces transports hors de la Région.

Références

  1. Source, sur le site de la STIB.
  2. "Dat zijn wij allemaal"
  3. Article du journal belge "Le soir" du 8 octobre 2016
  4. Ordonnance 22.11.1990[PDF].
  5. Source : Région de Bruxelles-Capitale / Organismes régionaux / STIB.
  6. « Soupçons d'emplois fictifs à la STIB : le MR demande un audit », sur BX1, (consulté le )
  7. La Libre.be, « Fraude aux badges à la Stib : l'entreprise publique s'est constituée partie civile », sur LaLibre.be, (consulté le )
  8. « Emplois fictifs: «les fraudeurs feront l’objet d’un renvoi», dit la Stib », sur Édition digitale de Liège, (consulté le )
  9. Source : http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/239523/un-nouveau-tram-bruxellois.html
  10. Source : http://archives.lesoir.be/les-voitures-de-demain-sont-partout-dans-la-ville-ecriv_t-19961021-Z0CT5V.html
  11. Source : http://www.uitp.org/about/pdf/CV_Alain%20Flausch.pdf
  12. Mesures [PDF], site de la STIB.
  13. La carte d’un voyage coûte 2,50  si elle est achetée dans un véhicule (tram ou bus), mais ne coûte que 2,10  si elle est achetée à l’avance (tarif entré en vigueur le 1er février 2012), dans le commerce, dans les points de vente Kiosk et Bootik de la STIB, ou via un automate de vente (Go), que l’on peut trouver dans les stations de métro, ainsi que le long des principales lignes de tram et de bus. De même, le billet de ou vers l'aéroport acheté dans le véhicule coûte 6,00  au lieu de 4,50 . Les autres titres ne sont pas vendus dans les véhicules. De plus, provisoirement aucune vente n'a lieu dans les véhicules en raison de la pandémie de COVID-19.
  14. Abonnement STIB, stib.be. Consulté le 4 mars 2011.
  15. Tickets, sur le site de la STIB.
  16. Abonnements, sur le site de la STIB.

Voir aussi

Articles connexes

Par types de transport en commun :

Dans les autres régions belges :

Liens externes

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