Raulhac

Raulhac, est une commune française, située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ne doit pas être confondu avec le lieu-dit Raulhac en Corrèze

Raulhac

Raulhac.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Aurillac
Intercommunalité Communauté de communes de Cère et Goul en Carladès
Maire
Mandat
Philippe Matière
2020-2026
Code postal 15800
Code commune 15159
Démographie
Gentilé Raulhacois, Raulhacoises
Population
municipale
268 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 01″ nord, 2° 39′ 25″ est
Altitude Min. 539 m
Max. 995 m
Superficie 16,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Aurillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vic-sur-Cère
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Raulhac
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Raulhac
Géolocalisation sur la carte : France
Raulhac
Géolocalisation sur la carte : France
Raulhac

    Ses habitants sont appelés les Raulhacois et les Raulhacoises.

    Géographie

    Le point le plus bas se situe au pont de Messilhac (côte 530), le point le plus haut à la Camp de Peyre (1 000 m).

    La commune est proche du parc naturel régional des volcans d'Auvergne. Elle fait également partie d'une région historique appelée le Carladès.

    Raulhac se trouve au cœur du Carladès et de la vallée du Goul, rivière née au pied du Puy Gros et dont la source était autrefois appelée la Font de Goul.

    Les villes et villages proches de Raulhac sont : Badailhac (15) à 3,26 km, Jou-sous-Monjou (15) à 4,43 km, Cros-de-Ronesque (15) à 4,51 km, Mur-de-Barrez (12) à 5,97 km, Pailherols (15) à 6,20 km (distances calculées à vol d'oiseau).

    Localisation

    Urbanisme

    Typologie

    Raulhac est une commune rurale[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,9 %), zones agricoles hétérogènes (26,2 %), forêts (19 %), zones urbanisées (1,9 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    Ce lieu était habité dès les temps préhistoriques. Un véritable atelier d'extraction du silex et de fabrication d'outils a récemment été découvert par l'archéologue André Delpuech à proximité du village de Lasclauzades à la limite du Cantal et de l'Aveyron. Des vestiges d'habitation gallo-romaines ont été repérés dans les villages d'Albospeyre et de Lavergne.

    Raulhac était dès les premiers siècles de son histoire un carrefour de chemins venant de Mur-de-Barrez, de Brommes, Lacapelle-Barrès, Jou-sous-Monjou, Saint-Clément, Vic-sur-Cère, Carlat, Saint-Étienne-de-Carlat et Cros-de-Ronesque. C'était un lieu de rencontre pour les habitants de la région.

    L'organisation sociale qui existait dès le haut Moyen Âge était l'héritière du régime patriarcal pratiqué par les Arvernes : celui "de grands propriétaires ruraux, indépendants les uns des autres, chacun de ces propriétaires possédait une ou plusieurs vallées avec leurs montagnes et les gouvernait à sa guise". "Des serviteurs, des domestiques, des métayers, des journaliers, des colons, vivaient sur ces domaines auxquels s'ajoutaient tous les hommes de métiers : menuisiers, charpentiers, forgerons, charrons." Il n'y avait pas d'administration centrale mais "quand les circonstances l'exigeaient, ils se liguaient, se confédéraient et pouvaient alors mettre sur pied une armée considérable". On sait qu'ils ne purent pas résister à l'invasion romaine. Après la conquête du pays par Jules César, ils continuèrent à régir leurs domaines. Dans notre région, ils sont souvent les ancêtres des seigneurs qui vécurent, guerroyèrent, exploitèrent la vallée du Goul des siècles plus tard, dont l'histoire nous a laissé les noms et parfois les vestiges de leur patrimoine immobilier.

    Au cours des siècles, parfois après des partages familiaux, voire de guerres impitoyables entre propriétaires voisins, la surface des grands domaines anciens avaient été considérablement réduite. La bonne qualité des sols faisait de Raulhac un terroir agricole convoité. Mais la propriété agricole était très inégalement répartie. Après que la Révolution de 1789 confisqua les biens de l'Église, la terre de Raulhac était partagée comme suit :

    • les propriétés seigneuriales exploitées par des fermiers
    • les propriétés des bourgeois, notables ou gros paysans
    • les propriétés de ceux qui possédaient quelques terres leur permettant de vivre
    • les mini-propriétaires dont la terre ne pouvaient assurer le pain quotidien et qui mettaient leur bras au service des grands propriétaires ou fermiers ou bien se livraient à une activité artisanale.

    En 1790, Badailhac et Pailherols sont érigées en commune par démembrement de Raulhac.

    Tout le long du XIXe siècle on assiste à de nouvelles répartitions. Le droit romain supplantait le droit coutumier, de sorte que celui des enfants qui était héritier, devait indemniser ses frères soit en espèces soit en leur donnant une partie de la propriété. On assiste ainsi à une parcellisation des domaines qui existait encore il y a peu.

    La mécanisation de l'agriculture, les méthodes et les besoins nouveaux qui surgirent entre les deux grandes guerres, firent enclencher un phénomène en sens inverse. À nouveau les petites propriétés disparaissent en s'agrégeant aux grandes. Le surplus de la population allant chercher fortune ailleurs, à Paris par exemple.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1791 Antoine Sobrier de Peyre[8]    
    1792 1792 Jacques-Géraud Combes[9]    
    1793 1795 François Nicolaudie[10]    
    1795 1795 Pierre Besse, de Golusclat[10]    
    1795 1796 Antoine Nicolaudie[10]    
    1796 1798 Jean Poulhès, de la Cayrie[10]    
    1798 1800 Jacques-Géraud Combes[10]    
    1800 1807 Antoine Sobrier[10]    
    1808 1821 Jean Poulhès[10]    
    1822 1830 Guillaume Etienne Poulhès[10]    
    1831 1842 Charles Philippe Rastignac[10]    
    1842 1842 Bertrand Joseph Degriels[10]   Maire par intérim
    1842 1848 Etienne Jean-François Poulhès[10]    
    1848 1855 Arséne Prébois[10]    
    1855 1870 Casimir de Chazelles[10]    
    1870 1877 Eugène Jordan de Puyfol[10]    
    1877 1880 Calixte Garnier[10]    
    1880 1889 Théophile Garnier[10]    
    1889 1896 Jean Pierre Bladier[10]    
    1896 1925 Emile Fabre[10]    
    1925 1929 Félix Troupel[10]    
    1929 1934 Emile Fabre[10]    
    1935 1947 Antoine Tourtoulou[10]    
    1947 1977 Jean Garrouste[11] DVG Agriculteur
    1977 1983 Antonin Nicolaudie[11]    
    1983 1985 Thierry Blanc[11]    
    1985 1995 Michel Albisson [11]    
    1995 En cours Philippe Matière[12] DVD Cadre supérieur

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[14].

    En 2018, la commune comptait 268 habitants[Note 3], en diminution de 10,07 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,54 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0009108708138679148148041 017
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9449909569301 0189609961 061939
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    953968983786755737736667602
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    532448386350364332348314282
    2018 - - - - - - - -
    268--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Au recensement de 1975, la commune de Raulhac comptait 386 habitants pour une surface de 1 698 hectares. En 1979, Raulhac comptait 36 exploitations agricoles. En 2005, on n'en compte plus que 22.

    Le nombre de logements de Raulhac a été estimé à 210 en 2007. Ces logements se composent de 143 résidences principales, 49 résidences secondaires ou occasionnels ainsi que 18 logements vacants.

    Économie

    Tourisme et culture

    Raulhac est un village qui accueille chaque année de nombreux touristes. En effet, de nombreuses fêtes de Tradition ont lieu de juillet à octobre comme la fête du pain, la fête du village avec son Festival de l'Accordéon, la fête de la tarte à la tome...

    Tout au long de l'été se tiennent sur la place du village les traditionnels marchés d'été avec les bons produits du terroir. Raulhac peut être exploré avec ses sentiers de randonnée, ses châteaux et les villages voisins.

    À une trentaine de kilomètres de la station de ski alpin du Lioran (de 1 250 m à 1 850 m d'altitude) et à 9 kilomètres de la station de ski de fond de Pailherols, Raulhac permet de d'apprécier l'hiver et les joies de la neige et de la montagne.

    Lieux et monuments

    Édifices religieux

    • Église Saint-Pierre de Raulhac : l'édifice est presque entièrement du XVe siècle, hormis une colonne et quelques fragments de maçonnerie du XIIe siècle conservés dans les deux premières travées, ainsi que le portail. L'église a fait l'objet de restauration intérieure au XVIIe siècle, après les guerres de Religion, puis au XIXe siècle. On entre par un portail roman abrité sous la tour du clocher. Il s’ouvre sur la première travée de la nef. Il est composé de trois voussures, dont l'archivolte en damier possède une clef sculptée. Elles reposaient sur des colonnes à chapiteaux décorés de motifs de personnages (masques et atlantes ?) et d'animaux stylisés avec le tailloir décoré de chevrons. À l’intérieur, l'ensemble est une nef unique de quatre travées terminée par un chœur à cinq pans inégaux, le tout couvert de voûtes nervées. Les clefs de voûte de la nef sont aux armes de Bonne de Berry et de son fils Bernard VIII d'Armagnac. Le chœur polygonal est éclairé par quatre fenêtres ogivales, une porte permet l'accès à la sacristie, des stalles couvrent l'hémicycle. La voûte du chœur est décorée de peintures murales en grisaille, dont 3 médaillons représentant, deux vertus cardinales : l'espérance (ancre marine) à gauche, la tempérance (cruche d'eau versée) au milieu et la vertu théologale : la foi (croix et calice) à droite. De même les deux chapelles latérales du milieu en vis-à-vis sont peintes, mais de motifs floraux. Sept chapelles, toutes de la même époque, sont percées entre les contreforts. L'église possède un mobilier intéressant, comme la chaire à prêcher datée de 1780 (restaurée en 2001), des retables du XVIIe siècle, dont l'Éducation de la Vierge ou celui de l'Adoration des Mages ainsi qu’une piéta. Le vaste porche qui protège l’entrée, date de la fin du XIVe siècle. Les nervures de la voûte sont peintes dans des tons de jaune et orange, ainsi que les culots sculptés de têtes. Sur les parois apparaissent les blasons de la famille de L'Arbre d'Escalmels, et celui des Scorailles dans une litre funéraire. Au-dessus du porche s'élève le clocher carré de trois étages, reconstruit en 1731, flanqué d'une tour hexagonale.

    Architecture civile

    • Le site néolithique de Las Clauzades, découvert récemment par André Delpuech, mais pas encore fouillé, est un ancien lieu d'extraction et de taille de silex qui montre que la fabrication de couteaux est plus anciennes dans le Carladez qu'à Laguiole[17].

    Des châteaux qui s'échelonnaient le long de la vallée du Goul comme autant de sentinelles surveillant d'éventuelles invasions, certains ont totalement disparu ; on notera seulement quelques grands noms de l'histoire locale : à Montamat (Béanavent), à Cromières (Les Rolland). Dans la hiérarchie féodale, tous les châteaux de la vallée du Goul relevaient de la vicomté de Carlat.

    • Le château de Messilhac : du haut de son rocher, le château de Messilhac domine fièrement la belle vallée du Goul. Il offre à ses visiteurs une vue absolument magnifique des volcans d'Auvergne. Ce chef-d'œuvre de l'architecture française de la Renaissance est à ne manquer sous aucun prétexte.
    • Le château du Mas de Raulhac : il faut prendre le chemin qui monte au Mas vers l'ancien presbytère pour qu'apparaisse le manoir qui appartint aux Monjou, famille la plus prestigieuse de la vallée vers le XIIIe siècle. Au début du XVIIIe siècle le château appartient à Jean Boudoyer, valet de chambre de la Reine Margot. En 1627, il passe à la famille de la Vaissière (mariage d'Antoine de La Vaissière de Beauregard de Vitrac de Bonan avec la veuve de Jean Boudoyer). L'extrémité de l'aile principale a été séparée à la suite d'un partage familial. Vestiges d'une ancienne tour carrée côté nord-est. Tour ronde d'escalier en façade avec bretèche au-dessus de la porte d'entrée. Ce château appartient encore de nos jours aux descendants de la famille de la Vaissière. Il ne se visite pas.
    • Le château de Cropières qui ne se visite pas.
    • Le château de Courbelimagne : il domine la vallée du Carlades (Nord-Aveyron) à 700 mètres d'altitude sur le versant Sud du Plomb-du-Cantal (parc naturel des Volcans d'Auvergne) et jouit d'une exposition remarquable en orientation plein Sud.
    • Le manoir de Valduchez : les principales familles qui l'occupèrent, furent les Bénavent, les Scorailles, les Confinhal, Les Sistrières. C'est la famille de Pierre, héritier des Murat-Sistrières qui au début du XIXe siècle vendit ce manoir à Jean Soubeyre, ancêtre du propriétaire actuel.

    Ce manoir du XVIIe siècle présente un ensemble avec dépendances homogènes. Deux tours carrées sont adjointes à une corps de logis rectangulaire. Un bel escalier de style Louis XIII monte dans la tour est. Il ne se visite pas.

    • La tour de Puechmouriez : vestige d'un ancien château fort qui existait au XIIIe siècle et qui appartenait comme Cropières aux Montjou, il n'était déjà plus à la fin du XVIIe siècle qu'une « masure inhabitable ».

    Autrefois, cinq niveaux se superposaient dans le donjon carré qui subsiste de nos jours. À l'intérieur, on voit encore les restes d'un escalier en pierre et les traces d'anciennes poutres. Modestes vestiges d'un château qui fut en d'autres temps un « réparium » redoutable. Après les Montjou, le château de Puechmouriez appartint à l'illustre famille des Montal, puis par acquisition et héritage, il revint à la famille de Fontanges de Cropières. Inhabité et peu ou pas entretenu, il se délita peu à peu. Seule la vieille tour semble résister. Des travaux de consolidation ont été effectués par la municipalité de Raulhac en 1992, après que le dernier propriétaire, M. Christian de Chefdebien eut vendu la tour pour un franc symbolique à la commune de Raulhac. Il reste encore beaucoup à faire pour éviter une lente dégradation, ce dont la commune de Raulhac et la Communauté de communes Cère et Goul en Carlades s'occupent actuellement.

    La vie à Raulhac ne se déroulait pas que dans les châteaux. Tout un peuple d'artisans, de paysans, de bourgeois constituait la substance vitale de cette vallée du Goul dans le bourg et les villages bruissant d'activités.

    • Le bourg :

    Ce qui frappe le visiteur de passage à Raulhac, c'est la belle harmonie des toitures de lauze. Les matériaux de construction : schiste, andésite ou basalte, proviennent des carrières de la région. Une dizaine de maisons ont conservé l'emplacement au sol que leur attribuait le cadastre de 1811. Il y a eu de nouvelles constructions, lesquelles dans leur majorité ont reproduit le style local, ce qui confère au village un remarquable caractère d'authenticité.

    Édifices remarquables :

    • Maison dite de Vitrac (au rez-de-chaussée : trois salles voûtées en partie du XVe siècle)
    • Maison dite de la Mayonne et puis de la Maugénie : mur à colombages côté est - belles ouvertures Renaissance sur la façade sud en partie masquée par un garage/terrasse en ciment.
    • Maison dite de Bonal : voir l'appareillage des angles - fût de basalte de 1,5 mètre à 2 mètres de long.

    Personnalités liées à la commune

    • Eugène Jordan de Puyfol, ancien maire de Raulhac et botaniste dont l'herbier est conservé au musée des Volcans à Aurillac.
    • Géraud Venzac (1901-1981), né à Raulhac, prêtre catholique français, moine, professeur de littérature, chevalier de la Légion d’honneur, auteur de Géraud Venzac raconte Raulhac, Journal 1916-1961, Gerbert, Aurillac, 1983.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Sources

    • Bernard Poulhès, L'Ancien Raulhac
    • Bernard Poulhès et Joseph Trin, Raulhac Contemporain
    • Bernard Poulhès, Revue de la Haute-Auvergne
    • Mr Morisque, Revue de la Haute-Auvergne
    • Abel Beaufrère, Découverte d'un hypogée gallo-romain au village d'Albospeyre, commune de Raulhac, 1973, Aurillac, Éd. Gerbert.
    • Géraud Venzac, Géraud Venzac raconte Raulhac : journal 1916-1961, extraits, souvenirs, Aurillac, 1983.
    • Inventaire Topographique du Canton de Vic-Sur-Cère, Paris, Imprimerie nationale.

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Extrait des articles de l'Abbé Poulhès parus dans La Revue de Haute Auvergne
    9. Extrait des articles de l'Abbé Poulhès parus dans La Revue de Haute Auvergne.
    10. Recherches personnelles dans les registres d'état civil de la commune.
    11. Informations communiquées par la mairie de Raulhac.
    12. Liste des maires du Cantal « Copie archivée » (version du 14 juillet 2014 sur l'Internet Archive), site de la préfecture du Cantal (consulté le 19 juillet 2014).
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    17. "Le site de Las Clauzades (Raulhac, Cantal et Mur-de-Barrez, Aveyron) ", Frédéric Surmely, 2003, Mémoires de la Société préhistorique française, volume XXXII, p. 75-92.
    18. Rédaction du Monde.fr, « QUAND LE CROQU'MORT... - L'Auvergnat est mort » , sur lemonde.fr, (consulté le ).
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